Caro18 0 Posté(e) le 21 octobre 2007 Les homards en pincent pour la mort douce Pour les spectateurs, invités à constater la différence entre une mort humaine et une mort cruelle, l'expérience tenait plutôt du choix entre la chaise électrique et l'huile bouillante. On ne saura jamais ce qu'en ont pensé Lucy et Larry. Les deux homards américains choisis pour démontrer que les crustacés peuvent bénéficier d'une fin plus douce ne sont plus là pour donner leur avis. Pour les restaurants et les supermarchés Pour les industries A en croire les inventeurs du Crustastun - http://crustastun.com/ une sorte de four à micro-ondes conçu pour rendre les animaux inconscients avant la cuisson -, Larry n'a rien senti. Lucy, elle, a été plongée vivante dans de l'eau bouillante salée. Elle a été la première à trépasser. Quand le Dr Dave Robb, de l'université de Bristol, l'a plongée dans une casserole d'eau frémissante, elle s'est tortillée et a remué les pattes pendant environ trente secondes, avant de se raidir et de prendre une appétissante couleur vermillon. Le Dr Robb a alors placé Larry dans le Crustastun sur une couche de mousse synthétique humide. Il a fermé la porte et actionné un levier. Le homard s'est retrouvé pris dans un filet métallique électrifié. Le Dr Robb a appuyé sur le bouton "stun" ["assommer"]. Le corps de Larry, traversé pendant cinq secondes par un courant de 110 volts, s'est agité violemment. Le homard, groggy, a été sorti de l'appareil et mis à la casserole. Bien qu'assommé, Larry se tortilla et fut saisi d'un violent spasme au niveau de la queue, avant de succomber. Les convulsions de Lucy étaient dues à la douleur et au stress ; les mouvements de Larry, eux, étaient probablement de nature réflexe, a expliqué le Dr Robb. Charlotte et Simon Buckhaven, un couple d'avocats de Studham, dans le Bedfordshire, ont investi plus de 35 000 livres [environ 350 000 FF] dans ce projet. Ils ont cessé de manger du homard il y a vingt ans, quand ils ont réalisé que les pauvres créatures étaient jetées vivantes dans l'eau bouillante. Au départ, ils pensèrent pouvoir résoudre le problème en leur plaçant deux électrodes dans les oreilles et en envoyant une décharge suffisante pour les insensibiliser. Mais ils eurent tôt fait de déchanter : les homards n'ont pas d'oreilles. Il fallait donc trouver une autre solution. "J'ai travaillé aux cuisines d'un hôtel il y a des années, raconte Charlotte. Je voyais ces pauvres créatures jetées dans l'eau bouillante et je les entendais crier. On a beau dire que c'est le bruit de l'air qui s'en échappe, je n'ai jamais pu oublier." Le couple a entrepris sa croisade il y a trois ans. Les Buckhaven ont fait appel au Dr Robb, dont les études affirment que les crustacés manifestent pour le moins des "réactions d'aversion" aux méthodes traditionnelles de cuisson. D'après leurs recherches, un homard plongé directement dans l'eau bouillante met quarante secondes à mourir - quarante secondes de souffrance. Placé dans de l'eau froide portée à ébullition, il peut mettre jusqu'à cinq minutes à trépasser. Et la méthode industrielle, qui consiste à les immerger dans de l'eau douce, peut prendre jusqu'à deux heures. "Comme les homards ne sont pas de très bons conducteurs, on utilise des courants de 3 à 5 ampères - de quoi assommer un rhinocéros, explique le Dr Robb. Mais la carapace et les pattes restent intactes : la chair n'est pas altérée et, les marques disparaissent au cours de la cuisson." http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=36133 The Crustastun - World's first Humane Electronic Crustacean Stunner http://www.crustastun.com/science.html The lobster electrocuter is known as the CrustaStun. It has been designed to be used in a restaurant environment as it conforms to the highest standards. CrustaStun is so easy to use that even untrained staff can use it! The reason why I like the idea of this is that I don’t like to think lobsters are boiled alive or are killed in any other inhumane fashion. As this machine is set to produce instant anaesthesia and will kill within 5 seconds, 10 seconds for lobsters and crayfish. I know it will die an instant death. It conforms to the standards of humane killing and acceptable to the general public. Until now, sea creatures like the lobster have either been drowned in fresh water before cooking or stabbed to death. This sounds like a pretty messy method for sea food lovers. Another method is to put a lobster in a bag and keep it in the freezer for about 2 hours. They say the lobster loses consciousness and dies. But why bother waiting 2 hours when it can be done in seconds. All that you have to do is place the lobster on a steel plate which is resting in a shallow pool of a sea-water concentrate(brine) and then close the lid. For safety reasons, there are specifically designed safety inter-locks. Simply press the button and the device will send an electric current through the lobster. CrustaStun is a fast and efficient was of killing a lobster and as it reduces the stress that the animals goes through, the quality of the meat in terms of texture and flavour will be improved. You never know, you could come back in the next life as a lobster - use CrustaStun. Available from and more info at crustastun http://www.coolest-gadgets.com/20060607/crustastun-lobster-killer/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Valou011 0 Posté(e) le 22 octobre 2007 http://www.metro.ca/print.jsp?page=/conseil-expert/poissonnier/etal-poissonnier/fruits-mer/homard.fr.html?printsend=yes&title=Homard Votre expert poissonnier METRO vous propose le homard vivant ou cuit, frais ou surgelé. Le homard se mange chaud ou froid mais toujours préalablement cuit. La façon la plus classique de faire cuire le homard est de l’immerger dans l’eau bouillante salée à raison d’une poignée de sel par litre d’eau. On calcule 10 minutes pour le premier 500 grammes en ajoutant une minute par 125 grammes additionnels. On plonge le homard tête première dans l’eau bouillante, puis on l’immerge. On commence à calculer le temps de cuisson à partir du moment où l’eau bout à nouveau. Fait intéressant et qui peut aider à consoler les coeurs tendres qui craignent pour les pauvres crustacés que l’on plonge vivants dans l’eau bouillante, une étude récente menée à l’École norvégienne de science vétérinaire à Oslo a prouvé que le système nerveux et le cerveau des homards sont trop peu développés pour pouvoir transmettre des signaux associés à la douleur. Il n’y a donc plus aucune raison de se priver de ce délice ! Incroyable ce qu'on peut faire dire à une étude... Pourquoi le homard n'aurait-il pas un système de défense, comme tout autre être vivant, lui permettant de ressentir la peur et la douleur afin d'enclencher le réflexe de fuite pour préserver sa survie ??? Un met de snobs, en plus, totalement ridicule. La banalisation de la cruauté envers les animaux atteint présentement des sommets... Et dire qu'au lieu de bannnir tout simplement ce mets inutile et cruel, ils inventent d'autres outils de mise à mort, s'imaginant qu'ainsi ils souffrent moins, comme si on pouvaiit leur demander leur avis !!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Caro18 0 Posté(e) le 22 octobre 2007 Homards ébouillantés Les homards peuvent vivre plus d’un siècle et ont une vie sociale complexe. Leur système nerveux sophistiqué les rend sensibles à la douleur : les nœuds neuraux sont dispersés sur tout le corps et ne sont pas centralisés dans le cerveau, ce qui signifie qu’ils sont condamnés à souffrir jusqu’à ce que leur système nerveux soit complètement détruit. Séparer la moelle épinière et le cerveau en coupant l’animal en deux fait même sentir la douleur à chacune des parties encore vivante ! De plus, le homard ne dispose pas du mécanisme dont disposent par contre les humains (entre autres), qui fait qu’en cas de douleur extrême, le choc intervient pour court-circuiter la sensation. Or, d’après le Dr Robb, de l’Université de Bristol, un homard plongé directement dans l’eau bouillante reste vivant quelques quarante secondes - quarante secondes de souffrance. Placé dans de l’eau froide portée à ébullition, il peut survivre pendant cinq minutes. Tué par la méthode industrielle qui consiste à l’immerger tout simplement dans de l’eau douce, il agonise pendant deux heures... De leur capture jusqu’à la fin de leurs misères, ils doivent aussi endurer une privation quasi totale de mouvements pendant des semaines dans de minuscules cages métalliques dans les entrepots, dans les aeroports, puis dans les chambres frigorifiques, puis dans les aquariums, les grands magasins et les restaurants. Par facilité, mais aussi pour éviter qu’ils ne salissent leur cage de leurs déjections, on les laisse jeûner pendant tout ce temps ; pour cette raison, de crainte que, affamés, ils ne s’en prennent les uns aux autres, on les laisse tout ce temps avec les pinces liées avec un ruban adhésif. Plus de 80 millions de homards vivent ce calvaire chaque année de par le monde. Source: (infos Gaïa, et S. O’Neil, Courrier international, n°474, et C. Gericke, Tierrechte n°22, nov. 2002) http://www.vegetarisme.fr/Articles/index.php?p=JournalAV/HomardsEbouillantes.html Scientific Review Proves That Lobsters Feel Pain http://www.lobsterlib.com/lobstersfeelpain.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Caro18 0 Posté(e) le 13 novembre 2007 Le samedi 10 novembre 2007 Les homards sentiraient la douleur La Presse Pince alors! Les homards ressentent la douleur, après tout! Une nouvelle étude menée par des chercheurs irlandais vient de contredire les recherches précédentes, qui concluaient que ces crustacés n'ont pas un cerveau assez développé pour souffrir lorsqu'on les plonge dans l'eau bouillante. Expert en comportement animal à l'Université Queen's, à Belfast, Robert Elwood a enduit d'acide acétique de vinaigre les antennes de 144 homards. Les bêtes ont aussitôt réagi en frottant les membres touchés, ne portant aucune attention à ceux qui étaient restés au sec. Le professeur estime que ce comportement est «conforme à une expérience de douleur». Il conclut que le homard, le crabe et tous les crustacés sont donc sensibles. La recherche contredit celle qu'a menée une équipe de chercheurs norvégiens, il y a deux ans. Leur conclusion était simple: pas de cerveau, pas de douleur. Puisque le cerveau d'un homard est à peu près de la même taille de celui d'une sauterelle, les chercheurs estimaient que l'animal n'a tout simplement pas la capacité cérébrale de souffrir, et ce, même s'il a le réflexe de se débattre lorsqu'il est plongé dans l'eau bouillante. Pas concluant Cette nouvelle étude est donc accueillie avec scepticisme. Joint au Maine, où la pêche au homard est une industrie florissante, le professeur Michael Loughlin juge ces conclusions «intéressantes», mais peu concluantes. «Comparons la situation à celle d'un être humain, explique-t-il. Si l'on vous verse une tasse de vinaigre sur la main, vous voudrez probablement l'essuyer. Vous penserez que ça sent mauvais, vous sentirez peut-être de l'irritation, mais on ne peut pas dire que vous ressentirez de la douleur.» L'étude pourrait toutefois donner de nouvelles armes aux défenseurs des droits des animaux, qui militent depuis des années contre la consommation des crustacés. Aux États-Unis, People for the Ethical Treatment of Animals (PETA) fait d'ailleurs campagne depuis des années. C'est ce qui soulève l'inquiétude des pêcheurs, qui craignent de faire l'objet de la même publicité négative que les chasseurs de phoques. «Il y a beaucoup de désinformation qui a circulé, notamment à propos de la chasse aux phoques, indique Léonard Poirier, directeur de l'Association des pêcheurs des Îles-de-la-Madeleine. On n'est pas indifférents à ce mouvement.» L'industrie se conforme à des règles strictes afin de préserver et d'augmenter les populations de crustacés dans le golfe du Saint-Laurent, fait valoir M. Poirier. De toute façon, même s'il est préoccupé par les campagnes anti-homard, il a pour le moment bien d'autres chats à fouetter. Avec l'augmentation vertigineuse du dollar canadien, les pêcheurs craignent de ne plus pouvoir exporter leurs produits. http://www.cyberpresse.ca/article/20071110/CPSCIENCES/711100542/5144/CPSCIENCES Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites