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Caro18

Les écolos à la défense DES CHASSEURS de phoques

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Les écolos à la défense des chasseurs de phoques Mad

Les prétendus écolo mais chasseurs! MadThumb down

Les écologistes se portent à la défense des chasseurs de phoques : ils ont envoyé ce matin une lettre à tous les députés européens, leur demandant de ne pas bannir les importations de produits dérivés de cette activité.

Le Parlement européen doit se prononcer prochainement sur l'interdiction de commercialiser tout produit dérivé du phoque et ce, dans l'ensemble des 27 pays de l'Union européenne.

Or pour Nature Québec, http://www.naturequebec.org/pages/accueil.asp un organisme québécois affilié à l'Union mondiale pour la nature (IUCN)http://www.iucn.org/fr/ , une telle interdiction «pourrait avoir des conséquences graves pour les communautés qui bénéficient de cette activité aussi bien que pour l'équilibre écologique du golfe Saint-Laurent».

À quelques jours du début de la chasse, Nature Québec avertit donc les députés qu'ils s'apprêtent à commettre une erreur en adoptant la position controversée de la Commission du marché intérieur du Parlement européen.


«À notre avis, la campagne internationale de lutte menée contre cette activité ne possède aucun fondement scientifique et n'est pas liée à la nature véritable du traitement à l'égard des animaux», écrit le président de l'organisme, Michel Bélanger, dans sa missive.

Études à l'appui, l'organisme soutient que cette activité, telle que pratiquée par les chasseurs des îles de la Madeleine et de Terre-Neuve, n'a pas les effets décriés par certains activistes européens, l'actrice Brigitte Bardot en tête.

«Les méthodes d'abattage, poursuit-on, n'offrent pas un spectacle pour les coeurs fragiles, nous en convenons, mais elles n'en constituent pas moins la solution la plus acceptable.»

On précise ainsi que la chasse aux phoques n'est ni «cruelle» ni «inhumaine», contrairement à ce que certains l'affirment. On cite en ce sens une étude récente du Fonds mondial pour la nature qui concluait que la méthode utilisée était acceptable, à condition que le coup de hakapik soit porté rapidement sur le crâne du phoque et que l'animal demeure inconscient jusqu'à sa mort.

En outre, les écologistes déboulonnent le mythe selon lequel la conservation du phoque du Groenland, dont la population est évaluée à quelque 5,5 millions, serait menacée par cette activité.

«Depuis 2003, le Canada gère la chasse aux phoques selon une démarche de gestion des pêches par objectifs, fondée sur le principe de l'approche de précaution, rappelle Charles-Antoine Drolet, biologiste et vice-président de Nature Québec. On fixe les prélèvements de phoques à un taux qui garantira le maintien de la population au-dessus d'un point de référence prudent, établi ici à 4,1 millions d'individus. »

En revanche, la fin de la chasse aux phoques pourrait, quant à elle, provoquer d'importantes perturbations de cet écosystème. La survie de la population de morue de l'Atlantique serait en effet compromise par le taux élevé de prédation occasionné par le phoque, souligne-t-on.

«Les estimés de Pêches et Océans indique que la population actuelle de phoques du Groenland de la côte Est du Canada consomme environ 6 millions de tonnes de poissons par année, dont 60 000 tonnes de morue, et ce, dans la même région où les débarquements de poissons commerciaux atteignent 0,9 millions de tonnes par année», précise M. Drolet.

Enfin, les écologistes rappellent l'importance économique de cette activité pour les communautés des maritimes, où le taux de chômage peut être supérieur à la moyenne nationale de plus de 30 %.
http://www.cyberpresse.ca/environnement/200903/10/01-835053-les-ecolos-a-la-defense-des-chasseurs-de-phoques.php

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C'est la faute des phoques ! Mad

On met le paquet pour faire perdurer ce massacre Mad

Pêche
Baisse des stocks de morue

Les stocks de morue diminuent dans le sud du golfe Saint-Laurent

L'état des stocks de morue dans le sud du golfe Saint-Laurent inquiète les experts. La mesure du stock de morue adulte reproductrice est estimée à 28 000 tonnes métriques, ce qui représente le tiers seulement de la limite établie pour la conservation de cette population de poisson.

Les scientifiques de Pêches et Océans Canada estiment que la mortalité naturelle du stock est élevée et en nette augmentation depuis quelques années. ( Ouais, on connait la position de Pêches et Océans Canada au sujet de la chasse aux phoques ) Mad

La prédation par les phoques figurerait aussi parmi les principales causes du déclin des stocks de morue.


Ainsi, les probabilités que les stocks de morue diminuent de 10 % en 2009 sont de l'ordre de 80 %, et ce, même en l'absence de pêche commerciale.
http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2009/03/09/002-morue_declin_st-laurent.asp

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Publié le 10 mars 2009 à 14h55 | Mis à jour à 15h00


Surprise: Nature Québec du côté des chasseurs de phoques
Ce n'est pas du tout une surprise crasy

Annie Morin
amorin@lesoleil.com

Québec) Nature Québec plonge dans le débat sur la chasse aux phoques en affirmant que cette activité est essentielle à l'équilibre des écosystèmes marins de l'est du Canada.

«La décision que voudraient prendre certains parlementaires européens ne coïncide pas avec notre vision d'une véritable conservation et du développement durable», a martelé mardi matin, en conférence de presse, le directeur général de Nature Québec, Christian Simard. Celui-ci faisait référence au projet d'embargo sur les produits dérivés du phoque qui doit être soumis au vote du Parlement européen en avril.


Selon Charles-Antoine Drolet, vice-président de Nature Québec et biologiste de carrière, la population de phoques est «en très bonne santé» et «très bien suivie» par les autorités canadiennes. Il n'y a donc pas à craindre pour la survie de l'espèce. Au contraire, les phoques sont tellement nombreux qu'ils mettent de la pression sur plusieurs espèces de poissons de fond, la morue au premier chef, et empêchent les populations de se reconstruire.



«Même si la morue est moins photogénique, elle a tout de même droit de cité», a lancé M. Simard. Celui-ci n'hésite pas à se porter à la défense des chasseurs de loups marins, dont il vante les méthodes de chasse reconnues «sans cruauté» par des vétérinaires indépendants. Il ne lève pas le nez non plus sur l'apport économique de la chasse aux phoques pour les communautés côtières, frappées durement par le chômage.


La position de Nature Québec, organisme non gouvernemental regroupant une centaine de groupes de défense de l'environnement, sera transmise à tous les députés et les dirigeants du Parlement européen au cours des prochains jours. Une lettre ouverte sera également acheminée aux grands journaux européens afin de faire contrepoids aux groupes animalistes qui dénoncent la chasse aux phoques depuis plus de 30 ans.


M. Simard ne se fait pas d'illusion sur la portée de cette prise de position. «On n'est pas prétentieux en disant que demain matin, ça va être the talk of the town au Parlement européen, mais je crois que ça peut contribuer au débat. Il y a certains députés européens qui se posent la question: est-ce que c'est de la véritable écologie ou c'est de la sensiblerie?» Lui-même opte pour la seconde option.


S'il n'est pas commun de voir des groupes environnementaux encourager la chasse, son directeur général n'y voit pas de contradiction. Tout dépend de l'abondance des ressources. Christian Simard rappelle d'ailleurs que son organisme ne peut être accusé de partisanerie puisqu'il s'oppose régulièrement aux politiques environnementales (ou plutôt au manque de politiques environnementales) du Canada, dont il fait pourtant l'éloge dans ce dossier.

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/200903/10/01-835119-surprise-nature-quebec-du-cote-des-chasseurs-de-phoques.php

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La chasse aux phoques défendue par des écologistes
L'Opinion du citadin Ricardo Codina

LA VIE RURALE – QUÉBEC – 10 Mars 2009

Depuis des années, sur le site de la Vie Rurale, nous dénonçons les méthodes des animalistes qui s'acharnent sur les chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine au-delà de toute logique, laissant dans leur propre entourage les élevages de canards se faire gaver de façon cruelle pour la production de masse de foie gras. Un combat basé sur l'iniquité et le deux poids deux mesures. Si 1/100 de leurs efforts sur la chasse aux phoques étaient appliqués pour contrer les fermes de gavages de canards, il y a belle lurette que ce produit serait tombé en désuétude. Le fait de cibler et de s'acharner sur les chasseurs de phoques semble toutefois être une bonne stratégie puisque le Parlement européen doit se prononcer sous peu sur l'interdiction de commercialiser tout produit dérivé du phoque dans l'ensemble des 27 pays de l'Union européenne tout en continuant, bien sûr, à tolérer les élevages de canards et d'oies qui produisent le foie gras selon une méthode des plus cruelle. Je compare des pommes et des oranges? Non, je compare de la souffrance animale avec de la souffrance animale.

Devant tant d'acharnement et d'iniquité, des écologistes en ont assez et défendent les chasseurs de phoques. Ce matin, ces écologistes ont envoyé une lettre à tous les députés européens en leur demandant de ne pas bannir les importations de produits dérivés de cette chasse controversée.

Ces écologistes font partie de Nature Québec qui est un mouvement affilié à l'Union mondiale pour la nature (IUCN). Pour ces militants, qui ne sont pas des animalistes, une interdiction « pourrait avoir des conséquences graves pour les communautés qui bénéficient de cette activité aussi bien que pour l'équilibre écologique du golfe Saint-Laurent ». Pour Nature Québec il est important d'avertir les politiciens européens qu'ils commentent une terrible erreur en adoptant la position de la Commission du marché intérieur du Parlement européen. « À notre avis, la campagne internationale de lutte menée contre cette activité ne possède aucun fondement scientifique et n'est pas liée à la nature véritable du traitement à l'égard des animaux », écrit le président de l'organisme, Michel Bélanger, dans sa lettre destinée aux parlementaires.

L'organisme affirme avoir des études pour appuyer ses dires et défendre la chasse aux phoques qui n'a rien à voir avec les horreurs et barbaries colportées par les animalistes et l'actrice Brigitte Bardot. Ces gens trouvent le pire cas d'espèce sur la banquise pour ensuite généraliser « Les méthodes d'abattage, continue-t-on dans la lettre, n'offrent pas un spectacle pour les coeurs fragiles, nous en convenons, mais elles n'en constituent pas moins la solution la plus acceptable. »

La chasse aux phoques ne serait ni cruelle ni inhumaine selon ces écologies, ce qui va à l'encontre de tout ce que clament les animalistes. Une étude récente du Fonds mondial pour la nature concluait que la chasse aux phoques était pratiquée de façon acceptable à la condition que le coup de hakapik soit fait correctement et promptement sur le crâne du phoque. Ainsi, l'animal demeure inconscient jusqu'à son décès. C'est vrai que ce n'est pas joli à voir. Moi, je serais incapable de faire ça. Tout comme je serais incapable de tirer sur le fusil à air comprimé qui sert à tuer les boeufs à l'abattoir, tout comme je serais incapable de gaver des oies ou des canards pour leur faire exploser le foie. Il n'en demeure pas moins que j'aime bien manger un steak de temps à autre, goûter au foie gras lors de grandes occasions. Et c'est pour cela que je ne comprends pas les animalistes qui s'acharnent contre la chasse aux phoques mais qui ne disent mot sur les animaux tués à l'abattoir ou les volatiles des fermes de gavages. Deux poids, deux mesures, la chasse aux phoques sert de bouc émissaire à leur combat parce que c'est l'image la plus payante pour faire grimper le membership. Rouge sur blanc, c'est une image qui marque, surtout lorsqu'on voit la morphologie sympathique des phoques.

« Depuis 2003, le Canada gère la chasse aux phoques selon une démarche de gestion des pêches par objectifs, fondée sur le principe de l'approche de précaution, rappelle Charles-Antoine Drolet, biologiste et vice-président de Nature Québec. On fixe les prélèvements de phoques à un taux qui garantira le maintien de la population au-dessus d'un point de référence prudent, établi ici à 4,1 millions d'individus », dit-il dans un article paru dans le quotidien La Presse aujourd'hui.

Si la loi européenne passe, c'est la fin de la chasse aux phoques et ce brusque changement pourrait provoquer des perturbations majeures dans l'écosystème. La population de morue de l'Atlantique serait menacée par un accroissement important de la population de phoques, écrit-on. Le plus grand prédateur du phoque, c'est l'homme. Enlevez-le de l'équation d'un seul coup et c'est la catastrophe pour la morue qui, même si elle n'est plus pêchée, peine à survivre.

«Les estimés de Pêches et Océans indiquent que la population actuelle de phoques du Groenland de la côte Est du Canada consomme environ 6 millions de tonnes de poissons par année, dont 60 000 tonnes de morue, et ce, dans la même région où les débarquements de poissons commerciaux atteignent 0,9 million de tonnes par année », précise M. Drolet à La Presse.

Le communiqué en question : http://www.naturequebec.org/ressources/fichiers/Biodiversite/CO09-03-10_Phoque.pdf

Je ne trouve pas sur le site de l'IUCN toutefois le communiqué de Nature Québec. Je ne saurais dire si l'IUCN appuie la position de Nature Québec

VOS RÉACTIONS: http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/20323

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Nature Québec =

Nature Québec et la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs soutiennent que les habitats de l'orignal et de la gélinotte huppée sont en péril dans la réserve Rimouski. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/10/29/003-reserve-rimouski.asp?ref=rss


L’habitat de l’orignal en pleine réserve faunique de Matane est en péril, et cette réserve comme l’ensemble des réserves fauniques doit bénéficier à l’avenir d’un statut de protection particulier, selon Nature Québec et la Fédération québécoise des chasseurs et des pêcheurs. Dans un dossier noir réalisé par Nature Québec et rendu public

En pleine saison de la chasse et à l’aube des travaux de la commission parlementaire sur la réforme du régime forestier, Nature Québec et la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs considèrent qu’il est de leur devoir de faire connaître à la population cette situation qui ne peut plus être tolérée.
Pour Alain Cossette, directeur général de la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs ,
« Les chasseurs et les pêcheurs sont très inquiets devant la destruction des habitats par les coupes forestières ou par leur profonde modification à la suite de plantations d’espèces d’arbres industriellement plus rentables
http://www.fqf.qc.ca/nouvelle_4.html

La transformation des forêts naturelles dans la réserve faunique de Rimouski aurait des conséquences graves sur les habitats de l’orignal et de la gélinotte huppée. Selon Nature Québec, ces deux espèces seraient aujourd’hui en péril.

Dans un nouveau volet du dossier noir des réserves fauniques réalisé par Nature Québec et appuyé par la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs, il ressort que près de 30% de la forêt naturelle a déjà été transformée en plantations monospécifiques d’épinettes noires ou blanches, deux essences forestières qui ne sont utilisées ni par l’orignal ni par la gélinotte huppée, les deux espèces vedettes de cette réserve.
http://www2.canoe.com/infos/environnement/archives/2008/10/20081028-195752.html

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