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Caro18

Le procès du propriétaire du «chenil de l'horreur» débute

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Le procès du propriétaire du «chenil de l'horreur» débute

Au nouvelle de TVA ce soir zut
Le bourreau plaide, "j'aimais trop mes animaux", crasy il ne se résignait pas les faire euthanasiés. Devinez qui est son avocat? C'est nul autre que Me Claude F. Archambault. Archambault est payé avec le sang de ces pauvres chiens reproduits dans un chenil ignoble où plusieurs chiens sont morts dans des souffrances atroces, je ne sais pas si son amie Michelle Richard est d'accord avec l'implication d'Archambault dans cette affaire scratch

Il va s'en sortir avec une petite amende de 50.00 $ MadMadMad





Presse Canadienne

Saint-Jérôme

Le procès de Marc-André Laporte, l'ex-propriétaire de ce que l'on a appelé le «chenil de l'horreur», à Blainville, dans les Laurentides, s'est amorcé jeudi matin au palais de justice de Saint-Jérôme.

Le 10 novembre 2005, les policiers avaient fait une perquisition dans la résidence de M. Laporte où étaient entassés une centaine de chiens dans des conditions d'hygiène exécrables. Il y avait une quantité incroyable d'excréments au niveau du sol.

Les policiers de Blainville avaient appelé en renfort la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA).

Inspectrice à la SPCA, Nathalie Bouillé a raconté au tribunal que les chiens étaient cotonnés, et dans des cages sales, ajoutant que l'odeur dans la résidence était insupportable.

Depuis ce temps, les lieux ont été détruits.

Une vingtaine de chiens ont dû être euthanasiés et une soixantaine ont été adoptés.

M. Laporte refuse de se départir d'une vingtaine de chiens qui sont actuellement en «famille d'accueil». Thumb downzutalaideMad

Jeudi après-midi, M. Lapointe devait témoigner dans son propre procès.

http://www.cyberpresse.ca/article/20071004/CPACTUALITES/71004156/6730/CPACTUALITES

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Je suis tombé en bas de ma chaise en lisant cet article


Blainville
C'était comme ses bébés MadMad
Pierre Richard
Le Journal de Montréal
05/10/2007 08h43

Parce que ses chiens étaient «comme ses bébés» et qu'il ne parvenait pas à les vendre, l'éleveur Marc-André Laporte s'est retrouvé avec 97 fox-terriers dans sa résidence de Blainville avant qu'on ne condamne sa maison, en novembre 2005.

Le psychologue de 59 ans se retrouvait hier devant le juge Jean Sirois pour se défendre d'une accusation de cruauté envers les animaux.


La maison dans laquelle les animaux ont été retrouvés avait été transformée en véritable chenil et était dans un tel état d'insalubrité que la Ville de Blainville a choisi de la démolir.


D'ailleurs, hier, l'inspecteur en bâtiment de la ville, M. Normand Racine, a dit qu'il avait fallu placer les objets retrouvés sur place dans un conteneur de 40 verges cubes.


Des négligés


«Ça dégageait une odeur intolérable», a-t-il dit au juge en expliquant qu'il avait eu l'impression que Laporte n'habitait pas l'endroit.


Pourtant, ce n'était pas le cas. Mais Laporte, lors de son témoignage, a expliqué qu'il n'avait pas le temps de faire le ménage.


«Ma priorité, c'était de nourrir les chiens.» Et aussi de faire leur toilette, dit-il, tout en mentionnant qu'il pouvait faire un toilettage par semaine. Mais comme il avait 97 chiens, ça explique que certains avaient l'air «négligé» lors de la perquisition policière.


Croissance incontrôlée


Le problème, a-t-il encore expliqué, c'est qu'il n'a pas réussi, au fil des ans, à vendre suffisamment de chiots, ce que les gens recherchent le plus.


Alors, le nombre de chiens s'est mis à croître. Et à croître. À tel point qu'il leur consacrait dix-huit heures par jour et qu'il a emprunté 32 000 $ à sa soeur pour les nourrir, se nourrir, payer une partie de son hypothèque et les factures d'électricité.


«Je n'arrivais pas à faire tout l'ouvrage nécessaire.»


Pourquoi ne pas avoir envisagé l'euthanasie, lui a demandé le tribunal.


«Ils avaient tous un nom et une personnalité propre», de dire l'accusé, qui soutient que dans les circonstances, il a fait «un choix raisonnable».
http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/10/20071005-084300.html

Imaginez-vous qu'il commence à faire pitié aux yeux de la population, ça fait dur comme peuple Thumb down

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Chenil de l'horreur: le verdict attendu à la fin novembre
Le 5 octobre 2007 - 17:24 | Presse Canadienne

Marc-André Laporte, l'ex-propriétaire de ce que l'on a appelé le Chenil de l'horreur, à Blainville, dans les Laurentides, connaîtra le verdict du tribunal le 27 novembre prochain. Son procès s'est terminé, vendredi matin, au palais de justice de Saint-Jérome.

L'homme de 59 ans fait face à deux chefs d'accusation de cruauté envers les animaux. Il est passible de six mois d'emprisonnement et d'amendes de 2000 $ par chef d'accusation.

L'avocat de la défense a plaidé que son client n'avait pas d'intention criminelle au moment où il a posé les gestes qu'on lui reproche. Selon Me Claude F. Archambault, M. Laporte devrait être acquitté puisqu'il aimait vraiment ses chiens, et que c'est pour cette raison qu'il était incapable de s'en départir et de les faire euthanasier. MadMadMad

La Couronne estime, qu'au contraire, l'accusé savait ce qu'il faisait et qu'il devrait être reconnu coupable par le juge Jean Sirois de la Cour du Québec.

Le 10 novembre 2005, les policiers avaient fait une perquisition dans la résidence de Marc-André Laporte où étaientt entassés une centaine de chiens dans des conditions d'hygiène exécrables. Depuis ce temps, les lieux ont été détruits.

Une vingtaine de chiens ont dû être euthanasiés et une soixantaine ont été adoptés. M. Laporte refuse de se départir d'une vingtaine de chiens qui sont actuellement en famille d'accueil.
http://www.matin.qc.ca/articles/20071005172409/chenil_lhorreur_verdict_attendu_fin_novembre.html

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Barnoti a dit aux nouvelles hier soir, que «si ce propriétaire aimait ses chiens», le mot «amour» devrait être revu dans le dictionnaire »

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Du jamais-vu
Pierre Richard
Le Journal de Montréal
06/10/2007 14h22

SAINT-JÉRÔME | Si Marc-André Laporte, ce propriétaire d'un chenil pourri de Blainville fermé en 2005, est acquitté, la SPCA n'a plus qu'à fermer ses portes puisqu'elle n'aura plus aucune raison d'exister.

C'est ce que le directeur général de la SPCA, M. Pierre Barnoti, a déclaré hier au terme du procès de Laporte. Ce dernier, qui a fait des études en psychologie mais qui n'a jamais exercé, vivait avec 97 fox-terriers dans sa maison de Blainville quand les policiers ont fait irruption dans sa résidence, le 10 novembre 2005.


Certains chiens étaient tellement en mauvais état qu'ils avaient peine à marcher, leur pelage étant «cotonné» par leur urine et leurs excréments. Les policiers, pour procéder à la perquisition, ont dû se munir de masques au charbon tellement les odeurs dans la maison étaient insupportables.


La maison de Laporte a ensuite été démolie, la Ville la jugeant trop insalubre.


«Laporte affirme que ses chiens étaient bien nourris! Pourtant, certains d'entre eux ont perdu les deux tiers de leur poids après avoir été simplement rasés», disait hier le directeur général de la SPCA.


Selon lui, il faut que Laporte soit reconnu coupable, d'autant plus que les sanctions, pour ce type de maltraitance, sont ridicules. «Ça fait cent ans que les sentences n'ont pas été modifiées. Il est passible d'une amende de 2000$ ou de six mois de prison. S'il doit être acquitté, on devra fermer les portes. Nous n'aurons plus aucune raison d'exister!»


Hier, l'avocate du ministère public, Me Caroline Lafleur, faisait valoir qu'il était manifeste que Laporte, malgré «l'amour» qu'il vouait à ses chiens, n'a pas su leur prodiguer les soins nécessaires et qu'il doit donc être déclaré coupable.


En défense, les avocats Claude F. Archambault et Luc Simard faisaient valoir que leur client devait être acquitté d'avoir «volontairement» fait du mal à des animaux. Or, soutenaient-ils, Laporte a simplement été débordé par le nombre d'animaux qu'il possédait et par son incapacité sentimentale à se défaire d'une partie de la meute.


* * *

D'autres histoires d'horreur ¸

Février 2007: La SPCA intervient chez un résidant du Vieux- Montréal qui garde des chats morts dans son réfrigérateur, à côté d'un bol de salade de pommes de terre, et qui néglige ses chats vivants.

Janvier 2007: Perquisition à Saint-Mathieu dans un chenil où des chiens rachitiques sont abandonnés dans une écurie ou laissés dehors dans des barils en plastique.

Mars 2005: Sauvetage de 23 chiens élevés sous une maison mobile de La Plaine. La puanteur y est si forte qu'elle brûle les yeux des inspecteurs.

Avril 2001: Euthanasie de 101 chiens et 51 chats du refuge Miaouf, qu'on croit malades car gardés dans des conditions insalubres à Sainte-Justine-de-Newton.

Février 1998: Découverte de 269 chiens affamés dans un chenil de Havelock, où les plus gros en sont rendus à manger les plus petits. Le propriétaire se suicide peu après.

1997: Perquisition dans une maison de Ville-Mont Royal où un résidant garde une centaine d'animaux (chats, chiens, mouettes) dans des conditions pitoyables.
http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/10/20071006-142200.html

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Chenil de l'horreur
Ils réapprennent à vivre

Vincent Larouche
Le Journal de Montréal
07/10/2007 06h46


Sassy
©️ Photo Journal de Montréal/Chantal Poirier




Encore traumatisés près de deux ans après avoir été tirés du «chenil de l’horreur», à Blainville, la centaine de chiens qui auraient vécu l’enfer aux mains de Marc-André Laporte réapprennent tranquillement à vivre, grâce aux bons soins et à l’amour de dizaines de familles d’accueil.
Le Journal a retracé cinq de ces fox-terriers qui avaient ému le Québec, en novembre 2005, lorsque la SPCA les avait tirés de l’enfer où ils étaient plongés depuis leur naissance.

Certains chiens étaient en si mauvais état après avoir été confinés à l’intérieur de la maison parmi les immondices qu’ils avaient peine à marcher. Leur pelage était «cotonné» par l’urine et les excréments.

Comme s’il était en cage

«Quand on les a rasés, ils ont perdu les deux tiers de leur poids», rappelait cette semaine le directeur de la SPCA, Pierre Barnoti, au procès de Marc-André Laporte pour cruauté envers les animaux.

Aujourd’hui, les chiens rescapés vivent dans des familles d’adoption ou des familles d’accueil temporaires, mais ils gardent encore des séquelles de leur passé.

Aveuglée par le soleil

«Cody ne peut pas monter ni descendre des escaliers, parce qu’il ne l’a pas appris quand il était jeune, raconte Eva Klima avec émotion. Parfois, s’il est nerveux, il se met à marcher en rond, comme s’il était encore en cage», dit la propriétaire et mère de famille.

«Nous l’aimons comme il est, parce que ce n’est pas de sa faute, c’est comme ça, c’est tout», ajoute-t-elle. La plupart des chiens n’étaient jamais sortis à l’extérieur avant 2005, et sortir a été un choc lors de leur adoption.

«Belle a dû tout apprendre, elle n’avait rien vu avant d’arriver ici, raconte Francine Bouchard. La lumière du jour l’aveuglait, car elle n’y était pas habituée. Elle a découvert les fleurs, les arbres, l’herbe, elle allait tout sentir lorsqu’on l’a emmenée dehors.»

Charlie, le chien recueilli par Melissa Malkin, est enjoué et amical, mais il refuse toujours de baisser la tête devant les autres chiens, même les plus forts. «Au parc de chiens, il a même tenu tête à un bull-terrier, raconte la propriétaire. Il agit comme ça parce qu’au chenil où il a grandi, s’il s’était soumis aux autres, il serait devenu leur lunch.»

­ Le procès de Marc-André Laporte, l’ex-propriétaire du «chenil de l’horreur» a pris fin vendredi, au Palais de justice de Saint-Jérôme. L’homme de 54 ans est accusé de cruauté envers les animaux. On connaîtra le verdict le 27 novembre.
http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/10/20071007-064624.html

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J'espère qu'il soit reconnu coupable pour tout le mal qu'il a commis a ces animaux, il mériterait le même sort, je ne peux pas croire qu'il pourrait s,en sortir il ne faut pas qu'il s,en sorte, j,espère qu'il aura un juge qui lui fera payer ces crimes.

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