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Caro18

Chats perdus Québec - laboratoire de recherche

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L'organisme Chats perdus Québec craint le retour de l'automne

Ian Bussières
Le Soleil

(Québec) L'organisme Chats perdus Québec, créé dans la foulée de la disparition subite d'une cinquantaine de chats à Charlesbourg, à Limoilou et à Saint-Émile au cours des trois premières semaines d'octobre 2008, craint que les enlèvements de félins ne reprennent avec l'arrivée de l'automne.

«Nous sommes préoccupés, car l'automne est la période qui est le plus à craindre. Les gens sont moins souvent à l'extérieur, il fait noir plus tôt et la végétation permet encore de cacher les cages utilisées pour capturer les chats», explique Chantal Rondeau, l'une des fondatrices de Chats perdus Québec.

Celle-ci ajoute que les signalements de chats disparus auprès du site Web de son organisme www.chatsperdusquebec.com ont repris en mai après une accalmie de quelques mois et qu'ils se sont accentués au cours des dernières semaines.

Appât du gain

Mme Rondeau et René Myrand, qui ont tous les deux subi l'enlèvement de leur chat l'automne dernier, croient toujours que des personnes souhaitant revendre les animaux à des laboratoires de recherche puissent être à l'origine des disparitions.

«L'an passé, la police avait enquêté et conclu que les disparitions étaient l'oeuvre d'une femme de 48 ans qui n'avait aucune intention criminelle. Pourtant, aucun des propriétaires de chats disparus n'a revu son animal, à une exception près. Nous croyons que la police a voulu fermer le dossier rapidement», indique M. Myrand.

Celui-ci demeure convaincu que l'appât d'un éventuel gain financier pourrait inciter des gens à commettre ces crimes. «À chaque année, la Société protectrice des animaux refuse les demandes de laboratoires qui souhaitent acheter des chats abandonnés et c'est à l'automne que les labos ont besoin de refaire leurs stocks», conclut-il.

Les fondateurs de Chats perdus Québec invitent d'ailleurs les propriétaires de chats qui ont vu leur animal disparaître à les contacter ainsi que tous ceux qui pourraient détenir des renseignements pertinents sur le sujet.

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/la-capitale/200909/05/01-899253-lorganisme-chats-perdus-quebec-craint-le-retour-de-lautomne.php

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POLICES OU COMPLICES? Shocked



‘’Le service de police de la ville de Québec a conclu que
les enlèvements de chats du mois d’octobre 2008 étaient
l’affaire d’une dame dérangée…’’

Voilà bientôt près d’un an que nous attendons en vain des
explications.

Bien avant les évènements d’octobre, c’est en juin que la
fameuse madame minou a été dénoncée et contactée par
les policiers.

Attrapant un chat avec une cage, plusieurs témoins ont
relevé son numéro de plaque ( que nous détenons). Elle
prétendait travailler pour la ‘’faune’’.

Sa maladroite façon de faire était tout ce qu’il y a de plus
‘’amateur’’.

S’il faut en croire les policiers, elle aurait monté rapidement
dans la ligue professionnelle. Ils lui imputent rien de moins
que la razzia sans précédent survenue quatre mois plus
tard.

Selon leur version, elle aurait récidivé et capturé à elle
seule, sans se faire voir, près de quarante chats en trois
semaines, sûrement récipiendaire alors du titre de recrue
de l’année.

Ils doivent être fiers de leur cynique communiqué final,
pointant exclusivement cette dame, prétendument non
responsable de ses actes et ne pouvant donc pas être
ni accusée, ni identifiée.

Habile, mais éculée, cette stratégie pour bâcler le dossier.

Ils ont ressorti le scénario classique trop souvent utilisé
dans ce genre d’enquête; accuser le fou du village.

Par surcroît, quand ce dernier est anonyme, qu’il existe ou
non, il peut prendre la responsabilité de tous les crimes.

Ça évite de remonter la filière pour découvrir où sont
vraiment allées les bêtes.

Difficile de croire leur version puisqu’ils n’ont même pas
récupéré une seule boule de poils .

Pourquoi les policiers ont-ils effrontément menti à la presse
écrite en disant que les chats étaient ramenés là où ils
avaient été enlevés alors que tout le monde sait que c’est
faux ?

Un mépris total pour les victimes, indigne d’un service
de police.

Où sont ces chats qui, selon leur dire, étaient dorlotés,
nourris et soignés avant d’être rapportés ?

Ils n’ont pas retrouvé l’ombre d’un chat.

Ils ont déniché, à défaut de chats, la parfaite petite
histoire rassurante qui, en fin de compte, protège les
vrais coupables.

Le jour où l’enquête s’est terminée, dans certains labos,
en plus des miaulements, on entendit des soupirs, puis
des applaudissements.

Était-ce pour la police ou pour les complices ?



Faites parvenir vos commentaires à chatsperdus@live.fr

www.chatsperdusquebec.com

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