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Bull automne - textes animaux de labo

Messages recommandés

art 1.


Hausse des expérimentations /
baisse des normes de "protection"des animaux




Plus de 3 700 000 procédures scientifiques utilisant des animaux ont été effectuées en 2010 au Royaume-Uni, soit 100 000 de plus que l’année précédente. Cette hausse correspond en grande partie à une augmentation de la production d’animaux génétiquement modifiés et de l’utilisation des poissons (+ 23%).

Le Pr Barney Reed, de la RSPCA, s’étonne de cette hausse et précise qu’au total, sur ces dix dernières années, celle-ci atteint 37%.

Le scientifique s’inquiète aussi de l’application d’une nouvelle directive européenne qui permettrait d’abandonner les normes régissant d’une part, les inspections, qui pourraient être espacées de plusieurs années et, d’autre part, les pratiques d’utilisation des animaux lesquels pourraient se voir exposer à des souffrances physiques ou psychiques plus grandes sur des durées plus longues et sans administration d’analgésique. Certains animaux, comme les chiens par exemple, pourraient être enfermés dans des espaces encore plus petits qu’à l’heure actuelle.



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art 2.


REACH



Le programme européen d’évaluation des substances chimiques REACH a tué à ce jour environ 200 000 animaux. C’est ce que révèle un rapport publié par l’European Chemicals Agency (ECHA), chargée d’administrer ce programme.

A la lecture de ce rapport, il apparaît que REACH aurait utilisé et tué plusieurs dizaines de milliers d’animaux de plus que prévu, en passant outre certaines réglementations.

Ainsi, des animaux ont subi des tests d’irritation cutanés et oculaires, alors que des méthodes alternatives sont validées et reconnues par la législation européenne.

Le règlement de REACH prévoit que, pour certains produits chimiques, les entreprises doivent soumettre pour approbation leur projet de test, or des certains de ces produits ont été testés sans demande d’autorisation : on estime que 58 000 animaux sont morts dans le cadre de ces expériences conduites sans autorisation préalable.

PeTA, constatant que l’ECHA ne semblait aucunement s’attacher à ce que les entreprises respectent les règles de ce programme d’évaluation, demande à la Commission européenne de prendre les mesures nécessaires pour s’assurer que le règlement soit appliqué afin d’éviter qu’un nombre encore plus grand d’animaux soient torturés et mis à mort.

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art 3.


Projet de loi pour interdire les expériences
sur les grands singes



La sénatrice Maria Cantwell, démocrate et Susan Collins, républicaine, ont dépose ce printemps un projet de loi pour que soit mis un terme à l’utilisation des grands singes pour la recherche scientifique. Les Etats-Unis sont, à ce jour, les seuls à pratiquer des expériences sur les chimpanzés qui sont encore environ un millier à être détenus dans les laboratoires nationaux.

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art 4.



Furets intubés



La base aérienne de Lackland, au Texas, continue de dispenser une formation aux techniques d’intubation pédiatrique à des infirmiers et à des médecins en utilisant des furets alors qu’il existe de nos jours des mannequins sophistiqués simulant très bien l’anatomie et la physiologie des enfants, même nouveau-nés.

Des furets doivent subir à plusieurs reprises l’introduction d’un tube dans leur trachée artère, ce qui peut leur provoquer des saignements, des gonflements et bien sur souffrances et détresse.

Cette pratique cruelle, abandonnée par la grande majorité des établissements américains dispensant cette formation, contrevient par ailleurs à une réglementation militaire qui stipule que, dans la mesure elles sont disponibles, les méthodes alternatives doivent être employées. Par conséquent, PeTA et plusieurs experts médicaux ont déposé une plainte auprès du Service des Forces Armées américaines.

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art 5


Victoire en Grande-Bretagne : un élevage de chiens fermé



Les horribles conditions de détention d’un élevage de chiens destinés à la vivisection, appartenant à l’entreprise Harlan, avaient été exposées par la National Anti-Vivisection Alliance : des milliers de beagles y étaient enfermés dans des cages exiguës et malpropres dont ils ne sortaient que 20 minutes par semaine, et ils étaient régulièrement battus par les employés.

De nombreux journaux avaient publié des articles rendant compte de ces maltraitances, et régulièrement, des actions de protestations locales étaient organisées. Au printemps dernier, enfin, ce sinistre établissement fermait ses portes.

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Pas fastoche de trouver des moments de tranquillité en cette période ! Les autres articles arrivent incessamment sous peu !

Bisous à vous 2 flowersflowers

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Merci, ma belle toi. C'est parfait et, prends ton temps pour le reste, je crois que nous sommes toutes un peu sur le même pied en ce moment. Il y a tellement à faire de toutes parts, il me semble, et, personnellement, je me sens relativement à plat quand je regarde tout ce que j'ai à faire. Bon, petit à petit, on aboutit :-)

Bonne journée flower

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Coucou Cécil,

bon ben voilà les derniers articles. A scruter avec méfiance What the fuck ?!? ; j'ai le cerveau ratatiné par la chaleur, je suis complètement abrutie par tout ce vent. Aussi bien c'est bourré de fautes d'orthographes que je ne vois pas ou de mots oubliés.

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art 6.


Diminution du nombres d’animaux utilisés en Belgique



L’Association belge de défense des animaux GAIA s’est félicitée de la diminution de 5% du nombre d’animaux utilisés par les laboratoires du pays en 2010 ; 700 708 animaux au lieu de 741 989 en 2009.

Il n’est toutefois pas impossible que cette diminution soit due à « un coup de chance » remarque Michel Vanderbosh, président de GAIA - l’année précédente le nombre d’animaux avait, au contraire, augmenté. L’Association demande donc au prochain gouvernement de mettre en place un plan d’action visant à réduire systématiquement le recours à la vivisection, de soutenir activement le Centre des Méthodes Alternatives, et de faire preuve de transparence en rendant publiques les informations concernant la nature des expérimentations effectuées, et les souffrances qu’elles engendrent pour les animaux.

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art 7.



Botox


Depuis 10 ans, la société Allergan qui produit le botox cherche une méthode alternative pour tester son produit. Le botox est issue de la toxine botulique. En raison de la haute toxicité et du manque de stabilité de cette toxine, chaque lot est testé et, pour ce faire, le produit est injecté à 100 souris. Chaque année, environ 600 000 souris subissent le test LD50 et reçoivent une injection de botox ; elles sont d’abord atteintes de paralysie, et meurent de suffocation au bout de 3 à 4 jours !

La FDA, l’agence fédérale américaine des produits alimentaires et médicamenteux, vient enfin de valider une méthode de substitution élaborée à partir de cultures de cellules qui devrait permettre de diminuer les tests sur les souris de 95%. Pour que cette alternative soit aussi employée en Europe, elle devra être validée par l’Union européenne.

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art 8.



Île Maurice



En juin dernier, deux représentantes de la BUAV (British Union for the Abolition of Vivisection), Michelle Thew et Sarah Kite, se sont rendus à Maurice pour sensibiliser les habitants à l’exploitation des macaques que le pays, 2ème plus grand fournisseur de primates du monde, capture et élève pour l’industrie de la recherche. Une nouvelle enquête de BUAV expose la cruauté et les souffrances qu’impliquent les piégeages, les séparations des petits et de leurs mères, et les conditions terribles d‘emprisonnement.

La BUAV avait, à plusieurs reprises, adressé des lettres au gouvernement mauricien, pour parler avec lui de cette cruelle industrie, mais celui-ci les avait ignorées. Selon les deux représentantes, ce séjour a malgré tout été un succès, et leur a permis de constater, lors des meetings et conférences de presse organisés, que l’opposition à l’exploitation des primates allait grandissant.

D’un autre côté, il ressort d’un atelier de travail des associations d’éleveurs mauriciens de macaques, qui s’est tenu en juin également, que tout le secteur pharmaceutique attendrait impatiemment un projet de loi (le Pre-clinical Trials Bill) qui devrait booster le développement de ce secteur à Maurice en y facilitant la recherche sur les animaux et l’on peut s’attendre à ce que des laboratoires étrangers viennent s’installer sur l’île ; retombées financières, création d’emplois, on ne s’étonne pas que le gouvernement préfère ignorer la vérité sur cette sinistre - mais avantageuse - exploitation.



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art. 9


Expériences et opacité à l’Université de Colombie Britannique




L’université de Colombie Britannique mène des milliers de projets scientifiques impliquant l’utilisation d’animaux parmi lesquels des cochons, des souris, des lapins, des chats et des singes. Certaines de ces expériences sont extrêmement douloureuses, et mortelles. Il semblerait, par ailleurs, que peu d’entres-elles fassent l’objet de beaucoup de surveillance.

Jusqu’à présent l’Université a ignoré les demandes d’information présentées par l’association Stop UBC Animal Research, concernant les expérimentations conduites dans ses laboratoires. Stop UBC Animal Research encourage toutes les personnes concernées à écrire au Président Stephen J. Thorpe pour demander que l’université fasse preuve de transparence et se tourne vers les méthodes de recherche alternatives dans la perspective de cesser finalement toute expérience sur les animaux. Vous pouvez utiliser ou vous inspirer du modèle de courrier suivant *:

Dear UBC President and Vice-Chancellor Stephen J. Toope:

I understand UBC conducts extensive research on a variety of animals. Much of that research is funded by the public, through taxpayer dollars, student fees, alumni gifts, and private donations.

UBC – a public institution that promotes critical thinking, debate, transparency, and freedom of speech – has been less than forthcoming about its research on animals. The public has the right to know about such research. Many, like me, vigorously oppose vivisection because we find it ethically at odds with our values of compassion.

Information about UBC’s animal research and decisions by its Animal Care Committee should be made widely available so that prospective students, current and potential donors, and the public can make informed choices about whether to support UBC.

Finally, I urge UBC to pursue alternatives to research on animals as other universities have done and ultimately end all research on animals. I look forward to your response.

Sincerely,


* version abrégée du modèle fourni par http://stopubcanimalresearch.org/

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Voilà,

bisous à toutes deux heartheart

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hop a écrit:
Coucou Cécil,

bon ben voilà les derniers articles. A scruter avec méfiance What the fuck ?!? ; j'ai le cerveau ratatiné par la chaleur, je suis complètement abrutie par tout ce vent. Aussi bien c'est bourré de fautes d'orthographes que je ne vois pas ou de mots oubliés.


Bonjour Céline,

Un grand merci et ne t'en fais absolument pas pour les erreurs, -s'il y en a. Tout sera bien relu.

Bonne journée sans trop de vent flowerflowers

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Merci content

Ici il fait 37/39° à l'ombre... ohnon
J'espère que ce n'est pas le cas chez toi !

Bises et bonne journée


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Oh ! LA LA ! C'est pire qu'ici mais nous, ça a tout de même monté jusqu'à 34 C hier ! ☼
Mais, même si c'est un peu trop, quand je vois les jours qui commencent à raccourcir, ça commence à me déprimer de voir que la fin de l'été s'amorce. Je n'ai pas hâte du tout aux froids de l'hiver ! C'est tellement super de ne pas avoir besoin de mettre bottes, manteaux et chapeau pour sortir !!!

Bon dimanche flower

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Oui je comprends ça. C'est une rude saison hivernale que vous avez !

En tout cas, j'aimerais bien un bon orage, parce que l'eau manque sérieusement.

Bonne journée et à + flowers

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