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Animal

Les porcs au Québec : sombre avenir

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Publié le 27 septembre 2008 à 05h00 | Mis à jour à 05h00


Les porcs au Québec : sombre avenir


Annie Morin
Le Soleil


Longtemps vue comme la production agricole idéale parce que moins astreignante que le lait et plus payante que les céréales, la filière porcine a perdu son lustre jusqu'à devenir terne. Parlez-en à Claude Gagnon, de Saint-Michel-de-Bellechasse, qui n'a personne pour reprendre la ferme qu'il a mis 30 ans à bâtir.

...

Pour rentabiliser ses opérations, M. Gagnon devrait grossir et faire, comme les mégaporcheries, des économies d'échelle. Avec ses 225 truies et ses 1800 co­chons à l'engraissement, il est légèrement au-dessus de la moyen­­ne provinciale, qui tourne autour de 200 truies et 1000 porcs à l'engraissement. Les plus grosses porcheries du Québec peuvent compter jusqu'à 600 femelles et 2000 porcs à l'engraissement.

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/agro-alimentaire/200809/26/01-24057-les-porcs-au-quebec-sombre-avenir.php

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