Sans viande, pas d'humanité

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Coup dur pour les ayatollahs du tout végétal. En courant après des régimes alimentaires de plus en plus végétariens ou encore en sacralisant à outrance les animaux, au point de leur accorder plus de considération qu'à ses voisins d'en face, l'être humain serait sérieusement en train de faire fausse route. Une route «dangereuse» d'ailleurs, qui l'amènerait à rompre avec la dimension fondamentale de sa personne: son humanité, estime la préhistorienne française Marylène Patou-Mathis dans une étonnante brique qui retrace l'apport incontestable de la viande à... la grande aventure humaine.

(...)



Sans viande, pas d'humanité - 13/07/09
http://www.ledevoir.com/2009/07/13/258846.html

[animo-aequoanimo 0]

La pauvre est mélangée.
Son constat s'applique bien plutôt aux carnivores qui ont perdu toute humanité. Quand on ne peut avoir de compassion envers les animaux, on manque une fibre.

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Une réponse de Valéry Giroux publié dans Opinion
http://www.ledevoir.com/2009/07/15/259032.html

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[Cath10 0]

hop a écrit:

Une réponse de Valéry Giroux publié dans Opinion

Ouuuuuuffff.... ca fait du bien.
Je vais mieux dormir ce soir.

[hop 0]

Citation :

Ouuuuuuffff.... ca fait du bien.

Ce qui suit, peut-être moins...Sorry, Cath !

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Réponse à Valéry Giroux dans "Opinion"

Quand j'ai lu l'entrevue publiée dans Le Devoir le 13 juillet dernier, relatant les propos de Marylène Patou-Mathis, la première chose qui m'est venue à l'esprit, c'est qu'avant la fin de la semaine, quelque animaliste virulent allait y répondre à grands coups jugements moraux et d'images de lapins ensanglantés.

(...)


Les animaux n'ont pas de droits - 21/07/09
http://www.ledevoir.com/2009/07/21/259785.html

[Cath10 0]

OK hop, c'est moins pire que je pensait. Un autre qui fait sa vierge offusquée... un autre qui veut pouvoir continuer à savourer les petits plaisirs que lui procurent l'exploitation animale. J'en ai vus d'autres !

Citation :

Toutefois, quand l'auteure lie implicitement les horreurs que constituent «l'expérimentation sur les prisonniers de guerre ou sur les personnes handicapées mentalement» avec la production et la consommation de viande, on ne peut que se désoler de voir une doctorante en philosophie placer à égalité la vie animale et la vie humaine.

Je crois qu'on a tendance à oublier que les humains sont des animaux...

Citation :

Lorsqu'on évoque Francione et son analogie entre les animaux de compagnie et ceux dont nous nous nourrissons, où «d'autres animaux qui ne peuvent, d'aucune manière qui soit moralement pertinente, être distingués des premiers», il ne nous reste qu'un pas à franchir pour conclure que les humains ne sont pas si différents des animaux.

Avez-vous entendu parler de la gorille qui a appris à parler le language des signes et qui se comporte comme un enfant, qui fait même des blagues (et certains disent que les animaux n'ont pas le sens de l'humour) , qui prends soin de chatons et qui a été dévastée par la mort de son premier chaton (donc, elle comprends le concept de la mort) ?

Pas si loin que ça de nous !

Ce qui me désole, moi, c'est la tendance humaine à vouloir se rendre supérieur à tout. On est ''supérieurs'' à la planète, aux animaux... avant, c'était que les blancs étaient ''supérieurs'' aux noirs... les hommes étaient ''supérieurs'' aux femmes...

Citation :

Si au moins les animalistes utilisaient des arguments plus logiques, par exemple en faisant valoir les gains économiques et écologiques du végétarisme (pour qu'un boeuf produise 1 kilo de viande, il faut à peu de chose près l'ingestion de 10 kilos de végétaux) ou encore les bienfaits pour la santé de la diminution de la consommation de viande.

Ils le font, et ensuite se font blâmer pour ''cacher'' leurs vraies motivations (la libération des animaux)...

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hop a écrit:

Citation :

Ouuuuuuffff.... ca fait du bien.

Ce qui suit, peut-être moins...Sorry, Cath !

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Réponse à Valéry Giroux dans "Opinion"

Quand j'ai lu l'entrevue publiée dans Le Devoir le 13 juillet dernier, relatant les propos de Marylène Patou-Mathis, la première chose qui m'est venue à l'esprit, c'est qu'avant la fin de la semaine, quelque animaliste virulent allait y répondre à grands coups jugements moraux et d'images de lapins ensanglantés.

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Les animaux n'ont pas de droits - 21/07/09
http://www.ledevoir.com/2009/07/21/259785.html

Minable et pitoyable ! Mais bon... Fallait bien s'attendre à ce que quelque viandiste virulent (et frustré) allait répondre à grands coups de .... sérénades sur les madelinots dont le gagne-pain est de tuer des phoques. On voit bien qu'il est mal renseigné sur les subventions de cette chasse.