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Commission baleinière : encore une réunion pour rien

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La 61e réunion annuelle de la Commission baleinière internationale (CBI), qui s'est achevée jeudi à Madère (Portugal), n'aura permis de "résoudre aucune question", selon les associations de défense de l'environnement, qui ont appelé à un réforme profonde de l'organisation.

Avec une journée d'avance sur le programme prévu, la réunion de la CBI a décidé de reporter une nouvelle fois d'un an toutes les décisions en suspens, tant sur la pêche à la baleine que sur l'avenir de l'organisation elle-même, faute d'accord entre ses 85 Etats membres.

"Après douze mois de discussions, durant lesquels la chasse à la baleine et le commerce de viande de baleine ont atteint des niveaux jamais vus, la seule chose à laquelle soit parvenue la CBI a été de se donner douze mois de plus pour discuter jusqu'à sa prochaine réunion en 2010 à Agadir", déplore Greenpeace dans un communiqué.

"Un changement fondamental est nécessaire si l'on veut conserver un quelconque espoir que les baleines ne se retrouvent pas échouées sur les sables du Maroc l'an prochain", affirme l'organisation écologiste, qui appelle la CBI à "se moderniser pour travailler pour les baleines et non pour ceux qui les chassent".

"Aucune des questions importantes autour de la pêche à la baleine n'a été réglée", a également regretté la Société de protection des baleines et dauphins (WDCS).

La WDCS dénonce notamment la "grosse erreur" de la Commission qui a décidé de reporter, faute d'accord, sa décision sur la demande danoise de reprendre la pêche à la baleine à bosse. "Les cas de la Norvège et l'Islande (seuls pays de la CBI à pratiquer la chasse commerciale) n'ont même pas été abordés", constate la WDCS, qui s'insurge également contre l'absence de condamnation du commerce de la viande de baleine.

Seule "note positive" de cette rencontre, ironise le WDCS, la CBI a reconnu "par consensus" la "menace que constituent les changements climatiques", tout en convoquant de "nouvelles réunions qui vont nécessiter de brûler d'importantes quantités d'énergie fossile, empêchant là aussi la CBI de remplir ses objectifs en matière d'émissions carboniques".


Commision baleinière: encore une réunion pour rien, selon les associations - 25/06/09
http://www.romandie.com/infos/news2/090625184541.r4v17r1b.asp

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Whale chief mulls ending hunt ban MadMadMad


The outgoing chair of the International Whaling Commission (IWC) has suggested whale conservation could benefit from ending the commercial hunting ban.


Dr William Hogarth's remarks came at the end of this year's IWC meeting, which saw pro- and anti-whaling nations agree to further compromise talks.

A Greenpeace spokesman said the moratorium had to stay intact.
The meeting deferred a decision on a controversial bid from Greenland to add humpback whales to its annual hunt.
The Greenland Inuit are one of the indigenous peoples granted hunting quotas because they are deemed to need whalemeat.

The meeting wrapped up a day ahead of schedule, although a small group of delegates convenes on Friday to start planning a second year of talks about a possible compromise deal between the various blocs.
The first year's discussions were supposed to reach a deal by this meeting, but the deadline proved too tight.



''I am probably convinced right now that there would be less whales killed if we didn't have the commercial moratorium''
Dr William Hogarth, IWC chairman


briques



Sustainable yields

The 1982 commercial whaling moratorium is one of the conservation movement's iconic achievements, and environment groups and anti-whaling nations are, at least on the surface, lined up four-square behind it.

But Dr Hogarth, a US fisheries expert who led the compromise talks for the last year, suggested it could now be a problem for whale conservation.
"I'll probably get in trouble for making this statement, but I am probably convinced right now that there would be less whales killed if we didn't have the commercial moratorium," he told BBC News immediately after the meeting ended.

His argument is that Japan's hunts, conducted under a clause in the whaling convention that gives any country the right to hunt as many whales as it wants for scientific research, are essentially unregulated.
Currently Japan catches more than 1,000 whales each year; and Dr Hogarth believes use of the scientific whaling clause encourages large hunts in order to get enough samples to draw scientifically valid conclusions.

"I'm not sure you'd need nearly so many whales if it were strictly for sustainable use," he said.

The key, he suggested, was to find a way of allowing limited, tightly regulated small-scale whaling for local consumption, while outlawing large-scale, heavily commercial hunts and keeping international trade under control.


Suite :

http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/8119843.stm

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