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Invité

un vétérinaire en colère(articles intéressants)

Messages recommandés

Invité
http://www.angryvet.org/francais/

Suis tombée par hazard sur ce site.. les articles sont pas mal intéressants surtout en ce qui concerne les vaccins, les soins et les aliments. C'est un peu long à lire mais ça vaut quand même la peine.

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Merci pour le lien Cassandra.

J'ai mis ça dans mes signets. Ça me semble être une source de référence à ne pas négliger. Entre autre, le résumé de l'anxiété de séparation me semble très intéressant.

Yvon

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J'ai lu le livre et c'est assez chmaboulant merci! Mais on doit dosser son information un peu... il est très extrémiste. Comme il dit dans son livre, si on respectait vraiment la nature des animaux, on en aurait pas avec nous....

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Maude a écrit:
J'ai lu le livre et c'est assez chmaboulant merci! Mais on doit dosser son information un peu... il est très extrémiste. Comme il dit dans son livre, si on respectait vraiment la nature des animaux, on en aurait pas avec nous....


Je suis d,accord avec toi Maude.

Faut savoir faire la part des choses.

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Invité
C`est certain qu`il y a des choses pas mal poussées dans les articles mais, ça nous fait aussi réfléchir sur des points. C`est assez direct et attrayant :study:

Pour les personnes qui comprennent pas trop comment ça fonctionne le monde canin, ça peut leurs donner un coup de réalitée. (Faut juger les points pertinents.)
Comme par example, j`ai une amie qui adore son chien mais, elle pense que celui-ci pense exactement comme nous (sais pas si vous me suivez)!. Donc, à la fête du chien(1an), elle l`a embarqué dans l`auto et lui à offert un super cadeau; une journée de toilettage. Ben non.. c`est pas comme une journée au spa pour une fille qui y va pour la première fois pour ses 12 ans.

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Invité
Yvon a écrit:

Ça me semble être une source de référence à ne pas négliger. Entre autre, le résumé de l'anxiété de séparation me semble très intéressant.
Yvon


Ou ca Yvon ?!? scratch
je trouve pas le résumé sur l'anxiété....et c'est celui la qui m'interesse ÉNORMÉMENT !!

En passant, merci pour l'info Cassandra... l'histoire de Lucky le machanceux est vraiment touchante..... 😢

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nika911 a écrit:
Yvon a écrit:

Ça me semble être une source de référence à ne pas négliger. Entre autre, le résumé de l'anxiété de séparation me semble très intéressant.
Yvon


Ou ca Yvon ?!? scratch
je trouve pas le résumé sur l'anxiété....et c'est celui la qui m'interesse ÉNORMÉMENT !!



Regarde sous l'onglet "Article"

Le titre du résumé est : "L'amour des animaux: Un cas d'erreur sur la personne"

Par contre, ici, le lien ne fonctionne pas. Je ne peux lire que le résumé qui est plus bas sur la page.

Yvon

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Invité
http://www.angryvet.org/zoo5.htm

L'amour des animaux: un cas d'erreur sur la personne

Il faut avouer, en ce qui concerne les animaux de compagnie, que vouloir changer l’opinion générale représente un défi de taille. Le fait que cette tradition semble si innocente en apparence complique passablement les choses. En effet, alors que personne ne peut nier que nous exploitons les animaux de boucherie ou les animaux de laboratoire par exemple, dans le cas des animaux de compagnie, c’est beaucoup moins évident. Allez donc dire à la personne qui dépense 1000 à 2000 dollars par année pour son chien, qui se dévoue corps et âme pour le sortir, le brosser, le soigner, combler tous ses besoins, qu’elle ne fait que l’exploiter, elle va vous assassiner. Même chose pour le vétérinaire à qui vous essayez de démontrer qu’il exploite les bonnes intentions de ses clients en leur faisant croire que les animaux sont une solution toute faite à leurs problèmes.

Cependant, le plus grand obstacle réside sans doute dans le fait que les animaux eux-mêmes semblent rechercher et apprécier notre compagnie. À vrai dire, bien peu de gens ont conscience du phénomène biologique de l’empreinte qui, pour des raisons vitales, conduit un animal, dès sa naissance ou peu après, à s’identifier et à s’attacher à la première chose qui bouge dans son entourage immédiat, et ce, pendant une période
relativement courte. Ce que nous prenons alors pour de l’amour et de la fidélité au sens propre est en fait la simple manifestation d’un mécanisme naturel que nous exploitons depuis assez peu de temps si l’on considère l’échelle biologique. C’est grâce à ce mécanisme que nous avons pu domestiquer les animaux..


En effet, pour pouvoir s’intégrer et survivre dans son milieu, il est essentiel qu’un animal s’identifie et s’attache à sa mère dès son plus jeune âge. À son contact, inconsciemment, l’image de la mère, sa silhouette, son odeur et le son de sa voix s’impriment dans la mémoire du petit comme sur une pellicule photographique, devenant littéralement un objet matériel faisant partie de lui. La mère devient un repère et une présence rassurante qui lui permettent de partir à la découverte de son environnement et d’apprendre ses lois. Pendant cette période de socialisation, l’animal apprend à reconnaître les membres de son espèce, leur sexe, la nourriture qu’ils mangent, etc. En cas de danger, c’est toujours vers sa mère qu’il se replie. La perte de contact ou toute tentative de séparation déclenchent une détresse qui se traduit, chez le petit comme chez la mère, par des manifestations variées d’anxiété, telles que la vocalisation excessive, l’hyperactivité et, si la séparation est maintenue, une perte de sommeil et d’appétit. Cette période d’attachement décrite pour la première fois par Konrad Lorenz a lieu à des moments spécifiques et elle est d’une durée variable selon les espèces. Chez le chien et le chat, elle s’étend sur plusieurs semaines et chez l’oiseau, elle est très courte et elle débute dès l’éclosion de l’œuf. Un chien âgé de trois mois et demi n’ayant jamais connu l’homme ne se laisserait pas du tout apprivoiser. C’est donc le phénomène de l'empreinte qui permet d’apprivoiser les animaux et d’établir avec eux une relation affective.

L’attachement, dans des conditions normales, est toujours suivi du détachement, ce qui permet au jeune de devenir un adulte et de prendre sa place dans l’environnement. La mère, à un moment donné, cesse de répondre aux attentes et aux sollicitations constantes du petit et commence à prendre ses distances. La relation se transforme alors en relation sociale et le mécanisme de l’empreinte s’atténue. Or, lorsque les petits des animaux sont adoptés par l’homme, ils transfèrent sur lui l’attachement qu’ils ressentent naturellement pour leur mère. Le maître devient pour eux une mère de substitution, mais ce nouveau lien artificiel entre la bête et l’homme n’est pas suivi, comme il devrait l’être, par le détachement. Au contraire, toute la dynamique des interactions entre l’humain et les animaux de compagnie s’appuie sur le maintien de cet attachement et d’une dépendance affective contre nature soigneusement entretenue. La persistance de ce lien d’attachement sous sa forme infantile devient l’élément déclencheur d’une anxiété permanente qui peut se traduire cliniquement par des troubles psychologiques très variés et par une foule de maladies psychosomatiques. Comme la relation avec un animal n’a d’intérêt qu’à l’intérieur de cette dynamique, peu de gens tiennent vraiment à la modifier. C’est pourquoi les animaux de compagnie ne dépassent jamais le stade infantile et ne peuvent devenir des êtres adultes, équilibrés et autonomes.

Cela explique également pourquoi les résultats à long terme des thérapies comportementales qui sont devenues la nouvelle poule aux oeufs d’or de l'industrie des animaux de compagnie sont si peu concluants. Le trouble de l’animal psychologiquement perturbé a pour cause première la dépendance et la domestication, et la thérapie de l’intervenant en comportement n’a pas pour but de le soigner. L’objectif est plutôt d’aider le patient plus ou moins «en crise» à recouvrer la santé pour être capable de fonctionner «normalement» dans le monde tel qu’il est. Autrement dit, le psychologue s’adresse à la maladie psychologique, due aux contradictions inhérentes à la domestication, non pour la guérir ou la défaire, mais pour en atténuer les symptômes le plus vite possible et suffisamment pour rendre le patient capable d’un fonctionnement «normal». Désabusés par un taux de succès dans la durée assez pitoyable, les «psychiatres» qui s’emploient à soigner cette clientèle mal «civilisée» ont de plus en plus recours aux médicaments psychotropes, comme le Prozac, le Valium etc., pour étouffer un malaise dont l’origine se trouve dans une dynamique relationnelle faussée dès le départ et la condition de vie qui en découle. Il va sans dire que toutes ces maladies n’existent pas chez les animaux sauvages qui vivent dans leur milieu naturel.

Ce qui vient d’être décrit est d’une importance capitale pour comprendre la véritable nature de la relation entre l’homme et l’animal de compagnie, ce que les Anglais nomment fièrement, on peut se demander pourquoi, «Le lien». En fait, ce que nous considérons comme de l’amour n’est qu’une dépendance et un attachement, un asservissement infantile réciproque, car, pour développer, entretenir et trouver du plaisir dans ce genre de relation, il faut soi-même être dépendant et infantilisé. L’étendue de cette dépendance est directement proportionnelle à la place qu’occupe cette relation dans la vie affective de l’individu. En d’autres mots, plus vous êtes dépendant, plus vous avez de confort et de privilèges matériels ou psychologiques (en terme d'image de notoriété et de réputation en défendant la cause des animaux par exemple) plus vous devenez identifié à l’objet de votre affection, plus vous «aimez». Une séparation réelle ou anticipée devient, comme pour un petit enfant, un sujet d’angoisse parfois dramatique, car c’est littéralement une partie de vous-même qui est menacée (la perte d'une cause à défendre peut avoir le même résultat). Dans certains cas extrêmes de dépendance, la mort ou la disparition de l’objet d’affection est ressentie comme une véritable amputation. Et les vétérinaires sont témoins tous les jours de tels drames affectif.

Et, si vous êtes du type dominateur, voire sadique, vous trouvez du plaisir dans le contrôle et la servitude de votre sujet : «Le pouvoir sert à obtenir du plaisir et à acquérir du prestige, à ajouter de la beauté à la vie, un certain lustre. Les objets utilisés dans ce dessein sont traités avec indulgence, comme des jouets. Dans une relation de domination, de supérieur à inférieur, il y a des gestes d’affection, mais ces gestes ne sont possibles que dans des relations inégales. Ce sont des gestes de condescendance et de paternalisme qui adoucissent l’exploitation et lui donnent un visage plus humain. Sans eux, il n’y aurait que des victimes. Ils soulagent la souffrance associée à la domination et à l’esclavage. La domination teintée d’affection produit un animal de compagnie. Ce n’est pas l’amour qui fait tourner le monde mais l’affection», écrit le professeur Yi-Fu Tuan de l’Université Yale, auteur du livre Dominance and Affection : the Making of Pets (New Haven, Yale University Press, 1984, p. 107).

Compte tenu de la popularité des animaux de compagnie, il est tentant de conclure que l'infantilisme et le sado-masochisme constituent la norme dans notre société. Or, si c’est le cas, vous conviendrez que cet «amour» est loin d’être sain, et qu’il contribue au contraire à encourager des comportements problématiques pour l’ensemble de la collectivité.

Quoi qu’il en soit, cet attachement est le premier maillon, le pivot d’une chaîne d’exploitation subtilement perverse: subtile parce que peu apparente et perverse parce qu’elle a lieu sous le couvert de bonnes intentions et de bons sentiments. Suivront ensuite le dressage, la censure des comportements qui dérangent, un conditionnement qui rend les animaux littéralement malades et névrosés.

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Invité
Merci beaucoup !! :)
Ca me fais comprendre la nature de l'anxiété de séparation

Tres interessant

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Un gros merci Cassandra pour avoir copié le texte. Je suis très très content d'avoir pu le lire.

Ce qui vient d’être décrit est d’une importance capitale pour comprendre la véritable nature de la relation entre l’homme et l’animal de compagnie, ce que les Anglais nomment fièrement, on peut se demander pourquoi, «Le lien». En fait, ce que nous considérons comme de l’amour n’est qu’une dépendance et un attachement, un asservissement infantile réciproque, car, pour développer, entretenir et trouver du plaisir dans ce genre de relation, il faut soi-même être dépendant et infantilisé. L’étendue de cette dépendance est directement proportionnelle à la place qu’occupe cette relation dans la vie affective de l’individu. En d’autres mots, plus vous êtes dépendant, plus vous avez de confort et de privilèges matériels ou psychologiques (en terme d'image de notoriété et de réputation en défendant la cause des animaux par exemple) plus vous devenez identifié à l’objet de votre affection, plus vous «aimez». Une séparation réelle ou anticipée devient, comme pour un petit enfant, un sujet d’angoisse parfois dramatique, car c’est littéralement une partie de vous-même qui est menacée (la perte d'une cause à défendre peut avoir le même résultat). Dans certains cas extrêmes de dépendance, la mort ou la disparition de l’objet d’affection est ressentie comme une véritable amputation. Et les vétérinaires sont témoins tous les jours de tels drames affectif.

Je vois deux volets à la conclusion tirée. Ici, c'est celle qui amène le problème d'anxiété de séparation chez le chien. La démonstration est très clair quand à l'origine du problème.

Je me rappelle avoir déjà écrit que pour le chien souffrant d'anixiété de séparation, la "vision" du chien était comme celle de la mère qui voit partir son enfant et qui se retrouve dans l'impossibilité de le protéger. La nuance que cette personne souligne, c'est que le chien n'est jamais passé à l'âge adulte et qu'il est resté un "chiot". Demandé à un "enfant" d'être responsable est beaucoup trop exigeant.

Et il souligne également le fait que le maître manifeste une attitude infantile importante dans le développement de l'anxiété de séparation chez le chien.

Je donne l'exemple des gens qui "suivent la mode actuelle" d'aller chercher un chien dans un refuge, dans une "rescue". Ça parait bien aux yeux de tous ces temps-ci. Mais en réalité, parmi ces gens, combien savent vraiment ce qu'implique la réhabilitation d'un chien? Par contre, tous savent le flot de sympathie qui viendra lorsqu'on commencera à raconter les problèmes rencontrés. (C,est juste un exemple pour illustrer mon propos, je ne vise personne)


Yvon




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Invité

WOW Yvon.. disons que tes examples et tes opinions par rapport aux paragraphes que tu as contrasté sont assez clairs. Personnellement, je n'ai pas grande chose à rajouter.Heu..

La seule chose à laquelle je pense depuis le moment que j'ai lu ce texte c'est la dominance/soumission en ce qui concerne "MON chien". On dirait bien que j'ai (encore) du travail à faire.

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Invité
C'est très bien dit Yvon ;)
Cependant je ne pense pas que j'essais d'attirer l'attention, la pitié ou a sympathie dans mon cas..oui mon chien souffre beaucoup d'anxiété de séparation...tout ce que je veux c'est des conseils qui pourront m'apporter de l'aide car je ne suis pas familière avec ce problème...mais je ne blame pas mon chien..je sais que c'est entierement de ma faute...y'en a qui me dise a propos de mon chien «pauvre toi...tu est tombé sur le mauvais chien » A ca je leur repond que non...c'est ma faute et j'en suis conciente
De toute façon c'est quoi sa un «mauvais chien » ?!? tout dépend de l'éducation que tu lui donne...c'est seulement nous qui avons le pouvoir d'en faire un mauvais chien....
Je ne souhaite la compassion de personne, seulement de conseils... ;)

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Tu ne blâmes pas ton chien Nika911. Et c'est bien correct.

Mais il ne faut pas que tu te blâmes non plus.

L'ignorance (dans le sens de manque de connaissance) n'est pas un prétexte valable pour blâmer quelqu'un. On peut le faire, blâmer quelqu'un, quand cette personne agit en toute connaissance de cause dans le but de mal faire. Et ça ne semble pas être ton cas, hein! ;)

Souvent, je me dis qu'on a oublié pourquoi les humains se sont "associés" avec les chiens dans leurs évolutions. Dans la survie de leurs espèces respectives, chacun y trouvait son compte et chacun savait se faire comprendre par l'autre.

C'est ça qui s'est perdu au travers les générations, la connaissance du language canin. Faut "redécouvrir" comment se "parler" pour que chacun retrouve la sérénité.

On est chanceux, on a un merveilleux "médium" pour s'entraider avec internet. Continuons d'échanger, c'est une très bonne façon d'apprendre.

Yvon

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Ce serait ridicule de rire ou de blâmer quelqu'un par son manque de connaissance. Je crois qu'un jour ou l'autre on doit connaitre des choses que l'on ignore, on passe tous par là. Lorsqu'on a une connaissance, on doit la transmettre dans le but d'aider quelqu'un. Les chiens sont tous différents, ils ont tous leur propre caractère à nous de trouvez notre méthode qui nous conviens parmi les conseils de plusieurs personnes et plusieurs théories. Lorsqu'on a trouver de la façon que l'on veut travailler, rien n'empêche de la modifier avec les années pour améliorer des choses, changer ou autre. Vous savez, je suis vendu renforcement positif avec récompense pour l'instant. Mais je viens d'entendre parler d'une méthode avec des bruits et des touchers qui serait formidables. Je trouve cela fort intéressant, mais encore là je dois attendre de voir le séminaire pour en apprendre davantage sur cette méthode qui fonctionnerait ma fois merveilleusement bien sur un chien qui n'aime pas les récompenses ou les jouets! Je crois bien que je l'ajoueterais à notre façon de procéder. Mais encore là je dois l'apprendre. Tout comme quelqu'un doit apprendre comme fonctionne l'anxiété chez le chien et comment dealer avec ça. ;)

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