hop 0 Posté(e) le 21 avril 2008 Des biftecks bientôt sortis de tubes à essai? L'association de défense des animaux PETA offre un prix de un million de dollars au scientifique qui saura produire d'ici 2012 de la viande in vitro commercialisable à un coût compétitif. (...) Un million de dollars pour fabriquer de la viande in vitro - 21/04/08 http://www.cyberpresse.ca/article/20080421/CPSCIENCES/80421153/1020/CPSCIENCES Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 21 avril 2008 En autant que l'on ne torture pas d'animaux pour arriver à ces fins... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
hop 0 Posté(e) le 19 mai 2008 Les mots « entrecôte » ou « rumsteak » évoqueront-ils un jour dans l’esprit du consommateur l’image d’une grande cuve pleine de cellules dans un laboratoire ? C’est en tout cas ce que souhaiterait l’association de défense des animaux Peta. Pour mettre un terme à l’abattage annuel de 40 milliards d’animaux d’élevage, celle-ci a annoncé fin avril qu’elle offrirait un million de dollars au scientifique qui parviendrait à produire d’ici à 2012 une viande de poulet de synthèse aussi goûteuse et nutritive que l’originale. Une chimère ? Pas pour les biologistes membres du New Harvest (nouvelle moisson). Fondée en 2004, cette association promeut les recherches sur la viande « in vitro », c’est-à-dire produite en laboratoire à partir de cellules musculaires prélevées sur des animaux. ...Or, selon une étude économique présentée à l’occasion du premier congrès sur la viande « in vitro », organisé en Norvège début avril, le prix de la tonne de viande synthétique pourrait aisément être amené à 3200 euros - soit un coût comparable à celui du bœuf européen -, par une culture cellulaire intensive réalisée dans d’immenses cuves, ou « bioréacteurs ». Mais qu’est-ce qui, hormis un triomphe de la cause animale défendue par des associations comme Peta, pourrait inciter nos sociétés à troquer les vaches charolaises pour des cultures cellulaires ? La raréfaction programmée de la viande. ..., les zones de pâturage, qui représentent le quart de la surface des terres émergées, ne sont pas extensibles à l’infini. Pas plus, d’ailleurs, que les surfaces plantées en céréales, dont 40 % servent à ce jour à nourrir les animaux d’élevage. (...) Alimentation : Produire de la viande sans animaux - 19/05/08 http://www.innovationlejournal.com/spip.php?article2656 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites