hop 0 Posté(e) le 21 février 2013 Comme si tout allait bien avant le scandale… Comme si nos mœurs alimentaires, justifiées rationnellement, ne pouvaient être remises en cause que le jour où le mangeur de bœuf s’avérerait être, à son insu, un mangeur de cheval. Ne devrait-on pas voir dans le naufrage de nos croyances, de nos convictions et de nos habitudes, le signe de leur fragilité ? La solidité, la cohérence, le bien-fondé de nos principes ne s’éprouvent-ils pas en période de tempête ?(...)Cheval, boeuf et cochon - 16/02/13http://iphilo.fr/2013/02/16/cheval-boeuf-et-cochon/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites