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Trafic

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93 tortues interceptées à l’aéroport de Mahajanga


3 spécimens de tortue dont 1 adulte et 92 bébés tortues ont été interceptés à l’aéroport d’Amborovy Mahajanga le samedi 3 septembre 2011. Une dénommée Nivolalao voulait prendre la ligne directe Mahajanga - La Réunion de 13h. Question de routine, les douaniers ont demandé à la passagère s’il y avait quelque chose à déclarer. « Non » a-t-elle répondu.

« Lors de la fouille des bagages, les douaniers ont remarqué une valise pleine de couches de bébés », a expliqué le receveur des douanes de Mahajanga, Andriantsilanimanga Barthélémy. « Trop suspectes pour les douaniers, les couches ont été ouvertes une à une et l’on a découvert des bébés tortues emballés dans de petites corbeilles en plastique. La tortue adulte avait été emballée dans du lambahoany ». Selon toujours les explications de ce premier responsable des douanes de Mahajanga, la destination Bangkok figure fréquemment sur le passeport de cette passagère. On suppose alors qu’elle voulait rejoindre cette ville en partance de l’île de la Réunion.



La passagère a été tout de suite été emmenée au bureau des douanes de Mahajanga pour enquête. Celle-ci ne voulait rien dire sans la présence de son avocat.

La DREF (Direction régionale de l’environnement et des forêts) a effectué la saisie des tortues et fera appel à des spécialistes afin de déterminer la nature et l’espèce exacte de chacune des tortues. « Ce sont toutes apparemment des tortues à éperon Angonoky » a déclaré le directeur régional de l’Environnement et des Forêts du Boeny, Virginie Razafindravola. « Mais attendons les explications des spécialistes pour être plus précis » a-t-elle souligné. Car si ce sont des tortues à éperon, elles ne peuvent provenir que du Parc de la baie de Baly de Soalala. Récemment d’ailleurs, des chiffres ont été avancés par le MNP, responsable de ce parc, selon lesquels seuls quelques 400 individus y vivent. Ces espèces endémiques ne sont plus à l’abri des trafics en tout genre.
Source:http://www.madagascar-tribune.com/93-tortues-interceptees-a-l,16357.html

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Un millier de mygales en fraude


Un Suisse se livrait à un trafic juteux... de mygales. Les douanes helvétiques ont stoppé ses agissements

Près de mille mygales! C'est le nombre d'araignées importées illégalement par un trafiquant suisse. Les douanes helvétiques ont mis fin à ses agissements en découvrant fin août un lot caché dans les bagages d'un passeur à l'aéroport de Zurich-Kloten. Les contrevenants risquent une forte amende. Les trafics du genre sont plus répandus qu'on ne le pense et très lucratifs, les mygales les plus rares pouvant atteindre une valeur de 15'000 francs.

Lors d'un contrôle en août dernier, les douaniers ont découvert 261 mygales cachées dans six boîtes en carton et emballées séparément dans des sachets en plastique. Ces araignées protégées provenaient de République dominicaine. Toutes n'ont pas survécu aux conditions de transport: dix mygales mexicaines (Brachypelma smithi), des spécimens aux couleurs noire et orange, étaient mortes, a précisé Nicole Spiess, cheffe de service adjointe aux douanes de Zurich. D'autres étaient en piteux état.



L'enquête a montré que les araignées ont été achetées pour le compte d'un revendeur en Suisse. Une perquisition chez ce dernier a permis de découvrir 665 autres mygales et 72 scolopendres ou mille-pattes introduits illégalement en Suisse, acheminés par poste depuis l'Amérique centrale. Les mygales ont été saisies par l'Office vétérinaire fédéral et réparties dans différents vivariums en Suisse. Le passeur et son client seront poursuivis pour infraction à la loi sur les espèces protégées et à la loi sur la TVA. Ils encourent une amende, voire la prison.

Bestioles plutôt timides

D'apparence effrayante et souvent mises en scène dans les films, les mygales ont une réputation de dangerosité un peu usurpée et sont en réalité des bestioles plutôt timides. Elles ne mordent que si elles se sentent menacées. En général, leur morsure se traduit par une vive douleur, comparable à celle occasionnée par une piqûre de guêpe, mais l'issue n'est pas fatale. Des réactions de caractère allergique sont toutefois possibles.

Cette affaire n'est que la pointe de l'iceberg. Les trafics d'animaux rien qu'en Suisse représentent des millions de francs, selon Sébastien Guerne, responsable du vivarium de La Chaux-de-Fonds. «Le trafic d'animaux est le troisième plus important après les armes et la drogue», explique-t-il. Le commerce de mygales, en tout cas, peut rapporter gros. Une mygale peut valoir entre cinq francs et 15'000 francs, selon l'espèce, estime Sébastien Guerne. On en trouve aux alentours de 50 euros sur Internet. Le commerce démantelé par les douanes zurichoises porte donc sur plusieurs dizaines de milliers de francs.
Source:http://www.20min.ch/

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123 kg de tortue dans un pick-up à Tahiti


Deux hommes et une femme sont attendus aujourd'hui au palais de justice en vue d'une comparution immédiate. À l'origine de l'affaire, deux pêcheurs âgés de 42 et 46 ans partent en bateau vers Tetiaroa dimanche vers 7 heures. De retour vers 19 h 30, ils mouillent au quai des pêcheurs du motu de Arue. L'un des deux hommes appelle alors sa compagne pour qu'elle vienne les récupérer directement sur le quai. Celle-ci arrive en pick-up et les deux hommes chargent leur pêche dans la benne du véhicule, bien à l'abri des regards. Mais à la sortie du motu de Arue, au niveau du stade Boris-Léontieff, le pick-up est arrêté par la douane. Son “chargement” : 123 kilos de viande de tortue… l'équivalent de deux animaux. Les douaniers, en collaboration avec la gendarmerie, “attendaient” leurs clients après avoir obtenu des informations sur leurs agissements. Le véhicule a été saisi, ainsi que le bateau des pêcheurs. Et hier soir les deux hommes dormaient à Nuutania.
Source:http://www.lesnouvelles.pf/article/les-indiscrets/123-kg-de-tortue-dans-un-pick-up

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L’employé de l’animalerie revendait les serpents


Un employé de l’animalerie Maxizoo est soupçonné d’avoir dérobé des reptiles et du matériel du magasin pour les revendre. Le préjudice est estimé à plus de 20000 €.



MONTIGNY-LÈS-CORMEILLES, SAMEDI APRÈS-MIDI.
Un vendeur de Maxizoo est soupçonné d’avoir dérobé des serpents
du magasin pour les revendre. Dix-huit reptiles, dont ce boa,
ont été retrouvés à son domicile de Jouy-le-Moutier.
(LP/MARIE PERSIDAT ET DR.)]


Un varan, un python ou même un boa… Un vendeur d’une animalerie de Montigny-lès-Cormeilles est soupçonné d’avoir revendu des reptiles en douce, sur le parking même de son employeur. Les policiers du commissariat d’Herblay ont mis un terme à son petit marché parallèle. Un premier bilan fait état d’un préjudice de plus de 20000 €.


L’affaire débute au moment de l’inventaire. Les dirigeants de Maxizoo, une grande animalerie installée le long de l’ex-N 14, découvrent qu’il manque plusieurs dizaines de milliers d’euros dans la caisse. En regardant de plus près, ils ont compris qu’il y avait un souci dans le rayon des reptiles. En poste depuis un peu plus d’un an dans le magasin, Kevin, 23 ans, est rapidement soupçonné. Une plainte est alors déposée par le responsable régional de la chaîne pour faux et usage de faux (des factures auraient été maquillées) et vol.

Dix-huit reptiles sont saisis

Jeudi matin, les policiers d’Herblay placent le jeune vendeur en garde à vue. Avec le concours des agents de la DDPP (les services vétérinaires de la préfecture) et d’un conseiller technique en risque animalier, un pompier du Val-d’Oise spécialiste des reptiles, ils découvrent lors des perquisitions au domicile du vendeur, à Jouy-le-Moutier, tout un rayon d’animalerie, des vivariums. En tout, dix-huit reptiles sont saisis, dont trois pythons royaux, deux caméléons panthères, un varan, un boa arc-en-ciel, un boa constrictor, deux pythons verts, des élaphes (des serpents qui vivent aux Etats-Unis et qui peuvent atteindre 2 m)… Kevin ne disposait d’aucun document obligatoire pouvant attester que les animaux, des espèces protégées, sont bien nés en élevage dans l’Union européenne. Il n’a pu présenter aucun justificatif.

L’enquête doit permettre de déterminer quels sont les reptiles qui lui appartiennent et ceux susceptibles de venir du magasin.

Le jeune vendeur est en tout cas suspecté d’avoir revendu des animaux sur le parking de l’établissement, après les avoir fait sortir des vivariums. Il aurait également revendu de la nourriture, des matériels comme des incubateurs ou des terrariums. Lorsqu’il avait un serpent qui mourait chez lui, il rapportait aussi discrètement le cadavre au magasin et repartait chez lui avec un autre reptile bien vivant.

Kevin a été remis en liberté à l’issue de sa garde à vue dans l’attente du rapport d’expertise qui doit être rendu par les agents des services vétérinaires.

Le Parisien

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Inde : des analyses ADN pour condamner les trafiquants de venin de serpent


Le braconnage de serpents pour leur venin est en pleine recrudescence en Inde. Pour lutter contre ce trafic, les autorités reçoivent l'aide de scientifiques pour déterminer si oui ou non le venin provient d'une espèce protégée. Une preuve qui leur permet de condamner les trafiquants.

Le trafic de venin serait en hausse dans le pays, selon les autorités indiennes dans le Kerala. La substance rapporte gros mais elle est prélevée en majorité chez les espèces en voie de disparition comme le cobra. "Le braconnage et le commerce illégal de serpents et autres reptiles est un énorme problème dans l’Asie du sud. Ce sont des animaux convoités pour leur viande et leur peau, et qui sont utilisées dans la médecine traditionnelle", a expliqué Richard Thomas de l’organisation Trafic.

Une fois prélevé, le venin est alors revendu au marché noir comme drogue. Ainsi, les autorités indiennes ont saisi il y a peu 600 grammes de venin d’une valeur de 300.000 euros. La substance provenait d'un naja, une espèce de cobra chez qui il est particulièrement difficile d'extraire le venin. D'où le prix. Selon Bill Haast, ancien directeur du Serpentarium de Miami cité par Good-planet.info, il faut 69.000 prélèvements de venin pour remplir une pinte. Face à l'ampleur qu'a pris le phénomène, les autorités ont donc décidé d'agir mais il est difficile de condamner les trafiquants quand on ignore si le venin vient ou non d'une espèce protégée. Du moins, c'était le cas jusqu'à ce que les scientifiques ne fournissent un coup de pouce.

En effet, ceux-ci peuvent déterminer si le venin prélevé provient d’une espèce protégée ou non en comparant les ADN présents dans les échantillons. Ainsi, des prélèvements de venin ont été récemment envoyés au Centre pour la biologie cellulaire et moléculaire d'Hyderabad et ont permis de démontrer que la substance provenait bien d'un cobra indien, espèce protégée. Les contrebandiers mis en cause dans l'affaire ont pu être accusés de chasse illégale et de trafic d'animal protégé. Ils risquent jusqu’à trois ans de prison.
Source:http://www.maxisciences.com/

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Une centaine d'animaux exotiques ont voyagé dans un bus avec les passagers


Un passager bulgare n'a pas résisté à l'envie de ramener des animaux exotiques et a voyagé pendant près de 24h avec 127 reptiles cachés entre les sièges et dans la soute d'un bus transportant des voyageurs.

Attentions, pythons à bord! Une ménagerie de reptiles, dont des pythons et des jeunes caïmans, a voyagé dans un autobus en provenance de République tchèque avant d'être saisie à la frontière bulgaro-serbe, a annoncé lundi l'agence des Douanes.

Les 127 reptiles sont restés pendant plus de 24 heures dans des sacs disposés entre les banquettes de l'autobus transportant les passagers ainsi que dans le compartiment à bagages.

Six varans, quatre caïmans, trois pythons et 23 grenouilles des champs se cachaient notamment entre les banquettes. Des caméléons, des tortues, un scorpion, des crabes et des escargots se trouvaient dans le compartiment à bagages avec leur nourriture -des vers et des blattes. Les reptiles étaient transportés par un Bulgare sans être déclarés. Confisqués, les animaux ont été transportés au zoo de Sofia.
Source: http://www.lexpress.fr

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Braconnage : 1 764 grenouilles sauvent leurs cuisses


Pris en flagrant délit de pêche illicite au bord d’un étang à La Bresse, des braconniers ont été verbalisés par les services de l’office national de la chasse et de la faune sauvage. Ils avaient piégé 1 764 grenouilles dans des nasses…

C’est un coup de filet exceptionnel que les gardes-pêche et les représentants de l’office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) viennent de réaliser.

Sur les hauteurs de La Bresse, ces derniers ont mis un terme à un important trafic de grenouilles.

En effet, le 26 mars dernier, ce ne sont pas moins de 1 764 grenouilles qui ont été relâchées dans un étang privé que les batraciens affectionnent particulièrement. « Nous sommes dans la saison des amours. Les grenouilles sortent pour frayer », explique Philippe Marotel, le président de l’association départementale des gardes-pêche particuliers des Vosges.

Ce lundi 26 mars, deux personnes de l’ONCFS, deux représentants de la brigade mobile de Bar-le-Duc et le garde-pêche font le siège à 300 m de l’étang. À l’aide de leurs jumelles, ils observent le calme au bord de l’eau. Les grenouilles semblent coasser paisiblement. Mais les gardes ne tardent pas à repérer sept nasses baignant dans la frayère. Deux hommes, vêtus de waders (pantalons de pêche), sortent du chalet situé au bord de l’eau. Ils s’apprêtaient à relever leur pêche illégale. Ils ont été stoppés aussitôt par les gardes. « Pour faire un maximum de production, les gars relevaient les nasses toutes les deux heures », précise Philippe Marotel.

Un à un. Tous les batraciens sont comptés. 1 764 grenouilles sont recensées, 1 500 dans les nasses, les autres sont dans des bassines. Pendant l’intervention des gardes, le propriétaire de l’étang est arrivé sur place. Ce dernier n’a pas contesté les faits et s’est défendu arguant que cette pêche était « pour sa consommation personnelle. » Le propriétaire et les deux jeunes hommes devront répondre de leurs actes devant le tribunal. Ils sont accusés de pêche par mode et moyens prohibés et en temps prohibé. « Ils nous ont dit être restés toute la nuit de peur de se faire voler leurs nasses. »

La fédération de pêche des Vosges avait été destinataire d’une lettre anonyme, il y a deux ans. Un courrier dense dans lequel de nombreux documents étayaient la dénonciation de braconnage dans un étang bressaud : photos, plaques d’immatriculation… « Dans ce courrier, la personne s’étonnait que l’on puisse pêcher aussi facilement », explique Philippe Marotel. Alerté, le garde-pêche sollicite la gendarmerie de Travexin. Objectif : vérifier ce qui se passe au bord de cet étang d’altitude. De l’avis des professionnels, le braconnage de grenouilles n’est pas nouveau. D’ailleurs, alors que les gardes intervenaient, des voitures sont arrivées avec de grosses glacières en polystyrène. Certainement pour récupérer le butin. « Dix nasses saisies et 1 764 grenouilles relâchées sur place… Quand on sait que c’était le fruit d’environ 4 h de pêche, on imagine facilement le bilan sur une semaine ! C’est un site exceptionnel qui se retrouve pillé ! »

Le procès-verbal est le plus important dressé dans les Vosges. Il y a une semaine, les gardes-pêche avaient relâché 1 500 grenouilles, dans le secteur de la plaine. En cette saison des amours, les grenouilles fraient dans les zones humides.

Cette période coïncide avec la saison des grenouilles dans les restaurants. Les cuisses proviennent la plupart du temps de Turquie. Un kilo de grenouilles fraîches prêtes à consommer se négocie cette année chez un grossiste autour de 30 €.

Le coup de filet de La Bresse représente environ 1 200 € de butin, en 4 h de pêche illégale ! Les gardes surveillent actuellement d’autres secteurs où du braconnage a été constaté.
Source: http://www.vosgesmatin.fr

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Un braconnier surpris avec 8.000 oeufs de tortue marine


La police du Suriname a attrapé un chauffeur de bus qui transportait pas moins de 8.000 oeufs de tortue marine alors que l'espèce en considérée comme en danger d'extinction.

Les oeufs de tortue verte ont été confisqués, l'homme a été mis derrière les barreaux et une enquête tente désormais de déterminer qui se cache derrière la compagnie "Kraps", qui aurait passé commande plusieurs fois auprès du chauffeur.

Les oeufs volés étaient destinés à la consommation. Au Suriname, le trafic des tortues vertes est en pleine expansion alors que l'espèce est considérée comme en danger de disparition. Fin février, la police avait déjà mis la main sur 5.000 oeufs.

La tortue verte est la plus sensible aux dérangements durant sa ponte, qui a lieu tous les 3 ans de février et juin. La femelle revient pondre sur la plage entre 3 et 5 fois au cours de la saison. En moyenne, chaque nid comprend 120 oeufs, mais rares sont les petits qui parviennent à l'âge adulte.
Source: http://www.7sur7.be

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400 tortues de contrebande saisies


Les douanes du Bangladesh ont saisi mardi à l'aéroport de la capitale, Dacca, plus de 400 tortues de contrebande en provenance d'Inde et qui étaient destinées au marché thaïlandais, a-t-on appris auprès des autorités.

Deux Indiens ont été arrêtés dans la foulée de la saisie des reptiles, a indiqué une fonctionnaire des douanes, Showkat Ara.

Les tortues étaient transportées dans trois valises. Elles avaient été exportées clandestinement au Bangladesh depuis l'Inde et devaient être acheminées à Bangkok», a-t-elle précisé à l'AFP.

Les animaux, d'une valeur estimée à trois millions de taka (environ 36 600 dollars), seront placés dans un centre de protection, a-t-elle ajouté.

Selon un conservateur, Tapan Kumar, il s'agit de la plus importante saisie réalisée ces dernières années. Parmi les reptiles figuraient trois espèces en voie de disparition, comme la tortue étoilée, servant habituellement dans la médecine orientale.

Les autorités ont indiqué avoir constaté une recrudescence des faits de braconnage d'animaux exotiques au cours des derniers mois.
Source: http://fr.canoe.ca

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Trafiquant de boas intercepté à la frontière


Reineck (AP) — Un Hongrois de 36 ans a tenté d'introduire illégalement en Suisse six boas dimanche dernier au passage frontière de Reineck (SG). Lors d'un contrôle de routine, les gardes-frontière ont découvert une boîte en plastique contenant les six reptiles protégés par les Accords de Washington.

Il s'agit de trois boas constricteurs des îles Fidji, de deux boas à trois bandes et d'un boa constricteur du Pacifique, a précisé jeudi le Corps des gardes-frontière de Coire (GR). L'homme n'avait pas d'autorisation d'importation de ces reptiles. Une procédure pénale a été ouverte pour violation de la loi sur la protection des espèces. Les animaux ont été saisis et confiés à des mains expertes.

Ce n'est pas la première tentative du genre cette années. Le 23 février dernier, un Allemand de 63 ans avait été arrêté avec un varan de Timor sous son pull au moment d'entrer en Suisse au poste-frontière d'Au(SG). AP
Source:http://www.romandie.com

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Saisie de près de 200 reptiles et d'une centaine de grenouilles à Zaventem


La douane de Brussels Airport a saisi 112 caméléons, 72 serpents et 100 grenouilles le lundi 23 avril, a indiqué le SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement vendredi dans un communiqué. Les animaux venaient du Burundi et transitaient par Bruxelles. Ils devaient ensuite prendre la direction de la République tchèque.
Les 284 animaux étaient transportés dans des étuis en roseau mal fermés. Il s'est rapidement avéré que la convention CITES (Convention sur le commerce international d'espèces animales et végétales menacées) n'était pas respectée et que les autorisations nécessaires à leur transport n'étaient pas en ordre, souligne le SPF Les caméléons saisis ont été provisoirement accueillis au Natuurhulpcentrum Opglabbeek. Les serpents et les grenouilles sont quant à eux pris en charge par le Zoo d'Anvers. Trois serpents venimeux dangereux devront cependant être euthanasiés car la Belgique ne dispose pas d'antidote contre leur venin. Le service CITES du SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement est responsable de la délivrance des différents documents, mais aussi du contrôle de l'application de la législation relative au commerce des animaux menacés. Il collabore ainsi étroitement avec les différentes instances douanières et la police, ce qui permet de procéder régulièrement à des saisies. En 2012, une cinquantaine d'infractions à la législation CITES ont déjà été constatées. (VIM)
Source:http://www.rtl.be

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Trafic d’animaux : du serpent de contrebande


Le trafic d’animaux sauvages n’épargne pas la Malaisie. Hier, des centaines de cobra et de tortues ont été saisies alors qu’ils allaient être sortis illégalement du pays. Les animaux avaient été dissimulés dans une cargaison de Papayes.

La contrebande d’animaux sauvages n’est pas l’apanage de la Malaisie. Cette semaine encore, une campagne de sensibilisation a été menée au Brésil.

Là aussi serpents et tortues sont concernés. Mais aussi les petits oiseaux chanteurs, les grands aras bleus et jaunes d’Amazonie, les perroquets verts, les singes et même les pumas. le trafic d’animaux n’épargne aucune espèce dans ce pays, même celles en voie de disparition. C’est aussi le plus lucratif après la drogue et les armes.

« D’après nos estimations quelque 38 millions d’animaux sauvages - dont 80% d’oiseaux - sont retirés en fraude de la forêt par an au Brésil et près de 90% meurent pendant leur transport » déclarait, jeudi, à l’AFP, Rauff Lima, le porte-parole de l’ONG Renctas.

Mais cette perte est « largement compensée par la vente d’un seul spécimen » et ces trafiquants gagnent près de deux milliards de dollars par an dans le pays sud-américain, soit le commerce illégal le plus rentable après la drogue et les armes, selon Renctas.

La seule police fédérale saisit en moyenne 250.000 animaux par an et l’Institut brésilien de l’environnement (Ibama) en capture 45.000 lors de contrôles qui ont été multipliés au cours des dernières années dans tout le pays.
Source: http://www.lavenir.net

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Il affirme aux douaniers ramener 49 lézards pour les cuisiner


Un Allemand arrêté à la douane en possession de 49 lézards exotiques vivants dans son sac, a affirmé les ramener pour sa consommation personnelle. Pour "prouver sa bonne foi", il a été jusqu'à proposer d'en faire goûter un aux agents.

Il aime les lézards, jusqu'à en manger ! Un Allemand de 28 ans, arrêté à la douane en possession de 49 lézards exotiques vivants dans son sac, a affirmé les ramener pour sa consommation personnelle, allant jusqu'à proposer aux agents de croquer la tête de l'un deux pour le prouver. "ce voyageur était même prêt à arracher avec ses dents la tête d'un des lézards à queue épineuse sous les yeux des agents", a assuré mercredi Thomas Meister, un porte-parole des douanes allemandes. Jour de chance pour le reptile, les douaniers ont décliné la proposition et l'animal a eu la vie sauve.

Les douaniers allemands ont intercepté cet homme de retour d'Oman à l'aéroport de Munich (sud), découvrant dans ses bagages toute une ménagerie qui comprenait 31 uromastyx, des lézards à queue épineuse, et 18 autres reptiles, dont des geckos et des lézards des murailles. "C'est pour les cuisiner", a lancé le jeune homme qui avait emprunté le couloir vert réservé aux voyageurs n'ayant rien à déclarer, estimant que son colis contenait avant tout des "denrées alimentaires" et non des animaux vivants, a-t-on précisé.

Le contrevenant devrait probablement recevoir une amende d'au moins 1.000 euros. Quant aux reptiles, "ils ont retrouvé des conditions de vie décentes et sont en bonne santé", ont assuré les autorités.
Source: http://lci.tf1.fr

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L'excuse bidon, c'est lui qu'on devrait mangé Twisted Evil

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La police sauve 3.600 crocodiles d'un trafic de viande


Ils étaient destinés aux restaurants du sud de la Chine...

Ils ont bien failli passer à la casserole: plus de 3.600 crocodiles ont été interceptés par la police chinoise dans la région de Guangxi Zhuang, près de la frontière vietnamienne. Ces crocodiles du Siam étaient en chemin vers la province de Guangdong où ils devaient être vendus à des restaurants.

Les crocodiles, mesurant plus de 1,7m de longueur et pesant au total seize tonnes, étaient transportés dans des camions. La chaleur et l’entassement ont coûté la vie à 42 d’entre eux. Les autres ont été confiés à des vétérinaires qui leur apportent les soins nécessaires, notamment en les réhydratant.

Inspections dans les hôtels et les restaurants

Les trafiquants de crocodiles profitent des croyances sur les crocodiles: en manger apporterait des bénéfices nutritionnels exceptionnels. Néanmoins, les jeunes chinois deviennent de plus en plus sensibles au sort de ces animaux en voie de disparition et les autorités chinoises sévissent: les contrôles aux frontières ont été renforcés et les associations pour la protection des animaux demandent maintenant que des inspections aient lieu dans les hôtels et restaurants.

«Même si tout le monde sait qu’il est illégal de manger ces animaux, certains le feront quand même tant qu’ils seront en vente. Ce qu’il faut, c’est une campagne forte et à long terme pour expliquer aux gens pourquoi il ne faut pas manger de crocodile», déclare Zheng Yuanying, directeur de programme au Green Eye de Chine.
Source:http://www.20minutes.fr

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Un touriste allemand arrêté pour vol d'iguanes


Un touriste allemand a été arrêté pour avoir tenté de voler des iguanes dans les îles équatoriennes des Galapagos, un crime passible de trois ans de prison, a annoncé lundi la direction du parc national situé dans l'archipel dans un communiqué.

Des agents du parc national des Galapagos (PNG) ont intercepté dimanche l'individu à l'aéroport situé dans l'archipel, après avoir remarqué qu'il portait un paquet suspect. A l'intérieur se trouvaient quatre iguanes, enveloppés dans de la toile. Ces reptiles appartenaient à une espèce menacée de disparition (Conolophus subcristatus), qui fait notamment l'objet d'un plan de protection de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Passible de trois ans de prison

Le touriste, qui a été placé en détention par la police de l'environnement à la suite d'un mandat d'arrêt ordonné par la justice, est passible de trois ans de prison, selon le code pénal équatorien. Ce dernier aurait déjà été poursuivi en décembre dernier pour avoir dérobé un iguane issu d'une espèce protégée dans les îles Fidji, a indiqué la direction du PNG, citant un article du quotidien en ligne Fiji Times.

Classé au Patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis trois décennies, l'archipel des Galapagos se situe dans l'océan Pacifique à 1.000 km des côtes équatoriennes. Cette réserve naturelle est célèbre pour avoir inspiré la théorie de l'évolution des espèces du naturaliste britannique Charles Darwin.
Source: http://www.20minutes.fr

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Un couple arrêté pour commerce illégal de serpents


Un python royal saisi par les gendarmes - gjeay


Un couple de Foëcy sera jugé, en novembre, pour un commerce illégal d’animaux non domestiques, dont certains appartenant à des espèces protégées. Les gendarmes de la brigade de recherche de Bourges ont saisi une centaine d’animaux, dont de très nombreux serpents.

Après deux jours de garde à vue et plusieurs heures de perquisitions, ce couple s’est vu remettre, mercredi soir, une convocation en justice pour ouverture non autorisée d’établissement pour animaux non domestiques, exploitation d’un tel établissement sans certificat de capacité, exploitation irrégulière et cession non autorisée d’animaux d’espèces protégée. Quatre délits passibles, au maximum, d’un an de prison et de 15.000 euros d’amende.

Source : leberry.fr

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Madagascar : 2 trafiquants de tortue arrêtés avec 272 jeunes tortues radiées


(Xinhua) — Deux trafiquants de tortues ont été arrêtés avec 272 jeunes tortues radiées à Ampanihy, dans le sud du pays, le week-end dernier, a indiqué mardi le Fonds mondial pour la nature (WWF).

La responsable de la communication du WWF-Madagascar, Mialisoa Randriamampianina, a fait savoir que ces tortues ont été réacheminées vers Tranovaho, commune urbaine dans le district de Tsihombe (sud).

Selon le WWF, le trafic illégal touche chaque semaine un millier de tortues radiées du Plateau Mahafaly, zone reconnue mondialement pour sa biodiversité unique en faune et flore mais aussi pour la dégradation de son environnement et la pauvreté du lieu.

"Si nous ne parvenons pas à faire cesser le braconnage et la destruction des habitats de tortues dans le sud, nous risquons de perdre ces espèces à l’état sauvage dans moins de cinquante ans", a précisé le Coordinateur du Programme Sciences de la conservation et Espèces, de WWF, Tiana Ramahaleo.

Le WWF et ses partenaires vont établir un réseau d’informations dans le sud pour faire en sorte que les trafics illicites de tortues ne restent pas impunis.


Source : afriscoop.net

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Plus de 200 mygales trouvées dans une valise


Plus de 200 mygales ont été découvertes mercredi par les douaniers à l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol dans la valise d'un couple d'Allemands revenant du Pérou, a annoncé le ministère néerlandais des Finances, dont dépendent les services douaniers.

"La douane de Schiphol a trouvé plus de 200 mygales vivantes dans un bagage de deux voyageurs allemands", a déclaré le ministère des Finances dans un communiqué. Le couple qui venait du Pérou, "avait également des mille-pattes, des grillons, des coléoptères et des sauterelles" dans sa valise.

Le couple avait caché les bestioles, venimeuses pour ce qui est des mygales et des mille-pattes, dans des sacs et des tubes en plastique placés dans le bagage entre des vêtements ou dans des chaussures, a précisé le ministère.

Selon leurs dires, les deux Allemands avaient attrapé eux-mêmes dans la nature les animaux qui ont été remis aux autorités sanitaires néerlandaises qui ont ouvert une enquête.

Quatrième aéroport d'Europe, Amsterdam-Schiphol accueille entre 120.000 et 140.000 passagers par jour.

Les tentatives de faire passer illégalement des animaux, principalement des hippocampes, via l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol sont fréquentes mais pas dans des quantités aussi importantes, a déclaré à l'AFP Lindy van Galen, porte-parole du ministère des Finances.
Source:http://www.directmatin.fr

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Un Japonais s'entiche de scinques à queue pomme de pin


L'homme a été interpelé lundi à l'aéroport international de Perth, capitale d'Australie occidentale.

Des observations en rayon X ont révélé la présence de 9 lézards à queue pomme de pin ; des reptiles de 40 à 50 centimètres de long endémiques de l'Australie.

9 lézards entassés comme des sardines dans deux sacs en plastique.

Le ressortissant japonais aurait attrapé ces reptiles sur une plage de Perth et aurait décidé de se lancer dans le commerce et de les vendre au Japon. Il faut dire que le scinque à queue pomme de pin peut rapporter 6 000 dollars au Japon.

Conformément à la législation australienne, le Japonais risque désormais 10 ans de prison ou 100 000 dollars d'amende ou les deux.
Source: http://www.radioaustralia.net.au

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A la place de fruits, des douaniers découvrent 2.600 serpents


Les douanes de Hong Kong ont eu la désagréable surprise, lors du contrôle d'une cargaison annoncée comme des fruits en provenance de Thaïlande, de découvrir à la place des fruits 2.600 serpents vivants, ont indiqué les autorités vendredi 8 février.

Les douanes ont intercepté cet envoi aérien de 2.400 couleuvres et 200 cobras mardi, et l'ont renvoyé jeudi, a indiqué une porte-parole du gouvernement, quelques jours avant le début de l'Année du Serpent dans l'horoscope chinois.

Le sort qui leur était destiné n'a pas été spécifié, mais ces deux variétés de serpents sont généralement utilisées en cuisine dans le sud de la Chine.

Un mets fin en Chine

Le serpent est considéré comme un mets fin, souvent servi en soupe. Il est censé améliorer la circulation sanguine et renforcer les défenses immunitaires.

A Hong Kong, la loi sanctionnant la contrebande prévoit des peines d'emprisonnement allant jusqu'à sept ans, et une amende maximale de 250.000 dollars US. Le mois dernier, les douanes hongkongaises avaient saisi des phoques et de la viande de crocodile acheminés illégalement. Les phoques devaient être utilisés à des fins médicinales, la viande de crocodile était destinée à être consommée.
Source: http://tempsreel.nouvelobs.com

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Animaux exotiques : saisie record en 2012


Les douaniers ont multiplié par quatre les saisies d'animaux importés illégalement.

Le chiffre. Iguanes, boas, tortues... L'an dernier, les douaniers français ont intercepté aux frontières plus d'un millier d'animaux exotiques vivants et importés illégalement. Un chiffre qui a quadruplé en un an, selon le bilan annuel des douanes françaises rendu public vendredi et qu'Europe 1 a pu consulter. La plupart de ces animaux sont confiés à la Ferme tropicale de Paris, un magasin d'animaux exotiques, en attendant que la justice décide de leur sort.

Une meilleure détection. Les douaniers français n'avaient jamais saisi autant d'animaux exotiques que l'an dernier. Pour Karim, le directeur de l'enseigne, cette tendance s'explique par la meilleure détection de ces fraudes. "Le marché n'a pas évolué. Cette augmentation tient un peu au hasard, mais aussi à une plus grande rigueur. Les douaniers sont mieux formés qu'avant et les compagnies aériennes sont plus rigoureuses", explique le directeur de la Ferme tropicale.

L'arche de Noé à Paris. En 2012, ce sont donc pas moins de 300 reptiles qui ont par exemple été confiés à ce magasin spécialisé. Karim a ainsi vu arriver "un arrivage de 56 caméléons du Cameroun, qui étaient cachés dans un double fond, maquillés par des animaux tout à fait légaux et courants". Des animaux qui commencent même à se reproduire : des bébés caméléons sont nés récemment à la Ferme tropicale.

Parmi les animaux saisis, les tortues représentent plus de 50% des espèces. La Ferme tropicale en a accueilli plusieurs, dont des spécimens en provenance de Madagascar valant, chacun, plus de 1.300 euros.
Source: www.europe1.fr

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Des voleurs de grenouilles piégés par vidéosurveillance



Deux braconniers qui pêchaient illégalement des grenouilles en Haute-Saône ont été piégés par une caméra vidéo et condamnés à des peines d’amende et de prison avec sursis, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.

Le propriétaire d’un étang privé situé sur la commune de Courtesoult-et-Gray (Haute-Saône) a remarqué, début 2012, que certaines des nasses qu’il utilisait pour pêcher ses grenouilles avaient été volées.

Cet agriculteur, qui a l’autorisation de pêcher les grenouilles sur sa propriété, a prévenu l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) avant d’installer un système de vidéosurveillance au bord de son étang.

Deux habitants du secteur, deux frères âgés de 33 et 36 ans, ont été filmés en train de prélever entre 250 et 300 grenouilles rousses, une espèce protégée.

Les braconniers ont été condamnés par le tribunal correctionnel de Vesoul à une peine de 3 mois de prison avec sursis et 720 euros d’amende pour le plus jeune, et à une peine de 450 euros d’amende pour le plus âgé.

Le ministère public avait requis une peine d’un mois de prison avec sursis et 500 euros d’amende pour le plus jeune et de 500 euros d’amende pour le plus âgé.
Source: http://www.liberation.fr

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112 pythons saisis à Lomé (Togo)




L’Office centrale de répression de trafic illicite de drogue et de blanchiment (OCRTIDB) a arrêté samedi un ressortissant togolais qui s’apprêtait à vendre 112 pythons royaux. Cette espèce est protégée par le code forestier et la loi sur l’environnement.

Il encourt 2 ans de prison et une forte amende

Le python royal, encore appelé python boule, est un serpent constricteur qui vit dans les prairies, les savanes et les régions peu boisées. De nature placide, il est aisé à manipuler en captivité et mord rarement. Ce qui en fait un animal de compagnie très demandé, notamment en Europe et aux Etats-Unis.
Source: http://www.republicoftogo.com

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