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Animal

BULLETIN -PRINTEMPS 2010

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Publié le 22 février 2010



L'Italie, la France et l'Espagne soutiennent déjà l'idée d'un moratoire sur la pêche au thon rouge.

Photo: AFP
Agence France-Presse


La Commission européenne a proposé lundi aux gouvernements de l'UE de soutenir le classement du thon rouge parmi les espèces menacées d'extinction et donc d'interdire courant 2011 le commerce international de ce poisson très apprécié des Japonais.
«Nous n'avons pas d'autre choix que d'agir maintenant et de proposer l'interdiction du commerce international» du thon rouge, pêché principalement en mer Méditerranée, a déclaré à la presse le commissaire européen à l'Environnement, Janez Potocnik.

Si les gouvernements de l'UE approuvent la recommandation de la Commission et si cette proposition est entérinée par la CITES, l'organisation affiliée à l'ONU chargée de la protection des espèces en danger, alors cela équivaudra de facto à interdire la pêche de ce thonidé victime d'une pêche excessive.

La réunion de la CITES sur le sujet est prévue du 13 au 25 mars à Doha.


Selon les sources proches du dossier, il devrait toutefois y avoir des exemptions pour la pêche artisanale en Europe.

L'annonce de la Commission est intervenue en marge d'une réunion à Bruxelles des ministres européens de la pêche.

Elle a été rendue possible notamment par la décision prise par trois grands pays européens de pêche au thon en Méditerranée, la France, l'Italie et l'Espagne, de soutenir l'idée d'un moratoire pour soulager l'espèce menacée.

La France s'est prononcée récemment en faveur d'une interdiction du commerce international, mais avec délai de 18 mois avant l'entrée en vigueur. L'Italie lui a apporté son soutien en janvier et la ministre espagnole de la Pêche et de l'Environnement, Elena Espinosa, a dit lundi à Bruxelles être d'accord avec la proposition de la Commission.

En septembre dernier, une première proposition en ce sens de la Commission n'avait pas réuni la majorité nécessaire des États au sein de l'UE.

Le thon rouge ne bénéficie actuellement d'aucune protection de la CITES, la seule organisation mondiale ayant autorité pour limiter ou interdire le commerce international d'espèces animales ou végétales menacées.

L'interdiction qui se profile de facto de la pêche dans les eaux européennes constitue un coup dur pour la profession qui avait par avance mis en garde contre les risques de banqueroute, notamment dans le Sud de la France. Une grande partie de leur production est en effet exportée au Japon.

Les Japonais absorbent à eux seuls 80% des captures mondiales du thon rouge, dont la chair est très appréciée crue, en sashimi, ou accommodée en sushi.

Le Japon a du reste fait savoir lundi qu'il refusait lundi toute interdiction de la pêche et du commerce de l'espèce.

«Nous faisons ce que nous pouvons pour qu'elle ne soit pas adoptée» par la CITES, prochaine étape, a déclaré à l'AFP Shingo Ota, un négociateur à l'Agence des pêcheries du Japon.

En un demi-siècle, de 1957 à 2007, les stocks de thon rouge ont baissé de 75%, et de plus de 60% au cours des dix dernières années, selon les défenseurs de l'environnement.
http://www.cyberpresse.ca/environnement/201002/22/01-954001-lue-sattaque-au-commerce-international-du-thon-rouge.php

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Publié le 03 mars 2010 à 13h17 | Mis à jour à 13h21


Les É-U veulent interdire le commerce du thon rougeAgrandir

L'Italie, la France et l'Espagne soutiennent déjà l'idée d'un moratoire sur la pêche au thon rouge.

Photo: AFP
Agence France-Presse
Washington


Les États-Unis ont indiqué mercredi qu'ils allaient réclamer une interdiction du commerce international du thon rouge pour protéger l'espèce, lors d'une réunion prévue ce mois-ci au Qatar, un geste mal vu par le Japon, où ce poisson est très apprécié.

Les États-Unis ont indiqué mercredi qu'ils allaient réclamer une interdiction du commerce international du thon rouge pour protéger l'espèce, lors d'une réunion prévue ce mois-ci au Qatar, un geste mal vu par le Japon, où ce poisson est très apprécié.

Tom Strickland, chargé de la pêche, des parcs et de la faune au département des Affaires intérieures, a affirmé que les États-Unis avaient offert «leur soutien à une proposition visant à interdire tout commerce international de thon rouge». Cette proposition sera examinée lors de la réunion de la CITES, l'organisation de 175 membres affiliée à l'ONU chargée de la protection des espèces en danger, qui se réunit du 13 au 25 mars à Doha.

«Le gouvernement américain est déterminé à travailler avec nos nombreux partenaires internationaux pour continuer à reconstruire la (population de) thon rouge et garantir une protection et une gestion durable de l'espèce à l'avenir», a dit M. Strickland dans un communiqué.


Le Fonds mondiale pour la nature (WWF) s'est aussitôt félicité de cette décision dans un communiqué.

«Les États-Unis ont un intérêt particulier sur cette question, en tant qu'État pêcheur de thon rouge. Si les États-Unis soutiennent la proposition d'interdiction du commerce international (...), tous les autres pays peuvent et doivent faire de même», a dit le Dr Sergi Tudela, expert en thon rouge du WWF.

Pour que ce poisson soit considéré comme une espèce en danger par la CITES, les deux tiers des pays participant à la réunion doivent voter pour protéger le poisson.

Le WWF appelle notamment les pays membres de l'Union européenne (UE) à suivre l'exemple américain et à soutenir la proposition sans conditions.

La Commission européenne a proposé récemment une telle interdiction, qui doit être approuvée par les pays de l'UE puis entérinée au CITES.

Mais les pays européens sont divisés sur cette question, certains États comme l'Espagne ou la Grèce ayant manifesté leur opposition.

En outre, les Japonais, qui consomment 80% des captures mondiales du thon rouge, ont promis de «tout faire» pour contrer une telle interdiction au sein de la CITES.

Le pays affirme qu'il y a des moyens moins radicaux pour préserver les stocks de ce thonidé, dont la chair est très appréciée consommée crue, en sashimi, ou accommodée en sushi

En un demi-siècle, de 1957 à 2007, les stocks de thon rouge ont baissé de 75%, et de plus de 60% au cours des dix dernières années, selon les défenseurs de l'environnement.

Une interdiction du commerce international n'empêcherait pas les pêcheurs américains de capturer des thons dans les eaux américaines pour la consommation au sein du pays, où, selon M. Strickland des mesures permettent d'éviter la surpêche.
http://www.cyberpresse.ca/environnement/201003/03/01-4257050-les-e-u-veulent-interdire-le-commerce-du-thon-rouge.php

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U.N. To Pay Mongolian Nomads To Dispose Of Dead Herds
Date: 26-Feb-10
Country: CHINA
Author: David Stanway



Carcasses of goats, which died due to the cold weather, are piled up along a fence near a ger, a traditional Mongolian house, in Arkhangai province in this January 23, 2010 file photo.
Photo: Mongolian Red Cross Society/Enkhtor Dorjzovd/Handout/Files

BEIJING - The United Nations Development Program will pay cash to struggling Mongolian herders to clean up the remains of millions of livestock killed during the country's worst winter in decades, it said on Thursday.

Mongolia's bitter winter, known as the zud, has blanketed much of the country in deep snow and killed at least 2.7 million heads of livestock, posing health risks once the snow melts, the UNDP said.
"Most of these areas don't have running water or access to sanitation anyway and these carcasses need to be cleaned up as quickly as possible so we have less disease," Rana Flowers, UNICEF representative in Ulan Bator, said earlier this month.

She said many starving herders had also been selling the dead animals on local meat markets, causing further hygiene problems.

The UNDP said the scheme would focus on small herders in remote regions who have been hit particularly badly by the winter.

Another three million animals are expected to die before the cold season ends in June, and the government has already requested $4 million in UN aid in order to dispose of the carcasses.

Mongolia's pastures represent only 20 percent of the country's GDP but support over 40 percent of its population, and the crippling weather has left large numbers of nomads stranded without fuel or food, aid workers have said.

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le mercredi 10 février, 2010

Cruauté envers les animaux
Nadeau plaide non coupable

EDMUNDSTON – Nadeau Ferme Avicole plaide non coupable à huit accusations de négligence lors du transport et du débarquement de poulets vivants à son abattoir de Saint-François cocnernant des infractions qui auraient été commises en décembre 2007 et en janvier 2008.

Ces accusations ont été déposées contre la compagnie, le 11 janvier. Au nom de son client, Me Gil Thibodeau a enregistré un plaidoyer de non-culpabilité, hier, en Cour provinciale, à Edmundston. La compagnie subira son procès dans ce dossier dès le 7 juin.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) allègue que l’entreprise a enfreint le Règlement sur la santé des animaux.

Elle lui reproche notamment d’avoir transporté une cargaison de poulets vivants dans un camion où ils risquaient de se blesser ou de souffrir inutilement en raison d’une exposition aux intempéries.

-Plus de détails dans les éditions électronique et papier de L'Acadie NOUVELLE du 11 février.

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http://www.atra.info/?indice=31&lingua=fra
04 Mar 2010


COMMUNIQUÉ OFFICIEL I-CARE
www.icare-worldwide.org

Le centre I-CARE, International Center for Alternatives in Research and Education (www.icare-worldwide.orget www.icare-italia.org), avec plus de 400 expériences bloquées et quelques 6000 animaux réhabilités, grâce à l’aide de nombreuses associations et bénévoles, va vers des nouveaux projets antivivisectionnistes en Italie (où l’association animaliste de repère est la Ligue antivivisection de Lombardie LeAL (www.leal.it)- et à l’étranger, où I-CARE peut compter sur la collaboration de l’ATRA.
En particulier, les derniers projets de I-CARE ont amené à la substitution de l’utilisation des animaux par des méthodes alternatives dans certains pays d’Afrique, Asie et de l’Europe de l’est, s’opposant de cette manière au transfert des laboratoires de vivisection occidentaux dans ces pays où la culture animaliste est totalement absente (le cas de la fermeture de l’animalerie de la Glaxo en Italie et son ouverture en Chine en est le premier cas italien flagrant).
Des séminaires, la création de chaires universitaires, des meilleures lois, la substitution directe par des méthodes alternatives sont, en ce moment historique, la priorité absolue, pour éviter que les améliorations obtenues en Europe puissent être rendues vaines par le déplacement de la vivisection dans des enfers encore plus terribles.
Par ce message, nous voulons rendre publique une bonne nouvelle : après des années de travail, la proposition de nombreux projets et des centaines de réhabilitation, I-CARE a l’immense plaisir de communiquer que les expériences sur les chats en Italie sont officiellement terminées. Les dernières 70 chattes, presque toutes positive à la FIV, sont en phase de réhabilitation et elles rejoindront très prochainement leurs nouvelles familles où elles pourront enfin oublier les horribles années passées dans les laboratoires italiens.
Le staff de I-CARE

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Publié le 05 mars 2010 à 16h26 | Mis à jour le 05 mars 2010 à 16h30


Ouverture de la chasse au python... dans les rues de Miami


Agence France-Presse
Miami


Avec la ferme intention d'endiguer la prolifération du python, friand d'espèces protégées, les autorités de Floride donneront lundi le coup d'envoi de la chasse au serpent dans cet État, et ce jusque dans les rues de Miami.

À l'origine, le python n'est pas chez lui en Floride. Mais, conquis par son exotisme, de nombreux Américains en ont acquis ces vingt dernières années et l'ont hissé au rang d'animal domestique, à l'égal des plus traditionnels chats et chiens.


Or, en 1992, l'ouragan Andrew qui a fortement secoué la Floride a détruit de très nombreux magasins proposant le reptile, leur offrant alors une liberté inespérée. Depuis, les pythons se sont très bien adaptés au climat subtropical qui prévaut dans la région... et même à l'environnement urbain de Miami.



Mais, très friands de chats, d'écureuils, de lapins et même de caïmans, ils mettent en péril l'équilibre de la faune locale.


En conséquence, l'Autorité de protection de la faune et de la flore de Floride (FWC) a décidé de mettre les habitants de la métropole à contribution et de leur apprendre comment chasser le python, qui peut mesurer 8 mètres de long.


«Une fois de plus, nous appelons la communauté des chasseurs à nous aider à réduire le nombre de ces reptiles qui constituent un motif d'inquiétude dans les Everglades», le grand parc national de Floride qui fait office de sanctuaire pour de nombreuses espèces protégées, a expliqué Rodney Barreto, le président de la FWC dans un communiqué.


Et, selon la FWC, la chasse au python rapporte. Trente centimètres de peau du reptile peuvent valoir jusqu'à 5 dollars.

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Publié le 17 mars 2010 à 08h52 | Mis à jour à 08h54


Un poulailler flambe à Warden

Une quarantaine de pompiers s'affairaient hier à éteindre l'incendie qui a ravagé un poulailler, dans la rue Dumoulin, à Warden.



(Warden) Un incendie a complètement ravagé un poulailler, à Warden hier en toute fin de journée. Heureusement, il était vide. La veille, le propriétaire de la Ferme Pierre Choinière et fils Inc. avait sorti les 30 000 poules qu'il contenait.

À l'arrivée de La Voix de l'Est à la ferme de la rue Dumoulin, vers 19h45, des pompiers s'affairaient encore à éteindre le feu. Le brasier couvait sous les débris carbonisés qu'enlevait une grue mécanique.



Le propriétaire, Pierre Choinière, regardait ce spectacle désolant. «On ne s'attendait pas à ça», a-t-il confié, la mine déconfite. «C'est une perte totale», a-t-il indiqué, sans être en mesure de chiffrer le montant des dommages.



Texte complet dans notre édition de mercredi

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Publié le 20 février 2010 à 06h32 | Mis à jour le 20 février 2010 à 06h33


Une ferme laitière ravagée par un incendie
Une grange située sur le 7e rang à Saint-Théodore-d'Acton a été complètement détruite par un incendie, jeudi soir. Environ 130 vaches ont péri. Les dommages s'élèvent à environ 2 millions$.

(Saint-Théodore-d'Acton) Une ferme laitière située à Saint-Théodore-d'Acton a été ravagée par un incendie, jeudi soir. Quelque 130 vaches ont brûlé dans le brasier. Les dommages s'élèvent à près de deux millions$.

Les flammes se sont déclarées vers 17h30 près d'un hachoir à foin dans la grange du 7e rang. Une policière qui patrouillait dans le secteur a aperçu la fumée s'échappant du bâtiment. Au même moment, les propriétaires de la ferme ont alerté les services d'urgence.


Le feu s'est rapidement propagé à l'ensemble de la grange qui contenait du foin, de la paille et le bétail. "Ça a été très vite", dit Yves Massé, copropriétaire de la ferme. À l'arrivée des pompiers, les flammes avaient gagné la totalité du bâtiment.



M. Massé a réussi à sauver une quarantaine de bêtes. Les reste de son bétail a péri.


Les pompiers ont combattu les flammes pendant 10heures. Ils ont même utilisé une pelle mécanique pour s'assurer qu'il ne restait plus aucun foyer d'incendie.


Une cinquantaine de sapeurs d'Acton Vale, Upton, Saint-Valérien, Wickam et Roxton Falls sont intervenus, a indiqué Julie Tougas, responsable des communications à la Ville d'Acton Vale.


Au lendemain du sinistre, hier, la scène était désolante. Il ne reste plus que des ruines fumantes et des feuilles d'acier tordues par la chaleur du brasier. Des bêtes jonchaient toujours le sol parmi les décombres de la ferme.


Il y a trois ans, Yves Massé est devenu copropriétaire de l'entreprise familiale avec son frère. "Ça fait quelque chose, a confié l'homme que La Voix de l'Est a rencontré hier midi. Ça fait 29 ans qu'on est ici."


Les pertes engendrées par la destruction de la grange et des équipements grimpent à 1,4 million$. À cela s'ajoute la valeur du bétail qui se chiffre à 400 000$.


Fort heureusement, les propriétaires étaient assurés. La ferme sera-t-elle reconstruite? "Probablement, mais on ne le sait pas encore", a fait savoir M. Massé, alors qu'il terminait une rencontre avec les agents de sa compagnie d'assurance.
http://www.cyberpresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/201002/20/01-953602-une-ferme-laitiere-ravagee-par-un-incendie.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4261479_article_POS4

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Publié le 26 février 2010 à 07h51 | Mis à jour le 26 février 2010 à 07h57


Deux tonnes d'ivoire saisies à Bangkok

Agence France-Presse


Les autorités thaïlandaises ont saisi plus de deux tonnes d'ivoire stockées à l'aéroport international de Bangkok en provenance de Dubaï, et qui devaient être envoyées au Laos, ont indiqué les douanes dans un communiqué.

Les autorités, aidées par une dénonciation, ont fouillé un entrepôt de transit à l'aéroport Suvarnabhumi mercredi et découvert 239 défenses d'éléphants d'Afrique, a précisé le texte publié jeudi soir.

Les 2 075 kilos d'ivoire représentent une valeur marchande d'environ 120 millions de baht (3,6 millions de dollars). Aucune arrestation n'a accompagnée cette saisie. La cargaison était arrivée de Dubaï et déclarée comme du matériel de télécommunications.

La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES) a prohibé le commerce international de l'ivoire en 1989, même si elle a fini par autoriser, à partir de 1997, les pays d'Afrique australe à procéder à quelques ventes ponctuelles.


Les experts estiment qu'environ 38.000 éléphants d'Afrique sont tués chaque année pour une population totale d'environ 500.000 pachydermes.

L'Asie, notamment la Chine et le Japon, est un des plus gros marchés de la planète pour les ventes illégales d'ivoire selon les experts, la Thaïlande se positionnant comme un point de transit du trafic international.

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Radio-Canada.
Atlantique Exportation

Une chasse au phoque annulée
Mise à jour le vendredi 12 mars 2010 à 10 h 48

Photo: La Presse Canadienne /Andrew Vaughan

Un phoque gris


Les milliers de phoques gris qui se trouvent sur l'île Hay au large du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, ne feront pas l'objet d'une chasse cette année. Cette activité a été annulée.

En ce moment de l'année, une quarantaine de chasseurs se trouverait normalement à 8 miles marins des côtes pour prendre leur quota de 2200 phoques gris autorisé par Pêches et Océans Canada.

Robert Courtney, représentant des chasseurs du Cap-Breton, explique que ces derniers ont négocié jusqu'au dernier moment avec des acheteurs de fourrure de Terre-Neuve, qui ont fini par se désister.

M. Courtney précise que les chasseurs étaient prêts à s'entendre avec les acheteurs, mais qu'ils avaient besoin d'aide des gouvernements fédéral et provincial pour trouver de nouveaux marchés.

Embargo douloureux

L'Europe, en août dernier, a fermé ses portes à tous les produits issus de la chasse au phoque. Aujourd'hui, cet embargo coûte cher aux chasseurs. Robert Courtney indique que lorsqu'ils ne peuvent chasser, ces derniers perdent 25 % de leurs revenus.

Le ministre des Pêches de la Nouvelle-Écosse, Sterling Belliveau, se défend de laisser les chasseurs à eux-mêmes. Il dit qu'il n'a reçu aucune demande par écrit de la part des chasseurs et qu'il ne peut donc pas simplement rédiger un chèque en blanc.

La chasse sur l'île Hay est la première de la saison sur la côte de l'Atlantique. L'absence de marché pour cette chasse ne présage rien de bon pour les autres qui auront lieu au large des Îles-de-la-Madeleine et de Terre-Neuve dans les prochaines semaines.

http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2010/03/11/003-NE-chasse-phoque-hay.shtml

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Les pêcheurs satisfaits
Le commerce du thon rouge n'est pas interdit
Associated Press (AP)
18/03/2010 23h49

TOKYO - Les poissonniers japonais ont accueilli avec satisfaction le rejet jeudi de la proposition d'interdire le commerce international du thon rouge de l'Atlantique lors de la réunion à Doha de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES).

Les Japonais, dont le thon rouge de l'Atlantique est très utilisé dans les plats traditionnels de leur gastronomie comme les sushis et les sashimis, ont suivi avec inquiétude le résultat du vote de Doha.

Le rejet de la proposition a fait vendredi la une de la majorité des journaux de l'archipel.

«Plutôt que d'interdire purement et simplement l'exportation du thon rouge de l'Atlantique, il vaut mieux s'assurer du respect des quotas. Beaucoup de personnes gagnent leur vie grâce à ce poisson» a rappelé Kazuhiro Takayama, poissonnier sur le marché de Tsukiji à Tokyo.

Les Japonais consomment près de 80% de la production mondiale de thon rouge de l'Atlantique.

La principauté de Monaco avait présenté la proposition d'interdire le commerce international du thon rouge de l'Atlantique aux 175 pays signataires de la convention, arguant de la nécessité de prendre des mesures drastiques pour faire face à l'effondrement des stocks (-80% dans l'Atlantique Ouest entre 1970 et 2007 et -74,3% dans l'Atlantique Est entre 1955 et 2007) en raison de la surpêche et de la demande croissante.

Une majorité des deux tiers était nécessaire pour que la résolution soit adoptée.

Mais à l'ouverture des débats, il est devenu évident que la proposition rencontrait peu de soutien. Les États-Unis, la Norvège et le Kenya ont totalement appuyé la proposition. L'Union européenne demandait elle un report de sa mise en oeuvre jusqu'en mai 2011.

Le Japon, qui importe 80% du thon rouge de l'Atlantique et a été à la pointe de la contestation contre cette interdiction, a de nouveau avancé que la CITES ne devait jouer aucun rôle dans la régulation des activités de pêche du thon et d'autres espèces marines.

Tokyo s'est déclaré disposé à accepter des quotas plus bas pour le thon rouge, mais a souhaité qu'une telle initiative émane de la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (ICCAT), qui avait décidé en novembre de réduire ses quotas de 22 000 tonnes à 13 500 tonnes pour 2010.

«Le Japon est très préoccupé par le statut du thon rouge de l'Atlantique» et a «travaillé dur depuis nombre d'années pour assurer son rétablissement», a affirmé Masanori Miyahara, conseiller en chef de l'Agence nippone des pêcheries. Mais «faisons ce travail à l'ICCAT, pas à la CITES. Cette position est partagée par la majorité des pays asiatiques».

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Le caviar, encore plus rare?
Au tour de l'esturgeon Béluga d'être menacé d'extinction
Associated Press (AP)
18/03/2010 15h39

Ci-dessus, un type d'esturgeon de la côte Ouest américaine, lui aussi menacé.

©️ AP Photo/Monterey Bay Aquarium






La consommation effrénée des amateurs de caviar menace d'extinction les esturgeons, comme le très prisé Béluga, a annoncé jeudi un groupe de protection de la nature, qui appelle à une interdiction de la pêche pour sauver l'espèce.

Lors de l'établissement de sa dernière liste rouge des espèces en voie d'extinction, l'Union internationale de conservation de la nature (UICN) a découvert que les 18 espèces existantes d'esturgeons étaient en danger. L'esturgeon Béluga apparaît, pour la première fois, sur cette liste, aux côtés d'espèces de la mer Caspienne menacées par la surpêche, a précisé l'UICN.

«Il est temps d'envisager sérieusement la fin de la pêche dans la mer Caspienne», a déclaré Phaedra Doukakis, expert auprès de l'UICN et chercheur à l'Université Stony Brook de New York, dans un communiqué.

Elle Pikitch, directrice exécutive de l'Institut pour la science de la conservation des océans à l'université Stony Brook, a appelé la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES) à considérer une interdiction totale du commerce des produits d'esturgeon. Pour permettre aux stocks d'esturgeons de se renouveler, l'interdiction doit durer plusieurs décennies, a-t-elle précisé.

«Une lueur d'espoir pour ces espèces est leur capacité à produire des millions d'œufs», a ajouté l'UICN, qui estime que «si une protection adéquate est mise en place, leur capacité reproductive peut permettre de reconstituer graduellement leur population».

L'interdiction de pêche pourrait porter un coup sévère à l'industrie halieutique de la région Caspienne, qui comprend la Russie, l'Iran, le Kazakhstan, le Turkménistan et l'Azerbaïdjan. Le caviar de Béluga peut rapporter jusqu'à 5000 dollars par livre. Les œufs et la chair d'autres espèces d'esturgeons sont aussi considérés comme des mets raffinés dans beaucoup de pays.

Il y a trois ans, une commission des Nations unies avait levé l'interdiction de commerce du Béluga et de deux autres sortes de caviar, arguant que les pays de la Caspienne avaient amélioré leurs mesures de protection et pouvaient être autorisés à procéder à une pêche responsable.

L'esturgeon est l'une des plus anciennes espèces animales au monde. Vieux de plus de 250 millions d'années, il peut vivre un siècle mais n'atteint sa maturité que tardivement.

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Publié le 18 mars 2010 à 13h00 | Mis à jour le 18 mars 2010 à 13h00


La peau de l'ours polaire continuera d'être vendue





La Presse canadienne
Anne Chaon
Agence France-Presse
Doha


Le commerce international des ours polaires, mascottes de la lutte contre le changement climatique, restera autorisé car il représente une menace insignifiante comparé à la fonte de la banquise, a estimé jeudi la conférence de la CITES sur les espèces sauvages menacées.

Les États-Unis, arguant que leur nombre avait déjà diminué de 30% en trois générations, soit 45 ans, demandaient l'inscription des ours blancs à l'Annexe I de la Convention sur le commerce international des espèces sauvages menacées d'extinction (CITES), prohibant toutes ventes hors des pays de répartition.

Ursus maritimus a été classé en 2008 comme espèce «vulnérable» par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et figure déjà en Annexe II de la Convention depuis 1975 (commerce contrôlé).

Il en reste 20 000 à 25 000 spécimens, répartis entre cinq États: les États-Unis (Alaska), le Canada, le Groenland, la Norvège et la Fédération de Russie, tous installés le long du cercle polaire arctique où le réchauffement climatique est deux fois supérieur à la moyenne mondiale selon les observations des climatologues.


L'étendue de la glace de mer a diminué de 15 à 20% ces 30 dernières années et un déclin supplémentaire de 10 à 50% est redouté d'ici la fin du siècle.

Parmi ces pays, seul le Canada autorise les exportations de peaux, de trophées, de dents ou d'artisanat réalisé à partir des os.

Un commerce géré par les Inuits auxquels il apporte un complément de revenu, a souligné jeudi en séance un représentant de la communauté, depuis les rangs de la délégation canadienne.

«C'est une source de nourriture et une importante contribution à la marche des foyers et à la survie des Inuits. Nous n'avons ni plante ni arbre chez nous. Et puisque tout le monde reconnaît que la menace principale c'est le changement climatique, ce n'est pas la CITES qui va gérer ça», souligne-t-il.

De son côté, le Groenland a suspendu toute exportation d'ours depuis 2008 mais demande à pouvoir poursuivre la chasse sur ses terres.

Officiellement, 300 ours sont vendus sur le marché international chaque année, dont 210 par le Canada qui affirme qu'à peine 2% des ours polaires «entrent dans le commerce chaque année» et que ce chiffre n'augmente pas.

Mais pour Jane Lyder, chef de la délégation américaine, jusqu'à 700 seraient tués illégalement chaque année, notamment en Russie.

«Nous voulions stimuler un débat sur ces sources multiples de menaces, explique-t-elle. Bien sûr qu'il faut reconnaître la menace potentielle et réelle du changement climatique, mais ce n'est pas suffisant. Le rythme actuel du commerce a un impact, notamment sur le marché intérieur russe».

L'Union européenne a refusé de la suivre, en justifiant de la «bonne gestion» des ours par les populations autochtones.

De leur côté, les organisations dédiées à la conservation étaient divisées sur le dossier: pour l'UICN, TRAFFIC, le WWF ou le World Conservation Trust, la demande américaine était plus «émotionnelle» que scientifiquement fondée.

Mais pour la Fondation Brigitte Bardot, Robin des Bois ou le Fonds mondial de protection des animaux (IFAW), la contrebande est une menace de plus qui pèse sur l'ours blanc.

«C'est une occasion manquée», regrettait jeudi à Doha Jeff Flocken, directeur d'IFAW. «Avec le changement climatique, la pollution, la sur-chasse, le commerce est une menace supplémentaire qui n'est pas indispensable. Maintenant, plus de 3 000 ours vont pouvoir être tués au cours des dix prochaines années», ajoute-t-il.

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Mise à jour 19.03.2010 17h14



Un projet de loi contre la cruauté envers les animaux

Le dernier projet en date de première loi adoptée par la Chine contre la cruauté envers les animaux, rendu public mercredi pour solliciter l'opinion du public, a ajouté une disposition supplémentaire après l'affaire du zoo de Shenyang, où 13 tigres de Sibérie étaient morts en trois mois : il sera interdit aux zoos de maltraiter les animaux en les privant de l'eau ou de la nourriture nécessaires.

Le projet a également modifié une disposition – controversée- de sa version précédente, qui interdisait la consommation de chiens et de chats, laissant la décision finale aux autorités locales.

Chang Jiwen, chercheur à l'Institut de droit de l'Académie chinoise des Sciences sociales, qui a dirigé le panel d'experts sur ce sujet, dit que l'interdiction d'affamer les animaux a été incluse dans la dernière version du texte après que la récente mort des tigres ait causé une vive émotion dans le pays.

Une enquête a été lancée au sujet de la mort de 13 tigres de Sibérie lors des trois derniers mois dans un zoo de Shenyang, capitale de la Province du Liaoning, au Nord de la Chine.

Wu Xi, un des responsables du zoo, avait déclaré précédemment que deux tigres avaient été abattus en novembre dernier après qu'ils aient attaqué un gardien, et que les onze autres étaient morts de maladies comme des des déficiences cardiaques ou rénales dues à un manque de nourriture.

M. Chang a déclaré que les experts ont abandonné l'onterdiction de la consommation des chiens et des chats, car de nombreuses personnes étaient en désaccord avec une législation à l'échelle nationale sur ce sujet, du fait des particularismes régionaux.

Le dernier projet en date laisse le provinces, Municipalités et Régions Autonomes de décider par elles-mêmes dans quelles zones cette interdiction pourra être appliquée.

Dans les zones où l'interdiction sera en vigueur, les personnes en infraction avec la loi seront punies d'une amende pouvant aller jusqu'à 5 000 Yuans (730 Dollars US). Et les organisations qui se seront rendues coupables d'avoir vendu cette viande pourront être frappées d'une amende allant entre 10 000 et 500 000 yuans, d'après le projet de texte.

M. Chang a dit que le panel d'experts soumettrait le projet la semaine prochaine au Comité Permanent du Congrès National Populaire, la législature suprême.

« Si les législateurs le jugent important, le projet pourrait devenir une loi d'ici deux ou trois ans, mais cela pourrait prendre davantage de temps, peut-être même dix ans, avant que ce texte ne soit réellement mis en application », dit-il.

La Chine dispose actuellement d'une Loi de protection de la vie sauvage, d'une Loi de prévention des épizooties, d'une Loi sur l'élevage des animaux, d'une réglementation relative à l'abattage des porcs, d'une réglementation relative à la gestion des laboratoires animaliers et autres textes spécifiques concernant la protection et la gestion des animaux.

« Cependant, ces textes ne peuvent incarner de manière parfaite toute la compassion du peuple chinois envers la consommation de créatures vivantes, ni ne peuvent refléter la volonté de la Chine d'adhérer ou de signer des conventions ou déclarations internationales lui demandant de protéger la valeur inhérente à chaque animal », dit M. Chang.

Il précise que ce projet n'est pas une simple transposition des valeurs et idées de l'Occident, car « La situation en Chine est très différente de ce qu'elle est en Occident ».

« C'est pourquoi nous avons changé le nom de cette loi, de 'Loi de protection des animaux' en 'Loi contre la cruauté envers les animaux'. Notre ligne directrice est de ne pas infliger de mauvais traitements aux animaux », dit-il.

Le projet dispose aussi que des « méthodes humaines » doivent être, si nécessaire, utilisées pour abattre les animaux, et qu'aucun acte de cette nature ne soit pratiqué devant des personnes mineures.

Source: le Quotidien du Peuple en ligne
http://french.peopledaily.com.cn/96851/6925248.html

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Publié le 23 mars 2010 à 14h27 | Mis à jour à 14h27


Traquer la bête en Outaouais


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Au parc Omega, on peut observer les animaux, dont les ours, dnas leur habitat naturel.

Photo: archives PC
Sylvie Ruel
La Presse


En Outaouais, il est possible de traquer le gros gibier avec l'appareil photo ou l'arme à feu. Que vous ayez l'âme d'un poète ou celle d'un coureur des bois, le parc Omega, à Montebello, et le Ranch d'Amérique, à Saint-Émile-de-Suffolk, au coeur de la Petite-Nation, vous offrent des expériences fortes en pleine nature.

Durant les beaux jours de l'été, le parc Omega, à 3 km de Montebello, accueille de 1000 à 2000 visiteurs par jour. C'est un incontournable pour les amoureux de la nature. Mais ce que plusieurs ne savent pas, c'est que l'hiver est le meilleur moment pour y aller. Voilà un secret jusque-là bien gardé. Sur fond de neige, les animaux se laissent facilement observer et photographier et il est aisé de suivre leurs traces au sol. Qui plus est, vous aurez l'impression d'avoir le parc à vous tout seul, car la foule ne s'y presse pas.



Ce parc couvre un territoire naturel de 1500 acres, lequel est traversé par un chemin de 10 km. Le visiteur parcourt le territoire au volant de sa voiture, en syntonisant la radio du parc, qui le renseigne sur les différentes espèces qui y vivent et sur leurs moeurs. Il peut alors observer les animaux dans leur habitat naturel: bisons et wapitis dans la prairie, daims dans la forêt, cerfs dans les prés... sans oublier les loups, les sangliers, les bouquetins, les coyotes, les ours (oui, oui, les ours en hiver)... et les caribous. L'an dernier, le parc Omega a acquis 15 nouveaux caribous, qu'il est possible de voir dans la toundra des caribous.


Nourrir les animaux

Le visiteur ne manque pas de se procurer à l'entrée du parc un sac de carottes, qu'il offrira aux bêtes rencontrées sur sa route. Comme il se trouve au coeur de la vie sauvage, certains animaux peuvent être dangereux, particulièrement les bisons, qu'il est fortement déconseillé de nourrir. J'ai eu la frousse quand trois gros mastodontes sont venus se frotter à la voiture. Et il ne faut pas ouvrir trop grand les fenêtres de la voiture afin d'éviter qu'un wapiti ou un cerf n'y entre complètement sa tête et reparte avec le sac de carottes...

Le parc est également sillonné de petits sentiers romantiques que l'on peut parcourir à pied ou en raquette. Ces sentiers se trouvent dans des zones où les animaux, tels les cerfs, sont inoffensifs. Là, vous avez tout le loisir d'attirer les charmantes bêtes avec vos carottes, de les flatter et les photographier... Et quelle chance j'ai eue ce jour-là d'observer dans la vallée un gros ours noir, qui venait à peine de sortir de sa tanière.

«Durant les belles journées de février, m'explique Charles de Reinach, responsable du parc Omega, il arrive que l'ours se pointe le nez dehors, puis qu'il retourne tranquillement dans son repaire.»

Les loups accourent

Sur la passerelle des loups, passerelle en bois sur pilotis de 300 m de long, il est possible d'avoir une vue panoramique sur une meute de loups gris. Il suffit de frapper les mains sur la passerelle pour qu'ils accourent vers vous, juste sous vos pieds.

L'ensemble du territoire compte assez d'espace pour que tout ce beau monde cohabite pacifiquement; chaque animal a son propre habitat et peut se retirer en toute quiétude dans ses quartiers quand vient le temps de mettre bas.

Du gros gibier

Dans l'Outaouais, il est possible également d'observer le gros gibier au Ranch d'Amérique, à Saint-Émile-de-Suffolk, village situé au coeur de la vallée de la Petite-Nation. Benoît Voghell nous accueille avec son sanglier Émile, qui lui sert d'animal de compagnie.

M. Voghell gère une ferme de 400 acres, où il fait l'élevage de plus d'une centaine de bêtes, tels des bisons, des daims, des wapitis, des cerfs, des sangliers et des sikas. À bord d'un petit véhicule qui les emmène en pleine forêt, les visiteurs peuvent observer à loisir les gros animaux dans leur milieu naturel. Voilà pour l'observation.

Le Ranch d'Amérique est aussi un territoire de chasse, où l'on pratique toute l'année la chasse sportive en enclos. Ce type de chasse n'exige aucun permis, et le chasseur est accompagné d'un guide. La veille de notre passage, une femme de 75 ans, grande passionnée de chasse, y avait abattu son premier bison. Mad

Sur la ferme, Benoît Voghell a fait construire une grande auberge où il accueille ses invités. La maison est dotée de sept chambres, d'un grand dortoir à l'étage et d'une salle à manger au rez-de-chaussée, où l'on organise des repas gaulois animés, à base de sanglier, de bison et de wapiti.

>www.parcomega.com

>www.ranch-amerique.com

>Tourisme Outaouais: 1-800-265-7822 ou www.tourismeoutaouais.com

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24 mars 2010 | Mis à jour à 12h10


Le gorille au coeur de tous les trafics

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Le gorille aura disparu de régions entières d'ici 15 ans.

Photo: AP
Anne Chaon
Agence France-Presse
Doha


Au coeur de tous les trafics, ceux qui le visent et les autres, le gorille du bassin du Congo voit son habitat se réduire au point qu'il aura disparu de régions entières d'ici 10 à 15 ans.

Dans un rapport intitulé «La dernière bataille du gorille», présenté mercredi en marge de la conférence de la CITES, à Doha, des experts de l'ONU en ont appelé à Interpol et à la Mission de paix de l'ONU en République démocratique du Congo (RDC), la Monuc.

La conférence de la Convention sur le commerce international des espèces sauvages, qui conclut ses travaux jeudi, s'est particulièrement inquiétée de la recrudescence du braconnage et du trafic d'espèces, soulignant l'implication désormais avérée du crime organisé.

Mais si les gorilles sont recherchés pour leur viande et les trophées, ils sont surtout les victimes collatérales des trafiquants transfrontaliers et des milices qui écument l'est de la République démocratique du Congo (RDC), a souligné Christian Nellerman, du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE).


L'aire de répartition du gorille s'étend du Nigeria au Cameroun, du Gabon aux deux Congo, Brazzaville et Kinshasa et aux pays des Grands Lacs - Rwanda, Burundi, Ouganda.

«Lors d'une précédente étude en 2002, on estimait qu'à peine un tiers des territoires des gorilles subsisterait en 2030. Mais ça va beaucoup plus vite».

«Au rythme actuel, il n'en restera que 10%», poursuit-il en incriminant «l'extraction illégale des ressources naturelles, les minerais et le bois, surtout dans l'est de la RDC, où certaines sociétés exportent deux à dix fois plus qu'autorisé par leurs concessions officielles».

«Les milices, dans l'est de la RDC, sont les acteurs principaux de cette contrebande dont le produit est vendu à des sociétés basées en Europe, en Asie et en Chine». Un trafic qu'il estime à 700 millions de dollars par an et qui en grignotant son habitat naturel, menace la survie du gorille.

Pour Ian Redmond, consultant du Programme sur la survie des grands singes (GRASP) conduit par le PNUE et l'Unesco, «à l'exception du gorille des montagnes (principalement réparti entre le Rwanda, la RDC et l'Ouganda), toutes les autres espèces sont menacées».

«Le trafic de viande de brousse est une des causes: les gens riches la consomment pour montrer leur puissance». Et comme on lui prête des vertus, elle est aussi utilisée pour soigner les malades, explique-t-il. «Mais ça ne représente qu'1 à 2% du marché».

Les bébés gorilles, qui souffrent d'une très forte mortalité, sont toujours recherchés par les collectionneurs du monde entier. Et l'espèce est une victime collatérale des braconniers de rhinocéros et d'éléphants, en quête de corne et d'ivoire dans toute la région.

Enfin, ces populations si proches de l'homme sont, comme lui, exposées aux épidémies de fièvre hémorragiques de type Ebola et particulièrement vulnérables, «comme tous les singes, chimpanzés, gorilles, bonobos: le taux de mortalité atteint de 85 à 95%», selon M. Redmond.

L'accumulation de ces menaces a conduit le PNUE à réclamer le soutien de la Monuc et d'Interpol «afin de nous aider à enquêter et à poursuivre les sociétés complices de ces crimes», a insisté M. Nellerman.

«En RDC, tous les jours des rangers mettent leur vie en jeu pour défendre les ressources naturelles: ils méritent davantage de soutien», a-t-il souligné, en rappelant que 190 rangers ont été tués par des trafiquants dans le parc des Virunga, à la frontière du Rwanda, ces dernières années.

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20 février 2010 à 07h39
Une porcherie flambe à St-Philippe-de-Néri



L'entreprise porcine est une perte totale.

Photo: Tommy Lavoie
L'entreprise porcine est une perte totale.

Photo: Tommy Lavoie
Saint-Philippe-de-Néri – La porcherie d'André Caron de Saint-Philippe-de-Néri n’est plus que ruine et cendres. Un incendie a ravagé, vendredi soir dernier, l’entreprise et les quelque 1 000 porcs s’y trouvant.

Une perte totale. Les fondations de ciment, craquelées, contiennent les restes de la porcherie. Clous rouillés, ferrailles et poutres calcinées jonchent le sol. Des porcs noircis par les flammes gisent toujours parmi les débris. Une perte considérable pour le propriétaire.

Les porcs étaient la propriété d’un producteur de la Beauce. Les dégâts s’élèvent à 800 000 $. La ferme a été construite en 1995.

http://www.infodimanche.com/index.asp?s=detail_actualite&id=134467

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2 mar 2010, 07:52 De LCN
Une centaine de vaches laitières ont connu une fin horrible la nuit dernière à Saguenay. C'est qu'un incendie a éclaté vers 23h15, hier soir, dans l'étable de la Ferme Maltais, rang Saint-Martin, dans l'arrondissement La Baie.
Une quarantaine ont pu être sauvées...

http://fr.video.canoe.tv/archive/source/webpresseca/incendie-les-details-de-louis-martineau/69471176001

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58 bêtes ont péri dans l’incendie de l’étable
n.c.

Lundi 15 mars 2010


Silenrieux Un incident électrique
Les dégâts sont très importants. Ils dépasseront les 300.000€
Samedi après-midi, vers 15 heures, un violent incendie s’est déclaré dans une étable à Silenrieux. Malgré l’aide des agriculteurs des environs, 58 des 180 bovidés ont péri dans l’incendie. Et, ce premier bilan risque encore de s’alourdir, vu l’état de certaines bêtes qui ont survécu. Selon les premières estimations, les dégats sont estimés à 300.000€ minimum.

Samedi, un peu après 15 heures, un violent incendie s’est déclaré dans une étable d’environ 2.500 m², rue Royale à Silenrieux, à la limite de Boussu lez-Walcourt.

M. Jean-Pierre. Collard de Senzeille possède trois grandes étables à cet endroit.

Au moment du sinistre, l’immeuble agricole abritait plus de 180 têtes de bétail.

Le service 100 a été rapidement alerté par des gens de passage. Vu l’ampleur du sinistre, trois équipes de pompiers, de Beaumont, de Philippeville et de Thuin ont été envoyées sur les lieux.

Avant même l’arrivée des secours, les agriculteurs des environs se sont mobilisés et ont spontanément aidé l’éleveur afin de sortir le maximum de têtes de bétail de l’étable.

Malheureusement, malgré l’intervention des pompiers qui avaient mis plusieurs lances en batterie, de nombreuses bêtes sont restés prisonniers des flammes et de la fumée. C’est le cas notamment de nombreux jeunes veaux.

Le vétérinaire Buyck de Silenrieux a été obligé d’euthanasier plusieurs autres bêtes, sorties en trop piteux état des flammes.

Il n’est d’ailleurs pas exclu que d’autres bêtes, trop sévèrement atteintes doivent encore être euthanasiées dans les prochains jours.

Sur les lieux, bon nombre de badauds, dont des agriculteurs de Boussu, de Silenrieux et de Senzeille, se montraient peinés devant ce drame.

M. Collard, le jeune agriculteur a été fortement choqué lorsqu’il a découvert l’ampleur du drame.

Une défaillance électrique?
L’échevin de Froidchapelle, M. J-P. Bouillot, est descendu sur les lieux pour envisager une intervention du service travaux de la commune.

Les policiers de la zone Botha ont entrepris les premières auditions avant d’être relayés par leurs collègues de la zone Hermeton et Heure de Philippeville. Ces derniers ont dressé le constat des faits.

Durant la soirée, le Parquet de Dinant a été avisé de l’incendie. Il semble qu’un expert ait été dépêché sur les lieux afin de faire toute la lumière sur l’origine de l’incendie.

Selon les premières investigations, l’incendie serait accidentel, peut-être une défaillance électrique.

Le bilan, incluant les dégâts mobiliers et immobiliers ainsi que la perte du cheptel, s’élèverait à 300.000 euros, voire plus.
http://archives.sudpresse.be/

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Silenrieux: Le fermier est abattu par le drame
publié le 15/03/2010 à 15h03



L.D.Un incendie s’est déclaré dans une étable, à Silenrieux (Cerfontaine), le 13 mars. Les dégâts sont impressionnants: environ 60 bovins sont décédés, brûlés ou asphyxiés. L’éleveur est abattu par ce drame. “ C’est vraiment l’horreur ”, dit-il. Rencontre.
Emilie Depoorter


“ Je me porte très mal, je suis un éleveur et je n’ai plus rien. C’est l’horreur, c’est indescriptible ”, témoigne Jean-Pol Collart, cet agriculteur de Silenrieux, victime d’un incendie, ce samedi 13 mars. Une de ses étables, de 2.500 mètres carrés a en effet violemment pris feu. 58 bovins ont perdu la vie dans ce drame. Ce matin, une vache a mis bas d’un petit veau, décédé à la naissance et le bilan risque encore de s’alourdir. “ Plusieurs bêtes souffrent d’importantes douleurs pulmonaires ”, explique l’éleveur, “ un vétérinaire doit passer car on devra sans doute en euthanasier, afin d’arrêter leurs douleurs ”. Un expert doit également se rendre sur les lieux afin de prendre les prochaines décisions, notamment en ce qui concerne l’évacuation des corps des animaux morts.

>Retrouvez la totalité de cet article dans “ La Nouvelle Gazette ” de l’Entre-Sambre et Meuse de ce mardi 16 mars 2010.

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vérifier que cette nouvelle n'a pas déjà été affichée dans le dernier bulletin....

Un poulailler de 1 200 m2 part en fumée à Caden


Publié le 9 février 2010 à 09h30.

Vers 5 h 20 ce mardi matin, les pompiers sont intervenus pour un feu de poulailler au lieu-dit La Saudraie à Caden. Le bâtiment a été entièrement embrasé. D'après les gendarmes, le feu serait parti du chauffage qui aurait brûlé la paille au sol. Le poulailler était chauffé depuis ce lundi matin en attendant l'arrivée de 37 000 poussins.

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La Présentation: Incendie majeur sur une ferme
17-03-2010
Un incendie majeur a mobilisé une centaine de pompiers de six municipalités mardi peu avant 16h00, à La Présentation, près de Saint-Hyacinthe. Un bâtiment agricole de grande superficie, abritant des centaines de veaux, a été complètement détruit par les flammes. Vers 15h45, un appel logé au 911 mentionnait la présence d'une légère fumée dans le bâtiment. Aussitôt arrivé sur les lieux, une première alarme a été sonnée pour les pompiers de Saint-Hyacinthe qui ont rapidement demandé l'aide des municipalités de Ste-Madelaine, St-Denis-sur-Richelieu, St-Jude, St-Barnabé-Sud et St-Hugues. En tout, 5 alarmes ont été sonnées, soit une alarme générale.

Environ 300 veaux se trouvaient à l'intérieur lors de l'incendie. Environ 75 ont été sauvés, mais malheureusement, les autres ont péri dans l'incendie. Les dommages sont évalués à 800 000$ et un problème électrique pourrait expliquer le sinistre.






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Deux nouveaux poulaillers Saguenay Lac-St-Jean
Mise à jour le mardi 10 mars 2009 à 13 h 50

La coopérative Nutrinor a dévoilé, mardi, ses nouvelles installations pour l'élevage avicole.

À la suite d'incendie qui a détruit son poulailler de Roberval et la désuétude de celui de Saint-Bruno, deux poulaillers ont été construits dans cette municipalité. Des investissements de 1,7 million de dollars ont été nécessaires.

Nutrinor se dote également d'un centre de recherche avicole pour améliorer la qualité de ses produits et avoir bien en main ses coûts de production. Par exemple, des chercheurs devront trouver un substitut à la sciure de bois qui sert de litière dans les poulaillers. Jadis considérée comme un déchet, cette matière est de plus en plus prisée comme combustible pour le chauffage.

La coopérative est devenue un producteur avicole important au Québec. Chaque année, ses neuf poulaillers industriels produisent 1,7 million de poulets qui sont vendus à l'extérieur de la région.

La production de poulet est rentable d'autant plus que Nutrinor produit elle-même une bonne partie des grains qui servent à nourrir les animaux. À moyen terme, cette nourriture sera complètement produite dans la région, précise le président de la coopérative, Yvan Morin. « On veut développer un poulet qui va être fait à partir d'intrants régionaux », indique-t-il.

http://www.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2009/03/10/002-Nutrinor-poulaillers.shtml

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Publié le 17 mars 2010


Un poulailler flambe à Warden

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Une quarantaine de pompiers s'affairaient hier à éteindre l'incendie qui a ravagé un poulailler, dans la rue Dumoulin, à Warden.

photo Danièle Francis
Nancy Beaulieu
La Voix de l'Est


(Warden) Un incendie a complètement ravagé un poulailler, à Warden hier en toute fin de journée. Heureusement, il était vide. La veille, le propriétaire de la Ferme Pierre Choinière et fils Inc. avait sorti les 30 000 poules qu'il contenait.

À l'arrivée de La Voix de l'Est à la ferme de la rue Dumoulin, vers 19h45, des pompiers s'affairaient encore à éteindre le feu. Le brasier couvait sous les débris carbonisés qu'enlevait une grue mécanique.



Le propriétaire, Pierre Choinière, regardait ce spectacle désolant. «On ne s'attendait pas à ça», a-t-il confié, la mine déconfite. «C'est une perte totale», a-t-il indiqué, sans être en mesure de chiffrer le montant des dommages.



Texte complet dans notre édition de mercredi

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Gophers declared 'pests' in Sask. MadShitMadShit

Tue Mar 23, 11:34 PM

SASKATCHEWAN (CBC) - The Richardson's ground squirrel, known on the Prairies
as a gopher, has been declared a pest by the government of Saskatchewan, a
move that gives local authorities more powers to enforce control measures
for the creature.

Gophers are considered a nuisance by many in the agricultural sector because
of the damage the animals do with their holes.

Cattle are at risk of injury if they step in a gopher hole, and cash crops
can be ruined by their activities.

The province said local governments asked for the official designation.
Rural municipalities will now be in position to enact bylaws to control
gophers and enforce prevention measures.

The change to the Pest Control Act was announced Tuesday by Minister of
Agriculture Bob Bjornerud.

He also extended the gopher control rebate program offered by the province.
That measure provides a 50 per cent rebate to producers and rural
municipalities for the cost of gopher control products.


http://ca.entertainment.yahoo.com/s/cbc/100323/canada/canada_saskatchewan_sk
_gophers_pest
[b]

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exported whale meal appears to be fish meal

24 Mar 2010

The Icelandic Ministry of Fisheries and Agriculture has launced an inquiry into the alleged illegal exports of whale products from Iceland based on information from the website of Statistics Iceland.

Regarding the alleged illegal exports of whale meal to Denmark, it has now been confirmed that the two shipments, 775 kilos of meal in January 2009 and 22,750 kilos of meal in March 2009, were fish meal, wrongly quoted in export declarations by the Icelandic exporter as whale meal. Statistics Iceland has confirmed that this will be corrected on their website, effective on 31 March 2010 when revised figures for 2009 will be published. Information regarding this matter will also be conveyed to the Danish Authorities.

In February 2010 the Ministry of Fisheries and Agriculture was notified that an Icelandic company had shipped 250 kilos of minky whale meat to Latvia along with the required official CITES export certificate from Iceland. Iceland has a stated reservation to Appendix I listing of this species but for international trade voluntarily follows a protocol set out by CITES for Appendix II listing, which requires the export country to issue an export certificate, but does not state any obligation to require an import permit from the importing country.

However the exporter was notified by Icelandic authorities that Latvia had not stated a similar reservation to minky whale listing in CITES Appendix I, and it would therefore be illegal for Latvian authorities to issue the required CITES import certificate for the shipment. The exporter in turn notified the importer in Latvia of the situation.

The Icelandic Ministry of Fisheries and Agriculture has been looking into legal means to ensure that similar incidents can be avoided in the future.

http://www.allaboutfeed.net/news/iceland-exported-whale-meat-as-animal-feed-to-eu-4262.html

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March 25, 2010
250,000 Hens Die as Fire Rages at Ohio's Largest Egg Farm
By Nathan Runkle
A fire that ripped through the egg packaging warehouses of Ohio Fresh Eggs, the state's largest egg factory farm, has resulted in the reported deaths of 250,000 hens. The fire started late Tuesday night at the egg farm's Wyandot County facility. In an attempt to contain the blaze, firefighters shut off electricity to the buildings and ripped away walkways that led from the warehouse to nine chicken barns. The lack of electricity appears to have caused nearly a quarter million chickens to die.


Sadly, this fire is just the most recent disaster at Ohio Fresh Eggs that has caused mass death and suffering for animals. Back in 2000, when the farm was known as Buckeye Egg Farm, a tornado destroyed nearly a dozen sheds at the farm's Croton, Ohio site - leaving nearly a million hens mangled in their cages, left to suffer from dehydration, starvation, and exposure to the elements. Farm workers killed hens by bulldozing them alive in their cages into a mass grave, or gassing them in giant trash bins.



Yesterday's fire is yet another reminder of the inherent dangers farmed animals face when subjected to intensive confinement on factory farms - where they are confined to tiny cages and unable to flee from fires, floods, tornados, or other disasters.


In 2004, Mercy For Animals conducted an undercover investigation at Ohio Fresh Eggs - revealing that cruelty to animals runs rampant inside the company's egg barns. Investigators documented up to six hens crowded into each file-drawer-sized wire cage, hens suffering from untreated infections, dead hens left to rot in cages with hens still producing eggs for human consumption, birds trapped in the wire of their cages without access to food or water, and live hens thrown away in trash cans.



The best action consumers can take to protect hens from the dangerous and cruel conditions inherent in factory farming systems is to adopt a healthy and compassionate vegan diet. Ohioans can also take a powerful stand against the intensive confinement of hens, and other farmed animals, by supporting the current effort to place a modest, yet meaningful, farmed animal protection initiative on the state's November ballot.

http://www.mfablog.org/2010/03/250000-hens-die-as-fire-rages-at-ohios-largest-egg-farm.html

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Citation :
le mercredi 10 février, 2010

Cruauté envers les animaux
Nadeau plaide non coupable

EDMUNDSTON – Nadeau Ferme Avicole plaide non coupable à huit accusations de négligence lors du transport et du débarquement de poulets vivants à son abattoir de Saint-François cocnernant des infractions qui auraient été commises en décembre 2007 et en janvier 2008.

Ces accusations ont été déposées contre la compagnie, le 11 janvier. Au nom de son client, Me Gil Thibodeau a enregistré un plaidoyer de non-culpabilité, hier, en Cour provinciale, à Edmundston. La compagnie subira son procès dans ce dossier dès le 7 juin.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) allègue que l’entreprise a enfreint le Règlement sur la santé des animaux.

Elle lui reproche notamment d’avoir transporté une cargaison de poulets vivants dans un camion où ils risquaient de se blesser ou de souffrir inutilement en raison d’une exposition aux intempéries.

-Plus de détails dans les éditions électronique et papier de L'Acadie NOUVELLE du 11 février.


Le fermier plaide non coupable mais est-il innoncenté pour autant ? L'Agence a-t-elle gain de cause ?

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Allo ma belle Cé

«La compagnie subira son procès dans ce dossier dès le 7 juin.»
On n'en saura peut-être pas plus avant son procès en juin...

Je présume que Nadeau a fait appel suite à une première décision rendue
et qu'une nouvelle décision sera prise.

Je n,arrive pas à lire le texte, c'est trop petit pour mes vieux yeux...
http://csc.lexum.umontreal.ca/fr/bulletin/2009/09-06-19.bul/09-06-19.bul.html

Benoît Nadeau

c. (33195)

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Lundi 29 Mars 2010

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LICHOS. Un incendie a détruit un hangar agricole samedi. 1 200 canetons ont péri dans les flammes

Des canetons carbonisés


Les 1 200 canetons n'ont pas pu être sauvés. (photo marcel bedaxagar)
Accouveur à Lichos - il fait naître des canetons, les élève pendant quinze jours où trois semaines et les revend - Jean-Pierre Trébucq a subi une lourde perte. Samedi, peu avant 16 heures, un incendie a ravagé le hangar agricole de sa ferme natale située en plein coeur du village de Lichos.

Les 1 200 canetons de 5 jours qui s'y trouvaient ont péri carbonisés. Le propriétaire n'était pas sur les lieux et a été prévenu par son technicien.

Ce dernier, occupé sur un site voisin, a entendu les craquements de la couverture du bâtiment en feu et très vite constaté l'ampleur du sinistre. La hauteur des flammes ne lui a pas permis d'intervenir pour sauver les canetons.

Les pompiers de Mauléon ont circonscrit l'incendie en commençant par protéger la cuve de gaz placée à l'extérieur du bâtiment et la maison attenante. Le hangar de 66 m², uniquement utilisé pour les premiers jours de couveuse, a entièrement été détruit par les flammes.

Les causes de l'incendie ne sont pas encore déterminées. Selon le propriétaire, il aurait pu être provoqué par le chauffage radiant utilisé dans l'élevage. Il venait pourtant de le contrôler en prévision du week-end.

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Massacre de chiens de traîneaux

De leur côté, les Inuits du Nunavik, dans la région arctique du Québec, réclament une enquête publique sur le massacre de milliers de chiens de traîneaux survenu dans les années 50 et 60. Ils accusent Ottawa d'avoir permis à la GRC de commettre le massacre.

Le gouvernement fédéral refuse de parler de tuerie. Il soutient plutôt avoir tenté de protéger les Inuits puisque certains chiens couraient dans les villages et risquaient de les attaquer.Extrait vidéo

Les chiens de traîneaux ont joué un rôle clé dans la survie des Inuits.

Source : Radio-Canada


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Le massacre des chiens esquimaux
Marco Fortier - Journal de Montréal - 19/01/2005 07h38

Des milliers de bêtes abattues à bout portant dans le Nord sous les yeux des autochtones entre 1950 et 1970.

Les Inuits du Nord québécois réclament des excuses et une compensation des gouvernements pour le «massacre» de milliers de chiens huskies, jugés essentiels au mode de vie autochtone, par des policiers et des fonctionnaires blancs de 1950 à 1970.

Cette page d’histoire peu connue — et pourtant bien documentée — a complètement bouleversé les Inuits, plaide la Société Makivik dans un document envoyé aux gouvernements du Québec et du Canada.

La quasi-disparition des chiens de traîneau en si peu de temps a brutalement mis fin au mode de vie nomade des Inuits, plaide Makivik dans le rapport de 24 pages, daté de janvier 2005 et obtenu par Le Journal de Montréal.

Film

«Le cœur même de la vie inuite a été détruit par le massacre», affirme Pita Aatami, président de la Société Makivik, dans un film qui sera lancé aujourd’hui à Kuujjuaq, dans le Nord québécois.

L’Écho du dernier cri, financé par Makivik et réalisé par Guy Fradette, raconte en 54 minutes cette histoire tragique pour les 10 000 Inuits du Nord québécois. Nous avons pu le visionner hier en format vidéo.

À bout portant

Des dizaines d’Inuits témoignent d’un scénario qui s’est répété sur une vingtaine d’années à la grandeur du Nunavik: des policiers, des fonctionnaires ou des représentants de compagnies débarquent dans un village. Ils demandent aux autochtones de regrouper les chiens. Et abattent toutes les bêtes à bout portant.

Sans avertissement. Sans consultation. Sans explications. Sans excuses. Et sans aucune compensation financière.

Raisons

Les gouvernements du Canada et du Québec voulaient mettre fin à la présumée surpopulation de chiens dans le Nord, selon des recherches citées par la Société Makivik.

À l’époque, les famines guettaient le Nord. Les huskies menaçaient l’approvisionnement en nourriture des Inuits, selon les gouvernements.

Bêtes enragées

Les fonctionnaires d’Ottawa et de Québec plaidaient aussi que les chiens attaquaient les enfants. Les bêtes souffraient souvent de la rage. La vaccination coûtait cher.

Les Inuits ont toujours laissé les chiens libres. Mais les fonctionnaires, les policiers et les commerçants de race blanche, qui se faisaient de plus en plus nombreux dans le Nord, réclamaient que les bêtes soient tenues en laisse.

C’est pourquoi l’abattage massif des bêtes a eu lieu. Un demi-siècle plus tard, le souvenir reste douloureux.

Le chien de traîneau était le meilleur ami de l’Inuit

Les chiens de traîneau, abattus massivement par les autorités à partir des années 1950, étaient à la base même de la survie des Inuits, plaide la Société Makivik.

«Les chiens étaient le seul moyen de transport», raconte Quitsaq Tarqriasuk dans le film L’Écho du dernier cri.

Il n’y avait ni routes, ni motoneiges dans le Grand Nord à l’époque. Les «Esquimaux», comme on les appelait, dépendaient des chiens pour se déplacer, chasser, pêcher. Et aller vendre leurs prises à la Compagnie de la Baie d’Hudson.

En débarquant dans le Nord pour abattre les chiens, les policiers détruisaient littéralement le pilier de la culture inuite, selon la Société Makivik, qui regroupe des élus des 15 communautés du Nunavik.

Des héros

Loin de représenter un danger, les huskies étaient de «vrais héros», selon les Inuits. Les chiens repéraient les phoques à travers la glace. Ils trouvaient leur chemin dans les pires tempêtes. Leur fourrure fait de bons manteaux. Et on peut les manger en cas de famine.

Traumatisés par le massacre des huskies, les Inuits n’ont jamais riposté, paralysés par la peur et le respect que leur inspiraient les Blancs. «J’étais terrorisé», affirme Eli Qumaaluk dans L’Écho du dernier cri.

Ironiquement, des communautés inuites organisent à leur tour des «jours d’abattage» pour éliminer les chiens errants. Mais ce sont eux qui décident quelles bêtes tuer, de quelle façon et à quel moment.

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http://www.newswire.ca/en/releases/archive/March2010/30/c6344.html

Chambers of Carnage - A Sweeping Undercover Investigation of Canada's Leading
Equine Slaughterhouses
Horse Welfare Group calls for immediate closure of Canada's horse slaughter
plants


WESTBANK, BC, March 30 /CNW/ - In late February 2010, the Canadian Horse Defence
Coalition (CHDC) received hidden camera footage of horse slaughter practices at
Quebec's Viande Richelieu and Alberta's Bouvry Exports - the latter known as
North America's largest exporter of horsemeat. The CHDC has asked a panel of
veterinarians, the BC SPCA and the World Society for the Protection of Animals
to review the footage, which contains numerous instances of improper stunning
and horses showing signs of returning consciousness.


Early audit results of the footage show automatic failures of both facilities.


The CHDC has compelling proof that puts into question the effectiveness of the
assembly-line slaughter of horses. The evidence demonstrates that both the
facilities in Alberta and Quebec fail to meet humane slaughter standards used by
the CFIA to audit Canadian slaughterhouses.

The CHDC's June 2008 report on Natural Valley Farms - the now bankrupt horse
slaughterhouse in Saskatchewan
(http://www.cbc.ca/thenational/indepthanalysis/story/2009/10/01/national-horses-\
061008.html) documented the inadequate stunning of horses with the penetrating
captive bolt gun.

At both plants in the February 2010 investigation, a .22 rifle was used, and
again horses were shot incorrectly, with some regaining consciousness. As stated
by Alberta veterinarian Dr. Debi Zimmermann: "I conclude that the wary and
flighty nature of the horse, coupled with the poorly designed kill plant systems
currently in place at Bouvry Exports and Viandes Richelieu, results in
unacceptable levels of suffering endured by horses (both in number of horses and
degree of suffering), and poses inherent dangers to plant personnel." Dr.
Zimmermann adds: "The shooters are seldom able to adhere to the required
protocols for euthanasia by firearm, due to a combination of horse and human
factors."

As there are only two government-approved methods of stunning horses in Canada -
captive bolt gun and rifle - and both methods have been shown to cause prolonged
suffering in numerous horses, we conclude that these animals cannot be
slaughtered humanely in today's slaughterhouse assembly lines.

The CHDC therefore calls for the immediate closure of Canada's horse slaughter
plants.

To view footage, go to www.defendhorsescanada.org.


For further information: Twyla Francois, Central Region Director, T: (204)
296-1375; Sinikka Crosland, Executive Director, T: (250) 768-4803, Canadian
Horse Defence Coalition, info@..., www.defendhorsescanada.org

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Les requins perdent la bataille de la CITES
23/03/10

La conférence de la CITES n'a apporté sa protection qu'à l'une des quatre espèces de requins qui lui étaient soumises, confirmant le refus, notamment de l'Asie, de réguler le commerce international des espèces marines à forte plus-value.

Après le "non" apposé à l'entrée du thon rouge et aux coraux rouges précieux, trois espèces de requins, surpêchés pour leurs ailerons ou leur viande, sont restées mardi à la porte de la Convention sur le commerce international des espèces sauvages (CITES) à Doha

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Publié le 09 avril 2010


Pluie d'amendes pour des braconniers



Gabriel Montambault, le présumé chef du réseau de braconniers, ne voulait visiblement pas qu'on le reconnaisse à sa sortie de la salle d'audience.

PHOTO LA VOIX DE L'EST
Michel Laliberté
La Voix de l'Est


(GRANBY) Jean-Pierre Beaudet devra puiser profondément dans ses poches. Le braconnier d'Ange-Gardien a été condamné hier matin à des amendes totalisant 27 150 $ pour différentes infractions à la Loi sur la conservation de la faune.

Le juge Conrad Chapdelaine a également imposé des amendes à cinq autres membres du réseau de braconniers dont Beaudet était le numéro deux, selon l'enquête des agents de la protection de la faune. Martin Lemieux (5975 $), Patrick Thériault (2325 $), Claude Tarte (1875 $), Yves Pariseau (1875 $) et Gilles Geoffroy (1750 $) devront aussi payer pour leurs méfaits. Ils ont un an pour s'acquitter de leurs amendes.



L'opération Bas de laine, menée le 6 décembre 2006, a donc permis de faire condamner 21 braconniers. Le montant des amendes s'élève à 100 450 $. Ils s'en sortent assez bien puisque toutes les amendes imposées ne représentent que le minimum des peines possibles. À noter que la poursuite a laissé tomber les 40 autres accusations qui pesaient contre Beaudet en échange de ses plaidoyers de culpabilité.


En plus de leurs amendes, les braconniers ont tous perdu leur certificat de chasse pour une période de deux ans. Cette période passée, ils devront s'inscrire au cours offert par la Sépaq pour obtenir un nouveau certificat. Ce document est nécessaire pour acheter un permis de chasse.

La suite à lire dans l'édition de vendredi.

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Publié le 11 mars 2010 à 05h00 | Mis à jour le 11 mars 2010 à 05h00


La chasse du dindon allongée

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De plus en plus de dindons sauvages volent dans les régions semi-urbanisées du sud-ouest du Québec, où leur chasse est maintenant autorisée.

André-A. Bellemare, collaboration spéciale

Le Soleil


(Québec) Le ministre Serge Simard, responsable du Secteur faune au ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec (MRNF), a décidé de prolonger la saison de chasse du dindon sauvage dès ce printemps : la période de chasse passera donc de 5 à 12 demi-journées, et aura lieu du 7 au 18 mai 2010 inclusivement. La limite de prises sera encore d'un dindon mâle par chasseur par an pour ne pas nuire à la reproduction de l'espèce. La chasse n'est autorisée qu'en avant-midi, lorsque les femelles camouflées couvent leurs oeufs.

Les conseillers du ministre ont reconnu que plusieurs chasseurs, durant les dernières années, n'avaient pu participer à la chasse à cause de la brièveté de la saison autorisée. D'autre part, ces conseillers ont aussi constaté que les populations de dindons étaient suffisantes dans les zones provinciales de chasse décrétées accessibles aux chasseurs.

Pour chasser le dindon sauvage, on doit acheter le permis propre à cette chasse. Mais on ne peut acheter son permis que si l'on possède une attestation de la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs prouvant qu'on a suivi le cours sur la biologie, la chasse et l'aménagement du dindon. Renseignez-vous au sujet de ce cours en téléphonant, sans frais, au 1 888 LAFAUNE.

Le dindon sauvage est principalement présent dans trois régions administratives du Québec : la Montérégie, les Cantons-de-l'Est et l'Outaouais. Ce n'est que depuis 2008 que la chasse sportive de cette espèce animale sauvage est permise : 584 dindons ont été récoltés en 2008, puis 1024 en 2009. Pour plus d'information sur la chasse du dindon, consultez La chasse sportive au Québec dans le site Web du MRNF : www.mrnf.gouv.qc.ca/publications/enligne/faune/reglementation-chasse


Place au 29e Salon

Le signe le plus sûr que le printemps arrive, c'est la tenue du Salon Expert Chasse, Pêche et Camping de Québec. La 29e présentation de l'événement a lieu à compter de cet après-midi, jusqu'à dimanche, dans le Centre de foires de Québec. Les organisateurs du Salon - Salons nationaux des sportsmen au Canada (SNSC) - attendent 37 000 visiteurs qui viendront rencontrer les 225 exposants dont les kiosques seront établis sur 125 000 pieds carrés. Pour la deuxième année, le Salon du bateau y est incorporé.

Vous pourrez y découvrir des fabricants, des grossistes et des détaillants d'équipement. Bien sûr, les territoires fauniques accueillant des adeptes y seront représentés pour offrir des forfaits : réserves fauniques du gouvernement, zecs, pourvoiries en chasse et pêche, etc.

Il vous sera possible de pêcher des truites fraîches dans un grand bassin organisé par le Casting club de Québec pour contribuer aux oeuvres de ce club s'occupant de préparer une «relève» chez les jeunes filles et les garçons en leur permettant de pêcher durant l'été.

Des commerçants présents au Salon en profitent pour offrir des rabais sur place.

Des bateaux aussi

Vous pourrez également voir, en plus des bateaux de toutes sortes, des véhicules tout terrain (VTT) de tous genres. Vous pourrez participer à des activités interactives, ou assister à près de 50 conférences étalées sur les quatre jours d'exposition. Le Salon est l'endroit pour découvrir des inventions proposées pour faciliter la vie aux adeptes.

Pour en savoir beaucoup plus à propos du contenu de ce Salon - dont la liste complète des exposants - consultez le site www.salonchassepeche.ca. Là, vous trouverez les coûts d'entrée au salon pour les différentes catégories de visiteurs (selon l'âge), de même que l'horaire pour chaque jour d'exposition, ainsi que le détail des activités et conférences offertes.

Je vous rappelle que Salons nationaux des sportsmen au Canada (SNSC) est un groupement bénévole tenant plusieurs salons du genre au pays depuis 1948 : les bénéfices servent à financer des projets d'éducation ainsi qu'à encourager les efforts de petites associations vouées à la protection et à la conservation du patrimoine faunique et des habitats de la faune. Depuis 1948, les SNSC ont versé 31 millions $ à des associations de pêcheurs et de chasseurs accomplissant des merveilles pour assurer de la pêche et de la chasse aux générations futures. Vous aussi, vous pourriez bénéficier de l'appui financier des SNSC.

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Publié le 25 mars 2010 à 05h00 | Mis à jour le 25 mars 2010 à 05h00


Anticosti: la chasse y serait bonne en 2010



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L'hiver tardif et peu neigeux a été fort clément pour les chevreuils d'Anticosti.

Collaboration spéciale André-A. Bellemare
André-A. Bellemare, collaboration spéciale
Le Soleil


(Québec) À moins que ne surviennent des tempêtes extraordinaires durant les prochains mois - ce qui est toujours possible -, la chasse du chevreuil de l'automne s'annonce exceptionnelle dans l'île d'Anticosti. Actuellement, dans la moitié ouest de l'île, là où sont situées les pourvoiries de la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ) ainsi que la pourvoirie coopérative du lac Geneviève, il n'y a presque pas de neige au sol. Les cerfs, surtout les mâles, ont pu se déplacer à leur aise depuis la fin de la période de reproduction (fin novembre) pour se nourrir et refaire leurs forces après le temps du rut.

Normalement, vous le savez, les hivers hâtifs et très neigeux traînant en longueur sont mortels pour les chevreuils, surtout pour les bucks qui accouplent chacun des dizaines de biches en automne. Parce que, durant le rut, les cerfs cessent pratiquement de se nourrir pour «courir» les biches. Ces mâles brûlent alors la graisse accumulée durant les mois précédents, et ils terminent la saison des amours amaigris et affaiblis.

Si l'hiver arrive tôt, s'il neige abondamment et fréquemment dès le début de l'hiver, la vie des mâles reproducteurs est mise en danger, puisqu'ils ont de la difficulté à se déplacer dans l'épaisse couche de neige au sol; de plus, leur nourriture a été rapidement ensevelie sous la neige. Voilà pourquoi ce sont les gros cerfs mâles reproducteurs qui crèvent en premier dans les hardes durant les durs hivers. Mais si, comme c'est le cas cette année, il n'y a presque pas de neige au sol, ces mâles ont plus de chances de survivre.

Jeunes cerfs à Anticosti


L'automne dernier, je vous ai souligné qu'il y avait beaucoup de faons à Anticosti en 2008 et 2009 : presque chaque biche était suitée d'au moins deux faons, et certaines avaient mis bas trois rejetons. Ce qui indique que les hivers de 2008 et 2009 avaient été très cléments pour les cerfs d'Anticosti. Ceux qui sont allés dans l'île durant l'automne dernier ont constaté le pourcentage important de daguets ou spikes : ces jeunes cerfs mâles, nés au printemps de 2008, seront des «quatre pointes» ou des «six pointes» à l'automne.

Le printemps actuel a été bien hâtif; s'il reste doux et s'il est suivi d'un bel été, les chasseurs fréquentant Anticosti durant l'automne seront vraiment au paradis! Mais ils doivent réserver leur place tôt, parce que les places offertes sont réclamées rapidement, maintenant que la bonne condition des hardes de chevreuils de l'île est connue... Rappelez-vous aussi que plus de chasseurs sont attirés par les chevreuils d'Anticosti à cause de la diminution de la récolte de cerfs dans les zones de chasse du Québec continental.

Saguenay-Lac-St-Jean : de plus en plus de cerfs

Voilà une quarantaine d'années, des scientifiques du gouvernement québécois affirmaient que le sud de notre province était la «limite nord de l'aire de distribution» du cerf de Virginie en Amérique du Nord. Ça, c'était lorsqu'il ne restait plus que 3000 chevreuils dans tout le Québec continental.

Maintenant qu'il y a mille fois plus de chevreuils dans le Québec - sans compter les quelque 160 000 dénombrés dans l'île d'Anticosti -, des scientifiques affirment que c'est parce qu'ils ont bien géré les hardes de ces cervidés en imposant aux chasseurs une réglementation très restrictive... Des «vieux de la vieille» parmi les chasseurs soutiennent, eux, que c'est parce que les hivers des dernières décennies ont généralement été tardifs et cléments, les printemps hâtifs et doux, les étés secs et chauds, et les automnes fort agréables.

Quoi qu'il en soit, on aperçoit de plus en plus de chevreuils dans des régions comme le Saguenay et le Lac-Saint-Jean, assez éloignées du sud-ouest du Québec. Tellement, en fait, que le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) procédera, durant l'hiver 2011, à un inventaire des hardes de cerfs dans ces deux régions.

Afin d'orienter les travaux de ses scientifiques, le MRNF sollicite la collaboration des citoyens de ces deux régions pour qu'ils lui indiquent les territoires où ils ont observé des chevreuils durant les hivers précédents : coordonnées géographiques (idéalement par points GPS), puis dates et types d'observation (ravages, nombre de cerfs, pistes...). Communiquez vos renseignements au biologiste Claude Dussault (tél. : 418 695-8125, poste 339; courriel : claude.dussault@mrnf.gouv.qc.ca ). Le dernier inventaire des cerfs de Virginie dans ces régions a eu lieu en 1989 autour du lac Kénogami.

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Horse cruelty allegations to be probed
Written by Caroline Zentner
Friday, 09 April 2010


A Canadian Food Inspection Agency spokesman stopped short of saying the agency will investigate allegations of inhumane treatment of horses at the Bouvry Exports slaughtering plant but said it will follow up.
“We are certainly validating those allegations and we have initiated contact with the regulated parties and we certainly ensure that we are vigilant with regards to our duty of care and humane treatment of animals,” said Martin Appelt, a veterinarian and manager for meat programs with the CFIA in Ottawa. “Whether or not this will lead to regulatory action I cannot say at this point. We do have a requirement for evidence to prove wrongdoing.”
It could take several weeks before any additional information becomes available. Appelt said he has seen the video footage sent to the Canadian Horse Defence Coalition (CHDC). The footage came anonymously to the CHDC and its executive director is convinced it shows inhumane treatment of horses in the slaughtering room at both Bouvry and another slaughtering plant in Quebec.
“With regards to what is depicted on the video footage, not making any assumptions with regards to the time, the date, the location this footage may or may not have been taken, I can’t really speak to that. We certainly as an agency emphasize humane treatment of food animals in all situations,” Appelt said.
That includes transport of the horses and their importation from the United States. Federal and provincial regulations define the minimum ethical standards for the care and treatment of animals. Industry standards and voluntary codes of practice are in place and the CFIA has a range of options when those standards are not followed. The CFIA is a regulator much like the police.
A search of prosecution bulletins dating back to 2007 on the CFIA website failed to turn up any reference to Bouvry Exports. However, Appelt said inspections in the past have uncovered some issues with Bouvry although he had no specifics.
“There are certainly, and that’s public knowledge, inspection findings that point to non-compliance in one way or the other. I cannot speak to any particular details. Having said that, this is no indication that animals are being routinely mistreated. I cannot speak to whether or not any of those inspection findings relate to the humane handling of animals,” Appelt said.
A few years ago, the Montana feedlot near Shelby operated by Bouvry Exports came under the scrutiny of officials there. An Associated Press story in December 2004 indicates Bouvry Exports pleaded guilty to five counts of animal cruelty stemming from negligent conditions after a June 2002 rainstorm. Livestock inspectors found 35 to 40 dead horses rotting in up to a metre of wet manure. In 2004, spontaneous combustion started a large manure pile on fire, violating the state clean-air law.
Appelt confirmed the Bouvry plant has six CFIA inspectors at the site, although he wasn’t sure of their specific work assignments.
“We are present in the plants whenever they operate. We are not at all locations at all times because the primary responsibility to adhere to the standards, to the acts and regulations rests with the operator. We are there to verify what they are doing and that is done through a series of inspection rotations, by performing certain tasks but not necessarily by being at one particular station all the time,” Appelt said.

http://www.lethbridgeherald.com/content/view/176787/110/

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Saguenay
Une ferme s’envole en fumée
Mise à jour : 12/04/2010 08h16

Dur dimanche pour une famille du Saguenay: un incendie a détruit presque toute leur ferme laitière, fauchant au passage de nombreuses vaches. (entendu aux nouvelles 150)

Une trentaine de vaches laitières ont pu être sauvées du brasier, mais une centaine de bêtes ont tout de même perdu la vie.

Les flammes ont pris naissance en début d’après-midi dans un bâtiment de ferme, quand un hache-paille aurait provoqué une étincelle. Les propriétaires ont d’abord tenté d’éteindre le feu par eux-mêmes, mais ont rapidement contacté les pompiers.

À leur arrivée, l’incendie s’était déjà répandu de façon généralisée sur la ferme. Même si une alerte générale a été lancée aux pompiers de Saguenay, une bonne partie de l’après-midi a été nécessaire pour éteindre le brasier. Il faut dire qu’il y avait de fortes rafales qui compliquaient la tâche des pompiers.

Malgré les dégâts très importants, les deux propriétaires, les frères Bernard et Gilles Boivin de La Baie, comptent reconstruire la ferme, qui existe depuis 125 ans.

(TVA Nouvelles)

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Tuesday 13 April 2010 09.43 BST
Article history
More than 1,000 animals have died in a fire at a breeding centre in Devon Angleterre), police said.

The fire service and police were called to the blaze in Lewdown, near Okehampton, at 1.45am. Police said the premises were used for breeding domestic pets, and contained more than 1,000 animals including rabbits, guinea pigs and rats.

A statement on Devon and Cornwall police's website said several fire engines attended the fire. "Unfortunately the fire service were unable to extinguish the fire, resulting in all the animals being lost," it said.

Devon and Somerset fire and rescue service said the fire was put out by about 3.20am, by which time four sheds had been destroyed. Police were unable to say whether the blaze was started deliberately.

"The fire has resulted in the death of over 1,000 animals, mostly believed to be guinea pigs," a spokesman said. "The cause of the fire has not been established and fire and police investigators are in the process of conducting investigation and inquiries."

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AFP - 16/04/2010

Canada: 2010, année de tous les malheurs pour les chasseurs de phoques

"C'est un gaspillage et une catastrophe!" Pour Réjean Vigneau, comme pour tous les chasseurs de phoques des Iles de la Madeleine, un archipel de l'est du Québec, 2010 restera comme une année noire, marquée par l'absence de glace et l'embargo européen.



AFP/Archives"C'est impensable, c'est la première fois que cela arrive", dit Vigneau par téléphone à l'AFP, à son retour d'une brève campagne de chasse. "Les fourrures, on a dû les jeter à l'eau".

Mais il n'y avait pas d'autre solution. Les usines locales qui achetaient les peaux sont fermées, à la fois faute de demande (réduite à cause de l'embargo européen) et d'offre. "Elles n'allaient pas ouvrir pour deux ou trois mille loups marins", explique le chasseur, par ailleurs patron de la boucherie spécialisée Côte à Côte.

Car le Jean Mathieu, à bord duquel il était parti avec neuf autres chasseurs, était bien seul cette année à prendre la mer à la recherche de phoques, contre trente bateaux les autres années.




Delon s'associe à Bardot pour dénoncer la chasse au phoque
Et le phénomène n'a rien de local. La plupart des 6.000 chasseurs de phoques canadiens sont restés chez eux, sachant qu'ils n'arriveraient pas à vendre leurs prises. A Terre-Neuve, moins de 50 bateaux participent à la campagne, contre environ 500 ces dernières années.

Pourtant, la viande et les fourrures ne sont pas les seuls produits de la chasse au phoque: l'huile, tirée de son gras, vendue en gélules, est riche en acides gras oméga-3, aux bienfaits bien connus, et le collagène provenant de sa peau est utilisé dans différents traitements naturels antidouleur et les produits de beauté.

"Le boycott européen a été dévastateur pour le secteur cette année, tout comme l'absence de glace dans le golfe du Saint-Laurent après un hiver exceptionnellement chaud", déclare Jean Richard, responsable de la protection des espèces pour le sud du Québec au ministère des Pêches.

Le Jean Mathieu a ramené 2.000 carcasses de jeunes phoques et seulement 200 de phoques adultes, dont la viande est achetée par les restaurateurs, après une chasse difficile: le golfe du Saint-Laurent n'a pratiquement pas gelé cet hiver, alors que c'est sur la banquise qu'on trouve les animaux.

"Les phoques se sont retrouvés dans le détroit de Belle-Isle, sur la côte entre le Labrador et Terre-Neuve. C'est beaucoup trop loin pour les bateaux semi-hauturiers", précise le président de l'Association des chasseurs de phoques des Iles de la Madeleine, Denis Longuépée.

"La glace était morcelée. La houle et le vent nous ont empêchés de mettre les chaloupes à l'eau", raconte M. Vigneau.

La rentabilité de l'expédition n'est pas évidente. "Nous faisons cela pour maintenir le marché" de la viande de phoque, explique le chasseur-boucher. "On a créé la demande, on veut prouver au monde que l'approvisionnement est assuré".

Selon Larry Yetman, responsable de la gestion des ressources halieutiques au large de Terre-Neuve et du Labrador, les chasseurs iraient loin pour trouver des peaux, dont le prix a doublé par rapport à l'année dernière, arrivant à 21 dollars. Mais il n'y a pas d'acheteurs.

Les déboires des chasseurs n'entament en rien la détermination des défenseurs des phoques: dans une lettre rendue publique jeudi par la Fondation Brigitte Bardot, Alain Delon demande au Premier ministre canadien Stephen Harper de mettre un terme à "l'extermination", expliquant que "la mortalité des jeunes phoques est très élevée cette année en raison du manque de glace".

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30 avril 2010

The Nova Scotia government has tabled a new law it hopes will bring an end
to complaints about the province's 80 mink farms.


Agriculture Minister John MacDonell introduced a bill in the legislature
Thursday that will force mink farmers to comply with tougher rules to make
sure they have proper plans to dispose of waste and safeguard waterways.

New operations will also have to get government approval before opening.

MacDonell said that is a major change to what is happening now.

"The Department of Agriculture really only got involved once the farm was
just on the verge, like you had your buildings, you had your mink in the
cages. And so they called the department for a permit to operate and then,
if we thought conditions were humane for the mink, basically, we would grant
that permit," MacDonell said.

"Now before you ever break ground, build a building, do anything you have to
get a permit from us or approval from us before you even would start."

Mink farmers helped the government draft the new law, he said, and that's an
indication the industry is eager to comply.

Mink farmer Earl Prime is president of the Nova Scotia Mink Breeders'
Association.

"It boosts our economy tremendously. It gives lots of jobs and we're out to
encourage young farmers that want to get into the business and that's why we
want this legislation put in place so we can tell them how they have to do
it," Prime said.

"And we have many young farmers that want to get into the business."

Prime said although complying with the new rules will cost farmers, they are
ready to shoulder that cost.

Existing operations will have three years to make the necessary changes to
meet the new requirements.

The act also gives the Department of Agriculture inspection and enforcement
authority.

About half of the mink farms in Canada are in Nova Scotia. The number of
animals at those farms has tripled over the past 10 years, to about one
million. Eighty-five per cent of the population is raised in Digby County.

Last August, a proposal for a mink farm at Sloans Lake raised the ire of
residents who suspected that existing ranches in Digby County were
responsible for large blue-green algae blooms in a local river system.

The Nova Scotia mink industry has seen a steady climb in profit in recent
years with export sales exceeding $65 million in 2008 and about $80 million
last year, according to the agriculture department.

Read more:
http://www.cbc.ca/canada/nova-scotia/story/2010/04/29/ns-mink-farms-legislat
ion.html#ixzz0mbrnL4f6

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http://www.marketwire.com/press-release/Government-of-Canada-Helps-Farmers-Impro\
ve-Animal-Care-Practices-1157098.htm

Agriculture and Agri-Food Canada



Apr 30, 2010 16:42 ET

Government of Canada Helps Farmers Improve Animal Care Practices

GUELPH, ONTARIO,--(Marketwire - April 30, 2010) - Canadian farmers are proud to
provide excellent care for their animals and the Government of Canada is
investing in further development of best-practices for livestock handling.
Agriculture Minister Gerry Ritz and Member of Parliament Joe Preston
(Elgin-Middlesex-London) today announced the funding in Guelph.

"Taking care of the livestock is the first chore in the morning and the last
chore at night because farmers know that healthy animals mean a healthy
business," said Minister Ritz. "The Government of Canada is proud to partner
with Canadian farmers to further develop best-practices that will strengthen our
livestock industry."

"Our farmers take pride in their animal handling practices", said MP Preston.
"I'm proud to be part of a Government that helps farmers in Ontario and across
Canada utilize the latest research and best-practices in farm animal care."

The Canadian Animal Health Coalition (CAHC), working with the National Farm
Animal Care Council (NFACC), will use this investment of up to $3.4 million to
advance animal care and well-being in the farmed animal sector.

"CAHC has been successful in bringing groups together for common purposes,
including establishing the National Farm Animal Care Council and providing
support for its continued development," said Mark Beaven, Executive Director,
CAHC. "CAHC thanks the Federal Government for its support for the project, and
is committed to facilitating the successful outcomes that support farmed animal
health and welfare, alongside farmed animal production and trade."

This investment will help develop a new Codes of Practice for various farmed
animal sectors and an on-farm assessment protocol.
As a framework for the Codes,
NFACC will use the revised National Development Process for Codes of Practice
for the Care and Handling of Farm Animals that they piloted last year in the
dairy industry with support from federal adaptation funding.

"NFACC provides a vehicle for ensuring a national coordinated approach on farm
animal care among all stakeholders across the entire value chain," said Edouard
Asnong, Chair, NFACC. "NFACC appreciates the Federal Government's support to
address farm animal care issues that relate to its members, domestic and export
markets, the Canadian and provincial governments and the Canadian public,
utilizing science-based and collaborative processes."

Funding for this project is being made available through the AgriFlexibility
fund, a program delivered in Canada's Economic Action Plan (EAP). The EAP
focuses on strengthening the economy and securing Canada's economic future.

Funding is subject to the project meeting all eligibility requirments and the
signing of a contribution agreement.

For more information on the AgriFlexibility fund and Canada's Economic Action
Plan, please visit www.agr.gc.ca/agriflexibility and www.actionplan.gc.ca.

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Atlantic cod among endangered wildlife: Committee

By Margaret Munro, Canwest News Service
May 3, 2010 Comments

Atlantic cod, an Ontario bumblebee and a western pine tree should be added
to Canada's grim list of endangered species, says a national committee that
tracks more than 600 wildlife species at risk across the country.


Decades of unsustainable harvesting have depleted three of the four cod
stocks in Atlantic Canada by 90 per cent or more since the 1960s, the
Committee on the Status of Endangered Wildlife in Canada said Monday,
announcing it will recommend to the federal government that cod and several
other species be listed as endangered.

Long the economic and dietary mainstay of Maritime communities, cod is in
danger from Labrador South to Nova Scotia, the committee said.

"Continuing directed fisheries and bycatch, combined with major changes in
marine food webs in some areas, have significantly reduced the ability of
cod populations south of Baffin Island to rebuild," said COSEWIC, which has
just completed an assessment of the dwindling stocks.


"Except along the northeast of Newfoundland, cod stocks continue to decline,
some in the absence of fishing, and others are still being fished and not
being allowed to rebuild," said Jeffrey Hutchings, a fisheries biologist at
Dalhousie University and outgoing COSEWIC chair.

"Every cod stock is below ‹ and some of them way below ‹ their conservation
limits right now," he said in an interview.

The "scariest part" of the assessment dealt with cod in the southern Gulf of
Saint Lawrence, Hutchings said. It was the largest cod stock in the world in
mid-80s and is now predicted to be potentially gone within 40 years ‹ even
if harvesting stops.

"The fishing has pushed the cod to such a low level they have passed their
tipping point," said Hutchings.

He said the situation has worsened since 2003, when COSEWIC recommended the
government list one cod "unit" as endangered; now all four "units" from
Labrador south are in danger.

The government usually acts on COSEWIC's recommendations when it comes to
birds and bees ‹ but not when it comes to commercially harvested creatures
like cod. In fact, the government rejected a 2003 recommendation to list the
cod as endangered because of "socio-economic" concerns.

Hutchings noted that listing cod as endangered would legally require the
federal government to develop and implement a recovery strategy.

"That would be a big advantage," he said.

COSEWIC ‹ which met in late April to assess 51 species ‹ said a once-common
bumblebee is also endangered.

The Rusty-Patched Bumblebee was once an important pollinator, especially for
early- and late-flowering native plants in southern Ontario, but has now all
but vanished. "Despite extensive surveys over the past decade, only three
individuals of this distinctive bee have been found, all at one site," the
committee said.

The reason remains a mystery but pesticides, disease, parasites, and loss of
habitat appear to be affecting pollinators worldwide, it said.

The committee said climate change is increasing the risk of extinction for
many species in Western Canada, such as the Whitebark Pine that grows at
high elevations in the Pacific Coast and Rocky Mountain ranges.

"The principal threat to this tree is an infectious fungus called blister
rust, but the cumulative impacts of climate change, mountain pine beetle
infestations and fire suppression have all contributed to an ongoing
population reduction of 70 per cent," said the committee, which has assessed
the Whitebark Pine as endangered.

"Climate change is also a contributing factor in the loss of habitat for the
charismatic Flammulated Owl, a small bird dependent on the mature coniferous
forests of British Columbia's interior regions," it said.

The mountain pine beetle, no longer kept in check by cold winters, is
reducing the owl's habitat. "This, in combination with ongoing logging of
mature trees and the potential for an increase in catastrophic forest fires,
led to a designation of special concern for the owl."

On a more positive note, the committee said the whooping crane is slowing
coming back from the brink of extinction. There were only 14 of the birds
left in 1938, but close to 250 of the cranes will be heading to its nesting
site in Wood Buffalo National Park this year.

While the committee said the crane is still endangered, Hutchings said there
is hope it will be "secure" within 10 years.

The crane still faces multiple threats including ongoing degradation of
over-wintering habitat along the coast of Texas.

Hutchings couldn't say if the oil spill in the Gulf of Mexico will compound
that risk.

COSEWIC, which is composed of wildlife specialists from across the country,
will submit its full assessments to the federal environment minister this
summer. There are now 602 wildlife species in various COSEWIC categories,
including 262 endangered, 151 threatened, 166 of special concern, and 23
extirpated and no longer found in Canada's wild.


©️ Copyright (c) Canwest News Service

http://www.timescolonist.com/technology/Atlantic+among+endangered+wildlife+C
ommittee/2981969/story.html

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Apple protège les bébés phoques en interdisant leur chasse virtuelle


Guillaume Champeau - publié le Lundi 03 Mai 2010


Apple milite contre la chasse aux bébés phoques, qui reste l'une des activités humaines les plus controversées à l'égard des animaux. Pratiquée au Canada et en Norvège, elle consiste à fracturer par trois fois la boîte crânienne de très jeunes phoques avec un gourdin, avant de retirer leur peau indemne de toute déchirure par balle. Un peu plus de 300.000 phoques sont ainsi officiellement chassés au Canada chaque année, ce qui correspond à environ un tiers de la population des nouveaux nés.

Pour Apple, il n'est pas question d'en jouer. La firme de Cupertino, qui souhaite écarter de l'App Store toute application qui pourrait heurter les sensibilités, a ainsi refuser l'application iSealClub qui proposait d'incarner un chasseur de phoques. Avec des dessins enfantins, le jeu dotait le joueur d'un gourdin, avec lequel il était possible de frapper la tête des phoques. Aucune goutte de sang n'était visible en cas de succès, et seuls des phoques de taille adultes pouvaient être frappés. Mais Apple a jugé que l'application avait un contenu "douteux".

Pour le développeur Matt Smyth, c'est l'incompréhension. "Ils autorisent d'autres applications, comme Trophy Hunt pour les ours et les biches et que sais-je encore. Je ne vois pas la différence entre tuer un phoque et tuer une biche", se défend-t-il.

Et c'est bien le problème pour Apple, qui s'est fait dès le départ le gardien de la morale publique sur l'App Store. Presque par définition, il est impossible d'avoir une morale universelle que l'on peut imposer à tous. Il faut faire des choix, incompréhensibles pour certains, basés sur des critères forcément arbitraires. En quoi la cause de ceux qui militent contre la chasse aux phoques est-elle plus valable que celle de ceux qui militent contre la chasse au gibier ? Le risque, à vouloir ne choquer personne, est de niveler la liberté d'expression vers le plus petit dénominateur commun. Vers un monde sans scandale, sans mauvais goût, sans aspérité, sans saveur. Un monde sûr. Mais un monde chiant.

Mais peut-être Steve Jobs conseillera-t-il d'acheter un téléphone Android à ceux qui veulent tuer des phoques sur leur iPhone, comme il l'a fait pour la pornographie ?
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Canada: le plus grand barrage de castors au monde découvert grâce à internet
MONTREAL (AFP) - 05.05.2010 23:10
Un barrage de castors, le plus grand au monde, a été découvert dans une région reculée et sauvage du nord du Canada par un écologiste qui dit l'avoir repéré sur des photos satellite et le site internet Google Earth.

Un barrage de castors, le plus grand au monde, a été découvert dans une région reculée et sauvage du nord du Canada par un écologiste qui dit l'avoir repéré sur des photos satellite et le site internet Google Earth.

La barrage, qui est situé dans le Parc national Wood Buffalo, dans le nord de l'Alberta, mesure 850 m de long, nettement plus que la norme pour ces ouvrages qui ne dépassent généralement guère 100 m au Canada. En règle générale, seulement une digue sur 1.000 fait plus de 500 m de long.

La construction de ce chef-d'oeuvre de la nature a vraisemblablement commencé dans les années 1970, croit Jean Thie, qui l'a découvert en tentant de mesurer à l'aide de photos satellite l'étudue de la fonte du permafrost (les terres gelées en permanence) dans le nord du Canada.

"Plusieurs générations de castors ont travaillé sur ce barrage, qui continue de grossir", a-t-il déclaré mercredi à l'AFP. La digue était déjà visible sur des photos de la Nasa datant du début des années 1990, a ajouté M. Thie.

Des responsables de la réserve naturelle, la deuxième plus grande du monde, ont survolé le barrage à basse altitude l'an dernier, mais n'ont pu se poser, la zone étant trop marécageuse, a indiqué pour sa part un porte-parole du parc national, Mike Keizer.

Ils ont néanmoins pu confirmer que la digue "est très ancienne. Lorsqu'une digue est récente, il y a plein de rondins fraîchement coupés. Or, sur celle-ci, l'herbe pousse, c'est tout vert", a expliqué M. Keizer.

M. Thie note pour sa part que les castors sont en train de construire deux autres digues de chaque côté du barrage principal et que d'ici dix ans, toutes ces structures pourraient n'en former qu'une seule, mesurant plus de 950 m.

"C'est un phénomène unique, les digues de castors comptent parmi les rares structures construites par des animaux qui soient visibles de l'espace", souligne M. Thie.

Les vaillants rongeurs construisent des digues pour créer des réservoirs d'eau profonds où ils peuvent se mettre à l'abri des prédateurs, faire flotter leur nourriture et les matériaux de construction qu'ils utilisent.

Jusqu'à la découverte de ce barrage, on considérait que la plus longues digue de castors connue dans le monde était un ouvrage de 652 m situé dans l'Etat américain du Montana, frontalier de l'Alberta.

Poussé au bord de l'extinction par le commerce des fourrures aux XVIIe et XVIIIe siècles, le castor effectue un retour en force dans ses anciens habitats partout en Amérique du Nord, certains vivant même aux portes de grandes villes, comme à Montréal.

"Il y a des digues partout au Canada et certaines colonies de castors comptent jusqu'à 100 animaux au km2", souligne M. Thie.

"Ils refaçonnent le paysage", dit-il.
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À propos d'Olymel
10 mai 2010
Olymel est au Canada un chef de file dans le domaine de l'abattage, de la transformation et de la distribution des viandes de porc et de volaille, avec des installations au Québec, en Ontario et en Alberta. L'entreprise emploie au-delà de 10 000 personnes et exporte près de la moitié de ses ventes, principalement aux États-Unis, au Japon et en Australie, ainsi que dans une soixantaine d'autres pays. Son chiffre d'affaires est de l'ordre de 2 milliards de dollars cette année, avec une capacité d'abattage et de transformation de 160 000 porcs et 1,7 millions de volailles par semaine. L'entreprise commercialise ses produits principalement sous les marques Olymel, Lafleur et Flamingo.

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From Tuesday's Globe and Mail Published on Monday, May. 10, 2010 10:30PM EDT


The York Region SPCA is preparing to put down all of its animals in an
effort to snuff out a persistent outbreak of ringworm that has plagued the
shelter in recent weeks.

About 350 animals, many of which are infected with the highly contagious
skin fungus, will be euthanized - a move that's considered to be a last
resort, said Kate MacDonald, the chief executive officer of the Ontario
SPCA.

"If there was anything else we could do, we were doing it," she said. "We're
moving ahead very sadly, it's not a good time for any of us."

The ringworm outbreak was first discovered a few weeks ago, Ms. MacDonald
said, and the shelter tried to contain the outbreak.

Two veterinarians surveyed the situation on the weekend and decided the best
way to get rid of the fungus for good would be to euthanize all the animals,
she said.

The York Region shelter has been closed since the outbreak began and will
not reopen until the entire building is cleaned up and sanitized - a process
that will likely take a week, she said.
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Manitoba barn fires kill 7,500 pigs

Saturday, May 8, 2010
CBC News

Fire investigators are working to determine the cause of a massive fire that
tore through three pig barns in rural Manitoba on Friday afternoon, killing
an estimated 7,500 animals.

The fire broke out around 1 p.m. CT in the Rural Municipality of La
Broquerie, south of Steinbach.

Officials say the first firefighters on the scene were confronted with a
major blaze.

"They immediately called for assistance and a total of four fire departments
attended for suppression purposes," Rick Vandekerkhove, a spokesman for
Manitoba's fire commissioner, told CBC News on Saturday.

"Unfortunately it was a total loss of livestock within the barns."

Vandekerkhove said the cause of the fire was still under investigation. No
people were injured in the fire.

It was the second devastating fire to strike an agricultural operation in
the area in less than week.

On Monday, around 450 cows were killed in a fire at a dairy farm in the
Rural Municipality of Ste. Anne, also in southeastern Manitoba.

Read more:
http://www.cbc.ca/canada/manitoba/story/2010/05/08/mb-pig-barn-fire-1058.htm
l#ixzz0nbR22hVX
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Groups decry province's proposed aerial wolf kill to protect caribou
By Andrea Woo, Vancouver Sun

May 5, 2010

A collective of Canadian environmental groups has written an open letter to Premier Gordon Campbell decrying the provincial government's proposal for an aerial wolf kill in efforts to protect the dwindling mountain caribou population.

In the letter, sent Monday, 16 environmental groups state they are strongly opposed to the killing of wolves — as well as other carnivorous animals including cougars and bears — arguing human activities such as the logging of old-growth forests and snowmobiling are the main causes of mountain caribou population decline.

"These herds are small because they have lost habitat on a massive scale," the letter stated. "Even if we could kill all the predators, these herds could still be wiped out by incidents such as automobile accidents, avalanches, stress from snowmobiles and fluctuating winter conditions unfavourable to their survival."

The collective — which includes groups such as the Valhalla Wilderness Society, the Raincoast Conservation Society and the Animal Alliance of Canada — proposes four alternate solutions: stopping clear-cutting and road-building in mountain caribou habitat; stopping snowmobiling and heli-skiing in historical mountain caribou wintering areas; habitat restoration in clearcut areas; and reducing the speed limit on the Salmo-Creston Highway, where a number of animals have been hit by passing vehicles.

Anne Sherrod, chair of the Valhalla Wilderness Society, said on Tuesday the group had not yet received a response.

The provincial goal is to increase the mountain caribou population — now estimated at 1,800 to 1,900 animals — to the pre-1995 level of 2,500 animals within 20 years.

The proposal for the aerial wolf kill first surfaced in February.

In March, the B.C. Supreme Court put the brakes on development of a coal mine near Moberly Lake because the provincial government did not sufficiently consult with the West Moberly First Nation or accommodate its concerns.

awoo@vancouversun.com

With files from Larry Pynn

©️ Copyright (c) The Vancouver Sun


Read more: http://www.vancouversun.com/technology/Groups+decry+province+proposed+aerial+wolf+kill+protect+caribou/2987420/story.html#ixzz0nfY3SCWR
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Un feu de débris détruit une autre ferme


Patrick Rodrigue
Faits divers - Publié le 4 mai 2010 à 10:21




Cette fois, c’est au 1058 du rang 8-9 Est à Macamic que les pompiers ont dû intervenir. Une trentaine de pompiers de La Sarre et de Macamic se sont présentés sur les lieux vers 15 h 30, après avoir reçu un appel d’un voisin qui avait aperçu des flammes. Leur intervention a duré environ trois heures.

Le feu a tout de même eu le temps de détruire un garage, une grange, un hangar à bois et un poulailler. Selon des informations rapportées par L’Écho, le propriétaire aurait notamment perdu deux véhicules de collection, de la machinerie forestière, deux motoneiges et un VTT. Les pertes sont évaluées à près de 200 000 $.

Encore un brûlage

Comme c’est le cas depuis quelques semaines, le feu aurait été provoqué par une négligence. Le propriétaire aurait en effet fait brûler des débris et du vieux foin la veille. Cependant, des tisons devaient probablement couver sous la couche de cendres, car les flammes se sont éveillées peu après le passage de vents forts en Abitibi-Ouest le lendemain.

Le 23 avril, six bâtiments avaient été ravagés par un incendie similaire. La propriétaire des lieux avait déposé des cendres dans un baril de métal où du foin sec avait été jeté. Le vent avait contribué à raviver des tisons qui semblaient pourtant éteints.

Prudence extrême

En raison de l’arrivée hâtive du printemps et du manque de pluie, le sol demeure très sec. Le 22 avril, la Société de protection des forêts contre les incendies a d’ailleurs invité les citoyens à faire preuve de la plus extrême prudence avec les brûlages. Idéalement, avait-elle fait valoir, les gens devraient même cesser cette pratique.

http://lafrontiere.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=140838&id=162

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2 mai 2010

Un incendie s'est attaqué à un grand poulailler sur le rang Charlotte à St-Liboire

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Le feu détruit à nouveau des bâtiments de ferme en Abitibi-Ouest


Yvon Audet
Faits divers - Publié le 3 mai 2010 à 20:09

On aperçoit ci-dessus une partie du brasier qui a détruit trois bâtiments de ferme et endommagé un garage, aujourd'hui, à La Sarre.

Pour la 2e fois en l'espace de 11 jours, le feu a détruit des bâtiments de ferme en Abitibi-Ouest, cette fois au 1058 rang 8-9 Est, à La Sarre, aujourd'hui.



Les pompiers ont été appelés sur les lieux par un voisin vers 15 h 30, car les propriétaires n'étaient pas sur place à ce moment-là. Dès leur arrivée, ils ont réclamé l'entraide de leur collègues de Macamic devant l'ampleur du brasier. Au total, environ 28 sapeurs, soit 22 de La Sarre et six de Macamic, ont conjugué leur travail pour l'éteindre. Ils ont mis un peu plus de trois à heures à le faire.

Les flammes ont rasé trois bâtiments, soit un hangar à bois, un poulailler et une grange, en plus d'endommager un grand garage.

Origine accidentelle

Le sinistre est d'origine accidentelle. Le propriétaire aurait fait brûler des résidus et un peu de vieux foin dimanche après-midi, selon ce qu'il a confié au journal. Tout semblait normal quand il est parti travailler ce matin.

Le feu, un ennemi sournoi, couvait sans doute dans le sol et il a refait surface plus tard, durant la journée. Une violente bourrasque de vent qui a soufflé sur La Sarre, vers 15 h, l'a sans doute attisé car le voisin l'a aperçu une demi-heure plus tard.

Pertes considérables

Le propriétaire estime que la destruction de ses bâtiments et de leur contenu représentent des pertes d'environ 150 000 $ à 200 000 $. Outre la grange, le poulailler, le hangar à bois et le garage (qui a été endommagé), il a en effet perdu deux véhicules de collection, de la machinerie forestière, deux motoneiges, un quatre-roues, et autres.

2e sinistrre du genre en 11 jours

Cet incendie de bâtiments de ferme est le 2e en 11 jours en Abitibi-Ouest. Six bâtisses ont flambé dans le rang 6-7 Ouest de Dupuy, le 23 avril, le tout ayant débuté par des cendres chaudes qui avaient été déposées dans un baril de métal où se trouvait du foin sec. Là aussi, le vent avait contribué à l'expansion des flammes.


31 mars
Un feu a complètement démoli une grande ferme sur le 2ième rang à Ste-Hélène

17 mars 2010
A La Présentation
Le bâtiment est une perte totale-Plusieurs animaux ont péri dans cet incendie (combien ?)


24 Mars 2010 à 10h33
Un incendie a détruit une ferme du rang Saint-Georges à Saint-Bernard, mercredi. Les flammes, d’origine accidentelle, ont complètement ravagé le bâtiment. 60 vaches ont également péri dans l’incendie. Les dommages sont estimés à quelque un million de dollars.

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Manitoba
Un incendie ravage trois porcheries
Mise à jour le samedi 8 mai 2010 à 17 h 19


Un important incendie, qui s'est déclaré vendredi après-midi dans la municipalité rurale de La Broquerie, a ravagé trois porcheries.

Quelque 6500 porcs ont péri à la suite du brasier. La GRC évalue les dommages à 6 millions de dollars. C'est un passant qui a alerté les pompiers. Le propriétaire des lieux n'était pas sur place lors de l'incendie.

Le bureau du Commissaire des incendies du Manitoba a ouvert une enquête. La cause de l'incendie demeure inconnue pour le moment. Les porcs seront évacués par Environnement Manitoba dimanche.

Il s'agit d'un deuxième incendie ravageur en quelques jours. Plus tôt cette semaine, quelque 450 vaches laitières sont mortes dans un incendie qui a détruit trois bâtiments près de La Broquerie. Les dommages à cet endroit sont évalués à 8,5 millions de dollars.

Il ne semble avoir aucun lien entre les deux incendies mortels.
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22 avril 2010

Porcherie en feu : 140 porcelets périssent à Corseul

Ce soir vers 17 h 30, les pompiers ont été alertés. Un incendie ravageait la porcherie de l’entreprise Allory à Corseul au lieu-dit la Provostais. Les pompiers de Dinan et Plancoët sont intervenus avec deux fourgons pompe tonne et un camion-citerne. Près d’une heure plus tard le feu était maîtrisé. Un mur mitoyen a contribué à le stopper. 140 porcelets ont péri dans l’incendie. 250 ont été sauvés. Un tiers de la porcherie, soit environ une centaine de m2 ont été détruits.

ofredac (di)
Ouest-France
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18 avril 2010 à 07:37
Incendie dans une porcherie au nord du pays (nord de la France)
Un incendie a éclaté au petit matin dans une porcherie du village de Meiliya près de la ville de Maalot. Près de 80 porcs ont péri dans le sinistre. Les services de pompiers de la Galilée occidentale ont maîtrisé le feu. Selon les premières données de l'enquête menée par la police, le feu aurait une origine criminelle.
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SAINT-GENES-CHAMPANELLE
Incendie
lundi 3 mai 2010 - 10:22
17 chevaux périssent dans un incendie près de Clermont-Ferrand
Dix-sept chevaux ont péri dans un incendie cette nuit au centre équestre L'étrier, sur la commune de Saint-Genès-Champanelle.


Un incendie a ravagé cette nuit le centre équestre L'étrier situé à Laschamps, commune de Saint-Genes-Champanelle (63). Dix-sept chevaux ont péri et 1.200 mètres carrés de bâtiment ont brûlé dans le sinistre.

Alertée à 2h30, une trentaine de sapeurs pompiers a été mobilisée jusqu'à 5h30 du matin.
Le procureur de la république a saisi la Brigade de recherche de la compagnie de gendarmerie du Puy-de-Dôme et la cellule d'investigation criminelle pour déterminer les causes de l'incendie.
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jeudi 18 mars 2010
Pornic : 12 000 canetons périssent dans un incendie

Un incendie accidentel a entièrement détruit un bâtiment d’élevage de 800 m2, cet après-midi, à Pornic. A l’intérieur, 12 000 canetons ont péri, carbonisés. L'éleveur, présent dans le bâtiment, n'a rien pu faire contre les flammes. Il a juste eu le temps de sortir et de prévenir les secours. Très vite, le bâtiment agricole s'est totalement embrasé. Une vingtaine de pompiers de Pornic, La Bernerie, Bourgneuf, Saint-Brevin, renforcés par un camion-citerne équipé d’un canon à eau, sont intervenus.

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SAINT-BARTHÉLEMY-LE-PLAIN
4400 poussins périssent dans un incendie
par La Rédaction du DL | le 06/04/10

Hier vers 17 h 05, un feu dont l'origine restera à déterminer a entièrement détruit une exploitation de poulets au lieu-dit Bonnet sur la commune de Saint-Barthélémy-le-Plain.

Le préjudice est lourd pour Stéphane Valla qui avait acheté ses poussins il y a seulement quatre jours. Installés sur les terres de Sabin Cornu, les bâtiments avaient été entièrement refaits durant l'hiver.

Une perte très lourde pour l'exploitant
Le préjudice est estimé à des dizaines de milliers d'euros. Environ une vingtaine de sapeurs-pompiers des centres de Lamastre, Tournon, et Mauves ont été mobilisés sur place sous le commandement des lieutenants Vallon et Tronville, ainsi que le sergent-chef Besset et l'adjudant-chef Gauchier.

Le sinistre a été circonscrit vers 18 h 15. 4 400 poussins ont péri dans l'incendie. Quelques poussins ont malgré tout pu être sauvé, mais la perte reste très lourde pour l'exploitant.

Les gendarmes de la brigade de Tournon sur place ont procédé aux premières constatations. Ils auront à déterminer les circonstances exactes du sinistre.

Des élus de la commune de Saint-Barthélemy-le-Plain sont également venus

sur place pour tenter de remonter le moral de l'exploitant.
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Lucerne: une ferme part en fumée à Oberkirch
Plus de 200 cochons ont péri dans l'incendie d'une porcherie à Oberkirch (LU). Plusieurs bâtiments de la ferme ont été détruits ou endommagés. Personne n'a été blessé, a annoncé la police lucernoise. Une enquête a été ouverte.

Le montant des dégâts n'a pas encore pu être déterminé.

(ats / 30 avril 2010 14:17)
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http://www.thestar.com/news/canada/article/815731--220-000-sable-island-seals-fa\
ce-proposed-slaughter?bn=1
220,000 Sable Island seals face proposed slaughter


Published On Fri May 28 2010 Nova Scotia.




Michael MacDonaldThe Canadian Press HALIFAX—The
windswept beaches of Sable Island would become a scene of slaughter if the
federal government adopts the results of a study that explores in chilling
detail how 220,000 of the island’s grey seals could be exterminated over five
years.The 2009 feasibility study, compiled for the federal Fisheries Department,
says the first year of a proposed cull would target 100,000 seals, requiring a
team of 20 specially trained hunters with silenced rifles to kill 4,000 seals
per day during the dead of winter.“At this production rate, a tandem dump truck
would be filled with seals approximately every 10 minutes — seven hours per day
for 25 days,” says the 68-page study, drafted by engineering consultants at
Halifax-based CBCL Ltd.The hunters’ rifles would be equipped with silencers to
avoid spooking the herd, the report says. Since silencers are a prohibited
device in Canada, the federal government would be required to get a special
permit to import them from the United States.“To avoid suffering, animals should
be killed by a well-aimed shot to the head,” the study says. “Any orphaned pup
should be killed lest it starves to death.”The slaughtered seals, some of them
weighing more than 350 kilograms, would then be grabbed by one of 30 modified
heavy loaders and carried to portable incinerators at five work camps set up
across the island.The consultants also look at storing the remains until the
summer months, when containers would be shipped to a new $100,000 base in
mainland Nova Scotia and later dumped at a dedicated landfill site.“It would be
a tremendously complicated undertaking and it would be very expensive,” Gus van
Helvoort, the department’s director for fisheries management for the Maritimes
region, said in an interview.“Is it doable? I think it is doable. Is it the
right thing to do? At this juncture, that’s not the purpose of the report.”He
stressed that the study is a technical evaluation of logistics, not a
decision-making document.“This came about as a result of questions from industry
on what it would take to address the seal problem,” he said. “The seal
population has increased exponentially on Sable Island over the last 15
years.”He said an international meeting of fisheries researchers later this year
will provide a scientific basis for any government decisions made about the
Sable Island seals.Nova Scotia’s fisheries minister, Sterling Belliveau, says
the province’s NDP government is not opposed to a cull on the island, which is
destined to become a national park.While many Canadians regard Sable Island as a
wild and unspoiled oasis worthy of park status, commercial fishermen in Nova
Scotia see the island very differently.They say the grey seals that frequent the
island are responsible for eating too many commercially valuable fish,
particularly cod. The seals are also blamed for ruining many of the fish that
are left by leaving them infected with parasites called sealworms.The study
notes that the east coast grey seal population has grown from 20,000 animals in
the 1970s to more than 300,000 today.About 80 per cent of all grey seal pups are
born on Sable Island, about 300 kilometres southeast of Halifax.The study was
obtained through the Access to Information Act by The Coast, a Halifax-based
weekly tabloid. Its release comes a week after federal Environment Minister Jim
Prentice confirmed the island, famous for its 400 wild horses and fragile
ecosystem, will become a national park.The study concludes that the cull and
subsequent disposal would cost roughly $35 million over five years.The hunt
would take place on the island’s beaches between December and February when the
females are giving birth to their pups.The report concludes that a cull of
20,000 annually would be more feasible.

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http://www.theglobeandmail.com/news/national/canadian-standards-for-farm-animal-\
transport-dangerously-lax-report-says/article1589007/

Canadian standards for farm-animal transport dangerously lax, report
says
Inspection records show animals arriving to slaughterhouses dead or
diseased, with few repercussions for transporters

Globe and MailPublished Jun. 02, 2010
Poultry workers opened the doors of a chicken truck at a
Toronto slaughterhouse in December, 2008, to find that nearly 1,500 birds had
frozen to death in sub-zero temperatures during their final journey from the
farm.
At about the same time, 16 neglected horses – animals so emaciated they had
not developed winter coats – were sent to a meat factory in Lacombe, Alta., in
an unheated truck as the thermometer dipped to minus 12 C. Government inspectors
who witnessed their arrival took note of the incident but let the transport
company off with a simple warning.Those and other anecdotes are included in a
report by the World Society for the Protection of Animals (WSPA) to be released
later this week that looks at the conditions in which animals intended for
Canadian dinner plates are transported – often for the last time.The study,
which was based on inspection reports filed by the Canadian Food Inspection
Agency (CFIA) between Oct. 9, 2008, and Jan. 9, 2009, was initiated in response
to the listeriosis crisis of 2008 that killed 22 people. It finds that Canadian
standards for the transport of animals are significantly weaker than those of
other jurisdictions, including Europe and the United States.Under CFIA policy,
an inspection is warranted if 1 per cent of a shipment of broiler chickens
arrives dead, whereas the U.S. threshold is 0.5 per cent. The report also found
that the CFIA standards are not strenuously enforced.“A lot of MPs were asking
how many meat inspectors were hired during the listeriosis outbreak and it
started to get us questioning how many animal inspectors are there,” Melissa
Matlow, the report’s lead author, said in an interview with The Globe and Mail.
It’s an important question, “not only from an animal welfare perspective, which
is what our organization cares the most about, but from a food-safety
perspective.”In fact, much evidence suggests that food-borne illnesses are
readily transmitted among animals that are crammed into trucks and train
cars.“When the animals are packed more closely, the opportunity for bacteria to
pass from one animal to another is obviously increased,” said Carlton Gyles, who
studies animal-borne diseases at the University of Guelph. “There have been
studies looking at things like salmonella that can be passed by animals during
transportation. So that could increase the chances of contamination of
meat.”Canadians also want to know that the meat they eat comes from animals that
did not suffer unduly, Ms. Matlow said. Statistics that the animal rights
organization obtained from CFIA indicate that two million to three million
animals die during transport every year and another 11 million arrive at their
destination diseased or injured.“We have to ask the question, how many of these
animals [that die in transit] are ending up on people’s dinner plates?” Ms.
Matlow said. “If there is only one inspector for every two million animals
slaughtered for food every year in this country, how can they possibly ensure
this isn’t happening?”CIFA says its inspectors see the animals both before and
after slaughter and they would move quickly to shut down a plant that attempted
to process animals that were dead on arrival – which is strictly prohibited by
federal regulations. But they also admit they cannot be in every meat plant at
all times.The greatest animal suffering observed in the study occurred on long
journeys – especially in freezing weather. Canadian cows can be in transit for
52 hours without food, water and a rest break. In Europe, the standard is 12
hours.Geoff Urton, the farm animal welfare co-ordinator at the British Columbia
SPCA, said Canada’s regulations are more than 30 years old and need to be
updated. “There is really good evidence that the current standards are not
adequate to actually protect the animals,” said Mr. Urton.Paul Mayers, the
associate vice-president of programs at the CFIA, said his agency is preparing
to rewrite the rules on animal transport.But he said the changes will be less
about setting time limits for transportation than an overall effort to keep
animals healthy. “What we’re talking about,” Mr. Mayers said, “is achieving the
outcome in relation to the individual species as opposed to arbitrary time
limits, focusing instead on the animal itself.”As for the fact that many
transporters who break the rules get off with a warning, he said the CFIA uses a
graduated approach to enforcement, leaving prosecution – in most cases – for
repeat violators.Transporters and the slaughterhouses rely on animals for their
income, Mr. Mayers said. “So we certainly see that the vast majority of Canadian
producers and transporters are strongly committed to treating animals
humanely.”KEY FINDINGS OF THE REPORT1. Unacceptable numbers of animals,
particularly chickens, die during transport.This most often happens when the
birds are moved over long distances and in inclement weather.2 to 3 million: The
number of animals that arrive dead every year at Canadian slaughterhouses.2.
Animals are transported in overcrowded conditions.Transporters pack between
seven and 16 chickens into crates that are a half-metre square, and cows have
arrived at processing plants with sores on their backs from brushing against the
roof of the truck.6% to 89%: The increase in number of animals covered with
salmonella after being kept in crowded conditions for 40 minutes, according to a
Texas Tech University study.3. Severely injured and sick animals are transported
in contravention of federal regulations.Animals are arriving at slaughterhouses
and auctions emaciated, weak, crippled and with severe injuries.2: The number of
sheep a farmer brought to be slaughtered at Princeton Meat Packers in Woodstock,
Ont., that had injuries so severe, they should never have been transported.4.
Severely compromised animals are transported and left to suffer for prolonged
periods, sometimes days.The World Society for the Protection of Animals says
many incidents may be in violation of federal or provincial animal cruelty
laws.58: The length of time, in hours, one crippled cow was left alive on top of
a pile of dead animals in Lethbridge, Alta.5. A shortage of trained animal
welfare inspectors, particularly veterinarians, puts animal health and welfare
at risk.Canadian Food Inspection Agency inspectors are not authorized to
euthanize animals or relieve their suffering for humane reasons, and few animal
inspectors are veterinarians or trained to address animal welfare problems
during transport.329: The number of animal inspectors employed by the CFIA
across Canada to supervise 772 facilities that slaughter 700 million animals
annually. There are also 980 meat inspectors.CFIA's reporting and enforcement
are often weak and inconsistent.Animals are transported in clear violation of
regulations (for example, goats transported in feed bags, rabbits transported in
the trunk of a car, animals tied up and under covers without air holes) and
inspectors respond by giving warnings or educational pamphlets.$221,800: The
total amount of individual fines, ranging from $500 to $2,000, levied in 2006
across the country for violations of the health of animal regulations. Animals
suffer as a result of poor driver training.Drivers appear to be unaware of
regulations, including their right, indeed, their responsibility, to refuse to
transport an injured animal. Some drivers didn't even know how many animals they
had aboard their truck.20 hours: In one case, the number of hours a severely
injured horse spent in transit.
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Summer beaver cull set for P.E.I.
3 trappers hired to get rid of 'nuisances'
Drew Halfnight, National Post Published: Friday, May 14, 2010

Beavers, the very symbol of Canada, are overrunning its Prince Edward Island
birthplace. So the provincial government has contracted three professional
trappers to kill more than 150 of them.

The island's rivers are infested with so-called "nuisance beavers," whose
dams cause flooding and destruction of roadways, kill mature trees,
contaminate water and interfere with migratory fish runs. The problem has
gotten so bad, the province has drafted a "beaver policy" and appointed a
permanent committee to deal with "beaver problems affecting highways."

A beaver cull will be undertaken this summer, and their pelts sold. "What
we're doing is in the interest of public safety," said Shelley Cole-Arbing,
an environmental officer with the Department of Transportation and Public
Works. "This isn't something we want to do. This is a necessary part of our
lives."
The government poured thousands of taxpayer dollars into repairing
washed-out roads and culverts before adopting the trapping scheme as last
resort 10 years ago.

"I wish we had a magic wand to fix the problem," said retired P.E.I.
biologist Daryl Guignon. "But it's not easy, let me tell you. The beavers
are so prolific here, they're in pretty well every watercourse," so
relocating them would be futile.

Clarence Ryan has been a government-contracted trapper in eastern P.E.I.
since the beaver management program was first launched. Last season, he
killed 87 beavers with two types of traps, a traditional Conibear clamp and
a submersible snare. The first, the "trap of choice" for professionals, is
supposed to kill the beaver instantly, though some environmental groups say
it often doesn't. The second is meant to drown the animal in under five
minutes. "They're humane, fast and efficient," Mr. Ryan said.
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71,000 Coyotes Killed Under Sask. Program

http://www.cbc.ca/canada/saskatchewan/story/2010/05/26/sk-coyote-program-100
5.html

More than 71,000 coyotes have been killed under a bounty program run by the
Saskatchewan government — a number far greater than what Agriculture
Minister Bob Bjornerud had predicted earlier.

Under the program that ran from November 2009 to March 2010, people had to
bring in the paws to be paid $20 an animal.

Bjornerud said in February he hoped there would be 35,000 coyotes killed by
the time the program ended.

The final tally was much higher, likely because hunters were saving up paws,
he said.

"At the end of March ... they would bring them all in at once," he said.
"The average was about 14 or 15 [coyotes] per applicant but I think the
highest was about 90."

The province spent about $1.5 million on the bounty program, which was
introduced in response to complaints by ranchers that coyote numbers were up
and the animals were preying on livestock.

However, some questioned whether it was the wisest use of tax dollars. In a
typical year, with no bounty offered, Saskatchewan hunters kill about 21,000
coyotes, the Environment Department said.

Bjornerud said the pilot project is not likely to be repeated unless farmers
complain again in the future about too many coyotes.

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Published On Thu May 27 2010 A leading
polar-bear authority says their population could plunge by as much as 30 per
cent in a year.

A mathematical
analysis for the first time has uncovered the prospect of a sudden, dramatic
decline among Canadian polar bears as they starve to death.“This is much, much
different. This is not a gradual change,” said Dr. Andrew Derocher, one of the
world’s leading polar bear authorities and co-author of the study. “We’re
looking at a decrease by 20 or 30 per cent or even much more in a year.”The
study was released this week just as Environment Canada is meeting to decide,
also for the first time, whether polar bears should be declared a species at
risk.“The key thing is that this allows us to look forward better and more
accurately,” said Derocher of the study, which combined his expertise as a
University of Alberta professor who has studied polar bears for 28 years with
that of two biomathematicians.“You can go a reasonable period of time without
seeing major effects. But once you look at the data, you start to see sudden,
dramatic changes.”Scientists factored in the shrinking sea ice, which affects
how many seals the bears can eat before they hibernate and how easily they can
find mates. Without enough food or opportunity, mating is less successful,
fewer, less robust cubs are born, and teenage bears spend longer “wandering
around trying to find something to eat.”All of that information can be subjected
to “some fairly advanced math” to create data tables that chart the estimated
time of death by starvation for adult male polar bears.Typically 120 days in the
1980s, the time polar bears have to spend fasting has increased by about seven
days per decade and is continuing to increase.While 3 to 6 per cent of polar
bears in the Western Hudson Bay die during a 120-day summer fast, 28 to 48 per
cent would die if it reached 180 days, the study found. The fast occurs because
polar bears depend on frozen sea surface to cover distances.There are about 900
polar bears in the Western Hudson Bay now.The government advisory group
Committee on the Status of Endangered Wildlife in Canada labelled polar bears
“of special concern” in its 2008 review. Environment Canada uses that
recommendation to decide whether to change the status of polar bears, which now
have no protection in Canada.“The concept of a tipping point is very real,” said
Dr. Justina Ray, executive director of the Wildlife Conservation Society of
Canada and co-chair of the committee study group that includes polar bears.“The
minister is in a difficult political situation,” the other co-chair, Dr. Mark
Brigham, acknowledged, stressing he spoke for himself and not the committee.
“When it comes to big mammals, the minister dawdles.”Defending the committee’s
controversial rating, Brigham said the polar bear population in 2008 was the
largest it had been in 50 years. While scientists knew climate change would
affect them, it hadn’t started yet.“A major conservation failure” is how
Derocher brands the committee’s polar bear recommendation. The U.S. has already
designated polar bears as “threatened” – a higher degree of risk – while Canada
has yet to act.“We are past the point where we can couch this in cautious
terms,” he said. “Canada doesn’t take the threat of climate change
seriously.”Derocher, who first wrote about the warming Arctic and its threat to
polar bears in 1993, admitted he never expected then that the deadly changes
would happen in his lifetime.“I thought this was something for the generation
coming after me. Now I’m very certain we’re going to see very serious changes in
the near future.”Watch Andrew Derocher discuss climate change and polar bears.

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http://www.torontosun.com/news/canada/2010/05/29/14186736.html
Cat goes missing on Air Canada flight
CALGARY — Fur is flying after the cat belonging to a southern Alberta
family went missing during a cross-country Air Canada flight to New
Brunswick.




Jillian Zwicker and her family from Ralston, 200 km southeast of
Calgary, are heading overseas to live and decided to leave their cat
Dusty temporarily with the woman’s father in St. John, N.B.




When the Zwickers arrived in St. John on Wednesday evening, they
expected to collect the 12-year-old gray, green-eyed English shorthair
from its kennel box on the conveyor belt but received a shock, said
Zwicker.




“When the kennel came out, my husband went to pick it up and the
whole top came right off and it was empty,” said Zwicker from St. John,
her home town.




“I expected Dusty to come walking out on the belt but it didn’t
happen.”




She said half of the kennel’s clips were askew.




“Somebody busted it and he got out,” said Zwicker.




The family has owned the cat for the past 10 years and the animal has
a treasured place in the family, she said.


“I’m just devastated‚ every single day I’m wondering where he is,
what he’s doing,” said Zwicker, adding her eight-month-old son Dylan
notices Dusty’s absence.




Air Canada officials determined the cat escaped its kennel when the
Zwickers changed planes at Pierre Elliott Trudeau International Airport
in Montreal.




Dusty, Zwicker was told, was spotted in the carrier’s baggage room in
Montreal and baited traps have been set to nab the fugitive feline.




But it could take a while to corral the cat, who’s extremely shy, she
added.




“He’s a house cat — he’s never been outside,” said Zwicker, who’s not
impressed with Air Canada’s handling of her pet.


It’s bad enough, she said, that the family’s regular luggage was also
badly battered on the trip “but come on — this is a live pet in a
carrier,” she said.




“If they find him, they’ll be flying him back first class if I have
anything to do with it — he is not going back into the belly of that
plane.”




Tuna traps have been set throughout the large airport by animal
control specialists hired by Air Canada, said carrier spokeswoman
Isabelle Arthur.




“We’re very, very sorry this cat has been missing...we’re pet owners,
too, so that’s why we’re devoted all these resources,” she said, adding
wanted posters have been pasted as well.




It’s still not clear how Dusty escaped, said Arthur, adding such
incidents “are very, very rare.”

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Le Canada prolonge la durée de la chasse au phoque

Un chasseur de phoques sur la côte de la Pointe-aux-Loups, au Canada, le 29 mars 2008


Le gouvernement du Canada a décidé de prolonger de deux semaines, soit jusqu'au 31 mai 2010, la durée de la chasse au phoque à Terre-Neuve et au Labrador, sur la façade atlantique du pays, a annoncé mardi la ministre des Pêches et des Océans, Gail Shea.

Cette décision, prise au niveau régional, doit permettre aux chasseurs de phoques d'avoir plus de temps "pour utiliser leur allocation de 2010 et tirer profit des perspectives commerciales potentielles", a précisé Mme Shea dans un communiqué.

L'année en cours est considérée comme mauvaise pour la chasse au phoque. Le golfe du Saint-Laurent n'a pratiquement pas gelé cet hiver, alors que c'est sur la banquise qu'on trouve les animaux, et l'embargo européen sur les produits dérivés du phoque a incité de nombreux chasseurs à ne pas prendre la mer, sachant qu'ils ne trouveraient pas d'acheteurs pour leurs prises.

A Terre-Neuve, moins de 50 bateaux ont pris la mer, contre environ 500 ces dernières années.

Le gouvernement fédéral souhaitant apporter un soutien actif aux chasseurs, Mme Shea a approuvé récemment une "allocation de développement pluriannuelle" de 20.000 phoques par an pour favoriser la réalisation de projets à valeur ajoutée présentés par l'industrie du phoque.

Il s'agit notamment de la mise sur le marché de nouveaux produits de viande de phoque, et de travaux de recherche menés par des scientifiques grecs et canadiens qui vérifient si les valvules cardiaques du phoque se prêtent à la greffe humaine.

AFP

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On achève bien «mal» les chevaux au Québec.
On pourra utiliser ce titre pour un petit article éventuellement


J'ai choisi ce titre, que j'ai aussi fait figurer sur mon dernier blogue:
http://non-a-la-cruaute.blogvie.com/
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3 mai 2010- Présentée au détachement de la GRC de Sorel Tracy (Québec) contre Viande Richelieu, un abattoir de Massueville au Québec, une plainte a été portée par la Canadian Horse Defence Coalition, qui a remis une vidéo filmée à l’insu du personnel comme preuve que les chevaux, dans cet établissement, sont abattus de façon cruelle et qu’on les laisse souffrir pendant de longues périodes. Une plainte semblable a été présentée à l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) qui procède à une enquête.Vidéo (en anglais)


Des coups de bâton électrique et de fouet au visage Dans la vidéo, on peut voir des chevaux qui reçoivent des coups de bâton électrique et de fouet au visage. On y voit aussi un travailleur qui manque souvent de rendre les chevaux inconscients au premier coup. Lorsque le coup est tiré au mauvais endroit de la tête ou du corps, bien des chevaux souffrent pendant de longues périodes avant d’être finalement tués.Les actions dans la vidéo sont une infraction aux articles 445.1 et 446 du Code criminel du Canada, ce qui fait que le problème est du ressort de la GRC. On croit aussi que c’est une infraction aux articles 62 (1) et 80 du Règlement de la loi canadienne sur l’inspection des viandes et c’est pourquoi la CHDC a déposé plainte devant l’ACIA.Les chevaux souffrent de façon inacceptablePlusieurs vétérinaires ont évalué la vidéo. «Du fait des pratiques actuelles dans l’industrie des abattoirs, a déclaré Debi Zimmermann, B.Sc (Zoologie), D.V.M., les chevaux doivent souffrir de façon inacceptable, aussi bien sur le plan émotif que physique. Puisque c’est un problème de cruauté, il faut prendre les mesures immédiates et déclarer un moratoire sur tous les types d’établissement semblables en attendant ».

La vidéo a été examinée par des experts en «abattage non cruel» de la Société mondiale pour la protection des animaux qui ont demandé à l’ACIA de faire une enquête et de porter des accusations. La WSPA a aussi demandé au ministère de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire d’éliminer immédiatement l’agrément et le permis ainsi que tout permis donnant à cette usine le droit d’exporter de la viande de cheval à l’étranger.

L’abattage devrait être supervisé

D’après Rasto Kolesar, directeur des programmes pour animaux de ferme de la WSPA: «Nous croyons que l’abattage devrait être supervisé par l’ACIA. De cette façon, on éviterait les pratiques qui causent beaucoup de douleur et de souffrance aux animaux abattus, comme celles que l’on a remarquées sur des centaines d’animaux. »

«Les enquêtes font ressortir qu’il y a abus dans les usines d’abattage des chevaux au Canada, et pourtant notre gouvernement continue à laisser ces pratiques cruelles avoir cours», ajoute Nikolas Gour, responsable de campagne de la Humane Society International/Canada. «L’abattage des chevaux pour la consommation humaine est cruel et ne devrait pas être permis.»


(Article paru dans La Voix Gaspésienne)

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Jun 7, 2010

Peru's government has approved the import of kangaroo meat from Australia, officials have announced. Shit

A notice published in a registry of new government rules and laws gave notice that the federal health officials have "authorized the import of meat from kangaroos born and raised in Australia."...


http://news.yahoo.com/s/afp/20100608/sc_afp/peruaustraliaanimalskangaroo_20100608011714

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Monday, June 7, 2010- Abattage massif de lions de mer (USA) Sale temps pour les lions de mer sur la Côte Pacifique des États-Unis et au Mexique. Dans le Puget Sound (bras de mer de l'océan Pacifique situé aux États-Unis), plusieurs animaux ont été abattus durant les derniers mois. Au sud de la péninsule de la Basse-Californie mexicaine, les pêcheurs proposent un abattage massif de ces créatures à cause de la compétition sur les ressources de poisson.




Toutefois, un représentant mexicain de l'environnement, soutient que la population actuelle des lions de mer ne justifie pas un massacre. Benito Bermudez Almada, directeur du bureau de la Commission nationale des zones naturelles protégées, a déclaré que le nombre de ces animaux a en fait diminué en Basse-Californie du Sud : 70.000 animaux en 1978 à 30.000 en 2010.



"Un grand massacre ne résout pas le problème parce que les grandes colonies de lions de mer ont diminué, comme dans le cas de l'île de Margarita, où il y avait 4.000 animaux et maintenant il n'en reste que 1.200", a ajouté Bermudez.


Néanmoins, les pêcheurs font pression sur la législature publique pour prendre des mesures contre les lions de mer. Le législateur d'État Natividad Osuna Aguilar a déclaré que l'on dispose d''une étude examinant les aspects juridiques et socio-économiques de la situation de ces animaux.



Bien que le lion de mer soit une espèce protégée au Mexique, un «prélèvement» pourrait être approuvé que s'il est établi que les mammifères marins sont préjudiciables à l'industrie de la pêche locale, a déclaré Marco Antonio Gonzalez Vizcarra, Directeur du Secrétariat fédéral de l'Environnement et des ressources naturelles.



Ces dernières années, les controverses au sujet de la population des lions de mer ont éclaté en différents endroits le long de la péninsule de la Basse-Californie mexicaine. Comme aux États-Unis, de nombreux tirs illégaux de lions de mer ont été rapportés.


Partie importante de la chaîne alimentaire, les lions de mer sont une source de nourriture pour le grand requin blanc, dont le nombre est en chute libre...

http://spendeursauvage.over-blog.com/ext/http://www.mexidata.info/id2693.html

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Compton
Un violent incendie ravage une ferme
Mise à jour le mercredi 26 mai 2010 à 17 h 09
Le feu s'est déclaré vers 19 h mardi.


Un violent incendie a ravagé la ferme laitière Breault & Frères située à Compton, en Estrie.

Le feu, qui s'est déclaré vers 19 h mardi, a complètement détruit deux des cinq bâtiments de ferme. Deux cents vaches laitières ont péri à la suite de l'incendie.

Une cinquantaine de pompiers ont passé la nuit à combattre les flammes. Des municipalités voisines ont été appelées en renfort pour venir à bout de l'incendie. Les dommages sont évalués à 1 million de dollars.

Selon l'un des propriétaires de l'endroit, Denis Breault, l'incendie serait accidentel et aurait été causé par un problème électrique.

Une vingtaine de vaches ont survécu au sinistre. Un vétérinaire a été appelé sur les lieux pour évaluer l'état de santé des bêtes qui ont été blessées.

La ferme Breault & Frères est une entreprise familiale établie depuis plus de 40 ans à Compton.
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