Caro18 0 Posté(e) le 17 novembre 2008 Cette histoire n'a jamais fait les manchettes! COUR SUPÉRIEURE CANADA PROVINCE DE QUÉBEC DISTRICT DE LONGUEUIL DATE : LE 8 FÉVRIER 2006 ______________________________________________________________________ SOUS LA PRÉSIDENCE DE : L’HONORABLE MARIE-CHRISTINE LABERGE, J.C.S. TRANSCRIPTION DU JUGEMENT RENDU SÉANCE TENANTE LE 26 JANVIER 2006 ______________________________________________________________________ [1] Claude V. et Denise G. les demanderesses, se plaignent des agissements de leurs voisins immédiats Jean H. et Hélène R. Ils habitent des propriétés contigues séparées par une clôture de marque « Frost ». Les demanderesses se plaignent d’intimidation, menaces, violence, perte de leur intimité et atteinte à la vie privée. Claude V .particulièrement, a été profondément marquée et affectée par une situation lui ayant, exprime-t-elle, rendu la vie très difficile. [2] Plusieurs voisines sont venues confirmer par leur témoignage les plaintes formulées par les demanderesses soit, mesdames Morin, Jodoin et Jacques. En outre, deux témoins non liés à la situation de voisinage ont apporté un témoignage absolument désintéressé, le policier Richard G. et le surintendant de la voirie Normand R. [3] Le défendeur Hée nie tout. Son témoignage ne sera pas retenu par le Tribunal tel qu’il sera exposé plus loin. [4] Les premiers événements de ce conflit remontent à l’été 1996. Claude V. a été réveillée en pleine nuit par les hurlements d’un chat. Elle est descendue au sous‑sol et a vu à travers sa fenêtre Jean Hée s’acharner à frapper la bête hurlante avec une pelle. Après une dizaine de coups violents, la bête a cessé de crier. Jean H. l’a poussée vers son garage plus loin, a encore continué à la frapper puis, l’a dépecée en morceaux avec sa pelle. Claude V. a tellement été affectée par cette scène qu’elle entend encore aujourd’hui dans sa tête la bête crier. Il faut dire que Claude V. a consacré sa vie professionnelle au monde vétérinaire et aux comportements animaux. Elle a elle-même un chien et deux chats. En sa qualité de spécialiste du comportement animal elle a, au cours des années, eu plusieurs animaux en même temps et, depuis ce temps, craint pour eux. Le lendemain, une petite fille cherchant son chat, vient sonner à la porte. Claude V. appèle son père pour lui raconter l’événement. Celui-ci appèle les services de police qui apparemment, le lendemain, ne trouvent rien. Deux jours plus tard, Voisard arrose sa haie de cèdres encore jeune et clairsemée et voit une boîte de bois avec un petit bouquet de fleurs à l’endroit où la bête a expiré. [5] Jean H. apparaît alors et avec une grosse chaîne, se met à frapper la boîte en disant à la demanderesse « T ‘as pas fini avec moi salope ». Claude V., toute bouleversée, appelle sa conjointe Gianni au travail et suit le conseil que celle-ci lui donne : elle va arroser en avant de la maison en affichant un air indifférent. Jean H. s’approche d’elle avec de petits ciseaux dans la main et lui dit qu’il pourrait faire sauter sa voiture s’il le désirait, qu’il avait été entraîné pour ça. Pendant longtemps Voisard et Gianni vérifiaient du regard leur voiture avant de la prendre. Pour lire la suite du jugement: http://www.jugements.qc.ca/ Cliquez sur RECHERCHE La case: cours supérieures Mots clés: Voisard c. Hée Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 17 novembre 2008 Jamais entendu parler de cette histoire Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Valou011 0 Posté(e) le 19 novembre 2008 Méchant mlalade mental !!! *&?%$#@ !!! J'ai lu tout le jugement. Le pire voisin qu'on puisse avoir !!! Un lesbophobe et un sadique en puissance. Révoltant !!! Pauvres chats... et pauvres voisines !!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites