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Animal

message clair aux groupes végétariens qui manipulent

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OTTAWA, le 16 décembre 2009 - Le Sénat du Canada reconnait le droit des communautés côtières à gagner leurs vies grâce à l’utilisation de ressources animales.



L'adoption de cette motion par le Sénat du Canada envoie un message clair aux groupes végétariens qui manipulent l'opinion publique pour financer leur idéologie. Le Sénat renouvelle son engagement à préserver l'équilibre des écosystèmes, à promouvoir le bien-être animal et la protection des communautés humaines. Les êtres humains ont le droit d'utiliser les ressources naturelles tels que les animaux lorsque c'est fait de façon éthique et durable.

L’honorable Céline Hervieux-Payette, c.p.
Leader de l’opposition au Sénat

POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
Le Sénat du Canada reconnait le droit des communautés côtières à gagner leurs vies grâce à l’utilisation de ressources animales
www.phoque.org

OTTAWA, le 16 décembre 2009 – « Honorables sénateurs, je suis heureuse de réunir tout le monde et d'offrir l'espoir en cadeau à nos concitoyens de la côte Est ou de la côte de l'Atlantique, que ce soit des îles-de-la-Madeleine, de Terre-Neuve ou encore de nos amis du Nunavut et de tous ceux qui procèdent à la chasse au phoque », a déclaré la sénatrice Céline Hervieux-Payette, en réponse à l'adoption unanime par le Sénat de sa motion sur la protection des animaux et les écosystèmes.
« J'aimerais également remercier Daniel Shewchuk, ministre de l'Environnement du gouvernement du Nunavut, le ministre Claude Béchard, du Québec, ainsi que M. Tom Henderson, ancien ministre des Pêches de Terre-Neuve-et-Labrador, qui m'ont appuyée dans l'élaboration de cette motion. Une grande famille canadienne s'est réunie autour de cette motion », a poursuivi le sénateur Hervieux -Payette.
L'adoption de cette motion par le Sénat du Canada envoie un message clair aux groupes végétariens qui manipulent l'opinion publique pour financer leur idéologie. Le Sénat renouvelle son engagement à préserver l'équilibre des écosystèmes, à promouvoir le bien-être animal et la protection des communautés humaines. Les êtres humains ont le droit d'utiliser les ressources naturelles tels que les animaux lorsque c'est fait de façon éthique et durable. « On parle de gens qui s'opposent au fait que des êtres humains puissent utiliser ce que la terre leur procure, ce qui, dans le cas qui nous intéresse, est une activité qui produit des revenus essentiels pour les habitants du Nord du pays et ceux qui résident sur la côte », a ajouté le sénateur.
Le sénateur a souligné l'importance de prélèvement éthique des animaux en clarifiant la définition du terme « éthique » : « cette disposition répond aux standards fixés par la profession, en particulier des vétérinaires, anthropologues et autres spécialistes qui ont travaillé avec moi, me donnant un bon coup de main pour éventuellement faire ratifier par tous les pays la déclaration universelle sur le prélèvement éthique du phoque », a souligné le sénateur Hervieux-Payette.
Le sénateur a dirigé un groupe d'experts pour créer une Déclaration Universelle sur le Prélèvement Éthique du Phoque qui a été officiellement soutenue par les gouvernements de Terre-Neuve-et-Labrador et de Québec et l’IWMC World Conservation Trust.
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(English version available)
Maximilien Depontailler
Conseiller politique
Bureau de l’honorable Céline Hervieux-Payette, c.p.
613-947-8008 - deponm@sen.parl.gc.ca

http://www.phoque.org/_files/FRA_Communiquemotionadoptee.pdf

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Débats du Sénat
2e SESSION. 40e LÉGISLATURE.
VOLUME 146. NUMÉRO 82
COMPTE RENDU OFFICIEL
(HANSARD)
Le lundi 14 décembre 2009
La protection des animaux et l'écosystème
Adoption de la motion
L'honorable Céline Hervieux-Payette, conformément à l'avis du 1er décembre 2009, propose :
Que,
Attendu que le Sénat du Canada reconnaît la nécessité d'appliquer les principes modernes de protection des animaux, de développement durable, de gestion écosystémique et de règlementation préventive et reconnaît l'apport des connaissances traditionnelles des Autochtones en matière d'écologie à cet égard;
Attendu que le Sénat du Canada reconnaît l'obligation morale de traiter toutes les espèces sans cruauté et avec respect;
Attendu que le Sénat du Canada reconnaît la contribution de la diversité écologique et l'importance pour l'humanité d'utiliser rationnellement les ressources naturelles sans porter atteinte aux espèces qui pourraient être perçues comme concurrentes lorsque vient le temps de tirer parti de ces ressources;
Que le Sénat du Canada affirme que l'équilibre de l'écosystème est le fruit d'une interaction constante entre les proies et les prédateurs, à tous les niveaux de la chaîne alimentaire; que l'espèce humaine fait partie intégrante de l'écosystème et qu'en conséquence, sa position en tant que prédateur ne peut être séparée du reste de la nature;
Que le Sénat du Canada affirme que l'être humain peut légitimement élever, prélever et utiliser tout animal qu'il soit sauvage ou d'élevage à des fins personnelles, économiques et scientifiques;
Qu'un message soit envoyé à la Chambre des communes pour lui demander de faire front commun avec le Sénat aux fins de ce qui précède.
Le sénateur Hervieux-Payette :
— Honorables sénateurs, je suis heureuse de réunir tout le monde et d'offrir l'espoir en cadeau à nos concitoyens de la côte Est ou de la côte de l'Atlantique, que ce soit des îles-de-la-Madeleine, de Terre-Neuve ou encore de nos amis du Nunavut et de tous ceux qui procèdent à la chasse au phoque.
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J'aimerais également remercier Daniel Shewchuk, ministre de l'Environnement du gouvernement du Nunavut, le ministre Claude Béchard, du Québec, ainsi que M. Tom Henderson, ancien ministre des Pêches de Terre-Neuve-et-Labrador, qui m'ont appuyée dans l'élaboration de cette motion. Une grande famille canadienne s'est réunie autour de cette motion.
Je fais suite également à l'émission de télévision de CBC, qui nous a montré le sort difficile de nos concitoyens, qui ont comme mode de vie la chasse au phoque. Ces derniers sont inquiets, angoissés devant l'avenir qui leur est réservé et, que ce soit les chasseurs eux-mêmes ou ceux qui vivent de l'ensemble des produits du phoque, personne ne devrait se sentir abandonné.
Le but de cette motion, c'est tout simplement de leur dire que nous sommes là et que nous allons continuer la bataille contre des groupes comme PETA, la Humane Society et des acteurs qui n'ont pas travaillé depuis longtemps, comme Brigitte Bardot, Pamela Anderson ou Paul McCartney, qui, sans aucune compétence dans ce secteur, ont prêté leur nom de façon absolument indécente à la cause des végétariens.
Cette motion montrera à tous les groupes à travers le pays que nous sommes engagés envers le bien-être des animaux tout en reconnaissant que les êtres humains sont partie intégrante de l'écosystème. Un écosystème équilibré, comme je l'ai écrit dans la motion, est le résultat d'une interaction constante entre prédateurs et proies tout au long de la chaîne alimentaire, dont les humains font partie intégrante; par conséquent, les prédateurs que sont les humains ne peuvent pas être séparés de la nature.
Je crois qu'aujourd'hui, nous souscrivons aux propos notre collègue, le sénateur Grafstein, qui encourage l'Europe et le monde occidental à faire des affaires avec le Moyen-Orient et à souscrire à l'action de M. Sarkozy; par contre, nous avons encore du travail à faire auprès de nos collègues du Parlement européen pour leur faire comprendre que nos chasseurs peuvent, légitimement et de manière éthique, élever, prélever et utiliser tout animal, qu'il soit sauvage ou d'élevage, à des fins personnelles, économiques et scientifiques, et que nous continuerons la bataille pour faire lever l'embargo sur les produits du phoque, qui ne peuvent pas être expédiés en Europe.
Je vous demande donc, honorables sénateurs, d'appuyer cette motion.
L'honorable Gerald J. Comeau (leader adjoint du gouvernement) : Honorables sénateurs, j'appuie l'initiative du sénateur Hervieux- Payette ainsi que la teneur à poser de cette motion, mais j'aurais une question de précision à poser.
Madame le sénateur pourrait-elle nous expliquer plus en détail cette portion de la motion : « Attendu que le Sénat du Canada reconnaît la nécessité d'appliquer les principes modernes de protection des animaux [...] »?
Le sénateur Hervieux-Payette : Honorables sénateurs, en fait, cette disposition répond aux standards fixés par la profession, en particulier des vétérinaires, anthropologues et autres spécialistes qui ont travaillé avec moi, me donnant un bon coup de main pour éventuellement faire ratifier par tous les pays la déclaration universelle sur le prélèvement éthique du phoque. Nous avons des professionnels qui établissent de très hauts standards que les provinces s'engagent à respecter. Donc, quand on parle de principes modernes de protection des
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animaux, cela veut dire que cette chasse doit se faire de façon éthique et conformément aux recommandations des spécialistes dans ce domaine.
[Traduction]
L'honorable Michael Duffy : Honorables sénateurs, nous savons tous que la chasse au phoque est une activité économique essentielle dans certaines des régions les plus éloignées du pays. Madame le sénateur aurait-elle l'obligeance de nous livrer ses réflexions sur les sommes d'argent que ces organisations opposées à la chasse au phoque réussissent à recueillir auprès de divers groupes qui appuient cette cause bidon partout dans le monde?Le sénateur Hervieux-Payette : Ils ne m'ont pas envoyé leur état financier vérifié, mais, selon des professeurs qui suivent ce dossier et qui ont publié récemment des rapports là-dessus, on parle d'au moins 2 millions de dollars par année, ce qui exclut les militants qui travaillent bénévolement pour l'avancement de cette cause.
Il s'agit d'une idéologie qui ne concerne pas simplement la nourriture que procure la viande de l'animal ou l'utilisation de la peau ou d'autres produits dérivés. On parle de gens qui s'opposent au fait que des êtres humains puissent utiliser ce que la terre leur procure, ce qui, dans le cas qui nous intéresse, est une activité qui produit des revenus essentiels pour les habitants du Nord du pays et ceux qui résident sur la côte.
Comme on le sait, qu'il s'agisse de la côte atlantique ou des Îles- de-la-Madeleine, la chasse au phoque marque le début de la saison de la pêche. Les revenus tirés de cette chasse permettent à la population de pêcher le homard ou le poisson. S'ils ne disposaient pas de ces revenus au début de l'année, ces gens ne pourraient pas s'adonner à d'autres activités de subsistance.
Leur revenu est infime. On ne parle pas de milliards de dollars. Les revenus tirés de la chasse au phoque en 2007 se chiffraient à environ 15,4 millions de dollars, mais cet argent est essentiel à la subsistance de ces gens.
Son Honneur le Président : Vous plaît-il, honorables sénateurs, d'adopter la motion?
(La motion est adoptée

http://www.phoque.org/_files/FRA_MotionProtectionanimauxetecosystemesDec2009.pdf

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Une foule d'articles et de vidéos sont sortis ce mois-ci pour appuyer la chasse au phoque Mad

L'embargo européen sur les produits de phoque a fait mal aux chasseurs
Par Sue Bailey, LA PRESSE CANADIENNE
à 14h41 HAE, le 17 décembre 2009.


LA PRESSE CANADIENNE/Andrew Vaughan

TWILLINGATE, T.-N.-L. - Pour la première fois en 38 ans, Hardy Troake, âgé de 53 ans, a décidé au printemps dernier de rester à terre plutôt que d'affronter les glaces du nord de l'Atlantique pour chasser le phoque, dont la peau est désormais vendue 14 $ pièce.

Les prix de la fourrure de ce mammifère marin ont dramatiquement chuté depuis leur sommet de 2006, alors que la peau de l'animal était vendue 106 $ l'unité. La crise économique est en partie responsable de la baisse de la demande pour la fourrure, mais l'annonce de l'embargo européen sur les produits du phoque, alimenté par les groupes de défense des animaux, a asséné le coup fatal à cette industrie.

La ville de Twillingate, sur la côte nord-est de Terre-Neuve, était une capitale de renommée internationale pour la chasse au phoque du Groenland. Très touchée par l'accumulation de ces mauvaises nouvelles, seulement trois bateaux ont quitté ses rives cette année. Le printemps précédent, on en comptait 25, et les années où les prix étaient à leurs sommets, des centaines de bateaux partaient au large chasser l'animal.

Atterrée par une dette grandissante et une population en déclin, Twillingate s'est auto-proclamée, pour diversifier son industrie, la "capitale de l'iceberg en Amérique du Nord". Mais le tourisme sur cette île au paysage saisissant n'est que saisonnier. De plus, Twillingate est située à six heures de route de Saint-Jean, au nord.

"Ca a été dévastateur", déplore M. Troake, en sciant du bois derrière sa maison de deux étages. Il a grandi à deux pas de sa résidence actuelle, qui a une vue imprenable sur la mer. Son frère, Gary, également pêcheur, habitait la maison voisine avant de perdre la vie dans un accident de pêche en 2000.

Dans cette communauté tricotée serrée, beaucoup d'habitants ne comprennent pas que l'Europe s'oppose, pour des raisons éthiques, à une tradition qui nourrit, depuis des générations, les populations des régions les plus pauvres du Canada. D'autant plus, disent-ils, que c'est dans le Vieux Continent qu'est née la tradition des corridas.

"Nous dépendions de la chasse au phoque au printemps pour amasser suffisamment d'argent afin de préparer les autres pêches, comme celle du crabe, du homard, des poissons de fond, des crevettes", explique Hardy Troake.

"Cette année, nous n'avons pas eu cette chance, alors nous avons dû recommencer à zéro. Et avec la situation économique, les autres prix étaient aussi à la baisse. Cela a affecté toute notre communauté."

Twillingate compte quelque 2400 habitants mais sa population est en déclin. Au cours des 25 dernières années, elle a chuté de moitié, les jeunes, faute d'opportunité, quittant pour se trouver du travail ailleurs.

Le maire Gordon Noseworthy craint que l'embargo sur les produits du phoque - qui devrait entrer en vigueur au mois d'août - aggravera les choses.

"L'emploi a chuté. Les revenus de l'administration portuaire sont à la baisse. Tout est en baisse. Des idiots clamaient que l'on ne pouvait pas tuer des bébés phoques. Mais on n'en tue plus depuis 20 ans", s'est exclamé le maire, ajoutant que cette campagne européenne contre la chasse au phoque avait déjà coûté une fortune aux petits villages isolés de Terre-Neuve.

Une vidéo présentée sur Internet par le groupe écologiste PETA, établi en Virginie, demande l'aide des téléspectateurs pour que cesse le "massacre des phoques". On y voit un blanchon qui semble se lamenter, alors que le Canada a interdit depuis 1987 la chasse aux bébés phoques à des fins commerciales.

Le vice-président aux campagnes de PETA, Dan Mathews, minimise l'importance économique de cette activité commerciale, qu'il qualifie "d'abattage cruel".

"Elle ne contribue que dans un faible pourcentage à l'économie locale et tout ce qu'elle fait, c'est donner au Canada une mauvaise image", a ajouté M. Mathews.

Selon lui, avec les chiffres de cette année, le gouvernement canadien a l'air ridicule en essayant de sauver cette industrie en déclin.

Le ministère des Pêches et des Océans indiquait en mai qu'il y avait seulement 306 expéditions de chasse au phoque en partance de Terre-Neuve-et-Labrador, comparativement à 977 l'année précédente.

Des images sanglantes de la chasse ont contribué à faire adopter l'embargo européen. Le Canada conteste d'ailleurs cette mesure devant l'Organisation mondiale du commerce.

En entrevue à La Presse Canadienne, le premier ministre de la province, Danny Williams, a affirmé qu'Ottawa fait ce qu'il peut. "Je sais que le premier ministre (du Canada) a parlé à de hauts dirigeants", a-t-il ajouté.

De son côté, M. Williams a demandé aux chasseurs de phoque de l'Atlantique d'utiliser des fusils, plutôt qu'un hakapik, cet outil traditionnellement utilisé pour tuer rapidement l'animal d'un coup sur le crâne. Ainsi, selon le premier ministre Williams, l'utilisation de cette arme ne devrait plus, d'ici peu, être un argument brandi contre cette "chasse sanglante".

D'autant plus que l'on aurait déjà observé des problèmes liés à la surpopulation de phoques, comme une baisse marquée de certains stocks de poissons. Le gouvernement envisage-t-il la possibilité d'un abattage sélectif? A cette question, la ministre fédérale des Pêches et des Océans, Gail Shea, a simplement répondu qu'elle était au courant du problème.

Par ailleurs, elle espère qu'un marché pour la viande de phoque pourra être développé. Le phoque sera ajouté au menu du restaurant du Parlement à Ottawa et les députés ont récemment eu droit à une dégustation de "loup marin" pour leur faire connaître cette viande encore peu offerte.

D'autres parties de l'animal pourraient servir à des fins médicales. Mme Shea a évoqué de nouvelles recherches prometteuses sur l'utilisation possible de valves cardiaques de phoques sur des patients humains. "Nous espérons qu'en même temps, nous pourrons diminuer la population de phoques", a-t-elle ajouté.

Un projet pilote a eu lieu au printemps et la ministre espère qu'il sera reconduit l'an prochain.

Les pêcheurs comme Hardy Troake, eux, se disent prêts à participer à toute initiative qui leur permettrait de reprendre leur activité.
http://www.lexpress.to/pc/17993919/

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Ottawa, le 2 décembre 2009 - Vétérinaire et gens de l'industrie expliquent la réalité de la chasse au phoque et présentent le documentaire réalisé par Raoul Jomphe ...

www.youtube.com/watch?v=euWKAnboEk4

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Article publié le 28 décembre 2009

Initiative du Canada, et proposition mise sur la table pour l’ensemble des pays concernés, des experts et des citoyens désireux de protéger notre planète, la Déclaration Universelle sur le Prélèvement Éthique du Phoque a été élaboré par 8 scientifiques et experts dont 2 personnes autochtones. (http://www.phoque.org

Ce document se base sur le principe dit "d'utilisation rationnelle" exprimée par l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), sur les principes de conservation des espèces exprimés dans la Convention sur la diversité biologique - dont le Canada est signataire - et sur le savoir traditionnel écologique autochtone. La Déclaration propose des principes réconciliant le bien-être animal (le document reconnait que l'animal est un être sensible dont la souffrance doit être évitée au mieux des connaissances scientifiques), protège les écosystèmes et les espèces et respecte le droit des communautés humaines à vivre de ressources naturelles pour autant que cela soit fait de manière humaine et durable. En décembre 2009, le gouvernement du Québec a rejoint le gouvernement de Terre-Neuve et Labrador en officialisant son soutien à la Déclaration. L'organisation IWMC Conservation Trust, basée en Suisse, une coalition d'experts faisant la promotion de la conservation des espèces et des habitats, appuie également la Déclaration. Un processus de formation de coalition est en marche. Un groupe facebook existe et la coalition est également présente sur Twitter. Les ONG et gouvernements sont appelés à soutenir la Déclaration. Les citoyens sont appelés à signer la pétition en ligne et à manifester leur appui en écrivant à info@phoque.org



Source image : http://a10.idata.over-blog.com

Maximilien Depontailler (le conseiller politique de la paillette ...)

http://www.naturavox.fr/biodiversite/article/chasse-au-phoque-la-declaration

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