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Charles River et la ville de Sherbrooke, main dans la main

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«Sherbrooke est le secret le mieux gardé du Québec» et c’est pourquoi la multinationale Laboratoires Charles River y ouvrira ses installations dès le début de 2009 dans le Parc biomédical, près du CHUS-Fleurimont.

...«On a regardé plusieurs places où s’installer. On n’a jamais reçu une telle collaboration ailleurs, dit-il. Divers programmes nous ont été présentés pour faciliter le tout. On a beaucoup apprécié les attitudes. On a eu des contacts avec les hôpitaux, les universités et les gens du cégep. Tous nous ont demandé ce qu’ils pouvaient faire pour nous aider».

(...)


Charles River fière de son coup à Sherbrooke - 02/06/08
http://www.cyberpresse.ca/article/20080602/CPTRIBUNE/80602004/5048/CPTRIBUNE

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parle moi en pas, je suis oubligé d'aller faire un stage dans un centre de recherche l'année prochaine pour mes études... de quoi pour que je sois traumatisé toute ma vie!!

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Nous avons écrit des lettres à la ville de Sherbrooke cet hiver. Le maire est ravi de cette manne.

Quelles études suis-tu, Jaycika ? Tu pourras peut=-être demander des travaux alternatifs et en profiter pour faire de la sensibilisation sur le sujet ?

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Je suis le cours de santé animal, depuis 2 ans, il est rendu oubligatoire de faire des stages dans les centres de recherche pqu'avant personne ne voulait allé en faire. Je ferais rire de moi en ce qui concerne la protection animale! Sad

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85 % des cobayes seront des rongeurs Mad

Albert Bérubé
La Tribune
Sherbrooke

Les souris et les rats constitueront environ 85 % des animaux utilisés pour les tests précliniques de médicaments des installations sherbrookoises des Laboratoires Charles River qui ouvriront au début de 2009.

"Le reste des cobayes, ce sont des lapins, des cochons (jusqu'à 25 kilos), des chiens et des singes, en fonction de leurs similitudes avec les humains", explique Chris Perkin, président des Services précliniques de la compagnie au Canada et en Chine.

À ceux qui craignent la cruauté envers les animaux, la compagnie rappelle qu'elle est soumise à des normes très strictes comme celles du Conseil canadien de protection des animaux. ohnon Bien oui, une visite à tous les 3 ans annoncés d'avance briques

Des règles très rigoureuses doivent aussi être suivies avant que les permis gouvernementaux soient donnés pour l'utilisation des médicaments sur les humains, fait valoir M. Perkin, qui cite en exemple la Federal Drug Administration (FDA) des États-Unis et Santé Canada.

La FDA, souligne-t-il, exige que la compagnie collecte et valide ses données de façon absolument sécuritaire.

Les Laboratoires Charles River de Sherbrooke sont ainsi conçus pour assurer un milieu aseptisé, à l'abri de toute contamination, pour les 30 salles de recherche qui se retrouveront sur les deux étages de l'édifice.

Ces mesures valent tant pour les humains que les animaux. Le transport de ceux-ci est assuré de façon sécuritaire dès leur arrivée par l'un des trois quais d'arrivage.

"Dans chaque salle de recherche, la ventilation est telle que l'air sera changé 15 fois en une heure", signale Mike Broadhurst, directeur des oppérations de la nouvelle usine sherbrookoise.

Les employés doivent changer de vêtements en arrivant au travail, et un espace de décontamination est prévu avant d'entrer dans chaque salle.

Les Laboratoires Charles River se trouvent juste à côté des nouvelles installations de la buanderie du CHUS, ce qui accélérera le service.



Beaucoup de cégépiens

La direction de la compagnie évalue qu'environ 70 % de ses employés sherbrookois seront des diplômés du cégep, en technique vétérinaire ou technique de laboratoire. Les diplômés universitaires, au nombre de 25 %, seront notamment des vétérinaires, chimistes et biochimistes.

Les employés doivent appliquer à la lettre diverses procédures, dans le processus de validation des médicaments sur les animaux, au moment des injections, prises de sang et prélèvements d'échantillons.

Trente-six techniciens ont déjà été recrutés à Sherbrooke pour les tests précliniques de médicaments qui seront menés sur les cobayes dans les installations des Laboratoires Charles River.

Après un stage à Montréal, ces techniciens pourront revenir à Sherbrooke lorsque les installations ouvriront. "Soixante-dix autres employés à Montréal ont manifesté le désir de venir travailler à Sherbrooke", précise Mike Broadhurst.

albert.berube@latribune.qc.ca

http://www.cyberpresse.ca/article/20080602/CPTRIBUNE/806021100/7129/CPTRIBUNE

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Citation :
À ceux qui craignent la cruauté envers les animaux, la compagnie rappelle qu'elle est soumise à des normes très strictes comme celles du Conseil canadien de protection des animaux.

Bien oui, une visite à tous les 3 ans annoncés d'avance


MadMadMad

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