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Amazon, Apple et Microsoft ont "largement recours aux énergies sales" (Greenpeace)

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Amazon, Apple et Microsoft ont "largement recours aux énergies sales" pour leurs services dématérialisés, comme le stockage de données en ligne, a affirmé mardi l'organisation Greenpeace, qui a en revanche distribué des bons points à Facebook, Google et Yahoo!.

L'organisation écologique a publié mardi un rapport dans lequel elle note les comportements des géants des nouvelles technologies dans la gestion de l'informatique dématérialisée ("cloud computing"), ces services permettant aux internautes de stocker leurs données ou programmes en ligne.

Si ces données ne sont plus stockées sur les ordinateurs ou smartphones des particuliers, elles le sont dans des "+data centers+ (centres de données), qui abritent des milliers d'ordinateurs qui stockent et gèrent toutes les données prêtes-à-consommer que nous accumulons", note Greenpeace dans le rapport.

Or, ces centres de données "consomment une très grande quantité d'électricité: l'équivalent d'environ 250.000 foyers européens pour certains d'entre eux", poursuit le rapport.

Amazon, Apple et Microsoft, trois entreprises américaines, "n'accordent pas suffisamment d'attention à la provenance de l'électricité qu'elles consomment et continuent d'avoir largement recours aux énergies sales pour alimenter" ces services dématérialisés, affirme Greenpeace.

"Il ne s'agit pas de clouer (ces entreprises) au pilori, nous essayons de les pousser dans la bonne direction", a expliqué à l'AFP Casey Harrell, un responsable de Greenpeace. "On adore nos iPhone, ils nous facilitent la vie, mais ils ne doivent pas rendre les choses plus difficiles pour la planète".

Yahoo! et Google continuent en revanche "de montrer l'exemple", tandis que Facebook "est désormais l'ami des énergies renouvelables", selon le rapport. Le réseau social "a fait le premier pas dans la bonne direction avec la construction d'un data center, en Suède, pouvant être entièrement alimenté par des énergies renouvelables".



Sciences et Avenir 18/04/2012

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Des militants de l'organisation Greenpeace ont descendu jeudi soir en rappel la façade d'un bâtiment d'Amazon à Seattle (Etat de Washington, nord-ouest) pour exhorter le groupe de vente en ligne et le géant Microsoft à utiliser des énergies propres pour leurs services dématérialisés.

Deux militants se sont élancés du toit de l'immeuble, situé juste en face des bureaux de Microsoft, pour accrocher une banderole en forme de nuage sur lequel on pouvait lire "Votre nuage informatique est-il propre?".

L'initiative fait suite à la parution mardi d'un rapport dans lequel Greenpeace dénonce le "large recours aux énergies sales" des géants informatiques pour leurs services dématérialisés (le "cloud computing" ou nuage informatique), comme le stockage de données en ligne.

"Les gens veulent pouvoir utiliser des produits et des technologies innovants comme le Kindle ou le Windows Phone sans avoir à se connecter à des nuages informatiques alimentés par des énergies sales et dangereuses", a déclaré Casey Harrell, analyste chez Greenpeace International.

"Amazon et Microsoft ont les moyens de faire marcher leur nuage avec des énergies vertes et renouvelables, mais ils sont loin derrière leurs concurrents Google, Facebook et Yahoo! dans la course aux nuages réellement propres", ajoute-t-il.

Amazon, Apple et Microsoft, trois entreprises américaines, "n'accordent pas suffisamment d'attention à la provenance de l'électricité qu'elles consomment et continuent d'avoir largement recours aux énergies sales pour alimenter" ces services dématérialisés, affirmait Greenpeace dans son rapport.

"Il ne s'agit pas de clouer (ces entreprises) au pilori, nous essayons de les pousser dans la bonne direction", avait expliqué M. Harrell à l'AFP lors de la sortie du rapport. "On adore nos iPhone, ils nous facilitent la vie, mais ils ne doivent pas rendre les choses plus difficiles pour la planète".




Sciences et Avenir 20/04/2012

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