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Animal

Usines à chiots/La réplique d'une animalerie

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Julie Latreille est scandalisée par les reportages sur les usines à chiots qui donnent mauvaise réputation aux animaleries.

Maxime Pelletier, un employé de Petland, s'assure que les animaux aient tout pour leur confort: eau, nourriture, coin douillet et jouets.
La réplique d'une animalerie
Oriane Wion

L'Œil Régional - 18 octobre 2008



Les reportages sur les usines à chiots diffusés récemment dans les médias télévisés et écrits font réagir bien des gens. Julie Latreille, propriétaire du Petland à Belœil, se dit outrée du message résultant de ce type de reportage qui cible les animaleries comme les complices des usines à chiots. Selon Mme Latreille, ce ne sont pas tous les commerces d'animaux qui doivent être mis dans le même panier.

"Après le reportage qui a été diffusé à la télévision, les clients qui entrent dans mon animalerie sont plus craintifs. Que l'on me pose un paquet de questions sur la provenance de mes chiens ne me dérange en rien, je n'ai rien à cacher. C'est plutôt la mauvaise réputation des animaleries, que les médias ont propagée, qui me dérange, expose Mme Latreille. Pour ma part, contrairement à ce que laisse croire le reportage, je n'ai jamais fait euthanasier un animal parce qu'il ne se vendait pas. Dans un pareil cas, je vais baisser son prix, c'est tout".

Pour se défendre, Mme Latreille certifie qu'aucun de ses chiens ne provient d'usines à chiots. "Je connais personnellement les éleveurs qui me fournissent les chiens. Je sais que leurs animaux sont bien traités avant de m'être confiés", explique Mme Latreille. D'ailleurs, cette dernière confie que la majorité de ses chiens proviennent d'un élevage à Roxton Pound, près de Bromont, alors que d'autres proviennent d'une éleveuse certifiée de Saint-Basile-le-Grand.

Il arrive quelques fois que des particuliers viennent proposer des chiens à Mme Latreille et dans ces moments-là, un examen des bêtes est requis. "Quand un particulier vient me porter ses chiens, parce que sa chienne a eu une portée de chiots, je les examine de long en large et j'analyse leurs comportements. Je veux constater s'ils sont craintifs, peureux ou si au contraire ils sont sociables. Dès que possible je les fais examiner par le vétérinaire", indique Mme Latreille. Ce même vétérinaire vient toutes les semaines ausculter les animaux, les vacciner et vermifuger au besoin. Ce suivi certifie à Mme Latreille, ainsi qu'aux clients, que les animaux sont en bonne santé avant de quitter l'animalerie.

Une question de confiance
Mme Latreille ne prétend pas vendre des chiens pure race, bien au contraire. "Je suis franche avec les clients. Je ne vends pas de chiens de compétition. Mais ces derniers font de très bons compagnons de vie." Selon la propriétaire du Petland, tout est une question de confiance entre les clients et elle. "Quand les clients achètent un chien, je garantis ce dernier pendant un an pour tous problèmes congénitaux et 14 jours pour tout ce qui est viral. Dans les rares cas où est survenu un problème viral, j'ai assumé entièrement les frais de vétérinaire."

Avant de vendre un chien, Mme Latreille et ses employés affirment prendre tout le temps nécessaire pour analyser le futur propriétaire, tant dans son attitude que sa compatibilité avec le chien. "Un client qui entre dans mon commerce en me demandant si j'ai un chien pas cher, vous pouvez être sûre que je ne lui en vends pas. Ça n'existe pas un chien pas cher. Si le client m'aborde de la sorte, je suis persuadée que le chien ne sera pas assez bien traité, alors je ne prends pas de chance. Je dois sentir que j'ai confiance en la personne avant de la laisser partir avec un de mes chiens."

Afin d'éviter que les animaleries "en règle" aient une mauvaise réputation, Mme Latreille estime que la SPCA devrait faire plus de vérifications dans les animaleries. "La dernière fois que j'ai vu la SPCA à mon commerce, c'est après un appel de quelqu'un qui pensait que mes chats en vitrine étaient maltraités. Ce que la SPCA a démenti après vérification. Depuis ce jour, personne n'est revenu me voir. Je n'ai rien à cacher, je suis prête à toutes inspections."

http://monteregieweb.com/Ma_Vallee/main+fr+01_300+La_replique_d_une_animalerie.html?ArticleID=546035

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La Humane Society accuse Petland d'être complice des usines à chiots

Regardez la vidéo de la Humane Society

http://www.hsus.org/pets/pets_related_news_and_events/petland_puppy_mill_112008.html

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Humane Society Accuses Petland of Supporting Puppy Mills


Retail pet store denies claims, insists it treats animals well


By Lisa Wade McCormick
ConsumerAffairs.com

November 21, 2008
Puppy Mills

• Humane Society Accuses Petland of Supporting Puppy Mills
• Humane Society Warns Against Buying Puppies from Pet Stores
• Puppy e-Mills Churn Out Sick Dogs, Big Profits
• Pet Stores: Wolves in Pup's Clothing
• Guide to Puppy Lemon Laws
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• More About Pets

An eight-month investigation by The Humane Society of the United States (HSUS) claims that Petland stores nationwide sell puppies they obtain from puppy mills--despite statements by the company that its dogs come from reliable breeders.

HSUS officials announced those and other findings from its largest puppy mill investigation during a press conference on Thursday.

The HSUS's findings come just days after Petland assured ConsumerAffairs.com that it buys its puppies from expert breeders licensed professional pet distributors, "who have years of experience in raising quality pets."

Petland reiterated those comments today and called the HSUS's investigation "sensationalism at its best."

But HSUS officials said their investigation uncovered evidence that shows Petland's main sources of puppies are puppy mills -- mass commercial breeding operations that churn out two to four million puppies each year.

Those puppies are raised in deplorable conditions and often have health problems, genetic defects, and behavioral issues, according to the HSUS.

During its investigation, HSUS investigators visited 21 Petland stores nationwide. At each of those stores, employees told HSUS investigators that its puppies came from reliable, USDA breeders.

HSUS investigators also tracked the sale of nearly 17,000 puppies sold at Petland stores across the country and found nearly every one of those dogs was shipped hundreds of miles from puppy mills in the Midwest.

Most of those breeding operations had numerous violations with the United States Department of Agriculture (USDA), the federal agency charged with inspecting dog breeders.

"Petland is perpetuating the abusive puppy mill industry, where dogs are treated not like pets, but like a cash crop," said Stephanie Shain, the HSUS's puppy mill expert and director of its Stop Puppy Mills Campaign. "They know that consumers won't stand for the cruelty inherent in mass-breeding facilities, so they make outrageous claims to hide the reality that the dogs came from puppy mills. People have a right to know exactly what they are buying, but the real victims are the breeding dogs who are confined to life in a cage for as long as people are duped into buying their puppies."


suite de l'article ...
http://www.consumeraffairs.com/news04/2008/11/hsus_pet_stores02.html

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22 novembre 2008

Élevage de chiots: Des propriétaires d'animaleries se défendent

(Source: Radio-Canada) Des propriétaires affirment qu'il est possible de se procurer un chien en santé dans une animalerie.

Des propriétaires d'animaleries affirment qu'il est possible de se procurer un chien en santé dans ce type d'établissement. Ces derniers réagissent ainsi à un reportage diffusé à l'émission Enquête qui démontrait que les chiens vendus dans les animaleries sont souvent élevés dans des conditions insalubres dans des usines à chiots.

Le propriétaire de Aquarium Drummond soutient que les chiens qui se retrouvent dans son établissement proviennent de petits éleveurs qui ont une ou deux femelles seulement. André Boucher ajoute que la provenance de tous les chiots est également notée.

Les vétérinaires et la Société protectrice des animaux de l'Estrie estiment pour leur part que la vigilance des consommateurs demeure le mot d'ordre pour éviter la prolifération d'élevages douteux.

Des éleveurs mis à l'amende

Ginette Léveillé, qui élève des chiens à Drummondville depuis 35 ans, s'est dite secouée par les images diffusées dans le cadre du reportage. « J'ai trouvé ça pitoyable de voir la façon que les animaux étaient gardés », indique la propriétaire de l'Élevage Gigi.

Même si elle possède des installations très salubres, Mme Léveillé a reçu plusieurs constats d'infraction d'Anima-Québec. Elle les conteste tous.

Selon elle, les inspecteurs ont émis ces constats en se basant davantage sur les critères sanitaires que sur le bien-être des animaux.

Le propriétaire du Chenil des Voltigeurs, également à Drummondville, a pour sa part été condamné en février dernier pour avoir compromis la sécurité d'animaux dont il avait la garde. Il a refusé d'accorder une entrevue à notre journaliste.

http://nouvelles.sympatico.msn.ca

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Info du 21/11/2008

Canada - Prenez garde aux usines à chiens

Vous craquez pour un mignon westie, qui batifole dans la vitrine d'une animalerie propre et respectable nichant dans un centre commercial tout aussi propre et respectable.

Mais comment s'assurer que votre toutou blanc n'a pas été «fabriqué» dans une insalubre usine à chiots, où des éleveurs sans scrupule accouplent leurs femelles «en série» ?



La journaliste Josée Dupuis de l'émission Enquête a rapporté, grâce à l'efficace technique de la caméra cachée, des images épouvantables de ces chiennes enfermées dans de minuscules cages à poules, qui vous lèveront le coeur. Du genre: des animaux souillés d'urine et d'excréments, des vers qui grouillent dans leurs bols d'eau, un cadavre de chiot déposé dans une boîte de carton et, étalées sur un comptoir, des haches dont on peut facilement deviner l'usage.

suite ...

http://www.chien.com/Echos/actua.php?id_actua=2218

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Mise à jour le samedi 22 novembre 2008 à 10 h 20


Un pas dans la bonne direction


L'élevage de chiens est une activité répandue au Québec. Selon un reportage diffusé à l'émission Enquête, beaucoup de chiens, principalement des chiots destinés à la vente, sont élevés dans des conditions de délabrement et d'insalubrité qui contreviennent aux lois et règlements de la province.
La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de l'Outaouais recueille chaque année près de 10 000 chiens. La SPCA de la région réclame depuis longtemps la fermeture des usines à chiots et la réalisation de vraies inspections sur le terrain.
« On a proposé une entente de service avec ANIMA-Québec, une espèce de projet-pilote qui peut-être va voir le jour en avril 2009. Il y a de bonnes chances que ça voit le jour. Moi, un de mes inspecteurs, j'en ai quatre, a suivi la formation d'ANIMA-Québec. On a payé ses frais de formation et il est prêt à appliquer la loi lorsque le gouvernement sera prêt à donner le ok », explique le directeur général de la SPCA en Outaouais, Yves Geoffrion.
Ainsi, le patrouilleur formé par ANIMA-Québec pourrait bientôt obtenir le droit d'effectuer des inspections dans les animaleries et dans les usines à chiots dans la région.
Par ailleurs, la SPCA estime qu'il faut modifier la Loi sur la protection sanitaire des animaux, puisqu'elle stipule en ce moment qu'un animal est un bien et n'a donc aucun droit.

audio-vidéo
Les explications de Gilles Taillon

http://www1.radio-canada.ca/regions/ottawa/2008/11/22/001-spca-anima-quebec-inspections_n.shtml

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