Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
animo-aequoanimo

Projet de loi pour mettre fin à l'abattage des chevaux

Messages recommandés

Communiqué de la CHDC
www.canadianhorsedefencecoalition.org
www.canadianhorsedefencecoalition.wordpress.com

Alex Atamanenko (Colombie-Britannique - Southern Interior), porte-parole du NPD en matière d’Agriculture, a déposé hier un projet de loi d’initiative parlementaire qui mettrait fin une fois pour toutes à l’abattage des chevaux destinés à la consommation humaine au Canada.

« Le fait est que l’on administre couramment aux chevaux des drogues dont l’utilisation est interdite pendant la vie d’un animal destiné à l’approvisionnement alimentaire », a expliqué M. Atamanenko. « C’est irresponsable pour le Canada de permettre la vente de viande chevaline en tant que nourriture lorsque ces animaux n’ont jamais été dressés conformément aux pratiques de sécurité alimentaire nécessaires pour tous les autres animaux. »

M. Atamanenko précise que la phénylbutazone (bute), une drogue peu chère, facilement accessible et utilisée par plusieurs agriculteurs comme médicament anti-inflammatoire, n’est qu’un exemple de ce qui se trouve probablement en grande partie dans la viande chevaline. La bute est une substance carcinogène connue est son utilisation est illégale pour tout animal entrant dans la chaîne alimentaire.

« Les chances sont fortes que la plupart des chevaux aient reçu des doses de bute, connue sous le nom d’aspirine pour chevaux », a affirmé M. Atamanenko.

Selon Alex Atamanenko, au moins 50 % des chevaux abattus au Canada sont importés des États-Unis, où cette pratique est interdite. La viande est ensuite vendue sur le marché européen. Aucune loi n’existe aux États-Unis pour empêcher les propriétaires de chevaux d’administrer des substances interdites aux chevaux puisque ceux-ci ne sont pas perçus ou traités comme des animaux destinés à l’alimentation.

Ressentant la pression de la part de l’Union européenne (UE), le Canada présentera sous peu un nouveau système de passeport équin pour suivre l’historique de santé et les traitements médicaux des chevaux arrivant à l’abattoir, incluant les chevaux provenant des États-Unis.

M. Atamanenko croit qu’il sera impossible pour l’ACIA de vérifier les données dans ces passeports et il s’attend à voir une incidence élevée de dossiers erronés.

« Plusieurs Américains croient que c’est notre travail de vérifier les informations sur leurs chevaux, puisque le Canada est le seul pays qui les abat à des fins de consommation humaine », a conclu Alex Atamanenko. « C’est un peu fort de croire que l’information sur des centaines de milliers de chevaux non voulus, qui n’ont jamais été dressés comme des animaux destinés à l’alimentation, sera complète et exacte. »

- 30
-

Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec :
Le bureau d’Alex Atamanenko, 613-996-8036

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Citation :
« Le fait est que l’on administre couramment aux chevaux des drogues dont l’utilisation est interdite pendant la vie d’un animal destiné à l’approvisionnement alimentaire », a expliqué M. Atamanenko. »


J'espère que ça n'est pas l'unique raison, car si oui, ils pourraient continuer d'être tués pour nourrir d'autres animaux: animaux élevés pour leur fourrure, ou dans les zoos par exemple!!!!!!

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le projet de loi semble bien ne s'appliquer qu'à la consommation par les humains et tout semble tourner autour des drogues administrés aux chevaux versus la consommation par les humains.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Rancher disputes CFIA fine over cattle ear tag violation


Robert Arnason, Brandon bureau
June 24, 2010

The Canadian Food Inspection Agency has verified that videotapes showing improper and inhumane methods of killing horses were taken at horse slaughter plants in Quebec and Alberta.

It has not fined or penalized Bouvry Exports in Fort Macleod or Vandes Richelieu near Montreal, because the agency doesn’t issue fines for improper slaughter practices.


“The enforcement tools available to the CFIA in federal slaughter establishments … include corrective action requests, education, prosecution, as well as the ability to halt plant operations,” CFIA spokesperson Lisa Gauthier wrote in an e-mail.

Earlier this year, the Canadian Horse Defence Coalition released a hidden camera video that depicted animals struggling and thrashing after slaughter plant employees failed to kill horses with the first shot.

When it made the tapes public in March, the Horse Welfare Alliance of Canada and other horse organizations questioned the validity of the images.

“The CFIA has verified that the location of where the footage was taken is correct,” Gauthier said.

The CFIA initiated an investigation into the allegations of abuse and the agency worked with the plants to shore up animal welfare, Gauthier added.

The slaughter plants have since adopted humane handling measures and agency inspectors continue to monitor the facilities to ensure that animal welfare regulations are satisfied, Gauthier said.

In May, the RCMP, which was also investigating the Bouvry plant, dropped the case because there wasn’t evidence of intentional cruelty to animals.

Alex Atamanenko, an NDP MP from British Columbia, is not convinced the CFIA is doing everything necessary to prevent mistreatment of horses at slaughter plants in Canada.

He remains skeptical because the CFIA pledged to improve horse slaughter practices following a Horse Defence Coalition video that showed animal welfare abuses at the Natural Valley Farms plant in Neudorf, Sask.

“This issue was flagged a couple of years ago and all of a sudden we have footage of this happening again. That’s not right,” said Atamanenko.

In addition, Atamanenko is worried about drugs like phenylbutazone that are administered to horses that end up at Canadian slaughter plants.

He tabled a private member’s bill last week in Ottawa to ban horse meat for human consumption in Canada.

“The fact is that drugs, which are prohibited for use during the life of any animals destined for the human food supply, are routinely being administered to horses,” said Atamanenko.

“It is irresponsible for Canada to allow the sale of meat from horses as a food item when they have never been raised in accordance with the food safety practices required for all other animals.”

http://www.producer.com/Livestock/Article.aspx?aid=23955

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...