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Animal

Abattage de chevaux en Australie

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http://www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/03/13/dans-le-queen\
sland-australien-on-acheve-mal-les-chevaux-sauvages_1022416_3244.html?xtor=RSS-3\
244

13 mars 2008
(à placer dans section Bulletin...)

En Australie, les chevaux sauvages sont indésirables. Ces animaux,
introduits sur le continent à la fin du XVIIIe siècle, sont rapidement
devenus très nombreux. Dans le seul Queensland, ils pourraient même être
de 40 000 à 100 000. Cet état du nord-est du pays a donc lancé, en
automne 2007, la première phase d'un programme visant à contrôler une
population, jugée nuisible, dans les parcs nationaux. Un millier de
chevaux ont été tués dans le parc national de Carnarvon, et 10 000
autres seraient menacés ces prochaines années, selon des associations de
défense des animaux.

Pour les autorités du Queensland, ces chevaux sauvages - les brumbies -
représentent une menace pour les autres espèces animales, rivalisant
avec elles dans leur quête de nourriture. Comme les cochons ou les
chèvres, les brumbies sont accusés de détériorer les sols et de détruire
l'habitat de la faune locale. "Il ne s'agit pas d'éradiquer les chevaux
sauvages, mais de s'assurer que la population est maintenue à un niveau
raisonnable pour le bien-être des chevaux et celui de la faune du parc",
a commenté Andrew McNamara, ministre du développement durable de l'Etat
du Queensland.

Le problème n'est pas nouveau : on estime que l'Australie pourrait
compter plus de 300 000 chevaux sauvages. En Nouvelle-Galles du Sud, des
mesures ont donc également été prises pour limiter le nombre de brumbies
dans le parc national de Kosciuszko. Mais au Queensland, c'est la
méthode utilisée qui suscite la polémique. Car les chevaux ont été
abattus par des tireurs depuis des hélicoptères. Une pratique barbare,
pour l'association Save the Brumbies. "Souvent les tirs ne sont pas
précis et certains animaux agonisent durant des heures. Parfois, les
juments sont tuées et les poulains se retrouvent seuls, condamnés à
mourir de faim", proteste Jan Carter, porte-parole de l'association. Sur
son site Internet, Save the Brumbies affiche des clichés d'animaux
abattus et encourage l'adoption des chevaux.

STÉRILISER LES JUMENTS

Du côté des autorités, on affirme avoir choisi la méthode la mieux
adaptée. Une position appuyée par la RSPCA, la société australienne de
protection des animaux : "Comme le terrain est très difficile d'accès,
c'est encore la solution la meilleure pour les animaux", confirme
Michael Beatty, porte-parole de la RSCPA du Queensland.

La RSCPA réclame cependant que le gouvernement mette en place un
programme de stérilisation, une méthode déjà utilisée aux Etats-Unis.
"Il faudra faire des injections aux juments. Sur le long terme, ce sera
moins coûteux et plus humain", plaide M. Beatty. "Cela aurait dû être
fait avant que le nombre de chevaux croisse à ce point", regrette Mme
Carter, dont l'association milite pour l'interdiction à l'échelle
fédérale de l'abattage depuis des hélicoptères. L'Etat du Queensland
reconnaît envisager d'autres méthodes pour contrôler le nombre de brumbies.
Marie-Morgane Le Moël

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pour le bulletin

March 13, 2008

Archangel bloody seal pup cull halted

The blood of baby seals stains the snow red during the traditional
cull in the Archangel region of northern Russia each March. But the
slaughter of thousands of seals, many only a few days old, has been
halted this year amid protests by celebrities and environmental
groups, and calls for hunting to be outlawed.

Officials in Archangel insisted that the cull had been cancelled to
protect the hunters, not the seals, because ice sheets close to the
White Sea were too thin to walk on.

The decision, however, came at a time of heightened protests by
animal rights groups. Russian television broadcast a demonstration in
Archangel by a group of celebrities and prominent journalists against
the practice.

Hunters were shown clubbing baby seals with ice picks, leaving them
to bleed to death before they were skinned for their white fur. One
report showed a seal struggling for life in icy water surrounded by
its own blood.

Related Links
No wonder they like Putin
Shooting of pregnant seals sparks outrage
"They are very much like human babies - they cry and call for their
mum the same way," one protester, Laima Vaikule, a Latvian pop
singer, said. Viktor Gusev, a sports commentator who was also
protesting, said: "I am sure that there is need for a serious draft
law to put an end to those killings."

About 335,000 people have signed a petition against the hunting of
baby seals, according to Oleg Mitvol, the powerful deputy chief of
the Russian environmental monitoring agency. It noted that the
killing of the youngest seals, known as whitecoats, "is authorised
only in Russia".

Annual quotas allow up to 35,000 baby seals to be killed in the White
Sea during ten days in March, according to the State Committee for
Fisheries. Sergei Tarasov, deputy chief of the regional committee in
Archangel, told The Times: "If the ice was harder then of course
there would be a hunt, but the ice is too weak and it's too dangerous
for people. I myself went out in a helicopter to check it."

But a spokeswoman for Nikolai Kiselyov, the Governor of Archangel,
said that the regional administration was seeking to end the cull.
She said: "We have asked the state committee to work on legislation
to ban this trade for humanitarian reasons." The ban has angered
local villagers, or Pomors, who claim that the trade is vital to
their survival. Pavel Osipov, the leader of one community, said that
it posed "a serious threat to the centuries-old Pomor fishing
tradition".

Fur coats remain de rigueur for most Russian women and there is no
stigma attached to wearing one. Environmental activism is in its
infancy, although public outrage at the risk of pollution from a
planned oil pipeline within 800 metres of Lake Baikal prompted
President Putin to order last-minute changes to the route in 2006.

Mr Putin vetoed legislation in 2000 that would have banned seal
hunting despite a 273-1 vote in favour in parliament. Russia has a
strong tradition of hunting for sport and attempts to curb it would
be politically unpopular.

http://www.timesonline.co.uk/tol/news/environment/article3542189.ece

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bulletin

En moins de deux ans, l'éradication du Rat du Pacifique (Rattus exulans), par un poison sélectif, est constatée sur la petite île de Vatuira, dans l'archipel fidjien. Cette espèce introduite semblait sévèrement menacer les espèces d'oiseaux nichant au sol, dont l'importante colonie (28 000 couples) de Noddi noir, Anous minutus.

Dans cette région du Pacifique tropical, 7 des 19 espèces d'oiseaux marins de la région nichent sur Vatuira.

Depuis l'éradication du rat, la Sterne bridée, Sterna anaethetus, et la Sterne diamant, Sterna sumatrana, ont été vues élevant des poussins.

L'opération "île-sans-rats" devrait s'étendre sur d'autres îles ...

www.birdlife.org/news/news/2008/02/Vatuira_Fiji_rat_free_island.html

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