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dauphine60

Lettre de Jean Charest

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Voila toute juste a l instant la lettre que je viens de recevoir de Jean Charest. J ai coupé le début
pour en avoir un peu moins long a lire, pas important de toute facon. Rolling Eyes

Cela dit, notre gouvernement, dans le contexte de son nouveau mandat, souhaite à court terme travailler à la mise en place d’un règlement rendant obligatoire l’enregistrement de tous les lieux de garde, de vente et d’élevage de chiens au Québec. Ce règlement permettrait de connaître les coordonnées des lieux de garde, de vente et d’élevage, augmentant ainsi l’efficacité des activités d’inspection. À ce règlement serait ajoutée l’obligation de tenir des registres, ce qui donnera notamment la possibilité de vérifier la provenance des chiots vendus dans les animaleries.

Nous allons aussi créer un groupe de travail qui mettra en commun l’ensemble des expertises des organismes québécois voués à la protection des animaux de compagnie. Ce groupe de travail devra notamment identifier les enjeux et les solutions à court et moyen termes afin de développer des actions concrètes pour l’amélioration du bien-être animal.

C’est dans une volonté de garantir et d’améliorer le bien-être de ces animaux que le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) a mandaté ANIMA-Québec, en janvier 2005, pour appliquer le volet sécurité et bien-être animal de la Loi sur la protection sanitaire des animaux (P-42). Cet organisme a vu le jour à la suite d’un consensus de tous les organismes concernés, incluant la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de Montréal qui en était à l’époque membre du conseil d’administration. Présentement, trois Sociétés protectrices des animaux (SPA) siègent au conseil d’administration d’ANIMA-Québec.

En décembre 2005, ANIMA-Québec adressait à la SPCA de Montréal une invitation de partenariat pour l’inspection et/ou pour l’hébergement des animaux saisis. Cette offre a été refusée par la SPCA de Montréal. Pourtant, de telles ententes existent avec d’autres organismes de protection des animaux, dont la SPA de l’Estrie qui peut, en vertu d’une entente avec ANIMA-Québec, procéder à l’inspection selon la Loi sur la protection sanitaire des animaux. La saisie de 48 chiens, effectuée en septembre 2008, à laquelle ont participé six SPA/SPCA démontre bien que la collaboration des SPA/SPCA facilite le travail d’ANIMA-Québec.

Le MAPAQ a rencontré récemment la SPCA de Montréal afin de définir les modalités entourant sa participation à l’application de la Loi sur la protection sanitaire des animaux. D’autres rencontres sont également prévues à ce sujet. Notre gouvernement souhaite que la SPCA de Montréal se joigne aux nombreux organismes qui collaborent de manière efficace avec ANIMA-Québec.

Par ailleurs, nous tenons à vous rappeler que grâce à ANIMA-Québec, de nombreuses interventions ont été mises en oeuvre. Entre janvier 2005 et septembre 2008, 1 270 visites d’inspection ont été effectuées dans des lieux de vente et d’hébergement d’animaux, et à la suite de ces visites, 48 rapports d’infraction ont été soumis au ministère de la Justice; 502 avis de non-conformité ont été donnés; 9 saisies d’animaux ont été réalisées, impliquant 438 chiens et chats, et 20 jugements de culpabilité ont été rendus.

Il faut savoir aussi qu’ANIMA-Québec ne peut publiciser ses actions, puisque l’organisme doit respecter la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels. Par contre, lorsque le jugement est prononcé par la Cour du Québec, certains renseignements relatifs aux enquêtes deviennent publics. Une liste des condamnations publiée dans le site internet d’ANIMA-Québec (www.animaquebec.com) vous permettra de constater que l’organisme agit activement en fonction de son mandat.

Les citoyens concernés par le bien-être animal ne doivent pas hésiter à signaler les cas de mauvais traitements auprès d’ANIMA-Québec (1 866 321-1771). Certains actes de cruauté animale, comme ceux mentionnés dans la Loi modifiant le Code criminel en matière de cruauté envers les animaux, relèvent du Code criminel, lequel est de compétence fédérale. Dans de telles situations, les policiers ainsi que les sociétés de protection des animaux (SPA) ou de prévention contre la cruauté envers les animaux (SPCA), s’ils sont avisés, vont acheminer la plainte au gouvernement provincial ou au gouvernement fédéral, selon le cas.

Nous sommes convaincus qu’en travaillant ensemble et en étant plus vigilants, nous réussirons à mieux protéger les animaux de compagnie et à accélérer les interventions visant à améliorer le sort de ces animaux. Il ne faut pas perdre de vue que chaque changement de société qui s’impose demande la participation active de tous les citoyens. Les petits gestes posés par un individu conscientisé sont aussi essentiels qu’une action gouvernementale déterminée. Les plans d’action et mesures instaurés par notre gouvernement font partie d’un projet de société où chacun fait partie de la solution.

Vous remerciant de nous avoir écrit, nous vous prions d’agréer, Madame, nos salutations les meilleures.

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Invité

Wouin , tu es importante pour que Jean Charest t`écrive en personne ! Yes! ;-)
Je trouve ca bien beau sur papier mais dans la vie de tous les jours es-ce qu`Anima-Québec est vraiment présent pour défendre les animaux ? Il y en a tellement qui sont maltraités , selon moi il faudra des lois beaucoup plus sévère, il faut dire que je suis télérance zéro quand à la cruauté envers les animaux. Fru

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Invité
C'est parce qu'ils envoient la même à tous le monde...j'ai reçu la même lettre ma mère aussi..... Il est temps qu'ils agissent!

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Il y a un gros problème dans cette belle lettre!
C'est qu'Anima -Québec siège sur le conseil d'administration de la PIJAC.
La PIJAC, c'est la multinationale des animaux.
C'est la grosse buziness derrière les usines à chiots.
Quelle belle association, n'est-ce pas?
Les dernières saisies qui ont fait l'actualité, la SPCA a eu l'aide des Améraicains.
Anima-Québec n'était pas dans le tableau.
Leurs histoires de dossiers tenus secrets....bullshit, ...pardon!
Tu ne les retrouves sur aucune enquête majeure.
Pourtant, ce n'est pas difficile à trouver au Québec.
Ils ne peuvent enquêter contre des gens qui siègent avec eux ,quand même.
Ils ne veulent pas interdire la vente des animaux en animalerie comme en Belgique.
Petland leur donne des sous!
Clouso.

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Invité

Qu`es-ce que cette PIJAC ? Qu`elqu`un peu m`éclairer parceque là le coeur me lève à l`idée que Anima-Québec siège là, sachant qu`Anima Québec est subventionné par le gouvernement donc par NOUS prétecteurs des droit des animaux, c`est quoi s`os... d`affaire là ! C nul

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PIJAC.......La Voix Des Animaux De Compagnie.
Traduction:
tout ce qui se rapporte aux:
-Vente d'animaux dans les animaleries
-nourriture.
-Produits pour les animaux.
C'est la grosse industrie qui est l'une des plus lucratives au monde , présentement.
http://www.petscanstay.com/certification/industry-pet-pijac.php

Il n'y a qu'au Québec, qu'un organisme de protection des animaux (Anima-Québec) ose s'associer avec la PIJAC.
Vous ne trouverez pas ce genre d'association nulle part Canada ni aux USA.
Clouso.

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