hop 0 Posté(e) le 9 décembre 2010 Loin des lumières étincelantes et des grands circuits touristiques qu’évoque généralement la Californie, les colossales mamelles de l’industrie laitière américaine se concentrent dans la Central Valley, vaste plaine aride et peu fréquentée s’étendant de la Sierra Nevada jusqu’à la côte californienne. ... On y voit des rangées de vaches titubant sous le poids de leurs mamelles enflées avant d’entrer dans des salles de traite automatisées. C’est un cycle ininterrompu et quotidien qui ne s’arrête que lorsque les vaches commencent à produire moins. Elles sont alors à nouveau inséminées ou envoyées à l’abattoir ; épuisées et éliminées après seulement quelques années de vie à l’usine. Les vaches des mégafermes laitières américaines ne verront jamais un coin d’herbe de leur existence. Leur seul moment de répit, elles le trouvent sous les abris poussiéreux où elles patientent entre deux traites. Et même là, les vaches ne peuvent pas réellement se reposer. Ces vaches grandes productrices souffrent d’un “bilan énergétique négatif” chronique, c’est-à-dire qu’elles fournissent sous forme de lait plus d’énergie qu’elles n’en reçoivent par leur alimentation, ce qui se traduit par un épuisement de leur état physique. (...)Triste comme une vache dans une usine laitière - 02/12/10http://www.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.courrierinternational.com%2Farticle%2F2010%2F12%2F02%2Ftriste-comme-une-vache-dans-une-usine-laitiere&h=b3498 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
loulou19 0 Posté(e) le 9 décembre 2010 PAUVRES VACHES C'EST VRAIMENT UNE VIE D'ENFER. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites