hop 0 Posté(e) le 14 mai 2008 Jean-Dedieu repère un arbre, puis discute avec le chef du village. Une fois l'affaire conclue, pour quelques dizaines de milliers de francs CFA (quelques dizaines d'euros), il déballe sa tronçonneuse et commence son travail. ...A 39 ans, Jean-Dedieu n'était pas destiné à rejoindre les rangs des milliers de bûcherons clandestins qui, au Cameroun, pillent la forêt de ses essences exotiques, si prisées sur le marché européen pour la construction de planchers, de portes ou de meubles. "Je suis biochimiste, mais je n'ai jamais trouvé de travail", dit-il. Il y a trois ans, après avoir été vendeur de pneus d'occasion, il a décidé de se lancer dans le commerce illégal du bois. (...) Au Cameroun, le trafic de bois illégal continue de prospérer - 13/05/08 www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/05/13/au-cameroun-le-trafic-de-bois-illegal-continue-de-prosperer_1044250_3244.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites