Cath10 0 Posté(e) le 5 mai 2009 Très URGENT à diffuser en masseLa Forêt De Léa soutient Chipie et son propriétaire . (Nous sommes en contact avec le propriétaire de Chipie, son avocat et le journaliste).« Les gardes fédéraux sont passés dimanche, ils veulent abattre le sanglier que j'ai trouvé voilà huit ans. » Ce sont les paroles d'un homme en plein désarroi.En 2000, Monsieur GAYRAL ne pensait pas mal agir en sauvant une vie. Même si c'est pour sauver , les lois mentionnent "qu'on ne doit pas prélever dans la nature " !Que faire lorsqu'on est sensible et qu'on a un peu de coeur ? laisser mourir l'animal en détresse ou essayer de le sauver ?Mr GAYRAL a opté pour la seconde option sans se poser de questions . 8 ans après cet acte généreux , les autorités demandent l'abattage de l'animal .Chipie est pourtant affectueuse, tranquille et ne cause aucune nuisance.Nous ne pouvons tolérer et abattage gratuit.Pour signer la pétition que nous avons mi en ligne:http://www.lapetition.be/en-ligne/non-labattage-de-chipie-4296.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
hop 0 Posté(e) le 5 mai 2009 Merci Cath, c'est signé. Citation :Même si c'est pour sauver , les lois mentionnent "qu'on ne doit pas prélever dans la nature " ! Par contre, quand c'est pour tuer et qu'on a un permis de chasse, là, on peut "prélever". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Cath10 0 Posté(e) le 6 mai 2009 hop a écrit:Citation :Même si c'est pour sauver , les lois mentionnent "qu'on ne doit pas prélever dans la nature " !Par contre, quand c'est pour tuer et qu'on a un permis de chasse, là, on peut "prélever". Bien dit. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
hop 0 Posté(e) le 6 mai 2009 Même si une épée de Damoclès pèse toujours sur son sanglier, «Chipie», qui est menacée par les gardes fédéraux de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (notre édition d'hier), le Donzacais Maurice Gayral n'en revient pas de l'élan de solidarité dont il est le fait depuis que nous avons révélé sa mésaventure. «Le téléphone ne cesse pas de sonner. On m'appelle de partout», nous confirme-t-il. Je ne pensais pas que les gens seraient touchés par mon histoire.» Ainsi après une avocate montalbanaise spécialisée dans la défense de la cause animale qui lui a promis de s'occuper de son affaire et celui de nombreux chasseurs, Maurice Gayral entend lancer un comité de soutien pour sauver sa laie (1). «situation illégale» En effet, comme nous le révélions hier, ce sanglier, qu'il élève depuis neuf ans sur son domaine - un bois de plus d'un hectare et demi - n'aurait pas été déclaré aux autorités et serait, selon la législation actuellement en vigueur, sous le joug d'une euthanasie. Une mesure d'autant moins compréhensible pour son maître et propriétaire que son sanglier est «protégé par deux clôtures, ma propriété étant fermée sur toute sa superficie de plus d'un hectare de bois où je construis ma maison». Et ce n'est apparemment pas les premiers riverains de Maurice qui ont eu à se plaindre de la présence de cet animal de compagnie, certes atypique, la gendarmerie nous ayant confirmé, hier, n'avoir jamais reçu aucune plainte à ce sujet. Le sujet ne fait pourtant pas l'unanimité dans la communauté des chasseurs. Joint hier, le président de la Fédération de chasse de Tarn-et-Garonne Thierry Cabanes nous confirmait sa désapprobation sur la détention de cet animal. «Cette situation est totalement illégale! Si on accepte que les gens prélèvent des animaux sauvages dans la nature, cela va être la porte ouverte à d'énormes abus. D'autant, tient-il à préciser, que l'on peut acquérir ce genre d'animal issu d'un élevage où le sanglier est bouclé et tracé.» législation draconienne Le cas de «Chipie» révèle néanmoins que cette détention n'est pas unique dans le département. «Il y a plusieurs dizaines de gens qui cachent chez eux un sanglier et qui savent que la législation leur interdit », nous confirme un autre chasseur ayant des responsabilités fédérales et qui a préféré demeurer anonyme. Et même si le dernier cas apparemment recensé par la DDAF concernait la détention illégale d'un daim, la responsable du service chasse, pêche et faune sauvage nous affirmait: «Il s'agit bien d'un délit qui, après une verbalisation des gardes fédéraux, fait aujourd'hui l'objet d'une procédure judiciaire. Celle-ci a été transmise au parquet qui verra les suites à donner à cette affaire.» Le terrain semble donc mal engagé pour «Chipie» et Maurice, la législation actuelle ne prévoyant aucune dérogation en l'espèce. Un point sur lequel les associations de défense des animaux semblent prêtes à se battre. «Même si nous avons la possibilité d'accueillir cet animal, nous confirmait Valérie Portat, présidente de l'association La Forêt de Léa qui possède elle-même trois sangliers, il est rare qu'une laie de cet âge vive longtemps une fois séparée de son maître.» La seule éclaircie dans cette législation draconienne concluait-elle: «Il faudrait juste que les autorités acceptent cette détention si M. Gayral se met aux normes. C'est-à-dire installer un grillage enfoui à 50 cm sous terre et enclos sur un hectare.» Valence. Un comité de soutien pour sauver «Chipie» - 06/05/09 http://www.ladepeche.fr/article/2009/05/06/602522-Valence-Un-comite-de-soutien-pour-sauver-Chipie.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites