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ravageur

La poésie des animaux

Messages recommandés

Ici c'est le coin des poètes animaliers :D

Tien je ne savais qu'il y avait des poétes animalier, bref vous aimez la poésie et les animaux, vous écrivez des poémes sur nos compagnons.
Faite nous partager vos oeuvres :study:

Je commence mais je ne suis pas poéte je vole heu non non j'empreinte des poémes trouver sur le net (mais non ce n'est pas interdit).


Mon ami le cheval

J'adore le cheval

Car il est gracieux.

Il ne fait pas de mal

Il a surtout de beaux yeux.

Il est très grand

Et aime beaucoup jouer.

Il a énormément de dents

Et un grand nez.

Son petit poulain

Est mignon.

Il me fait des câlins

Et mord mon chignon.

Charline L'HUILLIER

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poême pour dormeur



je t'aime si fort
petit trésor

toi qui es parti
à cause de cette maladie

j'aurais voulu te garder toujours
pour te donner encore tant d'amour

je sais que tu vas rester
dans mon coeur encore des années

une douce pensée pour toi
me rempli de joie

tu as rejoint les étoiles
adieu petite boule de poil

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pascaleem a écrit:
poême pour dormeur



je t'aime si fort
petit trésor

toi qui es parti
à cause de cette maladie

j'aurais voulu te garder toujours
pour te donner encore tant d'amour

je sais que tu vas rester
dans mon coeur encore des années

une douce pensée pour toi
me rempli de joie

tu as rejoint les étoiles
adieu petite boule de poil


Cela me touche énormément. Quel beau poème ! J'en ai les larmes au yeux. Merci beaucoup pascaleem. :D

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Invité cewamale
Vraiment très joli pascaleem, celà doit effectivement aller droit au coeur de microdog, merci pour lui, merci pour nous

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:cha:

Le petit chaton

Cette boule de poils blanche et noire,

Si belle, et si douce.

On dirait une peluche.

Quand je le caresse

Je me crois au paradis !

Son ronronnement si gai,

Me dit qu'il est joyeux.

Son regard si coquin,

Me fait penser aux anges !

S'il est malheureux

Je le suis aussi !

Alors je le prends tout doucement dans mes bras,

Et je le serre contre mon coeur !

:cha:

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ravageur a écrit:
:cha:

Le petit chaton

Cette boule de poils blanche et noire,

Si belle, et si douce.

On dirait une peluche.

Quand je le caresse

Je me crois au paradis !

Son ronronnement si gai,

Me dit qu'il est joyeux.

Son regard si coquin,

Me fait penser aux anges !

S'il est malheureux

Je le suis aussi !

Alors je le prends tout doucement dans mes bras,

Et je le serre contre mon coeur !

:cha:


C'est beau ! (good)

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Invité jo
Prière du chien

Quand je naîtrai, tu me choisiras,
Et pour la vie tu me garderas,
Et si parfois dans ta maison je m'oublie
Pardonne-moi je suis encore petit
Tu verras quand je grandirai
Propre, très sage, je deviendrai,
Je ne te demanderai presque rien
Une caresse et un peu de pain,
En échange, je veillerai sur tes biens
Et ne laisserai personne importuner les tiens
Mon amour et ma fidélité grandiront pour toi
Tu seras mon univers, mon avenir et ma joie
Tu seras mon seigneur et mon maître
Ton esclave et ton enfant je veux être
Sans hésiter, je te donnerai ma vie
Mais, s'il te plait, je t'en supplie
Ne m'abandonne pas..

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Je le trouve superbe aussi ce poême. (clas)

EDIT:

jo, j'ai fusionné ton poeme et si tu veux poster d'autres poèmes fait le ici. :hello:

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Invité jo
excuse moi ravageur j'avais pas vu le sujet

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jo a écrit:
excuse moi ravageur j'avais pas vu le sujet


Il n'y a pas de mal jo mais la prochaine fois dhr!!

(lol) (lol) (lol) (lol) (lol) (lol)

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Invité jo

Coccinelle
ELLE me dit : « Quelque chose
« Me tourmente. » Et j'aperçus
Son cou de neige, et, dessus,
Un petit insecte rose.

J'aurais dû -- mais, sage ou fou,
À seize ans, on est farouche, --
Voir le baiser sur sa bouche
Plus que l'insecte à son cou.

On eût dit un coquillage ;
Dos rose et taché de noir.
Les fauvettes pour nous voir
Se penchaient dans le feuillage.

Sa bouche fraîche était là :
Je me courbai sur la belle,
Et je pris la coccinelle ;
Mais le baiser s'envola.

« Fils, apprends comme on me nomme »,
Dit l'insecte du ciel bleu,
« Les bêtes sont au bon Dieu ;
« Mais la bêtise est à l'homme. »
Victor Hugo, La Coccinelle (XV)

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Invité cedrix49
sont beaux tes poemes mamie jo (good)

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c'est un poeme que j'ai ecris pour ma chatte

partie trop vite

t'es partie trop vite
j'ai plein de solitude
j'suis brisée
c'est dur de masquer mes sentiments
quesqu'il me reste?
que des souvenirs et des vieilles photos de nous
alors j'tue le temps
depuis que tu ne me regarde plus
j'ai l'ame en peine
j'suis vide et j'ai peur
que de larmes qui coulent sans cesse
et qui me font souffrir
on a toujours tout fait toi et moi
je me nourrissais de ton coeur
tu me manque, t'a laissé un gouffre
tu hantes mes nuits, j'arrive pas a relever la tete
tu étais l'ange qui me faisais vivre
j'méritais pas ça. toi sans moi, c'est plus rien
maintenant, t'es l'ange du ciel, et l'étoile qui brille le plus
jamais je pensais que tu partirais. t'étais ma vie, mon bonheur
j'ai plus d'étés, mais faut que je sois forte
de la peine? c'est pire que ça
mon coeur et brisé
j'te jure, c'est dur.

voilà.....

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Invité cewamale
J'ai trouve çelà sur le net


Prière du chat


    Ô mon maître.
    Ne me prends pas pour esclave, car j'ai en moi le goût de la liberté.
    Ne cherche pas à deviner mes secrets, car j'ai en moi le goût du mystère.
    Ne me contrains pas aux caresses, car j'ai en moi le goût de la pudeur.
    Ne m'humilie pas car j'ai en moi le goût de la fierté.
    Ne m'abandonne pas, car j'ai en moi le goût de la fidélité.
    Sache m'aimer et je saurai t'aimer, car j'ai en moi le goût de l'amitié.


Prière du chien


    Ô mon maître.
    Choisis-moi pour ami et je serai, de tous les amis, le plus fidèle.
    Donne-moi un foyer et j'en serai le vigilent gardien.
    Donne-moi un nom et je n'en voudrai plus d'autre.
    Donne-moi une loi et je t'obéirai.
    Donne-moi de la nourriture et tu ne seras pas payé d'ingratitude.
    Donne-moi une caresse et je serai heureux.
    Donne-moi ton affection et moi je te donnerai ma vie.

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L'arche de Noé




Quand Dieu fit l'univers il y eut sur la terre
Des milliers d'animaux inconnus aujourd'hui
Mais la plus jolie dans ce vert paradis
La plus jolie, la plus mignonne
C'était la licorne

Il y avait des crocodiles et des orang-outangs
Des affreux reptiles et de jolis moutons blancs
Des chats, des rats, des éléphants
Il ne manquait personne, pas même
La lionne et la jolie licorne.

Quand Dieu vit les pècheurs faire leurs premiers péchés
Il se mit en colère et appela Noé
Mon bon vieux Noé, je vais noyer la terre
Construis-moi un bateau pour aller sur l'eau

Mets-y des gros crocodiles et des orang-outangs
Des affreux reptiles et de jolis moutons blancs
Des chats, des rats, des éléphants
Il ne manqu'ra personne, pas même
La lionne et la jolie licorne.

Quand Noé eut fini de construire son bateau
Il y fit monter les animaux deux par deux
Alors la pluie commença à tomber;
Il s'écria "Seigneur, j'ai fait de mon mieux,

J'ai mis des gros crocodiles et des orang-outangs
Des affreux reptiles et de jolis moutons blancs,
Des chats, des rats, des éléphants
Il ne manque personne à part
La mignonne et la jolie licorne.

Elle riait la mignonne et pataugeait dans l'eau
S'amusait comme une folle sans voir que le bateau
Emporté par Noé l'avait oubliée
Et depuis ce temps il n'y a plus de licornes

mais il y a des gros crocodiles et des orang-outangs
des affreux reptiles et de jolis moutons blancs
Des chats, des rats, des éléphants
Il ne manque personne à part
La mignonne, la jolie licorne.

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Magnifique tous vos poêmes me touche beaucoup, et oasis très belles images love

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LA MORT DU LOUP








Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie, on voit fuir la fumée
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide
gazon.
Dans la bruyère épaisse, et dans les hautes brandes,
lorsque sous des sapins pareils à ceux des landes,
nous avons aperçu les grands ongles marqués
par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine et le
pas suspendu, ni le bois ni la plaine ne poussait un
soupir dans les airs;
Seulement la girouette en deuil criait au firmament,
car le vent, élévé bien au-dessus des terres,
n'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
et les chênes d'en bas, contre les rocs penchés,
sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
le plus vieux des chasseurs qui s'était mis en quête
a regardé le sable en s'y couchant; bientôt, lui
que jamais ici on ne vit en défaut, a déclaré tout
bas que ces marques récentes, annonçaient la
démarche et les griffes puissantes
de deux grands loups cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
et cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas, en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient, j'aperçois tout à coup, deux yeux qui
flamboyaient, et je vois au-delà quatre formes
légères, qui dansaient sous la lune, au milieu des
bruyères, comme font chaque jour, à grand bruit
sous nos yeux,
quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable, et semblable la danse;
mais les enfants du loup se jouaient en silence,
sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
se couche dans ses murs, l'homme, leur ennemi!
Le père était debout, et plus loin contre un arbre,
sa louve reposait, comme celle de marbre
qu'adoraient les Romains, et dont les flancs velus
couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le loup vient et s'assied, les deux jambes dressées,
par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris;
alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
du chien le plus hardi, la gorge pantelante
et n'a pas desséré ses mâchoires de fer, malgré
nos coups de feu qui traversaient sa chair
et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment ou le chien étranglé,
mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le loup le quitte alors, et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la
garde, le clouaient au gazon, tout baigné dans
son sang; nos fusils l'entouraient en sinistre
croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
et sans daigner savoir comment il a péri,
refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.
J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre,
à poursuivre sa louve et ses fils qui, tous trois,
avaient voulu l'attendre, et comme je le crois,
sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve,
ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve;
mais son devoir était de les sauver, afin de pouvoir
leur apprendre à bien souffrir la faim,
à ne jamais entrer dans le pacte des villes
que l'homme a fait avec les animaux serviles
qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
les premiers possesseurs du bois et du rocher.

Hélas! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'hommes
que j'ai honte de nous -débiles que nous sommes!-
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
c'est vous qui le savez :
SUBLIMES ANIMAUX !
A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse
Seul le silence est grand; tout le reste est faiblesse

Ah! je t'ai bien compris, sauvage voyageur, et ton
dernier regard m'est allé jusqu'au coeur!
Il disait : Si tu peux, fais que ton âme arrive,
a force de rester studieuse et pensive,
jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
ou, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer, prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
dans la voie ou le sort a voulu t'appeler,
puis après, comme moi, souffre et meurs,
sans parler.




Alfred de Vigny (1838)

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