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Ranëwen

Marche à la mémoire de Jim le cheval, Québec le 4 septembre

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http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-divers/201008/29/01-4310832-marche-a-la-memoire-du-cheval-mort-a-quebec.php

Ian Bussières
Le Soleil

(Québec) Une marche aura lieu samedi le 4 septembre à la mémoire du cheval de calèche Jim, mort en pleine rue le 28 juillet, à l'initiative de citoyens qui souhaitent adoucir les conditions de travail de ces animaux durant les périodes de canicule.

L'une des organisatrices de la marche, la Sherbrookoise Julie Phaneuf, a expliqué que les marcheurs partiraient à 12h30 du parc de l'Esplanade pour se rendre à l'écurie des calèches. «Les gens sont invités à apporter une fleur qu'ils déposeront à l'écurie à la mémoire de Jim», explique Mme Phaneuf.

Celle-ci s'est également adressée à la Ville de Québec afin d'obtenir le rapport d'autopsie du cheval. «On m'a dit que j'aurais une réponse le 7 septembre. Cependant, je crains que si on publie le rapport, c'est qu'il conclut à un décès de cause naturelle et qu'il n'y aura pas de plainte contre le cocher pour maltraitance», déplore-t-elle.

Même si elle rêve de voir les calèches disparaître du paysage de Québec, Mme Phaneuf demeure réaliste quant à ses objectifs et souhaite que l'action citoyenne amène au moins une bonification des règles actuelles.

30 degrés Celsius maximum

«Nous savons que les règlements à Québec sont parmi les plus sévères, mais on voudrait que la température maximale à laquelle peuvent circuler les calèches soit abaissée de 32 à 30 degrés Celsius et qu'on tienne aussi compte de l'humidité dans l'air.»

La comédienne Patricia Tulasne, qui avait écrit au maire Régis Labeaume avec le comédien Gilles Latulippe à la suite de la mort du cheval, a été invitée à prendre part à la marche, mais elle a dû décliner l'invitation en raison d'obligations professionnelles.

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Merci Ranëwen, comme j'étais libre cet après-midi, j'y suis allée en renfort. Il y avait environ une cinquantaine de manifestants. Beaucoup de calèches remplies de touristes- beaucoup de calèchiers, qui visiblement n'étaient pas heureux de nous voir là !

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Publié le 04 septembre 2010 à 17h08 | Mis à jour le 04 septembre 2010 à 22h55


Cochers hués dans une manif à la mémoire de Jim le cheval

Des manifestants ont dénoncé ce qu'ils considèrent comme de l'exploitation de chevaux, samedi, à Québec, en rappelant qu'un cheval est mort en pleine rue, plus tôt cet été.

Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve
Ian Bussières
Le Soleil


(Québec) Gerbes de fleurs à la main, une quarantaine de militants pour les droits des animaux se sont rassemblés samedi midi au parc de l'Esplanade à la mémoire du cheval Jim, mort en pleine rue le 28 juillet, et pour protester contre l'industrie des calèches qu'ils considèrent comme de l'exploitation des chevaux.


Chaque cocher qui rentrait au bercail ou passait devant le rassemblement avec son cheval et sa calèche avait donc droit aux huées et aux «non aux calèches!» lancés par les manifestants, qui s'étaient réunis à l'initiative de l'organisme Québec Animaux. Les passagers des calèches, eux, montraient parfois une expression amusée ou intriguée face à la situation.
...

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-divers/201009/04/01-4312757-cochers-hues-dans-une-manif-a-la-memoire-de-jim-le-cheval.php

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Manifestation contre les calèches
«Nous pensons que les calèches en ville, c’est arriéré». Marc-André Gagnon


Août 2010 QUÉBEC - Une quarantaine de personnes ont manifesté devant le parc de l’Esplanade, samedi après-midi, afin de décrier le traitement offert aux chevaux de calèches.


«Nous pensons que les calèches en ville, c’est arriéré», a répété au porte-voix l’organisatrice de la manifestation, Chantale Rondeau. Parmi les manifestants qui l’entouraient, plusieurs provenaient de l’extérieur de la région, et certains arboraient des images de Jim, ce cheval mort d’un probable coup de chaleur, le 27 juillet dernier.
Chantale Rondeau milite pour l’abolition pure et simple des calèches en ville et se dit convaincue que des chevaux de calèche de Québec et de Montréal terminent leurs vies dans des abattoirs, où ils sont traités de façon atroce. Mme Rondeau s’indigne également des propos de François Picard, vice-président du comité exécutif de la Ville, rapportés récemment par Le Journal de Québec, où il a comparé le travail de chevaux en ville à ceux des paysagistes.
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http://www.canoe.com/artdevivre/animal/article1/2010/09/04/15250441-qmi.html

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