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Animal

BULLETIN AUTOMNE 2009- SUITE

Messages recommandés

ENVIRONNEMENT


Publié le 28 janvier 2010


Des scientifiques demandent à Charest d'interdire l'exportation d'amiante


Alexandre Robillard
La Presse Canadienne
QUÉBEC


Une centaine de scientifiques de 28 pays ont interpellé le premier ministre Jean Charest, jeudi, afin qu'il reconnaisse les risques liés à l'utilisation de l'amiante chrysotile et qu'il mette fin aux exportations de ce minerai extrait du sous-sol québécois.


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Jean Charest

Archives La Presse
Dans une lettre, ils demandent à M. Charest de prendre acte des avis des organisations québécoises, canadiennes et internationales, selon qui toutes les formes d'amiante sont dangereuses pour la santé publique.

Soutenant que le Québec n'utilise pratiquement pas d'amiante malgré les grands projets d'infrastructure en cours, les 102 signataires ont exigé du premier ministre qu'il empêche l'exportation du minerai, notamment dans les pays en voie de développement.

Ils ont aussi demandé que le gouvernement québécois cesse de soutenir financièrement les activités d'un institut chargé de la promotion de ce produit, réputé pour ses propriétés ignifuges.


Un des signataires, le médecin Fernand Turcotte, professeur émérite de santé publique à l'Université Laval, s'est dit frappé par le double discours de M. Charest, dont les prises de position environnementales sont connues sur la scène internationale, alors qu'il tolère l'utilisation d'un produit reconnu comme un cancérigène.

«Noblesse oblige, a-t-il dit. La notoriété commande qu'il aligne une position qui est contradictoire, notamment dans celle que nous avons vis-à-vis l'amiante, pour tenir compte de ça aussi.»

http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/economie/201001/28/01-944046-des-scientifiques-demandent-a-charest-dinterdire-lexportation-damiante.php

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Mer 27 Jan à 3:51

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Un enquêteur de Mercy for Animals a travaillé 2 mois, avec une caméra cachée, dans un élevage de vaches laitières de l'état de New York. Il en a ramené des images d'amputation des queues et d'écornage, des photos et des notes de terrain.

Veaux traînés par les pattes pour les éloigner de leurs mères. Vaches malades ou éclopées que l'on tape ou pique avec un aiguillon pour les faire aller plus vite à la salle de traite. L'enquêteur raconte qu'il arrive que son superviseur cogne les vaches quand les journées sont trop longues, histoire de passer le temps.

Vidéos, photos, notes de terrain
http://www.mercyforanimals.org/dairy/

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Publié le 29 janvier 2010 à 07h43 | Mis à jour à 07h46


Des éléphants sauvages sèment la panique dans un village indonésien
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Archives AFP
Agence France-Presse
Jakarta


Des dizaines d'éléphants sauvages ont provoqué la panique dans un village de l'île de Sumatra, détruisant des maisons et faisant fuir une partie des habitants, ont indiqué vendredi les autorités.

«Quelque 70 éléphants ont détruit plus d'une vingtaine d'habitations dans le village de Lubuk Kandis», dans une région forestière du centre de Sumatra, a indiqué Iwin Karsiawan, de l'agence de conservation pour la province de Riau.

«Personne n'a été tué ou blessé mais la moitié des 40 familles ont fui», a-t-il ajouté.

Ce village a été récemment établi par des fermiers qui, en développant la culture du palmier à huile, ont pénétré dans une zone d'habitat des éléphants.


La déforestation rapide sur l'île de Sumatra provoque une augmentation des conflits entre humains et animaux sauvages, essentiellement les éléphants et les tigres, dont le nombre ne cesse de diminuer. Ces animaux sont en effet pourchassés par des humains excédés de voir leurs cultures et leurs habitations endommagées.

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Publié le 29 janvier 2010 à 08h35 | Mis à jour à 08h35


Braconnage en Mauricie: 113 personnes interceptées
Martin Lafrenière
Le Nouvelliste


Quelque 113 personnes en Mauricie et au Centre-du-Québec ont été interceptées pour avoir commis des actes de braconnage pendant la saison de chasse de l'automne dernier.

Ce nombre affiche une baisse de 13 % par rapport aux données de 2008, alors que 130 personnes avaient été impliquées dans de tels actes. Mais selon Benoit Fortin, la situation pourrait changer.

«Il reste encore une trentaine de dossiers sous enquête. On pourrait donc avoir des statistiques comparables à 2008», raconte M. Fortin, coordonnateur des dossiers régionaux à la direction régionale du ministère des Ressources naturelles et de la Faune.

Par contre, il y a une hausse du nombre d'infractions (de 158 à 162). Ces personnes sont passibles d'amendes de près de 160 000 $.


Encore une fois cette année, la chasse nocturne, la possession de gibier en plus grand nombre que la limite permise et la possession d'armes à feu chargées dans les véhicules font partie des infractions notées par les agents de protection de la faune.

«Il y a deux types de braconniers, analyse M. Fortin. Il y a le braconnier du «dimanche»: ce n'est pas une personne qui part à la chasse avec l'idée de braconner, mais l'occasion se présente. Il y a l'autre type, celui dont l'idée est déjà faite. Et il y a les infractions plus techniques. Les armes à feu chargées dans les véhicules, il y a encore des gens qui ne comprennent pas que (l'interdiction) c'est une simple question de sécurité.»

Au cours de la dernière année, les agents de protection de la faune ont fait face à un phénomène relativement nouveau dans le Centre-du-Québec: l'achat et la vente de gros gibier.

«Une personne qui chasse de nuit et qui a un bon succès peut être tentée par la vente. Ça peut lui rapporter un certain montant d'argent», explique Benoit Fortin.

Pour la région de la Mauricie, les agents de protection de la faune des bureaux de La Tuque, de Saint-Alexis-des-Monts et de Shawinigan ont déposé 76 accusations contre 64 personnes. Du côté du Centre-du-Québec, les agents ont intercepté 49 individus qui font face à 86 accusations.

Près de 900 kilos de viande ont été saisis dans les deux régions. Cette viande a été remise à des organismes qui oeuvrent auprès de personnes démunies.

Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune invite les citoyens à dénoncer les actes de braconnage en téléphonant au 1-800-463-2191.

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mardi 19 janvier 2010
Scientifiques sadiques

Toute l'Autriche est indignée ! Des scientifiques autrichiens ont décidé d'enterrer des cochons vivants sous la neige et de les laisser mourir pour le besoin de la science.

29 cochons innocents devaient être les victimes d'une série de tests "scientifiques" mardi 12 janvier dans le Tyrol, en Autriche pour voir combien de temps ils pourraient survivre à une avalanche. Dix de ces animaux ont déjà été ensevelis
sous la neige et sont morts.

"Selon une interview accordée par l'un des scientifiques à une radio autrichienne, ces chercheurs de l'Université médicale d'Innsbruck suivent ensuite minute par minute, voire heure par heure, le calvaire des porcs. Certains d'entre eux sont tout de même “épargnés”: leur tête reste à l'air pendant que tout leur corps périt sous le froid. Lorsque les cochons/porcs ne donnent plus signe de vie, ils sont découpés et des échantillons sont envoyés dans un laboratoire pour être analysés.

“Inimaginable”, “inhumain”, “déguelasse”... Cette pratique est dénoncée aujourd'hui par des dizaines d'associations de protection des animaux et des partis politiques qui demandent l'arrêt immédiat de ces expériences.

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24.01.10

Après le massacre tout récent de 29 cochons anesthésiés au Tyrol puis ensevelis sous de la neige pour simuler les dégâts des avalanches sur les humains, une nouvelle monstruosité dévoilée cette fois-ci au Royaume-Uni.

L'Armée française et/ou certains services de sécurité doivent faire de même en France, mais circulons, y'a rien à (sa)voir.

Article source en anglais ici.

Des cochons vivants utilisés pour des expériences de simulation d’attentats terroristes

Des cochons vivants ont été tués au cours d’explosions réalisées à Porton Down, le laboratoire secret de recherche militaire de l’État britannique, au cours d’expériences supposées simuler l’effet d’attaques terroristes sur des cibles civiles.

Lors d’une série de tests menés au centre de recherches biologiques et chimiques de Wiltshire, 18 cochons de grande taille enveloppés dans des couvertures de protection ont été déposés à moins de trois mètres de bombes qui ont été ensuite mises à feu. Les scientifiques ont laissé ces animaux se vider de près du tiers de leur sang pour observer combien de temps ils resteraient en vie.

Des députés et des groupes de protection des animaux ont dénoncé l’utilisation d’animaux vivants pour des expériences d’explosion, même si les cochons ont été anesthésiés. Aucun n’a survécu à ces expériences.

Pour Norman Baker, député libéral-démocrate de la circonscription de Lewes : « Ces expériences sont tout aussi révoltantes qu’inutiles. Nous ne connaissons que trop bien malheureusement les effets du terrorisme. Il est tout à fait possible de découvrir des choses que nous ignorons sans avoir besoin pour cela de faire exploser des cochons. »

Les documents relatifs à ces travaux, obtenus par The Sunday Times, montrent que les expériences du laboratoire de Science et technologie de la Défense ont été effectuées au motif que « les blessures consécutives à une explosion sont un problème croissant, compte tenu de l’importance de la menace terroriste ».

Censées recréer l’effet d’un souffle dans un espace clos, comme lors des attaques de juillet 2005 à Londres dans le métro et dans un autobus à étage, les explosions ont été réalisées pour aider les médecins à contrôler les hémorragies des victimes.

Placés à moins de trois mètres des charges, les cochons ont été enveloppés dans des couvertures Kevlar destinées à les protéger contre les éclats de bombe mineurs. Au préalable, ils ont été intubés au niveau des vaisseaux sanguins et de la vessie et ont subi une ablation de la rate. Un fil a également été placé pour que l’explosion provoque la lacération d’un important vaisseau sanguin de l’abdomen.

Porton Down a fait valoir que ce programme de recherche aiderait les soldats britanniques exposés aux bombes en Afghanistan aussi bien que les potentielles victimes civiles d’actes terroristes. Il a été observé que 94% des blessés graves lors des attentats à la bombe de 2004 à la gare de Madrid souffraient de « blast pulmonaire », une pathologie dont les lésions s’aggravent avec le temps.

Une porte-parole a déclaré qu’il était déjà prouvé, de manière anecdotique, que ces travaux permettaient de sauver des vies.

« Ces études s’inscrivent dans notre programme général de soin aux victimes de combat. À titre anecdotique, il est prouvé que des gens survivent grâce à ces travaux », a-t-elle déclaré.

Créé lors de la Première Guerre mondiale pour étudier la guerre chimique, Porton Down utilise une race spéciale de cochons blancs dont la peau ressemble à la chair humaine.

Les scientifiques de la BUAV ont contesté la valeur de ces tests, estimant que l’effet de l’explosion d’une bombe sur un cochon anesthésié « est sensiblement différent de l’effet sur un être humain conscient ».

Un porte-parole a déclaré : « Nous sommes d’accord qu’il faut réagir à la tragédie humaine, les victimes étant malheureusement trop nombreuses. Mais nous sommes convaincus que ce n’est pas en déchiquetant des cochons dans le cadre d’expériences terrifiantes que l’on trouvera des réponses ».
http://semaine-mondiale-animaux-laboratoire.org

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mardi 26 janvier 2010

<http://www.evana.org/index.php?id=52463&lang=fr>

Plus de chat ni de chien dans les assiettes en Chine?


Les Chinois pourraient se voir privés prochainement de viande de chat ou de
chien si les députés votent un projet de loi contre les
mauvais traitements aux animaux, a annoncé mardi un quotidien régional.

La consommation de viande de chat ou de chien, répandue dans le pays car elle
est censée favoriser une bonne température corporelle,
pourrait valoir aux Chinois une amende de 5.000 yuans (500 euros) et jusqu'à 15
jours de prison, a rapporté le Chongqing Evening
News.

Les "organisations" impliquées dans cette pratique ancestrale pourraient se voir
infliger des amendes de 10.000 à 50.000 yuans, aux
termes du projet de loi à l'étude depuis un an. La cruauté envers les animaux et
la consommation de chats et chiens restent
largement répandues en Chine en dépit de l'arrivée de plus en plus d'animaux
domestiques dans les foyers.

Des restaurants proposent de la "viande parfumée", autrement dit du chien, dans
tout le pays et le chat est largement consommé dans
le sud de la Chine. (afp)

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Indonesia's tiger adoption plan angers greens 22 Jan 2010 06:34:09 GMT
Source: Reuters
By Sunanda Creagh

JAKARTA, Jan 22 2010(Reuters Life!) - An Indonesian government proposal offering rare Sumatran tigers up for adoption by wealthy citizens has drawn scorn from environmental activists, who say it's the wrong approach to conservation.

There are only 400 Sumatran tigers left in Indonesia, where deforestation has destroyed much of their native habitat and they are hunted for traditional medicines and illegal menageries.

Tiger "adoption" -- where a pair can be rented out as pets in exchange for a 1 billion rupiah ($107,100) deposit -- could help curb illegal hunting and trade, a Forestry Ministry official said on Friday.

"There are many orders from rich people who want them, who feel if they own a tiger they are a big shot. We have to take concrete steps to protect these animals," said Darori, the ministry's Director General of Forest Protection and Nature Conservation.

The tiger "renters" must allow visits at three-monthly intervals by a team of vets, animal welfare officers and ministerial staff.

The animals will come from those already kept in captivity, and must be given cages with minimum dimensions of five metres high, six metres wide and 10 metres (16 feet by 19 feet by 32 feet).

"That's almost as big as my house," said Darori. "And because these people are rich, they will definitely give them good food."

The tigers will remain state property and will be returned to the state if they are no longer wanted, he said. Any cubs the tigers produce will be the property of the state.

Darori said he had received complaints about the plan from 12 environmental NGOs.

"So we have invited them for consultation before we continue with this plan. If we can agree, it will be put into practice as soon as possible," he said.

Greenpeace's forest campaigner, Bustar Maitar, said the plan was tantamount to selling the tigers off.

"It shows the government is not serious about addressing the real issues threatening Sumatran tigers. They need to stop issuing forest concessions [to logging companies]," he said. ($1=9340 Rupiah) (Additional reporting by Chatrine Siswoyo; Editing by Sara Webb and Miral Fahmy)

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Publié le 01 février 2010 à 10h07 | Mis à jour à 10h10


Trahie par le bavardage de ses perroquets à la douane

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Archives AFP
Agence France-Presse
Moscou


Une Russe, qui s'efforçait d'introduire illégalement dans son pays 50 perroquets dissimulés sous ses vêtements, a été trahie au moment du passage de la douane par les oiseaux qui jasaient, ont annoncé les services de douane lundi dans un communiqué.

Les perroquets, qui étaient dissimulés sous ses vêtements dans des poches spécialement aménagées, se sont manifestés au moment même où la femme, qui arrivait de Chine, passait le contrôle à la frontière entre les deux pays, précisé la direction des douanes de la région russe d'Extrême-Orient.

«Ils se sont réveillés à ce moment, et ont commencé à discuter activement entre eux. Il était tout simplement impossible pour l'inspecteur de la douane et pour les touristes de ne pas entendre les perroquets», relève le communiqué.

Le coût des oiseaux a été estimé à 10 000 roubles (351 dollars), indiquent les douanes. Une procédure judiciaire pour recel de marchandises a été engagée à l'encontre de la femme.

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Des Indiens affectés accusent Charest d'irresponsabilité
La Presse Canadienne
Alexandre Robillard
01/02/2010 12h47



Selon Jean Charest, il revient au gouvernement indien de se charger d'assurer des pratiques sécuritaires dans la manipulation de l'amiante.


MUMBAI, Inde - Le premier ministre Jean Charest s'est fait accuser d'être irresponsable, aujourd'hui, en permettant que l'amiante produite au Québec soit exportée en Inde, où les travailleurs sont mal protégés contre ce produit cancérigène.

La Trade Union Centre of India, un syndicat qui représente 200 000 travailleurs, a demandé à M. Charest de militer en faveur de l'arrêt des exportations de ce minerai.

Le secrétaire général du syndicat, Sanjay Singhvi, a estimé que 20% des travailleurs indiens exposés à la poussière d'amiante développent des maladies pulmonaires, comme l'amiantose ou le mésothéliome.

Lors d'une conférence de presse, en présence d'une cinquantaine de travailleurs, dont certains atteints de maladies causées par l'amiante, M. Sighvi a affirmé que le minerai provenant du Québec, tout comme celui importé d'ailleurs, était responsable de cette situation.

Le syndicaliste a indiqué que les règles encadrant l'utilisation sécuritaire de l'amiante sont pratiquement inapplicables en Inde, où 94% de la population, soit 38 millions de personnes, travaille dans le secteur informel de l'économie. L'économie informelle, caractérisée par des boulots en marge du système, n'est donc encadrée d'aucune façon que ce soit par l'État.

«Beaucoup d'amiante est utilisée dans ce secteur informel, a-t-il dit. Et c'est très dangereux d'exporter de l'amiante en disant qu'il faut respecter les règles d'utilisation sécuritaire, parce que ces normes ne seront pas suivies. Et même si l'amiante était utilisée de manière sécuritaire, ses fibres finissent toujours par s'infiltrer, même si on porte un masque.»

M. Sighvi a affirmé que la promotion de l'utilisation sécuritaire du minerai, mise de l'avant par M. Charest, était incohérente.

«C'est irresponsable, a-t-il dit. C'est aussi mauvais que si un pharmacien vendait des médicaments sans prescription et qu'ensuite, il disait qu'il revient aux gens de les utiliser correctement.»

M. Sighvi a déploré que M. Charest, actuellement en mission économique en Inde, n'ait pas donné suite à la demande du syndicat, qui souhaitait le rencontrer.

«Nous lui avons écrit pour demander une rencontre mais on ne nous a même pas répondu, a-t-il dit. On nous avait pourtant promis de nous répondre.»

Par la suite, M. Charest a affirmé, lors d'un point de presse, qu'il ne pouvait pas dicter aux autres pays comment ils contrôlent les produits nocifs. Le premier ministre a indiqué que l'amiante chrysotile était un produit aussi dangereux que l'uranium, le chlore et le mercure.

«La position que nous avons, les politiques que nous avons mises en place et que nous encourageons, pour ceux qui utilisent le chrysotile, c'est justement d'établir des normes qui vont permettre le contrôle du produit», a-t-il dit.

Selon M. Charest, il revient au gouvernement indien de s'en charger.

«Une fois que le produit est rendu dans un pays, ultimement, la responsabilité revient au pays», a-t-il dit.

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Phoque pour le G7 dans le Grand Nord canadien

Le Canada sera l’hôte d’une réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales du G7 à Iqaluit dans le Grand Nord, les 5 et 6 février prochain. Les ministres du Royaume-Uni, de la France, de l’Allemagne, de l’Italie, du Japon et des États-Unis seront invités à s'asseoir dans des fauteuils recouverts de peaux de phoques et recevront en cadeau des vestes et des gants en fourrure de phoques. Ils se feront aussi servir du phoque cru.

A l'occasion de cette réunion, le gouvernement canadien a déclaré qu’il voulait montrer l’importance de la chasse aux phoques pour les Inuits, alors que l’Union européenne et les États-Unis interdisent l’importation des produits dérivés du phoque. Comme d’habitude dans le dossier de la chasse aux phoques, le gouvernement canadien et l'industrie de la fourrure se cachent derrière les Inuits.

Le boycott des produits dérivés du phoque touche principalement la chasse commerciale des chasseurs Blancs et non la chasse faite par les Inuits. Ces derniers tuent à peine 2 000 phoques par année contre plus de 325 000 par les chasseurs Blancs.

La chasse aux phoques pratiquée par les Inuits et la chasse commerciale des phoques sont deux activités fort différentes. Elles se font dans des lieux et des endroits qui ne sont pas les mêmes. Les Inuits chassent des phoques adultes et non des phoques âgés d'à peine l5 jours.



Plusieurs Inuits n’ont pas peur de déclarer publiquement leur opposition à cette chasse commerciale du phoque comme Arnaituk M. Tarkirk qui a écrit dans une lettre au journal Ottawa Citizen : «Nous avons tous suivi le vote de l'Union européenne interdisant l'importation de produits dérivés de la chasse aux phoques. Je suis un Inuk et je tiens à dire ce que je pense à ce sujet. Le membre du Parlement Peter Ittinuar a dit que ce vote mettra beaucoup d'Inuits au chômage. C'est stupide. La plus grande partie de l'argent de la chasse va à la Norvège et n'a rien à voir avec les Inuits. Nous sommes habiles chasseurs qui chassons les animaux adultes pour nous nourrir, ce n'est pas la même chose que frapper à la tête un bébé qui ne peut se déplacer. En fait, si les chasses étaient arrêtées, nous en bénéficieront le plus. Il y aurait plus de phoques pour nous à manger, quand ils sont âgés de quelques années et les gens n'auraient pas d'aversion pour les produits dérivés du phoque, comme ils en ont forcément après avoir vu la façon dont ils tuent les petits ; l'artisanat réalisé avec des peaux d’adultes serait plus populaire. Je suis un Inuk et je suis opposé à la chasse au phoque. »



Tuer un phoque pour nourrir et vêtir sa famille est absolument très loin du massacre de milliers de phoques pour alimenter une industrie du luxe dont les profits ne vont même pas aux autochtones.

DES INUITS EXPLOITÉS

L’histoire récente des Inuits est marquée par l’impérialisme et la colonisation autant du gouvernement canadien que de celle de La Compagnie de la Baie d'Hudson et autres entreprises commerciales impliquées dans la traite des fourrures. Vers l905, après que l’industrie baleinière soit devenue moribonde dans le Grand Nord canadien, les Blancs se lancèrent dans l’industrie de la fourrure en exploitant à la fois l’environnement, les animaux et les autochtones. Beaucoup d’Inuits tombèrent dans une extrême misère à cause de la fluctuation du prix des fourrures, qui était fixé dans des endroits aussi éloignés que Londres ou New York.

En 1953, le gouvernement canadien persuada, sous de fausses promesses, de nombreuses familles inuites à déménager 2 000 kilomètres plus au nord. Misère, famine, tuberculose et éclatement familial marquèrent la vie brisée de ces personnes envoyées sur une île de glace. Afin d’affirmer sa souveraineté, Ottawa déporta tout un peuple sur un territoire inhabité. Les Inuits « déplacés » durent attendre 40 ans pour obtenir des compensations financières et les excuses officielles tardent toujours à venir.

A notre époque, la situation sociale des communautés autochtones est inquiétante, le niveau d’alcoolisme et de violence très élevée. Chez les Inuits, le taux de suicide est six fois plus important que dans le reste du Canada. Et dans ces communautés nordiques les agressions sexuelles disputent au suicide la palme du pire fléau. Environ 40 % des enfants originaires des communautés nordiques auraient subi une agression sexuelle. En 1993 à Puvirnituq, dans le Nunavik, 127 enfants ont dénoncé de façon solidaire les agressions commises contre eux, ce qui représentait le quart de la population d'âge mineur du village. Cinq ans plus tard, leur geste a été imité par 70 jeunes d'autres villages. A Montréal parmi les SDF les Inuits sont surreprésentés. Ils forment moins de 10 % de la population autochtone de la métropole mais comptent pour 43 % des itinérants amérindiens. (Les vies oubliées des sans-abri autochtones:http://www.ledevoir.com/2005/02/26/75826.html)

Si la santé morale des Inuits est préoccupante, leur santé physique l’est tout autant. Les femmes Inuites détiennent le plus haut taux de BPC au monde dans leur lait maternel, mettant ainsi en danger autant leur santé que celle de leur bébé. La viande de phoque est fortement contaminée à divers polluants mais aussi au mercure.

Avant d’accuser le boycott des produits dérivés du phoque ou les groupes de défense animale de pousser les Inuits au suicide et à la pauvreté, le gouvernement canadien et l’industrie de la fourrure devraient faire un examen de conscience en profondeur.

Tenter de faire croire aux ministres des Finances et aux gouverneurs des banques centrales du G7 que les Inuits ont absolument besoin de la chasse aux phoques pour s’épanouir en tant que peuple n’est qu’un échelon de plus dans la désinformation du gouvernement canadien et de l’industrie de la fourrure. Ce gouvernement et cette industrie n’ont toujours eu que du mépris pour la culture des autochtones. En les prenant maintenant en otages devant la communauté internationale, l’exploitation des Inuits se perpétue sous couvert de bons sentiments et d’hypocrisie.

http://www.lepost.fr/article/2010/02/03/1920883_phoque-pour-le-g7-dans-le-grand-nord-canadien.html

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West Hollywood Votes on Pet Shop Ban


Landmark legislation was passed on February 1st as the West Hollywood City Council unanimously voted to stop the retail sale of cats and dogs at pet stores. Only pet shops that “re-home” rescued or shelter animals will be allowed to stay in business.



The city ordinance was initiated by Councilmember Jeffrey Prang and was backed by The Humane Society of the United State, the Animal Legal Defense Fund and Companion Animal Protection Society(CAPS).



The idea for the ordinance came after an investigation of a West Hollywood pet store called Elite Animals found the owner was breaking federal laws by importing animals for sale.



Carole Davis of CAPS and other animal advocates were concerned about the incident and wanted to be sure it would never happen again in their town. So Davis and the Animal Legal Defense Fund joined forces to draft the ordinance for the West Hollywood council.



Davis told the NBC affiliate, “West Hollywood’s City Council has shown great leadership, wise judgment and compassion,” in taking that action and, “by considering an ordinance banning the sale of cats and dogs in our city’s pet stores. It will save countless shelter animals’ lives locally and will send a strong message to abusive commercial breeders all over the nation.”



This isn’t the first time West Hollywood has taken the initiative to be a leader in the name animals. Earlier this year the city voted to ban the de-clawing of cats.



The new ordinance will make the city off-limits to animals bred at puppy mills and commercial cat breeding facilities. Only a small number of cities in the country have stepped up to the plate with legislation like this. The West Hollywood law is similar to one adopted in South Lake Tahoe, CA in 2009, which only allows for the sale of “humanely bred, reared or sheltered animals.”



Wayne Pacelle, president of HSUS was at the council meeting. He said, "With so many dogs and cats available for adoption from animal shelters and rescue groups as well as from compassionate, humane breeders, there is simply no reason to inhumanely ship puppy mill bred dogs around the country to stock pet stores.”



Advocates see the new law as an opportunity to get more homeless pets out of overcrowded Los Angeles shelters. The city estimates that in 2009 more than 35,000 dogs and 67,000 cats were euthanized in L.A. city and county shelters.



Several pet shops in L.A. have already changed their business plan from selling commercially bred animals to re-homing rescued cats and dogs. Orange Bone made the switch to a humane pet store in 2008 and Pets’ Delight in a nearby town changed its focus to shelter animals in 2009. And pet supply stores such as PetSmart and PETCO have never sold puppies or kittens.



Nationwide more than 500 independent pet shops have voluntarily signed The HSUS pledge to not sell puppies at their store. Click here to see if the names of the shops in your area.



The vote on Monday was a preliminary action. The ordinance requires a second vote in two weeks before it becomes law. Then CAPS and other groups say they will tackle neighboring communities. Advocates are hopeful this ban will be the beginning of the end to puppy mills.

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1 Fév à 21:06

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(Suisse) Un incendie a décimé un élevage de volailles la nuit dernière à Ueberstorf (FR). Quelque 3500 poules ont péri dans les flammes ou intoxiquées par la fumée, a indiqué la police fribourgeoise. Les pompiers ont empêché le sinistre de s'étendre aux bâtiments voisins.

Le feu est parti dans un dépôt avant de s'étendre à l'ensemble de l'exploitation. Deux tracteurs ont par ailleurs été complètement détruits. On ignore encore les causes du sinistre, ainsi que le montant de dégâts.


Ueberstorf: un incendie détruit un élevage de poules - 31/01/10
http://www.romandie.com/infos/ats/display2.asp?page=20100130084121400172019048000_brf012.xml

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Le Japon cherche à éviter un moratoire sur le commerce du thon rouge
LE MONDE | 09.02.10 | 15h37 • Mis à jour le 09.02.10 | 15h45 Réagissez (2) Recommandez Classez Imprimez Envoyez Partagez
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Tokyo Correspondance

Conscient de la diminution des populations de thonidés, le Japon, principal consommateur de ce poisson, fait tout pour éviter une interdiction totale du thon rouge, particulièrement menacé. A la différence de la baleine, que les Japonais continuent de chasser malgré un moratoire et, surtout, une consommation très limitée, Thunnus thynnus reste l'un de leurs mets préférés. En sushi ou en sashimi, il apparaît dans les menus les plus raffinés. La partie la plus savoureuse et la plus grasse de sa viande, le toro, est toujours recherchée.



Edition abonnés Archive : Les pêcheurs dénoncent le ralliement de la France aux partisans de l'interdiction du commerce du thon rouge

Pour satisfaire ce plaisir culinaire, le Japon importe 80 % de la production mondiale. Et ne semble pas prêt à y renoncer même si la crise semble être à l'origine d'une légère baisse de la consommation, qui s'établissait à 43 000 tonnes en 2008. Le gouvernement s'efforce même de limiter la hausse des prix, conséquence de la pression internationale grandissante pour réduire les prises. Il a accumulé 24 600 tonnes de stock, ce qui n'a pas empêché une hausse de 20 % entre janvier 2009 et janvier 2010 du prix du thon au marché aux poissons de Tsukiji, à Tokyo.

"Baisse inévitable"

L'Archipel, qui doit pourtant accueillir en octobre la Conférence internationale sur la biodiversité, fait également tout pour éviter que le thon rouge de l'Atlantique ne soit inscrit à l'annexe I de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES). Une telle décision, synonyme de moratoire sur son commerce, est proposée par Monaco et soutenue, depuis le 3 février, par la France. Elle pourrait être décidée en mars, lors de la conférence des parties de la CITES.

Dans ce contexte, même l'appel lancé en novembre par la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (CICTA), pour une baisse de 38,6 % à 13 500 tonnes des quotas de prises pour 2010, a l'air d'un moindre mal pour le Japon.

"Si nous voulons éviter une interdiction totale du commerce, reconnaît Yuichiro Harada, de l'Organisation internationale de promotion d'une pêche responsable du thon, la baisse des quotas est inévitable." Dans le même temps, l'Archipel souhaite une lutte renforcée contre la pêche illégale, en Méditerranée notamment.

Sur le plan intérieur, le gouvernement a demandé, en 2007, aux pêcheurs de relâcher les thons de moins de 2 kg. Pour 2010, il souhaite une réduction des quotas de prises de yokowa, les thons de moins de 20 kg. Il a également validé les réductions de prises de thon rouge dans le Pacifique sud et de thon obèse dans le Pacifique central. Idem pour la baisse du nombre de bateaux déployés pour la pêche au germon et à l'albacore dans l'océan Indien.

En écho à ce qu'il considère comme des concessions sérieuses, le quotidien conservateur Yomiuri a même, dans un éditorial de novembre 2009, appelé la population à faire preuve de "retenue dans sa consommation pour continuer à pouvoir déguster du toro".

Dans le même temps, le gouvernement soutient les recherches pour l'élevage du thon en captivité. Une activité délicate car le thon a besoin de se déplacer en permanence à haute vitesse pour emmagasiner suffisamment d'oxygène. Il lui faut de l'espace.

Il est également un gros mangeur. L'élever en captivité exige de lui fournir quotidiennement d'énormes quantités de sardines, harengs ou anchois. Et puis, le taux de survie des alvins est de seulement 0,4 %, une proportion que des chercheurs de l'université du Kinki ont réussi à porter à 6 %.

Ces travaux sont utiles à Maruha Nichiro, une entreprise spécialisée dans la pisciculture, qui souhaite sortir du système actuel où le pêcheur capture des thons jeunes pour les faire grandir dans des espaces clos. Maruha Nichiro veut passer à la production réalisée à 100 % en captivité.

Le groupe prévoit ses premières livraisons pour l'exercice 2013. Avec l'espoir de rassurer le consommateur attaché à ce poisson qui, pendant la période d'Edo (1603-1868), était pourtant considéré comme de mauvaise qualité, indigne des meilleures tables.

Philippe Mesmer
Article paru dans l'édition du 10.02.10



http://www.lemonde.fr

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Moins de cinquante tigres sauvages subsistent en Chine, a averti un groupe environnemental lundi 8 février, en espérant que l'arrivée prochaine de l'année du Tigre ne sera pas celle de l'extinction de l'espèce.

Xie Yan, directeur Chine de la Société pour la préservation de la vie sauvage (WCS, un groupe dont le siège est situé aux Etats-unis), a souligné lors d'une conférence de presse que les tigres étaient encore très présents il y a vingt ans en Chine.


Mais selon des statistiques de l'an 2000, il resterait seulement une quinzaine de tigres du Bengale au Tibet, dix tigres d'Indochine dans le sud-ouest du pays et une vingtaine de tigres de Sibérie dans le Nord-Est. Le tigre du sud de la Chine pourrait déjà avoir disparu. Selon le Fonds mondial pour la nature (WWF), aucun n'a été aperçu depuis la fin des années 1970, alors qu'ils étaient encore quelque quatre mille dans les années 1950. Leur rapide disparition est à attribuer à la chasse, mais aussi à la dégradation de leur environnement naturel.

Si la Chine a banni le commerce d'os de tigre et autres produits similaires en 1993, elle n'a pas su éradiquer le braconnage, selon les experts. Mais "l'an dernier, pour la première fois, j'ai repris confiance face au soutien" des autorités, a affirmé Xie Yan. "La gestion des réserves naturelles s'améliore et on voit de la compréhension dans les communautés locales. J'espère donc que l'année du Tigre va marquer un tournant pour sa préservation en Chine."

L'espoir se focalise sur le Nord-Est, limitrophe de la Sibérie, où des centaines de tigres vivent. La situation du tigre sauvage n'est pas spécifique à la Chine. Le mois dernier, le WWF a averti que leur nombre en Asie du Sud-Est avait chuté de 70 % en douze ans.

Selon un rapport publié avant une réunion en Thaïlande des treize pays asiatiques abritant encore des félins, leur nombre dans la région du Grand Mékong (Cambodge, Vietnam, Laos, Birmanie, Thaïlande) est tombé à environ trois cent cinquante, contre mille deux cents en 1998. Au niveau mondial, il n'existerait plus que trois mille tigres, contre vingt mille dans les années 1980 et cent mille il y a un siècle.
08.02.10

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Vietnam slaughters poultry over bird flu fears
AFP

February 10, 2010

Motorcyclists ride past a poster warning people about bird flu in Ho Chi Minh City in 2009.

Thousands of ducks and chickens have been slaughtered in Vietnam as the government tries to contain an outbreak of bird flu ahead of the Lunar New Year, the government says.Photograph by: Hoang Dinh Nam, AFP/Getty ImagesHANOI – Thousands of ducks and chickens have been slaughtered in Vietnam as the government tries to contain an outbreak of bird flu ahead of the Lunar New Year, the government said Wednesday.


Poultry is a favoured dish for feasts during Tet, the Vietnamese new year that begins Sunday, and authorities are moving to try to stop the potentially deadly disease spreading to people in six of the country's provinces.


In the worst-affected province of Ha Tinh, in central Vietnam, more than 14,000 chickens and ducks have been slaughtered after almost 3,600 were found contaminated, the Ministry of Agriculture and Rural Development said on its website.


The outbreak in Ha Tinh began on January 15, it said. Five other provinces across the country have also recorded cases.


Cao Duc Phat, the Minister of Agriculture and Rural Development, asked local authorities last week to reinforce measures against the H5N1 virus before, during and after Tet, the website said.


The state Vietnam News on Wednesday quoted another ministry official as saying there is a high risk of bird flu's spreading in the centre of the country and the southern Mekong Delta around Tet because more animals would be transported and slaughtered.


Vietnam's last human fatality from bird flu, the fifth of 2009, came in December.


According to the World Health Organization, Vietnam's human bird flu death toll of 57 is the world's second-highest after Indonesia.



http://www.canada.com/health/Vietnam+slaughters+poultry+over+bird+fears/2546681/story.html

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Publié le 12 février 2010 à 14h31 | Mis à jour le 12 février 2010 à 19h58
12 février 2010

Georges Laraque se joint au Parti vert thumleft


Photo: PC
La Presse Canadienne


Récemment mis à pied par le Canadien de Montréal, le hockeyeur Georges Laraque n'a pas tardé à se trouver une nouvelle occupation: le Parti vert du Canada a confirmé vendredi que le dur à cuire se joint à sa formation politique.

Georges Laraque devrait annoncer ce samedi sa nouvelle vocation au sein du parti écologiste lors d'un événement qui se tiendra à Montréal. C'est du moins ce qu'a révélé le parti dans un communiqué transmis vendredi.

Un représentant du Parti vert a cependant précisé que le joueur de hockey n'annoncera pas son intention de se présenter comme candidat pour le parti lors des prochaines élections fédérales. Il reste à voir quelle fonction aura M. Laraque au sein de sa nouvelle équipe.

Le communiqué indique que le hockeyeur participera samedi au visionnement public du documentaire Terriens et qu'il fera ensuite l'annonce de son nouvel engagement politique.


Le hockeyeur avait déjà dit que le documentaire sur l'exploitation des animaux l'avait encouragé à dénoncer publiquement les «usines à chiots».

Georges Laraque, qui évolue au sein de la Ligue nationale de hockey depuis 13 ans, est aussi devenu végétalien - il ne consomme pas de viande ou d'autres produits dérivés des animaux, comme du lait ou du fromage.

L'ancien joueur du Canadien a été remercié par l'équipe le mois dernier tout juste après avoir marqué son premier but en deux saisons.

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Publié le 11 février 2010 à 15h06 | Mis à jour le 11 février 2010 à 15h10


30 vaches laitières périssent à Ste-Catherine-de-Hatley

L'incendie a causé la perte de 30 vaches laitières.

Imacom, Claude Poulin
René-Charles Quirion
La Tribune


(SHERBROOKE) Un incendie qui s'est déclaré en pleine nuit dans une grange de Saint-Catherine-de-Hatley a causé la perte de 30 vaches laitières.

Dans la nuit de mercredi à jeudi, un bon samaritain qui a aperçu les flammes de l'autre côté de la vallée qui s'est rendu sur place pour alerter le propriétaire.

«Une chance que cette personne s'est déplacée pour informer le propriétaire. Il a permis de limiter les dommages», explique le directeur de la Régie intermunicipale de protection contre les incendies de North Hatley-Canton de Hatley, Mike McKenna.

L'incendie qui s'est déclaré dans la nuit de mercredi à hier a causé pour 400 000 $ de dommages au 230 du chemin Ayer's Cliff à Sainte-Catherine-de-Hatley.

Plus de détails dans La Tribune de vendredi

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Alain Delon s'engage ici pour la première fois de sa
vie dans une campagne politique suisse. Et si la star franco-suisse
donne de la voix, c'est en faveur des avocats pour animaux.
Renaud Michiels avec Didier Dana - le [b]09 février 2010
, 23h16[/b]

Le Matin




Jamais Alain Delon ne s'était mêlé d'une campagne politique suisse.
Jusqu'à aujourd'hui. Car la légende du cinéma veut souligner ici tout
le bien qu'il pense de l'instauration d'avocats pour animaux, qui sera
soumise au vote des Suisses le 7 mars. Hier, l'acteur a promis de
donner son nom et son image à la Société vaudoise pour la protection
des animaux, qui lancera une campagne d'affiches la semaine prochaine.
Alain Delon nous a reçus hier au Lausanne-Palace, en exclusivité,
pour peser dans la campagne. Binational Français et Suisse, il nous
explique les raisons de cet engagement, nous parle à coeur ouvert de
son amour des chiens. Et peut-être de sa méfiance des hommes.
Alain Delon, avez-vous déjà voté en Suisse?
Jamais.
Mais je voterai pour la première fois pour les avocats pour les
animaux. Je veux dire ici que je suis résolument pour et inciter la
population à aller voter oui.
Pourquoi vous engagez-vous aujourd'hui?
Parce
que je suis convaincu que, dans certaines situations, il faut prendre
la défense d'un animal. Il faut comprendre que si on est capable de
torturer un chien ou un autre animal, on est capable de torturer un
être humain. J'espère aussi que la Suisse va servir de modèle, et que
la France suivra.
N'y a-t-il pas d'autres thèmes politiques plus importants?
Oui,
les Suisses votent sur des thèmes civilement plus importants. Reste
qu'il ne s'agit pas ici d'une question légère. Jusqu'à présent, des
avocats ont défendu des familles d'animaux agressés. Mais jamais les
victimes elles-mêmes. Or les animaux ont droit à une défense.
Quel argument mettriez-vous en avant pour convaincre les Suisses?
Je
ne vois simplement pas qui peut être contre ce projet. Qui? Je vais
vous dire une chose simple: je ne vois pas pourquoi la bête qui crève
n'aurait pas d'avocat. Pour moi, celui qui fait souffrir les animaux
est pire qu'une bête. C'est lui l'animal.
Pour certains, la création d'avocats pour animaux pourrait engorger la justice.
Ben
voyons! Il n'y a pas autant d'animaux maltraités que de délits ou
autres meurtres horribles, qui couvrent chaque jour les pages des
journaux. Soyons sérieux: il n'y a pas de bonnes raisons de s'opposer
au projet. En quoi un avocat pour animaux peut-il déranger?
Mais l'humain ne doit-il pas passer avant l'animal?
Mais
l'humain passe déjà avant: il a des avocats. Même l'inhumain passe
avant! Des pourritures comme des Fourniret ou des Dutroux sont
défendues. Les violeurs ou tueurs d'enfants sont défendus. Et s'ils
n'ont pas d'avocat, la loi leur en donne un d'office. Souvenez-vous de
«Mambo» (ndlr: chien brûlé vif par deux jeunes en août dans les
Pyrénées-Orientales). J'avais envoyé mon vétérinaire, qui a pu le
sauver. Mais ce chien aurait dû avoir droit à un avocat et, pour la
première fois, le procureur a exigé que le chien soit présent au
procès. Imaginez: ils l'ont aspergé d'essence et lui ont mis le feu.
Pour s'amuser! Comment peut-on? Je n'aurais pas d'excuses, mais si je
voyais ça devant moi je crois que je passerais le reste de ma vie en
tôle. Je le tue, celui qui fait ça. Les animaux s'attaquent entre eux
pour manger. Pas pour s'amuser!
Derrière votre engagement, il y a votre immense amour des chiens.
Des
animaux en général, et des chiens en particulier. Ils sont comme les
hommes, les défauts en moins. L'homme peut être sadique. Sadique et
au-delà même. Les animaux n'ont pas de défauts, à part de pisser un
jour sur les fleurs. Et les chiens montrent une fidélité et un amour
absolus pour leur maître, que ce soit un clochard, le président
Mitterrand ou Alain Delon. C'est magnifique.
D'où vous vient cet amour des chiens?
J'ai été
élevé avec des chiens, j'ai passé toute ma vie avec des chiens. «Gala»,
une doberman, a été l'un des premiers chiens de ma vie. Un jour je
l'avais engueulée, je lui avais donné une tape sur les fesses. Elle
s'est assise. Elle m'a regardé. Et je l'ai vue pleurer. De la même
façon, j'ai maintenant un chien qui sourit. Elle fait une connerie,
elle me regarde, elle sourit.
C'est la première fois que vous vous mêlez d'une votation.
Par contre votre engagement pour les animaux, lui, n'a rien de nouveau.
Je
cotise à la SPA, je soutiens 30 millions d'amis et, évidemment,
Brigitte Bardot. J'ai aujourd'hui huit chiens dans ma propriété de
Douchy (Loiret). Où j'ai un cimetière avec la plupart des chiens de ma
vie: il y en a 35. J'y ai aussi maintenant un lapin à trois pattes et
un chat à trois pattes. Je vis avec ce que je peux et j'adopte ce que
je peux.
Un chat à trois pattes?
J'étais chez le
vétérinaire avec mes enfants pour un chien. Arrive un chat grièvement
blessé à deux pattes. On téléphone à la propriétaire et elle dit:
«Piquez-le!» C'est ahurissant! J'ai fait venir un hélicoptère à Douchy.
Il l'a emmené à Boulogne voire un grand vétérinaire. Qui l'a sauvé.
Avez-vous parlé de votre soutien aux avocats pour animaux avec votre amie
Brigitte Bardot?
Pas
encore. Mais je lui ai parlé il y a quelques semaines. Brigitte vit
pour et grâce aux animaux. Sinon, comme beaucoup d'autres, elle aurait
dit au revoir à la vie. Brigitte venait de perdre un chat. Elle
m'expliquait que dans un ou deux ans il n'y aurait plus d'ours blancs.
Elle pleurait. C'est aussi ça, les hommes. Je ne veux pas les accabler,
mais ils courent à leur perte. Au moins, le jour où nous ne serons plus
là, il restera des bêtes. Elles seront plus tranquilles qu'avec nous.



«Kelly», star d’️un jour
L’️interview d’️Alain Delon a duré une demi-heure, hier après-midi, dans une
suite du Lausanne-Palace.
Une
trentaine de minutes que la légende du cinéma a surtout passées avec la
chienne «Kelly» dans ses bras. Entre les deux, le courant est passé:
Alain Delon n’️a cessé de cajoler l’️animal tout en l’️utilisant pour sa
plaidoirie en faveur des animaux: «Regardez-la. Vous pourriez lui
mettre le feu?»
«Kelly», pourtant, n’️est pas le chien de la star.
Nous avons croisé cet animal, sauvé d’️un accident, dans le hall de
l’️hôtel. Et nous avons demandé à sa maîtresse (qui tient à rester
anonyme) si nous pouvions le présenter au grand défenseur des animaux.
Elle a accepté.
Après l’️interview, Alain Delon a tenu à ramener
lui-même la chienne à sa propriétaire. «Ma chienne «Kelly» a 4 ans et
vient de la SPA, lui a-t-elle expliqué. Elle était passée sous une
voiture à Crans-Montana. Depuis, elle ne voit plus que d’️un Å“il et
n’️entend plus que d’️une oreille. C’️est une handicapée.»
Alain Delon a écouté, il a remercié. Il était très ému.

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14 février 2010 SASKATCHEWAN (RC) -

Le quotidien Leader-Post rapporte que 15 000 coyotes ont été abattus depuis le mois de novembre en Saskatchewan. Shit



Les chasseurs s'intéressent particulièrement à cette proie depuis que le gouvernement provincial a mis sur pied un programme de récompenses pour diminuer la population de coyotes.


En effet, les chasseurs peuvent recevoir 20 $ par bête abattue en présentant les quatre pattes de l'animal au bureau de leur municipalité.


Ce programme a été mis sur pied après que plusieurs fermiers se soient plaints que les coyotes attaquaient leur bétail.


Dans certains cas, des coyotes se seraient approché dangereusement de jeunes enfants.


Près de 80 % des municipalités rurales de la Saskatchewan participent à ce programme de récompenses.


Toutefois, selon le ministre de l'Agriculture Bob Bjornerud, il est encore trop tôt pour dire que la population de coyotes est sous contrôle en Saskatchewan.

http://qc.news.yahoo.com/s/14022010/3/regional-faune-15-000-coyotes-abattus.html

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en voila un de + hop Mr. Green Je ne l'affiche pas dans le forum car je l'écrirai dans notre prochain bulletin...


11 February 2010 - 1:51pm

OTTAWA – The Green Party of Canada is pleased to announce Sameer Muldeen as Critic on Animal Issues. Mr. Muldeen’s role will be especially concerned with the status and welfare of animals in the Canadian legislation.

A Green since 2007, Mr. Muldeen is particularly concerned with the ethical and environmental impact of intensive animal farming. “With increasing food demand from emerging countries like China and India, it is critical to give proper attention to the way livestock is raised in Canada and worldwide,” said Mr. Muldeen. “This issue is especially important given the 2006 UN report demonstrating that livestock account for 18% of worldwide greenhouse gas emissions, more than the entire transport industry combined.”*

A volunteer for his local animal shelter, Sameer believes strongly in the intelligence and sensitivity of animals, a lesson that has been reinforced by his adopted dog. “When it comes to property, most Canadians know there’s a difference between owning a chair and a dog. It is time for our laws to be updated in order to better protect animals from illegal breeding, exploitation, abuse and neglect.” Green Party MPs will sponsor legislation that makes acts of cruelty to animals an offence under the criminal code and not just a property offence as it stands now.
Sameer Muldeen is the official Green Party of Canada candidate for LaSalle-Émard.

* Source : Steinfeld, H., et al. "Livestock's Long Shadow - Environmental Issues and Options." United Nations report. 2006.

- 30 -

Contact Information:
Debra Eindiguer
Press Secretary
C: 613.240.8921
media@greenparty.ca
www.greenparty.ca

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Publié le 03 février 2010


86 accusations pour braconnage




Archives La Presse
Jean-Pierre Boisvert
La Tribune


(DRUMMONDVILLE) Les secteurs de Drummondville et Victoriaville n'échappent pas au braconnage, comme en font foi les 86 accusations pesant sur 49 individus en 2009, avec, en prime, un phénomène nouveau: l'achat et la vente de gros gibier.

Selon le ministère des Ressources naturelles et de la Faune, les infractions commises au Centre-du-Québec concernent, pour la grande majorité, la chasse nocturne, l'utilisation d'un projecteur pour déceler la présence de gros gibier la nuit, la possession de gibier en plus grand nombre que la limite permise et la possession d'armes à feu chargées dans les véhicules.

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Huntington Meat Packing Recalls 4.9 Million Lbs of Beef and Veal, Criminal Probe Underway
Date Published: Monday, February 15th, 2010



A criminal investigation of California-based Huntington Meat Packing has resulted in the recall of 4.9 million lbs of beef and veal products. Huntington Meat Packing recalled more than 800,000 of beef last month because of concerns the products might be tainted with E. coli.

According to the U.S. Department of Agriculture Food Safety and Inspection Service (FSIS), the recall was expanded based on evidence collected in an ongoing criminal investigation being conducted by the Office of the Inspector General (OIG) with assistance from FSIS. According to FSIS, the evidence shows that the products were produced in a manner that did not follow Huntington Meat Packing’s Hazard Analysis and Critical Control Points (HACCP) plan. Therefore, FSIS must consider the products to be adulterated and has acted to remove the products from commerce.
The following beef and veal products, produced by the plant from January 22, 2009, to January 4, 2010, are subject to recall:

• 10 lb. boxes of “IMPERIAL MEAT CO. GROUND BEEF PATTY”

• 10 lb. boxes of “El Rancho MEAT & PROVISION ALL BEEF PATTIES”

• 20 lb. boxes of “IMPERIAL MEAT CO. GROUND BEEF PATTY”

• 50 lb. boxes of “HUNTINGTON MEATS GROUND BEEF”

• 50 lb. boxes of ” HUNTINGTON MEAT PKG. INC. BEEF GROUND FOR FURTHER PROCESSING”

• 50 lb. boxes of “BEEF BURRITO FILLING MIX”

• 50 lb. boxes of “HUNTINGTON MEAT PKG. INC. DICED BEEF”

• 50 lb. boxes of “HUNTINGTON MEAT PKG. INC. SLICED BEEF”

• 10 lb. boxes of “Huntington Meat VEAL PATTY”

• 10 lb. boxes of “Imperial Meat VEAL PATTY”

• 10 lb. boxes of “El Rancho VEAL PATTY”

• 20 lb. boxes of “Huntington Meat VEAL PATTY”

• 20 lb. boxes of “Imperial Meat VEAL PATTY”

• 20 lb. boxes of “El Rancho VEAL PATTY”

Each box bears the establishment number “EST. 17967″ inside the USDA mark of inspection on a label. The products were shipped to distribution centers, restaurants, and hotels within the State of California.

According to FSIS, there have been no reports of illnesses associated with consumption of these recalled beef and veal products. Individuals concerned about an illness should contact a physician, the agency said.


http://www.newsinferno.com/archives/18669

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http://www.nugget.ca/ArticleDisplay.aspx?e=2438077

Boulet


Posted By JON WILLING, QMI AGENCY

15 Feb. 2010

The phone hasn't stopped ringing at Al's Corner Store ever since the
owner launched a coyote killing contest earlier this week.
It's nothing to do with bounties. It's nothing to do with culling.
It's a contest," Al Mills said Friday from his store just east of
Arnprior.

It's the second identified coyote killing contest in Ottawa. The first
one was launched by the Osgoode Twp. Fish, Game and Conservation Club.

Mills said the contests are no different than competitions for deer or
fish. Coyote hunting is a popular hobby for many residents, Mills said.

Family members, daughters, wives, they're all doing it," he said.


Mills is inviting licensed hunters to bring in coyote carcasses to his
store for weigh-ins. Hunters will receive a ticket to participate in a
draw for $4,000 in prizes, which so far include hunting guns, a
taxidermy mount, clothing and other items.


Mills is stunned by the attention coyotes are receiving in the city,
with councillors now debating what to do about the animals wandering
into urban neighbourhoods.

City staff are trying to ease the minds of residents about the
increase in coyote sightings. Residents need to learn how to coexist
with animals, staff say.

Mills has a simple tip for tree-hugging" city slickers freaked out by
coyotes: Don't feed wildlife. Coyotes will go after the food and hunt
the small animals scooping up the feed.

What they're creating is a buffet for coyotes," Mills said.

As for relocating urban coyotes to the wilderness, Mills said, What
makes you think the rural wants them?"

Mills said the weigh-in portion of his contest will help officials
collect useful information about the coyotes.

The Ontario Ministry of Natural Resources said it has no enforcement
issues with the contests. The ministry will make sure coyote hunters
are carrying the necessary small game licences.

In Ottawa, coyotes can be hunted year-round and hunters can kill has
many as they want.

--------

http://www.nugget.ca/ArticleDisplay.aspx?e=2438085&auth=TONY
Posted By TONY RICCIUTO, SUN MEDIA

Updated 1 day ago

Max, the two-year-old black German shepherd accidentally shot by a
hunter in rural Niagara Falls this week, appears to be making a full
recovery.
He's in a little bit of pain and is still a little wobbly from the
painkillers, but I think he's going to be alright," said owner John
Horth Friday, while Max played with a ball in the front yard.

He's lucky. He's a pretty tough dog, there's no doubt about that."

Horth, who owns 18 acres on King Road in the south end of the city,
was in his yard Wednesday morning when he heard shots being fired by
two men hunting coyotes on the 100-acre property next door.

The hunters had permission from the owner to be on that land because
of ongoing problems with coyotes.

After the shots were heard, Horth's dog began crying and whining, and
had been shot through the neck. Max was taken to a veterinarian and
treated for the gunshot wound.

Horth contends the hunters were too close to his property when the
shots were fired, possibly as close as 240 feet by his estimate.

One of the hunters, Michael Royer, disputed that distance, claiming it
was approximately 400 yards or about the length of four football fields.

The dog was mistaken for a coyote, said Royer, who added the shooting
was an accident.

He and the other hunter paid the $439.79 veterinary bill. They argue
the dog should not have been allowed to run loose on the property next
door.

Police were investigating the incident but no charges have been laid.

A City of Niagara Falls bylaw that regulates the discharge of firearms
basically restricts hunting to outside the urban boundary.

The bylaw states no person shall discharge any firearms within 150
metres of a dwelling unit in any area of the city of Niagara Falls
where firearms can be discharge in accordance with this bylaw." The
city also has a licensing bylaw that stipulates dogs are not to be
allowed to roam at large.

Since the incident, which Royer has apologized for, he said he has
received negative comments from people. He believes the dog might have
been hit on the first shot, which was taken by his friend.

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Dozens of dogs die in rural fire

Friday, February 12, 2010
CBC News

As many as 50 small-breed dogs were killed in a fire that destroyed a rural
home in southern Alberta, officials said Friday.

RCMP and firefighters from Foremost and Bow Island were called to a house
near Etzikom at about 9 p.m. Wednesday. By the time they arrived, the
building was in flames.

RCMP Sgt. Greg Squire of the Bow island detachment said a family of three
escaped unhurt by breaking a front window and climbing through it.

"Unfortunately, 30 to 50 dogs that were cared for Š in cages throughout the
house, perished in the fire." Squire said the dogs were being raised for
money.

Officials determined the fire was accidental.

A barn and shed on the property housed another 100 small-breed dogs. Bow
Island RCMP and the Alberta SPCA are co-ordinating efforts over the
surviving animals' welfare.

No names have been released in connection with the fire.

http://www.cbc.ca/canada/calgary/story/2010/02/12/calgary-dogs-dead-fire.html

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Publié le 20 février 2010 à 06h32 | Mis à jour le 20 février 2010 à 06h33


Une ferme laitière ravagée par un incendie

(Saint-Théodore-d'Acton) Une ferme laitière située à Saint-Théodore-d'Acton a été ravagée par un incendie, jeudi soir. Quelque 130 vaches ont brûlé dans le brasier. Les dommages s'élèvent à près de deux millions$.

Les flammes se sont déclarées vers 17h30 près d'un hachoir à foin dans la grange du 7e rang. Une policière qui patrouillait dans le secteur a aperçu la fumée s'échappant du bâtiment. Au même moment, les propriétaires de la ferme ont alerté les services d'urgence.


Le feu s'est rapidement propagé à l'ensemble de la grange qui contenait du foin, de la paille et le bétail. "Ça a été très vite", dit Yves Massé, copropriétaire de la ferme. À l'arrivée des pompiers, les flammes avaient gagné la totalité du bâtiment.



M. Massé a réussi à sauver une quarantaine de bêtes. Les reste de son bétail a péri.


Les pompiers ont combattu les flammes pendant 10heures. Ils ont même utilisé une pelle mécanique pour s'assurer qu'il ne restait plus aucun foyer d'incendie.


Une cinquantaine de sapeurs d'Acton Vale, Upton, Saint-Valérien, Wickam et Roxton Falls sont intervenus, a indiqué Julie Tougas, responsable des communications à la Ville d'Acton Vale.


Au lendemain du sinistre, hier, la scène était désolante. Il ne reste plus que des ruines fumantes et des feuilles d'acier tordues par la chaleur du brasier. Des bêtes jonchaient toujours le sol parmi les décombres de la ferme.


Il y a trois ans, Yves Massé est devenu copropriétaire de l'entreprise familiale avec son frère. "Ça fait quelque chose, a confié l'homme que La Voix de l'Est a rencontré hier midi. Ça fait 29 ans qu'on est ici."


Les pertes engendrées par la destruction de la grange et des équipements grimpent à 1,4 million$. À cela s'ajoute la valeur du bétail qui se chiffre à 400 000$.


Fort heureusement, les propriétaires étaient assurés. La ferme sera-t-elle reconstruite? "Probablement, mais on ne le sait pas encore", a fait savoir M. Massé, alors qu'il terminait une rencontre avec les agents de sa compagnie d'assurance.



http://www.cyberpresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/201002/20/01-953602-une-ferme-laitiere-ravagee-par-un-incendie.php

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Coyote bounty kills hit 18,000 in Sask.

Friday, February 19, 2010
CBC News

Less than four months after Saskatchewan's coyote bounty program was
announced, 18,000 coyotes have been killed.

The government gave an update on the Saskatchewan Coyote Control Program on
Friday.

Agriculture Minister Bob Bjornerud, who introduced the $20-an-animal bounty
last November, said he's pleased with the number of people who have
participated, but he'd like to see a lot more coyotes killed in the weeks
ahead.

A government news release said nearly 18,000 coyotes were killed for fur in
the previous fiscal year without the government paying people. In an average
year, the kill number is around 21,000, according to the Environment
Ministry.

Bjornerud said he hopes 35,000 can be killed by the end of March.

"For this to really do the job that we had hoped it would do, we've got to
be at least [at] 30,000, somewhere in that area," he said.

The government will spend $600,000 if 30,000 coyotes are killed.

People must bring in all four paws to get their money.

The province introduced the program amid widespread concerns that coyotes
were destroying sheep, cattle and other livestock.

There have also been concerns about dangers to humans in rural areas.
Bjornerud noted that coyotes have become bolder, coming into farmyards
during daylight hours while families are working outside.

Some wildlife and environmental groups have expressed skepticism that the
bounty would be effective at eliminating the coyotes that prey on farm
animals, claiming that only the weaker, slower coyotes would be killed.

The Green Party said the money the province is spending could be better
spent helping farmers pay for fences and livestock guardian dogs.

It notes that a bounty program was tried, and cancelled, in Nova Scotia
because coyotes simply had bigger litters when their numbers dropped.

http://www.cbc.ca/canada/saskatchewan/story/2010/02/19/sk-coyote-program-100
2.html

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22 Février 2010 - 5h36Les végétariens furieux contre la sénatrice Hervieux-Payette
+PetiteNormale+Grande(Corus Nouvelles) - Plusieurs associations végétariennes et écologiques du Québec pensent à intenter une poursuite contre la sénatrice libérale Céline Hervieux-Payette, elle qui les a traités d'« extrémistes » et de « mangeux de carottes ».

David Ruffieux, candidat du Parti vert du Canada, s'est insurgé des propos tenus par la sénatrice. Il se dit maintenant prêt, conjointement avec d'autres organismes de protection des droits des animaux, à poursuivre en justice afin d'éviter que d'autres politiciens ne fassent de la diffamation à leur endroit.

Le 25 janvier dernier, après qu'une activiste de People for the Ethical Treatment of Animals (PETA) eut lancé une tarte au tofu en plein visage de la ministre des Pêches et Océans, Gail Shea, Céline Hervieux-Payette avait mentionné que les lobbies végétariens étaient « devenus des extrémistes qui ne respectent pas nos institutions démocratiques ».

Elle en avait ajouté un peu plus tard, affirmant dans une entrevue au quotidien Le Devoir, qu'elle respectait ceux qui ne mangent que des carottes mais qu'elle préférait un peu de diversité dans son assiette.

Avec PC
CORUSNOUVELLES - CKAC Sports
http://www.985fm.ca/2010/NOUVELLES/LOCAL/MONTREAL/02/22/les.vgtariens.furieux.contre.4319011/index.html

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Il faudra changer mon texte sur le bulletin ou le retirer et on en parlera dans le bulletin suivant (?)

07/03/2010[/color] à 13:21 - mis à jour le 07/03/2010 à 18:20



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GENEVE - Les Suisses ont rejeté dimanche par référendum la mise en place d'avocats chargés de défendre les animaux maltraités devant les tribunaux dans toute la Confédération, estimant que la loi pionnière en vigueur assurait déjà la protection de leurs vaches, chiens et poissons rouges.


AFP/Archives/Denis Charlet

Un labrador gardé dans un cage par des gendarmes après la découverte de trafic d'animaux dans la Somme et le Pas-de-Calais en mars 2008
Le non est ainsi ressorti massivement dans la totalité des cantons, à 70,5% contre 29,5% de oui au terme d'une campagne très émotionnelle dans un pays où les animaux sont parmi les mieux protégés au monde.

A l'origine du vote, la Protection suisse des animaux (PSA) souhaitait renforcer l'application de la législation en obligeant tous les cantons à créer un poste d'avocat pour les animaux. Cette fonction existe depuis 1992, mais dans le seul canton de Zurich (nord).

Les Suisses, dont la passion pour les animaux leur coûte quelque 670 millions de francs (460 millions d'euros) par an selon une étude allemande, ont finalement suivi les recommandations de leur gouvernement et des partis de droite.

Pour ces derniers, la loi en vigueur depuis 2008 est largement suffisante pour garantir la protection des bêtes, de petite ou de grande taille.

Particulièrement stricte et détaillée, elle stipule par exemple que les propriétaires de poissons rouges ne peuvent les jeter vivants dans les cuvettes des toilettes ou que les animaux "sociaux", tels les hamsters ou les perruches, doivent impérativement être accompagnés d'un partenaire.

Prévoyant également la superficie de l'espace vital d'une souris, elle contraint les cantons à ouvrir des procédures pénales en cas de plainte de maltraitance.

"Ce vote montre que la loi sur les animaux fonctionne bien", s'est félicitée la présidente de la Confédération, Doris Leuthard.

"Nous sommes très satisfaits de constater que, finalement, c'est la raison qui l'a emporté sur l'émotion et la compassion", a renchéri le représentant des magistrats de Fribourg, Jean-Luc Mooser, alors que l'une des principales craintes des opposants était un engorgement des tribunaux par des affaires de chats martyrs.

De fait, un tiers des 700 plaintes pour maltraitance envers des animaux ont été ouvertes en 2008 à Zurich où exerce le seul avocat de la Confédération.

Outre un plébiscite à la législation existante, l'argument financier a semble-t-il également joué chez les votants en pleine crise économique, l'avocat pour les animaux étant rémunéré par les cantons.

Du côté de ceux qui étaient à l'origine du vote, accusés d'anthropomorphisme, la déception le disputait à l'étonnement.

"Les gens réagissent souvent avec scepticisme à la nouveauté", a expliqué le directeur de PSA, Hansueli Huber à l'agence suisse ATS.

"On n'imaginait pas un refus aussi net", a également reconnu la députée des Verts Adèle Thorenz Goumaz estimant qu'il y avait eu une mauvaise interprétation de l'initiative.

"Il ne s'agissait pas de modifier la loi ou de la rendre encore plus exigeante" mais "de mieux l'appliquer", a-t-elle expliqué.

Alors que la peine maximale est de trois ans de prison et 20.000 francs d'amende (13.600 euros), la moyenne des amendes pour mauvais traitements atteignait 439 francs en 2008 (300 euros).

Les Suisses "ont peut-être aussi trouvé que l'engagement était exagéré", a admis le seul avocat pour animaux du pays Antoine Götschel qui se console en faisant valoir que la campagne a permis de montrer "ce qui marche et ce qui ne marche pas" dans la loi.

"Même les adversaires ont reconnu qu'il existait des problèmes dans certains cantons. Les politiques doivent désormais agir... des améliorations sont nécessaires", a martelé M. Huber.
http://www.lexpress.fr/actualites/1/les-animaux-maltraites-n-auront-pas-leur-avocat-dans-les-cantons-suisses_853471.html

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