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Animal

275,000 BÉBÉS PHOQUES POURRONT ÊTRE ABATTUS !!!

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Voici le quota établi par le gouvernement canadien pour cette année: 275,000 phoques pourront être abatus - L'an dernier, 224,000 bébés phoques ont été tués.
À ce chiffre, on peut rajouter, les quelques 1 260 phoques Gris qui ont été abattus au début du mois de février en Nouvelle-Écosse


Voir une vidéo de cette chasse aux bébés phoques Gris, abattus à coups de bâtons, sur un soit disant «espace sauvage protégé»



http://www.antisealingcoalition.ca/GreySeals/slaughter_hayisland2008.php

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Canadian government calls for the killing of 275,000 harp seal pups despite dwindling markets and international outcry


Monday, March 10, 2008


(Ottawa, Canada - 10 March 2008) - Canada’s Department of Fisheries and Oceans (DFO) has once again decided to ignore scientific advice by setting the total allowable catch (TAC) for harp seals well above what the population can sustain. Conservationists around the world and experts with IFAW (International Fund for Animal Welfare – www.ifaw.org) are appalled that the Canadian government has seen fit to actually increase the quota despite scientific evidence that the population is in decline


http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=227192

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Ottawa augmente les quotas pour les chasseurs de phoques de l'Atlantique
Il y a 6 heures

ST-JEAN, T.N.L. — Les chasseurs de phoques de l'Atlantique ont vu leur total admissible des captures augmenter légèrement cette année, passant de 270 000 à 275 000.

La majorité des phoques, soit 70 pour cent, seront chassés dans un secteur situé au nord de Terre-Neuve tandis que 30 pour cent seront pris dans le golfe du Saint-Laurent.

"La chasse au phoque est un pilier économique pour de nombreuses collectivités côtières du Canada atlantique, du Québec et du Nord, a expliqué lundi le ministre des Pêches et Océans, Loyola Hearn. C'est en pensant à ces gens que nous prenons nos décisions, sur la base des données scientifiques, afin de maintenir une chasse au phoque rentable et durable."

Cette décision a suscité les critiques de groupes de défense des droits des animaux, qui se sont dits choqués de la hausse des quotas. Ces groupes ont déclaré que la chasse annuelle, qui serait la plus importante chasse aux mammifères marins au monde, est cruelle et difficile à surveiller, qu'elle détruit les troupeaux et que les revenus qu'en retirent les chasseurs sont minimes.

"Il est absolument impossible de justifier cette hausse des quotas. Ni les données scientifiques ni le marché ne la justifient, et les Canadiens ne l'accepteront pas", a déclaré Sheryl Fink, du Fonds international pour la protection des animaux.

"Ces quotas irréfléchis ne sont qu'une tentative du Canada de se soumettre à l'industrie sans se soucier des efforts de conservation", a dit Rebecca Aldworth, directrice de la section canadienne de la Humane Society of the United States.

Les chasseurs et le ministère des Pêches et Océans assurent pour leur part que la chasse est durable, humaine et bien gérée et qu'elle constitue une importante source de revenus pour les pêcheurs de l'Atlantique.

La population totale de phoques du Groenland est estimée à 5,5 millions, selon le ministère. Ottawa annoncera la date d'ouverture pour la chasse au phoque dans les prochaines semaines.
http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5jmsRhlIoxrrrnmcmP-Yyq6C8wYpQ

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10 mars 2008 15h14 HE
Le ministre Hearn annonce les mesures de gestion 2008 pour la chasse au phoque dans l'Atlantique
OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 10 mars 2008) - Le ministre des Pêches et des Océans, l'honorable Loyola Hearn, a fait l'annonce aujourd'hui du total admissible des captures (TAC) et d'autres mesures de gestion pour la chasse au phoque dans l'Atlantique en 2008.

"La chasse au phoque est un pilier économique pour de nombreuses collectivités côtières du Canada atlantique, du Québec et du Nord, a déclaré le ministre Hearn. C'est en pensant à ces gens que nous prenons nos décisions, sur la base des données scientifiques, afin de maintenir une chasse au phoque rentable et durable."

Le TAC des phoques du Groenland pour 2008 a été établi à 275 000, sur un troupeau de plus de 5,5 millions. Ce TAC d'un an inclut une allocation de 2 000 phoques pour la chasse à des fins personnelles, une autre de 4 950 bêtes pour les initiatives autochtones et un report de 16 186 individus (pour les flottilles qui n'ont pas atteint leur quota en 2007). Une fois qu'on soustrait le report, les modalités de partage existantes demeurent telles quelles, le Front recevant quelque 70 % du TAC et le Golfe, environ 30 %. Le TAC des phoques à capuchon pour 2008 a été établi à 8 200 animaux sur un troupeau de 600 000.

Le gouvernement a pris d'autres mesures pour que la chasse continue de se pratiquer sans cruauté, donnant suite ainsi aux recommandations du Groupe de travail de vétérinaires indépendants.

Le choix du ministre Hearn d'accélérer la réalisation du prochain recensement de la population de phoques illustre l'engagement du gouvernement à garantir une pêche commerciale durable. Afin que le MPO dispose de l'information scientifique la plus à jour pour sa prise de décisions, le Ministère a déjà commencé son dénombrement de la population au lieu d'attendre à 2009, comme c'était prévu au départ.

"Nos recherches sur les pêches sont parmi les meilleures du monde et, grâce aux investissements supplémentaires que consent notre gouvernement, nous pourrons faire mieux encore, a dit M. Hearn. En raccourcissant l'intervalle de temps qui sépare les recensements, nous pourrons plus facilement évaluer l'état des glaces, les taux de reproduction et d'autres facteurs qui influent sur la population canadienne de phoques du Groenland."

La chasse au phoque au Canada est une activité qui se pratique sans cruauté et de façon durable et responsable. Un certain nombre d'études indépendantes l'ont confirmé au fil des ans, y compris le récent rapport de l'Autorité européenne de sécurité des aliments sur la protection du bien-être des animaux dans la chasse au phoque mondiale.

Les dates d'ouverture pour la chasse au phoque en 2008 seront annoncées bientôt, après des consultations auprès de l'industrie.



Renseignements :

Pêches et Océans Canada, Ottawa
Phil Jenkins
Relations aux médias
613-990-7537

ou

Pêches et Océans Canada, Ottawa
Cabinet du ministre
Joshua Zanin
Adjoint spécial, Communications
613-992-3474
www.dfo-mpo.gc.ca
http://www.marketwire.com/mw/release.do?id=830624&lang=F5

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Le Canada autorise la chasse commerciale des bébés phoques du Groenland

Selon le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW), le gouvernement canadien a autorisé cette année l’abattage de 275.000 bébés phoques du Groenland alors qu’il est scientifiquement prouvé que la population de ces phoques décline, s'est indignée l'organisation le 11 mars.

L'IFAW dénonce des prises trop importantes dans le passé, la mauvaise condition de la glace et l’augmentation de la mortalité des bébés phoques. D'après Sheryl Fink, chargée de recherches auprès d'IFAW, des centaines de milliers de bébés phoques nés dans le Golfe du St. Laurent sont morts l'année dernière du fait de l'absence de glace, avant même que la chasse ne commence.

Selon l'IFAW, l’an dernier, plus de 224.000 phoques ont été chassés, dont 98,5% n’étaient que des bébés âgés de moins de trois mois.

Avec ce TAC extrêmement élevé, la population de phoques du Groenland va être confrontée à une nouvelle année de déclin, a ajouté Mme Fink.

Selon l'IFAW, l'opposition européenne à la chasse commerciale des phoques au Canada a entraîné des embargos nationaux sur tous les produits de phoque en Belgique et aux Pays-Bas, Des interdictions seraient également envisagées en Allemagne, en Italie et en Autriche.

D'après l'organisation, la demande internationale pour les fourrures de phoques a considérablement diminué et le prix des peaux a chuté de près de 50%. Toutes les preuves récentes indiquent que le marché de la fourrure de phoque est saturé. Il n’y a plus de place pour de nouvelles peaux, même à un prix réduit, a déclaré Mme Fink. Pour ces raisons, le gouvernement canadien va une fois de plus soutenir cette chasse cruelle et intolérable par des exemptions fiscales et des subventions cachées, a-t-elle ajouté.

Dans le même temps, le WWF en Allemagne a averti le 10 mars que des centaines de bébés phoques, nés ces dernières semaines, sont menacés de mourir de froid sur les côtes de la mer Baltique, en raison du réchauffement climatique.

Selon le WWF, quelque 7.000 à 10.000 phoques annelés vivent sur les côtes de la Baltique et ont mis au monde ces dernières semaines 1.500 bébés. En raison de la fonte trop rapide des glaces cette année due au réchauffement climatique, les phoques ne peuvent pas enfouir leurs bébés dans des nids de glace, explique Cathrin Münster du WWF.

D'après le WWF, d'après des experts, les glaces, cet hiver, n'ont jamais été si peu importantes en Mer Baltique que depuis presque 300 ans. Les bébés phoques annelés les plus touchés sont ceux de la côte sud-ouest de la Finlande, du Golfe de Finlande et du Golfe de Riga, a souligné l'organisation écologiste.

R. BOUGHRIET
http://www.actu-environnement.com/ae/news/canada_chasse_bebes_phoques_groenland_changement_climat_baltique_4677.php4

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Le Canada augmente le quota autorisé pour la chasse aux phoques

Au Canada, 275 000 phoques pourront être abattus en 2008, conformément à une nouvelle autorisation annoncée, lundi, par le ministère des pêches, une décision qui suscite de vives protestations des organisations de défense des animaux.

Le gouvernement a ainsi décidé d'élever de 5 000 le "total admissible de captures des phoques du Groenland", qui était de 270 000 en 2007,"sur un troupeau de plus de 5,5 millions", d'après un communiqué du ministre de la pêche canadien, Loyola Hearn.

Le ministre justifie sa démarche en arguant que" la chasse au phoque est un pilier économique pour de nombreuses collectivités côtières du Canada atlantique, du Québec et du Nord", et assure avoir pris cette décision "sur la base des données scientifiques, afin de maintenir une chasse au phoque rentable et durable." Il promet, par ailleurs, l'application des recommandations d'un groupe international de vétérinaires, qui préconisent une "méthode d'abattage sans cruauté en trois étapes". Celle-ci prévoit qu'après avoir assommé le phoque, le chasseur contrôle sa perte de conscience en palpant le crâne et, enfin, saigne l'animal en tranchant deux artères principales.

UN "MASSACRE INUTILE"

Des organisations de défense des animaux, notamment la Humane Society des États-unis et du Canada, http://www.hsus.org/press_and_publications/press_releases/seal_quota_fails_to_protect_seals_031008.html ont aussitôt dénoncé ce quota jugé "déraisonnable", reprochant à Ottawa de "céder aux intérêts commerciaux, sans le moindre souci de conservation" de l'espèce.

L'organisation stigmatise un quota actuel supérieur au nombre de phoques tués il y a cinquante ans sur une population réduite de près de deux tiers. Elle rapelle, en outre, que des scientifiques indépendants ont dénoncé les dangers que la chasse au phoque fait peser sur la survie d'une éspèce déjà menacée par le réchauffement climatique. En 2007, des centaines de milliers de bébés phoques sont, http://www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/03/10/les-bebes-phoques-de-la-mer-baltique-victimes-du-rechauffement-climatique_1021307_3244.html#ens_id=853716 en effet, morts avant même l'ouverture de la chasse à cause de la fonte des glaces.

Le ministre Hearn doit annoncer prochainement les dates d'ouverture de la chasse. Celle-ci commence traditionnellement à la fin mars dans le sud du Golfe du Saint-Laurent et se poursuit en avril au large de Terre-Neuve et du Labrador.
http://www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/03/11/le-canada-augmente-le-quota-autorise-pour-la-chasse-aux-phoques_1021461_3244.html

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CHASSE AUX JEUNES PHOQUES GRIS QUI S'EST DÉROULÉE LE MOIS DERNIER (FÉVRIER 2008) SUR HAY ISLAND (NOUVELLE-ÉCOSSE- CANADA)
1,260 PETITES VICTIMES TUÉES À COUPS DE BÂTONS

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HORRIFIC SLAUGHTER ON HAY ISLAND 2008

Photos copyright Humane Society International Canada

Eyewitness Account to the Slaughter of Grey Seal Pups on Hay Island - February 2008

By Bridget Curran

In February 2008 I was witness to the ultimate betrayal -1,260 grey seals born and nursed on Hay island, part of the Scaterie Island protected wilderness area in the so-called care of the provincial government were bludgeoned to death with wooden bats by Nova Scotia fishermen intent on killing every seal pup they could find. This slaughter was sanctioned by the Nova Scotia government - a government that was tasked with the duty to protect them as part of the biodiversity of Hay Island. Instead, the government caved to fishing industry lobbyists' demands and cooked up a lame excuse, claiming that the seals were eating all the fish in the surrounding waters. The provincial government claimed that the cull was necessary to protect fish in surrounding waters. By the very definition of the Wilderness Areas Protection Act, "surrounding waters" do not constitute part of the protected area and consequently the fish in them cannot be considered part of the biodiversity of the protected wilderness area. Even if they were, it does not remove the fact there there is no scientific evidence that seals are responsible for the collapse of fish stocks or the failure of those stocks to rebound. It is our own destructive fishing practces that have created the crisis state of our oceans. In fact, the government has stated clearly that it does not know if slaughtering all of this year's pups born on Hay Island will have any impact on fish stocks in surrounding waters. Fishermen are inhumanely slaughtering thousands of pups as a test to see if it will affect fish stocks. This is, essentially, an experiment.

I traveled to Henry Island with powerful allies - representatives of Humane Society International and Humane Society of the United States. We reached Hay Island by zodiac inflatible. Because of wording in the Marine Mammal Regulations at that time, an observer permit was not required for a seal hunt occurring on land. When DFO stopped us enroute to Hay Island, I gave them a copy of the relevant section of the Marine Mammal Regulations with the pertinent sections highlighted. DFO officials then detained us for about an hour while they made various phone calls to confirm this. Finally, we were allowed to go and we continued to the island.

The first thing I saw when I landed on the island broke my heart. A young whitecoat pup, obviously traumatized by the horrific events unfolding around her, rolled around on the ground and cried out inconsolably. Beside her was a pail of crude wooden bats, drenched in blood. This terrified pup was crying out for help - help that would not come.

I reluctantly left her, taking comfort in the fact that at least she would be spared on this day, as it is illegal to kill whitecoats and the fishermen were after the moulted pups, as their coats had the highest value. As we continued up over the ridge, I stopped in shock, unable to comprehend immediately the horror unfolding before my eyes.

The seals had been herded together for the fishermen's ease of killing. Moulted pups were mixed in with newborn whitecoats and adult females trying to protect their babies. As I watched in horror, this sea of petrified seals, eyes bulging and mouths open in cries of fear, swelled toward me. The seals were trying to flee in our direction and it seemed as if they were running to us for protection. There was nothing I could do for them, beyond documenting their death to show to others the horrors of commercial seal hunting and the many reasons why it must be ended.

The sealers moved among the sea of fleeing seals, bashing their skulls with wooden bats, flipping them over and slicing them open from chin to rear flippers with box cutters or knives, then flipping them over again to let their blood flow onto the ground, turning Hay Island into a river of blood. Seals were being bludgeoned and butchered mere inches from each other, adding to their panic.

As the sealers continued their grisly work, they discussed where they were going for a beer that night and joked about the carnage and terror they were causing, calling out "Uh oh, here comes Batman! Hardeeharhar!!" (referring to the wooden bats they were using to bludgeon the helpless pups) and urging each other to hit the pups hard, shouting, "Give 'er, buddy, give 'er!". One such sick joke was caught on camera. A fisherman, approaching a terrified pup, said, "Come here, little buddy, I have something for you!" and then bludgeoned the pup with his bat. Their cruel laughter mingled with the frightened cries of seals and the sickening impact of wood on skull. I will never forget those sounds as long as I live, and I will always wonder exactly what sort of person can find such mirth and amusement from causing such terror and agony to another sentient being.

As I watched, the sea of seals trickled to a few, and then none. All dead.

Dead pups, sliced open and blood still trickling onto the ground, were pierced with gaffs and dragged past live moulted pups still trying to escape as well as traumatized whitecoats, on their way to the dumping ground where hundreds of dead seals lay, awaiting transfer by winch to the boat sitting offshore. I learned later that the carcasses were taken to Main-A-Dieu where they were skinned the next day.

These beautiful pups had on the previous day lazed on the wind-swept island with their nursery mates, calling out to each other with grunts and wheezes, scratching their sides lazily with their flippers, and rolling around on the ground to scratch an itch as their fluffy white coat slipped off. Today they lay together, eyes dull, heads and faces encrusted with blood, their bodies sliced open, exposed to the sun, flippers appearing to be clenched tight to their bodies as a reminder of the fear and agony that were their last sensations on what used to be their island; their sanctuary.

I made them a silent promise that their deaths will go unnoticed, as have the deaths of thousands of grey seal pups in years past in this province. This year is different. This year the slaughter of grey seal pups by greedy Nova Scotian fishermen will not be hushed up or conducted in secret. This year it has been documented and will be shown to the world.

The Canadian government has made a grave error in allowing this slaughter to occur in a protected wilderness area. By allowing this to happen, it has shone a spotlight on the cruel practices used in Nova Scotia to slaughter grey seals under the guise of "cull", "commercial fishery" or "nuisance seal fishery". While the Canadian government makes representations that it is committed to a "humane and responsible hunt", we have gruesome footage that belies those claims. No one in their right state of mind could watch footage of terrified seal pups being herded together, bludgeoned with crude wooden bats and sliced open with box cutters mere inches from each other while adult females try to protect their babies, and proclaim it to be a "humane and responsible hunt". But then, the government didn't think anyone would be watching. DFO ignored my repeated phone messages requesting information on start dates and locations for the grey seal hunts and the Nova Scotian government made the announcement regarding Hay Island only the day before the hunt began, thinking that no one would take notice and certainly would not have time to act. Well, they were wrong. Someone did take notice, and someone did act. Atlantic Canadian Anti-Sealing Coalition took notice and acted. Humane Society International Canada took notice and acted. Humane Society of the United States took notice and acted. And now Europe will take notice and will act. Yes, DFO is going to regret this lapse of judgment. Of that, I am certain.

http://www.antisealingcoalition.ca/GreySeals/slaughter_hayisland2008.php

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