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Caro18

Les écoterroristes: des impatients marginaux et anti-humanis

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Les écoterroristes: des impatients marginaux et anti-humanistes Mad

Québec -- Les propos du fondateur de la Sea Shepherd Society, Paul Watson, selon qui la vie des phoques aurait plus de valeur que celle des pêcheurs des îles de la Madeleine, ont braqué les projecteurs sur des marges relativement peu connues du mouvement vert. Ces franges sont constituées d'«impatients» qui ne font pas que discuter de la possibilité, un jour, d'instaurer une société verte autoritaire ou démocratique mais qui optent pour l'action directe.

«La mort de quatre chasseurs est une tragédie, mais le massacre de centaines de milliers de bébés phoques est beaucoup plus grave», ont affirmé ceux qui tentent par tous les moyens d'entraver la chasse aux phoques ou la pêche à la morue, notamment.

Il y a de ces impatients dans toutes les mouvances, «qu'elles soient nationalistes, indépendantistes, d'extrême gauche», dit l'écologiste Steven Guilbeault. Mais au sein du mouvement écologiste, «celle-ci est extrêmement marginale», insiste-t-il. En fait, nombreux sont ceux qui refusent de les qualifier d'écologistes et qui préfèrent le terme «animalistes» pour les désigner, à l'instar de notre collègue Louis-Gilles Francoeur. Le journaliste souligne qu'aucun groupe écologiste au Canada ne reconnaît la Sea Shepherd Society comme faisant partie du mouvement. «M. Watson se présente souvent comme un fondateur de Greenpeace. Il omet toujours de dire qu'il s'est fait montrer la porte», insiste M. Guilbeault.

Hubert Reeves n'hésite pas lui non plus à dénoncer Watson et à y voir les errements d'une écologie profonde (deep ecology). Il y a certes quelque chose à dire contre la cruauté envers les animaux dans les abattoirs ou dans la pratique de la chasse, mais cette façon d'intervenir est «ridicule» et totalement «improductive», à ses yeux.

D'autres groupes, comme l'Earth Liberation Front, font dans l'action directe verte. Début mars, trois grandes maisons ont été brûlées en banlieue de Seattle. Sur les lieux, les policiers ont trouvé une affiche disant que ces demeures n'étaient pas «vertes», contrairement à ce que le promoteur affirmait. Elle était signée par l'ELF.

Le philosophe américain de l'écologie sociale Murray Bookchin voyait dans ce type d'intervention une écologie «anti-humaniste» qui se trompait sur la cause de la crise environnementale. Il condamnait d'ailleurs les membres d'Earth First, spécialistes du monkeywrenching, une forme de sabotage destinée à nuire aux industries forestières, notamment. Il leur reprochait de lancer l'incroyable slogan «Down with human beings!» («À bas les êtres humains») lors de leurs rassemblements. Dans Une société à refaire (Écosociété), Bookchin raconte avoir été insulté lors d'une exposition sur l'environnement, dans les années 80: au-dessus d'un grand miroir, on avait écrit: «Voilà la cause des problèmes environnementaux». Cette façon de montrer du doigt les êtres humains faisait l'impasse, selon lui, sur les causes sociales et politiques de ces mêmes problèmes.


Vos réactions Mad
http://www.ledevoir.com/2008/04/12/184768.html

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À lire les articles et les commentaires c'est à se demander si les défenseurs des animaux ( ne sont en réalité) qu'une petite poignée de rien au Québec, zut c'est toujours les mêmes qui interviennent, où est la relève SadCrying or Very sadohnon

Ce n'est pas très très encourageant pour l'avenir, c'est de pire en pire, le silence des opposants me fait terriblement peur affraid car les pro-chasses se croiront en "contrôle" et en "majorité" et comme on le sait, les gens sont des suiveurs... des moutons! briques

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À la dernière manif contre le S-203, il y avait environ une centaine de personnes (dont plusieurs portaient des cols en peaux de chien )...
C'est donc pas demain la veille qu'on aura des centaines de personnes pour défendre les autres animaux Rolling Eyes

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Animal a écrit:
À la dernière manif contre le S-203, il y avait environ une centaine de personnes (dont plusieurs portaient des cols en peaux de chien )...
C'est donc pas demain la veille qu'on aura des centaines de personnes pour défendre les autres animaux Rolling Eyes


Oui, j'ai pu voir sur les photos Sad Aux manifs il va falloir apporter dès maintenant des dépliants pour informer les manifestants! Rolling Eyes
ohnon

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Citation :
«M. Watson se présente souvent comme un fondateur de Greenpeace. Il omet toujours de dire qu'il s'est fait montrer la porte», insiste M. Guilbeault.


Je crois que l'histoire est plus complexe que ça... ! Rolling Eyes

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Vos réactions

Les gentils méchants.

Envoyé Le samedi 12 avril 2008 19:00



Mes amis du Devoir n'hésitent pas à en remettre une couche sur le dos des défenseurs des ami(e)s des animaux. Terroristes, impatients, anti-humains, végétariens enragés, fascistes animalistes. Merci, merci, merci d'autant de grâce. Notons ici que le terme « animaliste » se veut péjoratif, à l'inverse du mot humaniste qui résonne bien et dont ces gens, qui nous conspuent, se gargarisent jusqu'à l'étouffement. Ah non, l'on ne tarit pas d'éloges à l'égard de Watson et des plus radicaux du mouvement de libération des animaux. Libération des animaux, je répète l'expression car il semble que les journalistes de la pensée dominante se trouvent dans l'impossibilité de rappeler les motifs pour lesquels des individus deviennent des militants au nom des animaux.

Certains de nous écrivent à nos vains politiciens qui viennent justement de réaffirmer leur nullité en votant la loi S-203, offrant ainsi aucune autre protection aux animaux de ce beau pays. À noter que le NDP et quelques libéraux auront voté contre, mais passons. D'autres, osant braver la bestiale et imbécile cruauté de l'être humain, envoient leurs lettres et leurs opinions judicieusement filtrées par nos médias. Mes amis du Devoir voudraient le changement, mais pas l'agitation qui va avec. Du bruit des manifestations, des paroles fortes, de la rébellion et de la résistance, ils n'en veulent point. Préfèrent-ils la détresse assourdissante de ces chats et de ces chiens torturés en Asie pour de la soupe et de la fourrure, ou le gémissement d'agonie des truies et des verrats découpés et brûlés vifs dans nos abattoirs. Préfèrent-ils le son strident des baleines et des phoques qu'on harponne et qu'on matraque inlassablement. C'est toute la Nature qui crie contre l'homme. De ces bruits là, surtout, ils n'en veulent rien entendre. Ils n'en veulent rien parler, encore moins écrire.

De ces médiocres esprits qui s'attardent sur les mots pour mieux nier les tragédies de ces milliards de créatures sensibles, il n'y en a que trop. S'il est difficile de vaincre la cruauté envers les animaux, c'est précisément parce qu'il n'y a pas assez de gens comme Watson qui depuis 30 ans assiste, impuissant, à tous les massacres possibles contre le genre animal. Impatients, vous dites ! Cette humanité malsaine qui justifie les pires abominations serait bien implorante, si on lui fait faisait subir ces traitements. Et ces pleutres d'expliquer au peuple que la pitié n'est que pour les humains. Je les ai entendus parler, ces tueurs de phoques, l'autre jour à la télévision, ils émettaient des sons qui rappelaient le langage humain. Comme ils le disent avec si peu de mots, ces sauvages aiment l'abattage de milliers de phoques, c'est un style de vie qui fait leur identité.

Comment puis-je vous faire évoluer vous et vos progénitures carnivores ? Je me le demande tous les jours, en étant gentil ? Qu'un mouvement de libération animale, soit marginal, ce n'est pas un argument pour démontrer son inutilité. Tous les mouvements de l'Histoire, pour la justice et pour le progrès social sont marginaux. Comment pourrait-il en être autrement ? En fait, beaucoup aspirent à ne faire partie ni du club de Steven Guilbeault, sans doute très agréable autour d'une tasse de thé, ni de celui de Louis Gilles Francoeur dont le métier maintenant est de caricaturer le mouvement de libération des animaux et d'ignorer ses bases morales profondes et cohérentes.

Aucun défenseur des animaux ne prônerait la violence envers les humains et le vandalisme ne semble pas une solution pour arriver à attirer la sympathie du public. Que reste-t-il donc face à la vraie terreur ? Je parle de celle des gouvernements et des industries qui stigmatisent les activistes et intimident tous ceux et toutes celles qui sont une menace à leurs manipulations et à leur sauvagerie contre l'homme, l'environnement et les autres créatures de cette planète. Demandez à Gabriel Villeneuve, en proie à une répression judicaire pour avoir organisé des manifestations contre des partenaires de Huntington Life Sciences (HLS), un labo qui fait des tests sur les animaux. Demandez aux activistes de Stop Huntington Animal Cruelty (SHAC) qui purgent de lourde peines de prison aux Etats-Unis pour avoir créer un site Internet contre HLS ! Il est urgent que les différents mouvements pour la justice et tous les groupes pour le progrès social s'unissent et comprennent qu'ils ont des intérêts communs à défendre.

D. Ruffieux

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ça fait plaisir de lire tous les supers commentaires des défenseurs des animaux ! Je crois que nos journaleux n'ont jamais été aussi bien servis Mr. Green

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Bravo à David, encore une fois, pour cette magnifique lettre.

Pour le reste : briquesbriquesbriques

On n'en peut plus !!!! C'en est vraiment trop.

Je vais essayer d'écrire un mot à mon tour.

J'en ai pour le reste de l'année à dénoncer tout ce qui se dit présentement dans les médias... Ça n'a aucun sens. Le monde est de plus en plus fou. On atteint un sommet.

P.-S. : Qui est l'auteur-e de ce torchon, en fait, ce n'est même pas indiqué sur la page ???

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Voilà, c'est fait. Je laisse une copie ici de mon texte.

***

Que rajouter après le si brillant et éloquent texte de M. Ruffieux ?

Peu de choses, si ce n’est qu’aujourd’hui, plus que jamais, j’ai extrêmement honte d’être Québécoise. Lorsque j’entends et lis tous ces journalistes, animateurs, chroniqueurs et autres intervenants qui se sont aujourd’hui donné le mot pour tabasser en chœur un homme et son œuvre, qui s’amusent à désinformer et à traîner dans la boue tous les animalistes, quand j’entends ou lis tous ces petits commentateurs qui se réclament fièrement du côté des « bien pensants », qui endossent les lois comme si elles étaient toutes nécessairement légitimes, sans se questionner deux secondes sur le bien fondé de certaines d’entre elles, je ressens de la colère et de l’indignation, pour ne pas dire une exaspération profonde.

Nous ne sommes plus capables de vous entendre parler à travers vos chapeaux, de vous entendre médire sur un homme et sur tous les animalistes de la planète sans même savoir de quoi vous parlez. Renseignez-vous donc un peu plutôt que d’ingurgiter la désinformation prémâchée par vos petits chroniqueurs préférés sans pousser plus loin vos questionnements, avant de condamner des gens qui consacrent pourtant leur vie à tenter de sauver des écosystèmes et des animaux, humains ou non !

Des êtres endeuillés par la mort de quatre des leurs, totalement aveuglés par leurs émotions et soutenus par des médias opportunistes et par une population en mal d’épanchement patriotique, sont tristement tombés dans une grave hystérie collective, sans se rendre compte du ridicule de la chose. Il n’y avait pas la moindre matière à scandale dans les propos de Paul Watson, qui a tout simplement dit ce qu’il pensait, sans provocation aucune.

Quand on n’est pas spéciste, on considère que tout animal, humain ou non, a le droit d’exister, on lui reconnaît sa légitimité et sa volonté de survivre, tout simplement, sans hiérarchiser arbitrairement la valeur de sa vie selon son espèce ou selon tout autre considération subjective. Vous voyez de la monstruosité là où il n’y en a pas, vous voyez de la provocation là où il n’y en a pas. Nous n’avons pas la même vision du Monde, cela ne vous donne en aucun cas le droit de nous brûler sur vos bûchers, de raconter n’importe quoi sur nous, de nous imposer votre vérité spéciste. Vous ne pouvez pas nous obliger à glorifier, avec vous, l’idéologie de la suprématie humaine qui détruit tout, pourtant, sur son passage, devant vos yeux grands fermés. Vous n’avez pas à nous obliger à avoir, comme vous, qu’un seul cœur pour aimer les hommes, et à reléguer au statut de meuble, de marchandise ou de « troupeaux à contrôler » toutes les autres espèces animales autres qu’humaine.

Que toutes les personnes qui ont fait, pour les animaux et pour l’environnement, ne serait-ce que le millionième de ce que Paul Watson fait, depuis 30 ans, le disent maintenant ou se taisent à jamais.

Depuis près de 30 ans, M. Watson, co-fondateur de Geenpeace et fondateur de la Sea Shepherd Conservation Society, sillonne les mers et risque sa vie pour faire directement obstacle aux pêcheurs braconniers de tous les pays, aux baleiniers soviétiques et japonais, aux pêcheurs utilisant illégalement les filets dérivant, aux trafiquants d’ailerons de requins, aux massacreurs de dauphins, aux chasseurs de phoques et autres tueurs de cétacés.

Une des campagnes prioritaires de la Sea Shepherd Conservation Society est de s’attaquer au problème global du système de pêche à la palangre pélagique de surface, d’intervenir directement pour en stopper l’usage illégal. Une ligne pélagique de surface est faite habituellement de nylon monofil. Sa longueur peut aller de 1,6 km à 100 km. La ligne est maintenue à flot par des bouées de polystyrène ou de plastique. Environ tous les 300 m, une seconde ligne y est attachée, allant vers le fond sur environ 5 m. Sont fixés à ces lignes des hameçons garnis d’appâts, calamars, poissons, chair fraîche de dauphin. Les appâts des hameçons peuvent être aperçus depuis les airs par les albatros qui plongent dessus, qui y restent accrochés et se noient. D’autres espèces marines aperçoivent les appâts depuis le fond et restent accrochées quand elles essaient de les manger.

La flotte japonaise lâche jusqu’à 100 millions d’hameçons par an rien que pour la pêche au thon bleu dans le Sud. Outre les poissons et mammifères marins, des dizaines de milliers d’oiseaux sont ainsi tués chaque année. Une estimation prudente des albatros tués par les palangres japonaises est de 44 000 par an. Le présent chiffre pourrait bien être doublé, selon les chercheurs, mais le nombre d’albatros tués par les bateaux de pêche d’autres nations n’est pas disponible. On estime que, de douze des quatorze espèces d’albatros recensées, des dizaines de milliers meurent chaque année de cette manière. Au vu du grand nombre d’oiseaux ainsi tués, ce style de pêche peut être considéré comme la plus sérieuse menace pour la survie de ces espèces. 20 000 tortues de l’espèce « caretta caretta » sont capturées chaque année par les palangres des pêcheries espagnoles en Méditerranée. On estime que 4 000 d’entre elles sont rejetées à la mer et meurent avec l’hameçon accroché dans la gorge.

Les palangres sont les grandes coupables de la diminution du nombre de requins dans les océans. Ces lignes d’une longueur de 1 à 100 miles sont appâtées avec du poisson (mais aussi du dauphin ou du phoque tués illégalement) pour attirer l’attention des thons, espadons et requins. Ceux-ci sont pêchés surtout pour leurs ailerons (qui ne représentant que 4 % de leur poids), parfois pour leur cartilage, l’huile de leur foie et leurs dents. Les pêcheurs arrachent leurs ailerons avant de les rejeter encore vivants à la mer. Leur agonie est affreuse : incapables de nager, ils coulent lentement vers le fond, et meurent dévorés vivants par d’autres poissons. Si les palangres ne sont pas abolies, beaucoup d’espèces de requins disparaîtront dans les prochaines décennies.

Des pays comme le Sénégal sollicitent les services de M. Watson pour lutter contre les braconniers qui sévissent chez eux. Aux Îles Galapagos, il œuvre là aussi à protéger les fragiles écosystèmes marins, les tortues, les requins, les concombres de mer…
Les Japonais contournent les lois internationales de protection des baleines pour les chasser à des fins supposément scientifiques, alors qu’ils les massacrent pour revendre leur viande : Paul Watson les a à l’œil et tente de leur nuire autant qu’il le peut.
Tout autour du monde, du Canada en passant par la Norvège et jusqu'en Afrique du Sud, les phoques sont massacrés, et Paul Watson le dénonce tout en luttant pour les protéger.

L’homme, qui fut d’abord médecin puis, un peu plus tard, professeur d’écologie à l’Université de Pasadena, est considéré mondialement comme l’un des grands experts de nos océans. Il donne régulièrement des conférences dans les universités, ainsi que de nombreuses conférences de sensibilisation à travers le monde, tout en occupant plusieurs fonctions au sein de différentes associations à vocation environnementale.
SOS Grand Bleu l’a nommé citoyen d’honneur en 1996.
En 2000, le Time Magazine l’a désigné comme l'un des héros écologistes du XXe siècle.
Son éthique personnelle l’a poussé à devenir végétalien strict, et tous les repas servis sur les bateaux de la Sea Shepherd Foundation sont obligatoirement végétaliens.

Jusqu’à aujourd'hui, toutes les tentatives de poursuites judiciaires contre Paul Watson et son association ont échoué, soit parce que les films systématiquement pris par les membres de l’association ont clairement démontré le non fondement des accusations, soit parce que les navires victimes étaient eux-mêmes hors la loi.

Alors, je le répète pour la dernière fois : que toutes les personnes qui ont fait, pour les animaux et pour l’environnement, ne serait-ce que le millionième de ce que Paul Watson fait, depuis 30 ans, le disent maintenant ou se taisent à jamais !!!

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flowers Tu devrais aussi afficher tes commentaires dans le Devoir...

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Je ne sais pas Valou mais je ne crois pas qu'il y ait une limite...

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zut

Mais le mien n'y est pas...

Je n'ose même pas aller lire ces nouveaux commentaires...

Je suis découragée.

Je vais me coucher.

briques

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Allo Valou, je pense qu'ils attendent d'en reçevoir plusieurs avant de les poster tous en même temps ! Le tien y sera peut-être demain ...

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