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Manifestation-Usines à chiots à Sherbrooke le 14 décembre à 14 h

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Julie, une citoyenne de Sherbrooke ayant une formation comme technicienne en santé animale organise cet événement :

Les manifestants se regrouperont devant le bureau de compté de M. Jean Charest au : 2665, rue King Ouest (près de l'Hôtel Delta), à Sherbrooke, le 14 décembre à 14:00 h. C'est à une heure de Montréal et l'Hôtel Delta est à l'entrée de Sherbrooke (sortie Sherbrooke de l'autoroute 10).

Nous demandons aux gens d'être présents avec leur chiens et chats et s'ils le désirent, de venir en famille, dans l'objectif de démontrer à M. Charest ainsi qu'au Ministre de l'Agriculture du Québec que nous exigeons des lois plus sévères avec des sanctions plus élevées pour la protection de nos animaux sur l'ensemble du territoire québécois.

C'est un regroupement pacifique pour que la législation change rapidement. Des chiens et des chats sont cruellement maintenus en vie sur notre territoire actuellement.

C'est nous, tous ensemble, qui feront pression sur nos dirigeants. Profitons de cette occasion unique de faire connaître nos opinions sur ce sujet urgent jusqu'au Parlement.

Les chiens recevront chacun un foulard de couleur orangé et les gens recevront chacun un ruban de la même couleur, et ceci pour marcher ensemble sur la rue King accompagnés des policiers de Sherbrooke qui sont aussi en accord avec cette cause. Déjà les réponses des gens et des médias sont très bonnes.

Nous allons nous regrouper et marcher pour que nos dirigeants suivent l'exemple des autres provinces canadiennes. L'Ontario a adopté une loi récemment en matière de protection des animaux, l'une des plus rigoureuse au Canada.

Julie souhaite votre présence et celles de vos connaissances afin de faire avancer ce dossier.

Nous savons tellement que d'être tous ensemble fait toute la différence et que nos efforts ne sont pas vains. Pour une société plus juste, si ce dossier peut être pris en charge et en finir avec la perpétuelle cruauté envers les animaux au Québec.

C'est notre objectif, pour nous sentir en paix pour poursuivre et aider nos semblables en sachant que ceux qui n'ont pas de voix ont été entendus et sont en sécurité une fois pour toute.

Notons que l'Union pour la protection des animaux (l'UPRA) encourage l'initiative de cette manifestation.

Alors gens de Sherbrooke et de toute la province du Québec, soyez présents le 14 décembre à Sherbrooke afin de faire la différence et faire avancer le dossier des usines à chiots.

Merci!

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C'est demain dimanche la manif à 14 h devant l'Hôtel Delta à Sherbrooke.

Certains médias ont confirmé leur présence ainsi que la journaliste de l'émission Enquête de Radio-Canada et la SPCA.

Il faut qu'il y est plusieurs manifestants pour envoyer un message fort au gouvernement. La population n'accepte plus la situation présente cad des lois trop peu sévères et trop peu d'inspecteurs et de fonds pour les faire respecter.

Après trois démantèlements d'usines à chiots seulement dans la région de Lanaudière en 2 mois(la dernière ayant eu lieu à St-Jacques hier oû 100 chiens ont été secourus), c'est le temps plus que jamais de battre le fer pendant qu'il est chaud.

Serez-vous présent pour démontrer que vous exigez que les choses changent?

Vous pouvez faire une différence. Il n'en tient qu'à vous.

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Viens nous donner des nouvelles , pour savoir comment ça c´est déroulé.

J´aurais bien aimée y participer mais c´est le party de Noël SDC aujourd´hui .

Tout semble arriver en même temps!

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Je ne pouvais y participer mais 5 membres de l'UPRA y étaient.

Ils en ont parlé aux nouvelles de 17 h 30 à LCN. Ils mentionnaient une soixantaine de manifestants mais j'ai hâte de voir l'évaluation du nombre des membres de l'UPRA qui étaient là.

En tout cas, c'est déjà très bien qu'autant de gens se déplacent un dimanche juste avant Noel et que cela passe aux nouvelles en plus. Encore de la sensibilisation et de la pression pour que le gouvernement bouge. thumleft

Voici le texte le le lien.

Sherbrooke
Mobilisation contre les «usines à chiots»

Mise à jour : 14/12/2008 17h14


À Sherbrooke, les groupes de défense des animaux se mobilisent contre les «usines à chiots».

Une soixantaine de manifestants se sont rendus devant le bureau de comté de Jean Charest, dimanche après-midi, pour dénoncer les conditions d'élevage exécrables et réclamer des lois plus sévères.

Pas moins de trois chenils ont été démantelés au Québec ces trois derniers mois.

Le Québec a une triste réputation dans le monde animalier.

D'après les manifestants, il y aurait un millier d'usines à chiots dans la province.

http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2008/12/20081214-171059.html

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Je l'ai vu à LCN, je peux pas dire combien de gens mais ça avait l'air pas si pire... En tout cas y avait beaucoup de gens avec des pancartes, ça fesait rempli Very Happy

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Un très bon article de La Tribune :

http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/sherbrooke/200812/15/01-810436-importante-manifestation-contre-les-usines-a-chiots.php

Marianne Dandurand
La Tribune

(Sherbrooke) Une importante manifestation a eu lieu dimanche devant les bureaux de Jean Charest pour dénoncer les usines à chiots, dont le Québec serait la capitale, au dire de l'organisatrice de l'événement, Julie Phaneuf.

En tout, ce sont quelque 125 personnes, accompagnées d'environ 75 chiens, qui se sont rassemblées pour réclamer que le gouvernement applique des lois plus sévères contre ces élevages intensifs, et engage davantage d'inspecteurs pour les faire respecter.

«Les usines à chiots, le gouvernement appelle ça de l'élevage intensif, explique Mme Phaneuf. Ce sont des endroits où on élève plus de trois races de chiens. Les gens ont peut-être 100 ou 200 femelles, et ils font 85 000 $ de revenus annuels au noir.»

Selon l'Union pour le respect des animaux (UPRA), dont quelques membres étaient présents à Sherbrooke, il y aurait entre 1000 et 2000 usines à chiots au Québec. L'Estrie n'échappe pas à ce phénomène, comme toutes les autres régions de la province.

Leurs 400 000 chiots produits annuellement seraient écoulés, pour la moitié, sur le marché québécois, dont dans les animaleries, et pour l'autre moitié, sur les marchés américain et ontarien. «Il y a des règles beaucoup plus sévères là-bas. Ici, Charest ne fait rien. On est en train de devenir la risée des touristes étrangers», a lâché un manifestant qui a préféré ne pas s'identifier.

Les manifestants ont surtout déploré les conditions dans lesquelles vivent les chiens dans ces élevages. «J'ai eu l'occasion de visiter un des plus gros chenils du Québec. C'est épouvantable, commente Colette Sainte-Croix, qui a pris part à la manifestation. C'est insalubre, il n'y a pas d'espace, des chiens de race vivent dans leur saleté, ils ont des problèmes de peau...»

L'UPRA demande quant à elle que des certificats d'enregistrement soient obligatoires pour tous les chiens, avec des numéros pour remonter jusque chez l'éleveur. Il serait ainsi beaucoup plus difficile d'élever des chiens dans des usines à chiots sans se faire prendre. Parce que pour l'instant, ce serait un commerce facile, fort lucratif et peu puni.

«Il y a 1 % des plaintes qui vont jusqu'à la condamnation, expose Micheline Robitaille, membre de l'UPRA. Et la condamnation donne 200 $ d'amende et 80 heures de travaux communautaires», raconte-t-elle. La loi québécoise serait la plus laxiste au Canada.

Mais selon l'UPRA, les citoyens seraient de plus en plus sensibilisés à la cause. Ce qui pourrait permettre un développement rapide, en autant que le gouvernement entende ce que les manifestants ont à dire.

«On a averti le bureau de Jean Charest de notre présence. Mais on nous a dit qu'il ne pourrait pas être la pour nous entendre. Et personne d'autre n'était disponible pour nous rencontrer», a déploré Julie Phaneuf.

marianne.dandurand@latribune.qc.ca

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