Animal 0 Posté(e) le 8 octobre 2008 08 octobre 2008 à 09h36 | Mis à jour à 10h05 Abattoir: Le promoteur vise le printemps 2009 (CHICOUTIMI) L'Abattoir fédéral multiespèces de Chambord (AFMEC) débutera ses activités de découpe de viande au printemps 2009 et la salle d'abattage devrait être aménagée dans les mois qui suivent le début des activités. Le promoteur Augustin Lavoie, également directeur général des Wapitis de la rivière, a tenu un point de presse hier à Chambord pour faire le point sur le dossier et donné les grandes lignes de son projet. Les installations aménagées dans les anciens bâtiments de la coopérative Agropur de Chambord respecteront les normes fédérales HACCEP qui constituent les plus hautes normes en vigueur au Canada. Selon Daniel Lavoie, responsable de la commercialisation et du développement, le faible coût d'achat des installations et la location des espaces de services à d'autres entreprises permettent au promoteur d'envisager la rentabilité. L'abattoir sera donc en mesure de fonctionner de façon rentable, même s'il s'agit d'un complexe beaucoup moins imposant que les grands abattoirs industriels de l'ouest du pays ou des derniers abattoirs toujours ouverts au Québec. // La version complète du texte est disponible dans votre Quotidien http://www.cyberpresse.ca/le-quotidien/200810/08/01-27587-abattoir-le-promoteur-vise-le-printemps-2009.php Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 24 octobre 2008 23 octobre 2008 Abattoir à Chambord: des doutes sur la rentabilité Abattoir à Chambord Chambord) Le projet d'abattoir de 10 millions de dollars à Chambord n'est pas réaliste dans sa forme actuelle. C'est ce que prétendent des intervenants du monde agricole et économique, dont Nutrinor. Sylvain Martel, président de la coopérative, trouve le projet trop ambitieux et doute de sa viabilité. «Quand on regarde ce qui se passe au Québec avec l'abattoir Colbex-Lévinoff et les autres qui ont fermé, il serait surprenant que celui d'ici fonctionne», avance-t-il. «Avant d'abattre des bêtes, il faut s'assurer de vendre les produits et avoir une solide mise en marché, car au Saguenay-Lac-Saint-Jean, on produit trois fois plus qu'on ne consomme. On ne peut pas se fier qu'au marché local. Nutrinor a posé des questions sur la mise en marché au promoteur et il n'a pas été en mesure de nous répondre», ajoute Martel. ... http://www.cyberpresse.ca/le-quotidien/le-quotidien-du-jour/200810/22/01-32010-abattoir-a-chambord-des-doutes-sur-la-rentabilite.php Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites