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Animaux de labo - articles pour bulletin

Messages recommandés

art. 1



VISAGES DE LA SOUFFRANCE




Jeffrey Mogil, professeur de psychologie à l’Université McGill de Montréal, a mené, durant de nombreuses années, une étude consistant à soumettre des souris à divers stimuli douloureux et à photographier leurs visages afin d’établir une échelle d’expression de la douleur chez ces animaux.

Durant ces expériences, on a injecté diverses substances inflammatoires dans l’estomac des souris et trempé leurs queues dans de l’eau bouillante, on leur a induit des cystites et des lésions nerveuses. On a même, selon le Dr Buyukmihci, vétérinaire conseil à la BUAV *, infligé des mutilations à des souris que l’on a laissé récupérer sans leur administrer le moindre analgésique.

L‘étude a été jugée conforme aux réglementations sur l’utilisation des animaux de laboratoire par le Conseil Canadien de protection des animaux.

Ces recherches avaient pour but d’accélérer la mise au point de traitements de la douleur chez les humains mais Mogil a mis en avant l’intérêt supposé de cette étude pour le bien-être des souris de laboratoire en ce qu’elle permettrait de prévenir des souffrances "inutiles" durant les expériences sur ces animaux. Le scientifique suppose probablement qu'ainsi présentées, ces expériences paraitront moins injustes bien que sacrifier des animaux au nom d'autres animaux ne soit pas justifiable non plus. Quoi qu'il en soit, selon le Dr Buyukmihci, il est clair que les résultats de cette étude ne serviront pas à épargner des souffrances aux souris. L’échelle d’expressions faciales sera un outil supplémentaire pour les expériences qui consistent à infliger intentionnellement des douleurs et elle ne fera qu’institutionnaliser ce type d’expérimentations.

L‘étude a été jugé conforme aux réglementations sur l’utilisation des animaux de laboratoire par le Conseil Canadien de protection des animaux.

Il est prévu de mener d’autres expériences pour établir si cette échelle d’expressions faciales peut être utilisée pour mesurer la douleur chez d’autres espèces, et évaluer la capacité des souris à reconnaître ces expressions chez leur semblables.


* British Union for the Abolition of Vivisection.

Sce : Lab mice hurt to assess face expressions - mai 2010 - The Sidney Morning Herald
L’échelle d’expressivité du rongeur: un outil de gestion de la douleur chez l’humain - mai 2010 - Techno-science.net

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art. 2


TRANSPORT POUR LA VIVISECTION
Une victoire



La compagnie aérienne EL AL a annoncé qu’elle cessait de transporter des primates pour l’industrie de la vivisection. Cette compagnie avait été l’objet d’une campagne de protestation tant en Israël qu’à l’étranger.


Sce : Free the Mazor Monkeys : http://www.mazor-cruelty.org.il/

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art. 3



I-CARE




Dans plusieurs pays d’Asie, où il n’y a pas de lois de protection animale, ni de groupes animalistes organisés et où la recherche d’alternatives est inexistante, d’immenses laboratoires pour l’expérimentation animale se construisent. Ces installations sont essentiellement destinées à l’industrie de la vivisection européenne et nord-américaine qui peut aller y expérimenter sur les animaux en toute tranquillité et à moindre coût.

C’est, entre autres, dans ces pays qu’intervient I-Care, une organisation internationale qui œuvre à la diffusion des méthodes alternatives. Elle a récemment créé à cet effet, au sein du gouvernement et en collaboration avec l’université Bharathidasan et la fondation suisse Doerenkamp-Zbinden, le Mahatma Gandhi Center for Alternatives to Use Animals.

Mais les actions d’I-Care ne concernent pas que l’Asie, le centre visite aussi des laboratoires d’Afrique et d’Europe de l’Est et souhaite initier une culture antivivisectionniste dans ces pays.

Pour plus d‘information sur I-Care, vous pouvez visiter son site internet : http://www.icare-worldwide.org/

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art. 4



LA LEGISLATION EUROPEENNE SUR LES COSMETIQUES PROGRESSE
A RECULONS




En mars 2009, l’Union Européenne interdit, conformément à la directive 76/768/EEC, l’expérimentation sur les animaux pour les produits cosmétiques - exception faite des trois tests suivants :

- toxicité à doses répétées : ces tests durent de 1 à 3 mois, pendant lesquels on administre par voie orale, dermique ou respiratoire une substance chimique à des rats, ou parfois à des chiens, dans le but de mesurer les effets toxiques de celle-ci sur tout l’organisme.
- toxicité pour la reproduction : la substance chimique est administrée au moyen d’une sonde stomacale à des rats, mâles et femelles, à des doses progressives. Les effets sur la fertilité, la grossesse et le comportement sont évalués, ainsi que sur les tissus du système reproducteur et du cerveau.
- toxicocinétique : pratiqués le plus souvent sur les rongeurs, ces tests ont pour but d’étudier le devenir des toxiques dans l’organisme. Les substances sont administrés par voie orale, dermique ou respiratoire et les animaux sont tués à différents stades de l’étude.

Dans le cas des tests de toxicité à doses répétées et de toxicité pour la reproduction, les animaux sont tués à la fin de l’expérimentation, s’ils ne sont pas morts du faits des tests eux-mêmes.

L’échéance de ces tests était fixée au 11 mars 2013, avec possibilité de report si aucune alternative n’était validée à cette date.

La commission européenne a mis en place ces derniers mois des groupes de travail pour préparer un rapport sur les disponibilité des méthodes alternatives. Mais l’ECEAE * s’inquiète du conservatisme scientifique de ces groupes de travail et craint qu’ils ne prennent pas la mesure du potentiel des méthodes substitutives, auquel cas l’échéance pour ces trois tests pourrait se voir reportée.

Ce report éventuel ne serait pas vraiment une surprise. Ce qui a de quoi surprendre, par contre, c’est que la Commission envisage de réautoriser deux tests, l’un sur la sensibilisation de la peau et l’autre sur la cancérogénicité, interdits depuis 2009 ! Alors même que leur interdiction n’était pas subordonnée à la disponibilité d’alternatives, ces tests cruels pourraient être utilisées à nouveau jusqu’à ce que des méthodes de substitutions soient validées.


* Coalition Européenne pour mettre fin à l’expérimentation animale


Sce : ECEAE, septembre 2010 http://www.fr.eceae.org/

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art. 5


CHATS



En Italie, les chats ne seront plus utilisés en expérimentation animale.
70 chattes qui avaient survécues aux dernières expériences ont été recueillies par l’ATRA, association suisse pour l’abolition de la vivisection et sont en phase de réhabilitation.
Le moment venu, l’ATRA cherchera des familles d’accueil pour ces 70 rescapées.



Sce : bulletin de l’ATRA « Orizonti », printemps 2010

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Bonjour les filles,

Tendres bisous à vous deux et vos petits flowersheartcatchiot


p.s.: Mes nouvelles devraient être prêtes au plus tard en début de semaine...

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art. 6




PLRS * : UN ENFER POUR LES ANIMAUX




L’organisation PETA a infiltré durant neuf mois le laboratoire PLRS, en Caroline du Nord, qui teste sur des chats, des lapins et des chiens, diverses substances pour la mise au point d’insecticides, de vermifuges et autres produits destinés aux animaux.

Dans ce laboratoire, on applique des substances chimiques sur les animaux et ce, à plusieurs reprises, même lorsqu’ils y ont excessivement mal réagi, au point de ne plus pouvoir ouvrir les yeux, de saigner du nez et de la bouche, de convulser et même lorsqu’ils hurlent de douleur. Des substances chimiques leur sont aussi administrées de force, par gavage. Des lapins se voient plaquer sur le corps des capsules remplies de milliers de tiques, avant d’être tués.

De nombreux animaux portent des plaies suintantes, car ils vivent en permanence sur du béton humide et, souvent, dans leurs excréments. Les cages sont nettoyées au jet alors que les animaux sont à l’intérieur, et ils sont alors aspergés de détergents.

Les animaux sont infestés de vers, ont des abcès, des hématomes et toutes sortes d’infections sans recevoir de soins adéquats car le vétérinaire n’effectue qu’une seule visite d’une heure par semaine.

Non seulement ces animaux endurent des tests cruels, mais ils doivent aussi subir les mauvais traitements du personnel de laboratoire qui les manipulent violemment, les jettent, les frappent, leur hurlent des insultes. Les animaux vivent un cauchemar permanent derrière les murs du laboratoire PLRS.

* Professional Laboratory and Research Services


Sce : North Carolina productif testing lab exposed - septembre 2010, Peta.org

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art. 7


NOUVELLE LEGISLATION EUROPEENNE
EN FAVEUR DU BIEN-ÊTRE
DE l’INDUSTRIE DE LA VIVISECTION



Après 18 mois de négociations, une révision de la directive européenne 86/609/CEE sur l’expérimentation animale a été adoptée par une grande majorité de députés. Il s’agit d’une version très affaiblie de la révision initialement proposée. Des propositions significatives ont été abandonnées ou sensiblement amendées. Il semblerait que les parlementaires aient été visiblement plus réceptifs aux pressions du lobby de l’industrie de la vivisection qu’aux demandes des citoyens européens qui s’étaient exprimés clairement sur le sujet via une consultation publique.

La nouvelle directive est supposée faire en sorte que les animaux ne soient utilisés qu’en l’absence d’autres moyens. Mais quels autres moyens ? Les questions relatives aux alternatives, telles que la mise en place d’une stratégie à long terme pour l'abandon de l'utilisation des animaux, de financements obligatoires destinées aux recherches d’alternatives et d’un système de partages des données pour éviter la duplication des expériences, ont été ignorées durant le processus de révision.

Avec cette directive, il sera encore possible de faire souffrir les animaux de façon sévère et prolongée, de s’approvisionner en primates capturés dans la nature, de réutiliser des animaux, d’expérimenter sur des animaux sauvages ou des animaux domestiques errants.

Claude Turmes, député Verts du Luxembourg estime que, dans le cadre de cette nouvelle législation, "les expérimentations animales pourront continuer quasiment sans restriction". Il a également déclaré qu’il regrettait que les députés aient voté contre les méthodes alternatives proposées et contre la possibilité, pour les Etats membres, d’introduire des règles plus strictes que la législation européenne.




Sce : Europaforum.public.lu 08/09/10
EU adopts new legislation on animal experimentation 08/09/10 - ECEAE

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art. 8



LES CHIMPANZES D’ALAMOGORDO



Depuis 2001, plus de 200 chimpanzés ayant subi durant de nombreuses années - jusqu’à plus d’un quart de siècle pour certains d’entre eux - des expériences dans les laboratoires de recherche de l‘Air Force, sont gardés dans des cages, au centre de primatologie Alamogordo (Nouveau-Mexique). Ces animaux ne devaient plus servir de cobayes.

Mais le NIH ( ministère de la santé), propriétaire du centre, a décidé d’envoyer les primates dans un centre de recherche du Texas où ils seront vraisemblablement utilisés dans des expériences invasives et peut-être mortelles. Quinze chimpanzés ont déjà été transférés et les 2002 autres y seront envoyés au début de l’année prochaine.

Des organisations parmi lesquelles Peta et le Physician Committee for a Responsible Medecine, ainsi que gouverneur du Nouveau-Mexique, ou encore l’acteur Gene Hackman ont exhorté le NIH d’abandonner ce projet et d’envoyer les chimpanzés dans un sanctuaire. Le NIH a jusque là ignoré leur requête.

Vous pouvez signer la lettre que propose Peta sur Internet, en recopiant le lien suivant tinyurl.com/3xcc3tj ou envoyer le courrier reproduit ci-dessous à : The Honorable Kathleen Sebelius, The U.S. Department of Health and Human Services, 200 Independence Avenue, S.W. , Washington, D.C. 20201

I was dismayed to learn that the Alamogordo Primate Facility is planning to send the more than 200 chimpanzees in its care to the Southwest National Primate Research Center, where they will be imprisoned and likely be used in invasive experiments.

These animals involuntarily gave their lives to experimentation. They deserve to be retired to a sanctuary where they can live in peace.


Sincerely,



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Je viens de corriger 2 erreurs dans les textes mais je pense que tu ne les avais pas encore copiés. Ou si ?

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Allo ma belle hop,
Au cas où ça t'intéresserait

jeudi, 23 décembre 2010
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Un beau petit bijou de 12 M$

« C’est un beau petit bijou! » Alain Giguère n’en croit pas encore ses yeux.
par Pierre-Yvon Bégin - Élevage

Directeur de recherche, il s’émerveille devant le nouveau complexe laitier construit à Sherbrooke au coût de 12 M$. À la fine pointe de la technologie, le centre pourra repousser les limites de la connaissance sur la production laitière, y compris l’émission des gaz à effet de serre par les bovins laitiers. Le moindre détail a été analysé pour assurer le confort du troupeau de 140 vaches, y compris l’aménagement d’un gymnase où les bêtes pourront se délier les pattes.

« Ce nouveau complexe laitier établit notre statut comme centre de recherche », estime Alain Giguère. Les anciennes installations du Centre de recherche et de développement sur le bovin laitier et le porc dataient de 1964 et ne répondaient plus aux normes, notamment du Conseil canadien de protection des animaux. La sécurité des 140 employés était aussi en jeu puisqu’ils devaient, entre autres, traverser une route très achalandée pour avoir accès aux réserves alimentaires.

Entrée danoise

Pour atteindre le nouveau complexe, les employés et visiteurs doivent montrer patte blanche. À l’entrée, les employés laissent leurs vêtements civils dans un vestiaire. Par la suite et tout dépendant du niveau de sécurité selon les recherches en cours, ils doivent emprunter une entrée danoise, les douches! Revêtus de vêtements de travail, ils enfilent des bottes qu’ils laisseront aussi à l’étable en sortant, après les avoir lavées bien sûr.

« C’est une façon de protéger les investissements », explique Alain Giguère.
Détail inusité, les poignées de porte sont situées à hauteur d’épaule! Fantaisie? Non, les vaches ne risquent pas de se blesser en les heurtant!

Deux étables
Le nouveau complexe compte deux étables, dont l’une à température contrôlée. Cette salle dite métabolique est vraiment particulière. Les 32 stalles bénéficient d’une connexion Internet et sont séparées par un espace libre. Les chercheurs peuvent ainsi circuler librement et avoir un accès facile aux fistules ruminales, ces petites fenêtres permettant de voir à l’intérieur du système digestif. Ingénieux mais simples, des systèmes séparent le fumier et l’urine de chaque vache pour analyse. La climatisation des lieux avec contrôle de l’humidité et de la température devrait aussi augmenter la précision des travaux de recherche en nutrition.
« La température, explique Alain Giguère, a une grande influence sur la production laitière. En période de canicule, par exemple, les vaches donnent moins de lait, ce qui est peu propice pour la recherche. »

Cette salle métabolique comprend aussi deux chambres respiratoires. Conçues par des ingénieurs du centre, ces chambres permettront de mesurer la quantité de gaz produite par les ruminants. Dans une optique de réduction des émissions des gaz à effet de serre (GES), l’air sera analysé à l’entrée et à la sortie. Les premiers sujets seront étudiés en janvier.

« C’est un beau défi », commente Alain Giguère.

Salle d’opération

Le complexe comprend aussi une salle de chirurgie. Dotée d’un système de ventilation indépendant, celle-ci affiche une pression positive, c’est-à-dire plus élevée que l’étable métabolique. Cette différence de pression, indique Alain Giguère, permet de constituer une autre barrière de protection. L’air extérieur est également filtré soigneusement avant d’être introduit dans le système.

La pression est également plus élevée dans l’étable métabolique qu’à l’étable conventionnelle. À stabulation contrôlée avec ventilation de chaque côté plutôt qu’en tunnel, cette étable pourra accueillir 140 vaches. On a eu recours à d’immenses ventilateurs de manière à réduire le bruit au minimum, un secteur résidentiel se trouvant à proximité.

Un gymnase

Alain Giguère n’a rien ménagé pour assurer le confort et le bien-être des animaux. Le Conseil canadien de protection des animaux recommandait ainsi de doter les nouvelles installations d’une salle d’exercice. Après la traite, les vaches pourront ainsi se dégourdir les pattes durant une bonne heure et respirer l’air frais. Le gymnase devait être fonctionnel d’ici peu, si ce n’est déjà fait.

La recherche sur la production laitière s’intéresse de près à l’alimentation d’un troupeau. Le nouveau complexe laitier fait donc place à un imposant dispositif de distribution alimentaire. On y retrouve deux mélangeurs d’une capacité variant de 25 kg à 2,5 tonnes, ainsi que trois points de contrôle pour la pesée des différentes rations. Un convoyeur achemine les aliments à partir de 4 réservoirs d’ensilage et de 12 silos extérieurs. Le système, qui permet d’ajouter jusqu’à six mélanges de minéraux ou de suppléments vitaminés, fonctionne de manière automatique ou manuelle.

« C’était un grand stress pour nous, admet Alain Giguère. Je voulais m’assurer que le système d’alimentation fonctionnait parfaitement avant le déménagement des animaux. J’ai donné le OK final à 17 h le soir pour le déménagement le lendemain matin. »

Salle de traite
La salle de traite est dotée d’un équipement perfectionné et peu usuel. Chaque station est équipée d’un échantillonneur et d’un tableau de contrôle qui transmet les données par antenne avec une précision de plus ou moins 2 %. À la sortie de la salle, les vaches ont droit à un bain de pieds. Le lait est refroidi par un système à plaques où l’eau récupère la chaleur. Cette eau est par la suite entreposée et distribuée dans les abreuvoirs.

« Les vaches préfèrent boire de l’eau tempérée », révèle Alain Giguère. Celui-ci ajoute que l’eau de lavage de la traite est également récupérée pour laver les planchers, ce qui permet de réduire la quantité d’eau utilisée.

Mise en marche
Le directeur du centre se dit satisfait de la qualité des installations et de la mise en marche. Un mois après le début des activités, rapporte-t-il, tous les systèmes de base sont stables et fonctionnent selon les prévisions. Il s’agit d’un excellent résultat étant donné qu’il a fallu plus d’un an pour utiliser convenablement le nouveau complexe porcin du centre. Les travaux ont été réalisés par la firme Construction Longer de Sherbrooke, qui n’avait pas une grande expérience des bâtiments agricoles. Le chantier a été réalisé en un an, « sans dépassement de coûts », notait fièrement le secrétaire d’État à l’Agriculture, Jean-Pierre Blackburn.

« Les travaux ont débuté le 2 septembre 2009 et toute la coquille du bâtiment était montée avant les grands froids », note Alain Giguère.

Le directeur du centre estime que le nouveau complexe est « bon » pour plusieurs années à venir. Il pense qu’il contribuera à maintenir la renommée internationale du centre de recherche, disant recevoir cinq ou six demandes de stage provenant de chercheurs de partout dans le monde. Déjà, l’endroit accueille dix chercheurs attitrés et plus de 80 étudiants par année. Plus de 200 publications scientifiques par an proviennent aussi des recherches réalisées à Sherbrooke. Le Centre célébrera d’ailleurs son centenaire en 2014.

« C’est à nous d’entretenir cette bonne réputation, reconnaît Alain Giguère. Nous sommes vraiment chanceux d’avoir ce centre ici en région avec des emplois de haut niveau. »
D’ici mars prochain, notons que les anciennes installations seront démolies en tentant de récupérer le maximum de matériaux.


http://www.laterre.ca/elevage/un-beau-petit-bijou-de-12-m/

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Publié le 21 octobre 2010 à 12h11 | Mis à jour le 21 octobre 2010 à 12h11


Déjà des exploits au centre de recherche de la ferme expérimentale
(Sherbrooke) Le nouveau centre de recherche en production laitière compte déjà deux exploits à son compte. Il a été construit sans dépassement de coût et son ouverture se fait avant l'échéancier prévu.

Agrandir

Jean-Pierre Blackburn

Archives La Tribune

Voilà ce qu'a souligné, jeudi matin, le ministre d'État à l'agriculture, Jean-Pierre Blackburn, en participant à l'inauguration officielle de ce nouveau complexe du Centre de recherche et de développement sur le bovin et le porc, à la ferme expérimentale de Lennoxville, à Sherbrooke, en présence de nombreux invités.

Le ministre mettait ainsi un point final à un projet qui avait été annoncé il y a un peu plus d'une année. Le gouvernement fédéral y a consacré 12 millions $ qui ont été octroyés par l'entremise du programme Initiative de modernisation des laboratoires fédéraux dans le cadre du Plan d'action économique.

Une cinquantaine d'emplois, surtout de chercheurs, en découlent

http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201010/21/01-4334752-deja-des-exploits-au-centre-de-recherche-de-la-ferme-experimentale.php


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Publié le 21 octobre 2010 à 09h55 | Mis à jour le 21 octobre 2010 à 09h55


Portes ouvertes au Centre de recherche de Lennox

La Tribune


(Sherbrooke) Le Centre de recherche et de développement sur le bovin laitier et le porc de Lennoxville ouvrira ses portes au public dans le cadre de la Semaine nationale des sciences et de la technologie.
Il s'agit d'une occasion d'en savoir plus sur le travail des scientifiques du centre par qui l'agriculture évolue et gagne en titres de noblesse à l'échelle internationale.

En primeur, il sera possible de visiter le nouveau complexe de recherche scientifique en production laitière.

De plus, les visiteurs pourront prendre part à un «GéoRallye» des ressources naturelles. À l'aide d'un appareil GPS, les participants pourront découvrir les caches sur les terres du centre de recherche à la manière d'une chasse aux trésors des temps modernes.


L'événement se déroulera sur deux jours, soit vendredi et samedi, de 10 h à 17 h.

La journée de vendredi est réservée aux écoles sur réservation. Le lendemain, le grand public est attendu.

http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201010/21/01-4334699-portes-ouvertes-au-centre-de-recherche-de-lennox.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_vous_suggere_4334752_article_POS1

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