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luna-harès

Histoire à lire à tout prix!

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Javais deja lu ce texte!!!Et moi aussi jen avais eu les larmes aux yeux!!!Cest tellement triste mais si vrai en même temps

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Je l'avais déjà lu aussi, mais elle me fait toujours le même effet

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C est tellement triste
Tiens ma belle, luna harès, voici un poême


La complainte du chien abandonné !

Texte de Gilbert Dumas.



Au fond du vieux refuge, dans une niche en bois,
Depuis deux ans je purge, d'avoir trop cru en toi.
Tous les jours je t'attends, certain que tu viendras,
Tous les soirs je m'endors, sans que tu ne sois là.



Pourtant je suis certain, je te reconnaîtrai,
Viens me tendre une main, je te la lécherai.
Tu te souviens très bien, quand je sautais sur toi,
Que tu me caressais, que je dansais de joie.



Que c'est il donc passé, pour que ce 16 juin,
Heureux que tu étais, je me rappelle bien,
Tu sifflais, tu chantais, en bouclant les valises,
Que tu m'aies attaché, là, devant cette église.



Je ne peux pas comprendre, et ne croirai jamais,
Que toi qui fus si tendre, tu sois aussi mauvais.
Peut-être es-tu très loin, dans un autre pays,
Mais quand tu reviendras, moi j'aurai trop vieilli.




Ton absence me pèse, et les jours sont si longs,
Mon corps s'épuise, et mon cœur se morfond.
Je n'ai plus goût à rien, et je deviens si laid,
Que personne, jamais, ne voudra m'adopter.



Mais moi je ne veux pas, que l'on me trouve un maître,
Je montre bien mes dents, et je prends un air traître,
Envers qui veut me prendre, ou bien me caresser,
Pour toutes illusions, enfin leur enlever.


Car c'est toi que j'attends, prêt à te pardonner,
A te combler de joie, du mieux que je pourrai,
Et je suis sûr, tu vois, qu'ensemble nous saurions,
Vivre des jours heureux, en réconciliation.




Pour cela, je suis prêt, à faire de gros efforts,
A rester près de toi, à veiller quand tu dors,
Et à me contenter, même si j'ai très faim,
D'un vulgaire petit os, et d'un morceau de pain.


Je n'ai jamais rien dit, lorsque tu m'as frappé,
Sans aucune raison, quand tu étais énervé,
Tu avais tous les droits, j'étais à ton service,
Je t'aimais sans compter, j'acceptais tous tes vices.


Tu m'as mis à la chaîne, ou tu m'as enfermé,
Tu m'as laissé des jours, sans boire et sans manger,
J'ai dormi bien souvent, dans ma niche sans toit,
Paralysé, raidi, tellement j'avais froid.


Pourtant, si tu reviens, nous partirons ensemble,
Nous franchirons en chœur, la porte qui ressemble,
A celle d'une prison, que je ne veux plus voir,
Et dans laquelle, hélas, j'ai broyé tant de noir.


Voilà, mon rêve se termine, car je vois le gardien,
Puis l'infirmière, et le vétérinaire plus loin,
Ils entrent dans l'enclos, et leurs visages blêmes,
En disent long pour nous, sur ce qu'ils nous amènent.


Je suis heureux, tu vois, car dans quelques instants,
Je vais tout oublier, et, comme il y a deux ans,
Je m'endormais sur toi, mon cher et grand ami,
Je dormirai toujours, grâce à …l'euthanasie.


Et s'il t'arrive un jour, de repenser à moi,
Ne verse pas de larmes, ne te prends pas d'émoi,
Pour toi, j'étais " qu'un chien ", tu préférais la mer,
Tu l'aurais su avant, j'aurai payé moins cher.


A vous tous les humains, j'adresse une prière,
Me tuer tout petit, aurait peiné ma mère,
Mais il eut mieux valu, pour moi, cette manière,
Et vous n'auriez pas eu, aujourd'hui, à le faire.

............................

et puis :
journal d'un chien :chientete:




Semaine 1:

Ca fait aujourd'hui une semaine que je suis né, ¡Quel bonheur
d'être arrivé dans ce monde!


Mois 01:

Ma maman s'occupe très bien de moi. C'est une maman
exemplaire.


Mois 02:

Aujourd'hui j'ai été séparé de maman. Elle était très inquiète et
m'a dit adieu du regard. En espérant que ma nouvelle "famille humaine"
s'occupera aussi bien de moi qu'elle l'a
fait.

Mois 04:


J'ai grandi vite, tout m'attire et m'intéresse. Il y a plusieurs
enfants à la maison, ils sont pour moi comme des "petits frères". Nous sommes
très polissons, ils me tirent la queue, et je les mords pour
jouer.




Mois 05:


Aujourd'hui, ils m'ont disputé. Ma maîtresse m'a grondé parce que
j'ai fait "pipi" à l'intérieur de la maison, mais ils ne m'ont jamais dit où je
devais le faire. En plus je dors dans la réserve... et je ne me plaignais
pas!


Mois 12:

Aujourd'hui j'ai eu un an. Je suis un chien adulte. Mes maîtres
disent que j'ai grandi plus qu'ils ne le pensaient. Qu'est-ce qu'ils doivent
être fiers de moi !



Mois 13:


Aujourd'hui, je me suis senti très mal. Mon "petit frère" m'a
pris ma balle. Moi je ne lui prends jamais ses jouets. Alors je lui ai
reprise. Mais mes machoires sont devenues fortes et je l'ai blessé sans le
vouloir. Après la peur, ils m'ont enchaîné, je ne peux presque plus voir le
soleil. Ils disent qu'ils vont me surveiller, que je suis un ingrat. Je ne
comprends rien à ce qui se passe.



Mois 15:



Plus rien n'est pareil... je vis sur le balcon. Je me sens
très seul, ma famille ne m'aime plus. Ils oublient parfois que j'ai faim et
soif. Quand il pleut, je n'ai pas de toit pour m'abriter.




Mois 16:


Aujourd'hui, ils m'ont fait descendre du balcon. J'étais sûr que
ma famille m'avait pardonné et j'étais si content que je sautais de joie. Ma
queue bougeait dans tous les sens. En plus, ils m'emmènent avec eux pour une
promenade. Nous avons pris la direction de la route et d'un coup, ils se sont
arrêtés. Ils ont ouvert la porte et je suis descendu tout content, croyant que
nous allions passer la journée à la campagne. Je ne comprends pas pourquoi ils
ont fermé la porte et sont partis. "Ecoutez, attendez !" Vous... vous
m'oubliez. J'ai courru derrière la voiture de toutes mes forces. Mon angoisse
grandissait quand je me rendais compte que j'allais m'évanouir et qu'ils ne
s'arrêtaient pas : ils m'avaient oublié.



Mois 17:


J'ai essayé en vain de retrouver le chemin pour rentrer à la
maison. Je me sens et je suis perdu. Sur mon chemin, il y a des gens de coeur
qui me regardent avec tristesse et me donnent un peu à manger. Je les
remercie du regard et du fond du coeur. J'aimerais qu'ils m'adoptent et je leur
serais loyal comme personne. Mais ils disent juste "pauvre petit
chien", il a dû se perdre.




Mois 18:


L'autre jour, je suis passé devant une école et j'ai vu plein
d'enfants et de jeunes comme mes "petits frères". Je me suis approché et un
groupe, en riant, m'a lancé une pluie de pierres pour "voir qui visait le
mieux". Une des pierres m'a abîmé l'oeil et depuis je ne vois plus de
celui-ci.



Mois 19:


Vous ne le croirez pas, mais les gens avaient plus pitié de moi
quand j'étais plus joli. Maintenant je suis très maigre, mon aspect à changé.
J'ai perdu mon oeil et les gens me font partir à coup de balais quand j'essaie
de me coucher dans un petit coin d'ombre.




Mois 20:



Je ne peux presque pas bouger. Aujourd'hui, en essayant de
traverser la rue où circulent les voitures, je me suis fait renverser. Je
pensais être dans un endroit sûr appelé fossé, mais je n'oublierai jamais le
regard de satisfaction du conducteur qui a même fait un écart pour essayer de
m'écraser. Si au moins il m'avait tué ! Mais il m'a éclaté la hanche. La douleur
est terrible, mes pattes arrières ne réagissent plus et je me suis difficilement
iré vers un peu d'herbe au bord de la route.



Mois 21:


Cela fait 10 jours que je passe sous le soleil, la pluie,
sans manger. Je ne peux pas bouger. La douleur est insupportable. Je me sens
très mal, je suis dans un lieu humide et on dirait même que mon poil tombe. Des
gens passent, ils ne me voient même pas, d'autres disent "ne t'approche
pas". Je suis presque inconscient, mais une force étrange m'a fait ouvrir les
yeux... la douceur de sa voix m'a fait réagir. Elle disait "Pauvre petit
chien, dans quel état ils t'ont laissé"... avec elle il y avait un
monsieur en blouse blanche, il m'a touché et a dit "je regrette
madame, mais ce chien ne peut plus être soigné, il vaut mieux
arrêter ses souffrances". La gentille dame s'est mise à pleurer et a
approuvé.

Comme je le pouvais, j'ai bougé la queue et je l'ai regardé, la
remerciant de m'aider à trouver enfin le repos.


Je n'ai senti que la piqûre de la seringue et je me suis endormi pour
toujours en me demandant pourquoi j'étais né si personne ne me
voulait.


La solution n'est pas de jeter un chien à la rue, mais de l'éduquer.
Ne transforme pas en problème une compagnie fidèle. Aide à faire prendre
conscience et à mettre fin au problème des chiens
abandonnés.

Larmes



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Merci beaucoup thigen! pour la première histoire, je ne m'imagine pas une seule seconde faire ça à Harès (mon amour)! pour la seconde, tu m'a fait pleurée devant l' ordi! cette histoire est si triste , ça me fend l'âme de savoir qu'il existe des gens qui peuvent faire ça!

moi, je promets sur tout ce que j'ai de plus chère, que je ne ferais jamais ce genre de choses à mon trésor. je préfère encore mourrir!

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