Caro18 0 Posté(e) le 8 juin 2008 Un piège dangereux Vincent Guilbault Un piège illégal aurait pu tuer un chat, un chien ou carrément blessé un enfant, selon Nicolas Gemme, résidant de Belœil. C'est une mouffette qui a perdu la vie, la nuque brisée, sur le terrain d'une propriété située à l'intersection des rues Biron et Richelieu, mercredi, à Belœil. La bête a été tuée par un piège à mâchoires, installée à quelques pieds seulement du trottoir. «Un enfant aurait pu se prendre dans le piège, a dit Nicolas Gemme, en colère . J'ai vu un attroupement de personnes, alors je suis arrêté. J'ai tenté de libérer l'animal, mais je n'ai même pas été capable d'ouvrir le piège. J'ai appelé la police, mais elle n'est pas intervenue.» La Société de contrôle d'animaux domestiques (SCDD) a été déplacée sur les lieux, mais c'est finalement la Société pour la protection des animaux (SPCA) qui est intervenue. Linda Robertson, employée de la SPCA, a dû endormir l'animal qui souffrait. «C'est la première fois que je vois ce type de piège en ville», a-t-elle avoué. Pour ce qui est de la possibilité d'une enquête, Mme Robertson reste sceptique. «Comme le propriétaire du terrain a nié avoir placé le piège et que son voisin a tenu le même discours, nous ne pouvons pas faire grand chose.» Du côté de la Régie de police Richelieu?Saint-Laurent, le capitaine Harry Wadup a indiqué qu'il n'avait pas pris conscience du dossier pour le moment et qu'il était encore trop tôt pour parler d'une enquête. http://www.hebdos.net/orb/edition242008/articles.asp?article_id=210749 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Caro18 0 Posté(e) le 8 juin 2008 Cas similaire en Europe, mais avec des conséquences plus sérieuses pour les contrevenants! Le commandement de la Police cantonale vaudoise communique : A mi-juin 2002, un renard a dû être abattu par les gendarmes du Sentier à la Vallée de Joux, à la suite de blessures infligées par un braconnier voulant récupérer un piège à mâchoires tendu par son épouse et dans lequel l'animal s'était pris, le blessant grièvement à une patte. C'est un renard, grièvement blessé, mais vivant que les gendarmes du Sentier ont découvert dans une haie au Rocheray, commune du Chenit, à mi-juin 2002. L'animal présentait une profonde blessure à une patte, due incontestablement aux mâchoires d'un piège, ainsi que diverses lésions nécessitant sa mise à mort pour abréger ses souffrances. L'enquête effectuée a permis de confondre un couple domiciliés à La Vallée, dont l'homme a été vu frappant l'animal à coup de gourdin, afin de récupérer son piège, toujours accroché à la patte du malheureux renard. L'auteur, âgé de 67 ans, chasseur et pêcheur ainsi que son épouse ont été déférés au Juge d'instruction du Nord vaudois pour mauvais traitements envers les animaux et infraction à la Loi sur la faune. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 8 juin 2008 En effet ! Quelle différence dans la façon de traiter ces deux cas presque similaires ! L'industrie de la fourrure du Canada peut bien continuer à nous parler de ses pièges «sans cruauté» ! Les pièges à mâchoires sont toujours utilisés- et NON, ils ne tuent pas sur le coup Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
linda lachapelle 0 Posté(e) le 13 juin 2008 Animal a écrit:En effet ! Quelle différence dans la façon de traiter ces deux cas presque similaires ! L'industrie de la fourrure du Canada peut bien continuer à nous parler de ses pièges «sans cruauté» ! Les pièges à mâchoires sont toujours utilisés- et NON, ils ne tuent pas sur le coup c,est dégueulasse tout ça!!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites