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Cahiers antispécistes n°33

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Le n° 33 cahiers antispécistes (papier) est paru.
On peut se le procurer - pour 5,5 € - auprès des Cahiers , et d'ici peu via la boutique de L214

Les articles sont également accessibles en ligne ici

Au sommaire de ce numéro, trois thèmes principaux : le carnisme, une page d’histoire, et MargueriteYourcenar. S’y ajoutent des écrits plus courts : un récit d’Ajahn Brahm et deux recensions de livres («Philosophie animale» - un recueil de textes rassemblés par J-.B. Jeangène Vilmer et H-.S. Afeissa, et « Théologie animale » d’Andrew Linzey).

«Carnisme » est le nom donné par Melanie Joy au système dans lequel nous baignons et qu’elle décrit ainsi dans un article publié en 2009 :

«Le carnisme a l’immense pouvoir de façonner les perceptions que les gens ont des animaux et de la viande qu’ils mangent, en guidant leur choix comme une main invisible. A l’instar d’autres systèmes dominants, le carnisme est bien établi - il est soutenu par toutes les principales institutions, de la famille au gouvernement, et il est aussi intériorisé, construisant notre perception des animaux que nous avons appris à manger avant d’avoir l’âge de dire nos propres noms. Les mythes selon lesquels manger de la viande est normal, naturel et nécessaire sont tellement enracinés dans notre inconscient que la consommation de viande est considérée plus comme un fait acquis que comme un choix.»

Les deux premiers textes du n°33 des C.A., consacrés au livre de Melanie Joy «Why We Love Dogs, Eat Pigs, and Wear Cows», permettent de découvrir plus amplement son analyse.

On trouvera par ailleurs dans ce Cahier un texte de Marie Huot intitulé «Le droit des animaux», daté de 1887. Il est précédé d’un article solidement documenté de Denis Andro, qui le situe dans le contexte d’une époque où la sensibilité à la cause animale se développait dans les milieux socialistes et anarchistes. L’auteur décrit également comment cette sensibilité perdit de son influence à la fin du XIXe siècle.

Jean Nakos pour sa part s’intéresse à une écrivaine du XXe siècle : il nous fait découvrir le regard lucide et compatissant que Marguerite Yourcenar portait sur la condition animale.



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