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La protection des animaux de ferme préoccupe

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La protection des animaux de ferme préoccupe
Écrit par Héloïse Roc, La Grande Époque - Paris
28-02-2008


Des personnes manifestent à l’appel d’Eurogroupe-France, devant les Invalides à Paris, contre l’élevage des poules pondeuses en batterie. (Michel Pourny/AFP)


Gandhi disait : «On peut considérer une nation et son progrès moral à la façon dont elle traite ses animaux». Les animaux d’élevage ne sont pas des machines mais des êtres sensibles, des millions de poulets par exemple sont élevés en batterie, ils souffrent de déformation des pattes ou de paralysies, etc.



En outre, constamment dérangés par leurs congénères, ils ne parviennent pas à récupérer leur énergie dans des phases de repos. Il y a quarante ans, le poulet était un mets réservé aux dimanches et aux grandes occasions. Aujourd’hui, le poulet est devenu un plat ordinaire accessible à tous, mais pour cela les animaux subissent un univers concentrationnaire, marqué par la souffrance.



VERS UN TRAVAIL INTERMINISTÉRIEL SUR LA CONDITION ANIMALE
En septembre dernier, Brigitte Bardot a rencontré le président de la République. Elle a abordé des points essentiels en matière de protection animale. Elle espère apporter des solutions concrètes. La fondation Brigitte Bardot demande à Nicolas Sarkozy la création d’un Groupe de travail interministériel sur la condition animale, piloté par le ministère de l’Agriculture, élargi à tous les ministères concernés (Ecologie, Justice, Intérieur, …). C’est ainsi que le président de la République a demandé à Michel Barnier, ministre de l’Agriculture et de la Pêche, de lancer ce travail de réflexion sur la question de la protection animale, ainsi que d’y associer l’ensemble des acteurs impliqués de la société et des pouvoirs publics. L’objectif serait d’aboutir d’ici à fin juin 2008 à un plan d’action de mesures concrètes recueillant le consensus des participants en s’inscrivant dans le cadre des engagements internationaux et communautaires. Selon le ministère, «la défense du bien-être animal constitue un enjeu majeur de notre civilisation moderne. La France doit relever ce défi, en conciliant la préservation de notre patrimoine culturel, religieux et la protection animale».


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http://www.lagrandeepoque.com/LGE/content/view/3606/104/

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