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L'Egypte antitique : "Autrefois les chats étaient vénérés comme des Dieux..."

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"Autrefois les chats étaient vénérés comme des Dieux. Ils ne l'ont jamais oublié."

"L'Egypte antique" désigne la civilisation qui vécut sur les bords du Nil pendant près de 4000 ans, du rassemblement de tribus égyptiennes qui établirent les premières institutions pharaoniques jusqu'à l'effondrement de cet empire au début de l'ère chrétienne.

Dans l'Egypte Ancienne, le monde est considéré comme un ensemble harmonieux d'éléments intimement liés entre eux. Le chat est une partie infime de cette vision et des multiples facettes de cette civilisation riche et complexe.

LE CHAT, ANIMAL SACRE

Pendant longtemps, on a pensé que les chats avaient été domestiqués par les Egyptiens pendant l'Antiquité (IIIè millénaire avant JC), mais la découverte des restes d'un chat à proximité de ceux d'un humain dans une tombe à Chypre laisse croire que la relation homme-chat est née au VIIè millénaire avant JC.

Quoi qu'il en soit, la cohabitation félins-humains en Egypte est liée selon toute vraissemblance à l'agriculture. En effet, le Nil, qui coule de l'Afrique équatoriale vers la Méditerranée, apporte des eaux riches en matières organiques qui permettent aux Egyptiens de développer une agriculture florissante malgré le climat arride. Le stockage des grains attire les rongeurs, qui eux-mêmes attirent les chats.
En chassant les rats, le chat élimine le vecteur de la peste, et en chassant les serpents, il sécurise les foyers de son territoire.
Le chat est donc au départ un animal protecteur pour ce peuple d'agriculteurs, mais il est aussi apprécié pour son caractère doux et tranquille.

Chaque temple possède ses chats, surveillés par le "gardien des chats" (poste important transmis héréditairement). En tant qu'animal sacré, le chat a un statut particulier : tuer (même accidentellement) ou maltraiter un chat est puni très sévèrement, parfois de mort. Hérodote relate qu'on postait parfois un garde près du feu pour s'assurer qu'aucun n'irait se brûler.

Dans les palais, le chat est élevé dans l'abondance. Lorsqu'un chat meurt, son propriétaire se rase les sourcils en signe de respect et de tristesse. Le deuil dure 70 jours, le temps de la momification de l'animal.



Momies de chat, Le Louvres, Paris
2ème image : Photo de Zubro, 2002.


LE CHAT EN TANT QUE DIVINITE


Les Egyptiens considéraient les dieux comme des entités intelligentes, capables de s'incarner dans les êtres ou les objets. La plus ancienne forme de déité représentée en Egypte, sur une coupe de cristal, est Mafdet, la déesse à tête de lion (- 3100 avt JC). Le culte de Mafdet, déesse qui symbolise la guérison du corps et de l'esprit, est supplanté par celui de Bastet, la déesse à tête de chat, décrite à l'origine comme un lion protecteur et belliqueux. Son image change au cours du temps et devient associée aux chats domestiques, bienveillants et sauvages.


Différentes représentations de Bastet


Le chat de , personnification de la déesse Bastet, combattait Apophis, dieu des forces mauvaises et de la nuit, personnification du chaos et du mal cherchant à anéantir la création divine. Apophis est représenté sous la forme d'un serpent géant qui s'attaque quotidiennement à la barque de Rê voguant sur le Noun, afin de mettre un terme au processus de création, mais il est à chaque fois vaincu. Chaque lever du soleil marque ainsi la victoire de sur Apophis.
Outre Bastet, était aidé par d'autres divinités pour repousser Apophis : Seth défendait la barque divine à l'aide d'un harpon, Isis, à l'avant de la barque solaire, utilisait ses pouvoirs pour priver Apophis de ses sens et ainsi le désorienter, ce qui permettait alors au chat de de décapiter le serpent.


Apophis décapité par le chat de Rê


BASTET ET BUBASTIS

La ville de Bubastis, situé à l'est du delta du Nil, était le chef-lieu de la déesse Bastet. Bubastis signifie "celle qui vient de Bast" (autre nom de Bastet). Bastet prend une importance considérable au sein de la population et devient extrêmement populaire. Elle représente alors la fertilité, la maternité, la protection et l'aspect bénévole du soleil (dans le sens de bon vouloir). Mi-femme mi- chatte, elle est appelée l'oeil de . Déesse bienveillante, protectrice de l'humanité, mais aussi musicienne de la joie et déesse de l'accouchement, elle est également réputée pour ses terribles colères. Sous les traits d'une déesse à tête de lionne, elle est alors identifiée à la déesse de la guerre, Sekhmet. Ensemble, Bastet et Sekhmet représentent l'équilibre des forces de la nature.

Réunissant des milliers de croyants et de pélerins, le culte du chat provoquait en octobre une arrivée annuelle de population dans les rues de Bubastis.

Selon Hérodote, le temple de Bastet était le plus beau temple du pays, avec le plus de fidèles, même si la déesse était l'une des plus discrètes du panthéon Egyptien.


Temple de Bastet, Bubastis



Bubastis a été détruite par les Perses en 350 avt JC. Aujourd'hui, ses ruines portent le nom de Tell Basta. De nombreuses sépultures montrent que les Egyptiens souhaitaient être enterrés à côté de leur chat.

LE DECLIN DU CULTE DU CHAT

C'est par décret impérial que le culte de Bastet est officiellement interdit, vers - 390 avt JC. Le chat reste animal de compagnie mais n'est plus adoré dans les temples.

TEMOIGNAGES DE LA PRESENCE DU CHAT EN EGYPTE

De nombreux objets et statues portent l'effigie du chat. Des sarcophages de chat ont été retrouvés, ainsi que des stèles.


Sarcophage d'un chat et détail de sarcophage


Sur des papyrus et des ostraka de l'époque ramesside sont représentées des scènes où les rapports hiérarchiques sont inversés. En Egypte antique, le terme d'ostrakon (pluriel : ostraka) désigne des éclats de calcaires ou des fragments de poterie sur lesquels le scribe inscrivait un texte ou faisait un dessin rapide. Dans ces images, les chats et les souris tiennent une grande place, et on peut y voir des chats au service des souris. Il s'agit de satires des puissants représentés pour une fois sous l'aspect de dominés.


Ostrakon satirique : une souris est servie par un chat
XIXè - XXè dynastie, 1295 - 1069 avt JC, Thèbes
Calcaire, dessin à l'encre et peinture.

study

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Statuette de chat.

Le chat était l'un des nombreux animaux dont les attributs furent vénérés dans l'Égypte antique. Il était notamment associé au symbole de protection. Tout d'abord avatar du dieu Rê en tant que pourfendeur du serpent Apopis, il connaîtra le sommet de son influence en tant qu'incarnation de la déesse Bastet.
Sommaire
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1 Le chat égyptien
2 Le chat au quotidien
3 Les chats dans la mythologie égyptienne
4 Bubastis et le culte du chat
5 Traditions funéraires
6 Le déclin du culte du chat
7 Notes
8 Voir aussi
8.1 Articles connexes
8.2 Sources

Le chat égyptien[modifier]
Chat serval.

On connaît trois espèces du genre Felis ayant vécu dans l'Égypte antique.

Le chat sauvage d'Afrique ou chat ganté (felis silvestris libyca) est le chat le plus répandu. Espèce endémique, on le retrouve partout en dehors du Sahara et des forêts tropicales. Sa taille varie de 50 à 70 cm et son poids de 3 à 7 kg. D'une morphologie comparable aux Abyssins d'aujourd'hui, il possède un pelage foncé pour les groupes vivant en forêt, plus clair pour ceux vivant dans le désert. Animal de préférence nocturne, il chasse au crépuscule ou durant la nuit. La journée, il se protège de la chaleur dans des terriers ou dans des arbres.

Le chat des marécages ou chaus (felis chaus) est un chat vivant dans les zones humides (on en trouve jusqu'en Asie). Plus grand qu'un chat sauvage, mais court sur pattes, il mesure de 60 à 75 cm pour un poids variant de 10 à 15 kg. Il a un museau long et fin, des pinceaux noirs sur les oreilles et une queue annelée. Son pelage est d'un brun épais ou rougeâtre marqué de bandes noires sur les pattes antérieures.

Le chat serval ou serval (felis serval) est un chat originaire de Nubie (on le retrouve du sud du Sahara à l'Afrique australe). Préférant la nuit, il vit dans la savane. D'une taille moyenne d'environ 70 cm et d'un poids variant de 14 à 18 kg, il possède un corps élancé avec de longues pattes. Son pelage tacheté est d'un brun fauve et s'éclaircit sous son corps. Il a de grandes oreilles, une petite tête et de grands yeux.
Le chat au quotidien[modifier]
Momie de chat (Musée du Louvre).

Les Égyptiens de l'Antiquité nommaient le chat par l'onomatopée « miou », dont la transcription est miw au masculin et miwt au féminin (le français utilise également ce genre d'onomatopée qu'on retrouve dans le verbe miauler).
W19 i w E13
ou
W19 i w F28
miw miw1

On pense que la domestication du chat eut lieu en Égypte au cours du IIIe millénaire av. J.‑C.. Avant de devenir un animal de compagnie apprécié pour sa douceur, sa grâce et sa nonchalance, le chat est avant tout un animal protecteur. En chassant les petits rongeurs, il protège les silos à grain où les Égyptiens entreposaient leur récolte (notamment le blé), ressource vitale pour ce peuple d'agriculteurs. En chassant les rats, le chat élimine un vecteur de maladies graves (comme la peste). Enfin, en chassant les serpents (notamment les vipères à cornes), il rend plus sûrs les alentours des foyers proches d'où il a établi son territoire.

Il semble que chaque temple possédait ses propres chats dont le « gardien des chats » (poste important transmis héréditairement) avait la charge. Le chat, comme les autres animaux sacrés, avaient un statut particulier dans la société égyptienne. Ainsi il était interdit de tuer ou même de maltraiter les chats, et les contrevenants risquaient une peine très lourde pouvant aller jusqu'à la mort (peine sûrement proportionnelle à l'importance du-dit chat). Diodore de Sicile (un historien grec) décrit une scène s'étant déroulée vers -60 : un char romain écrasa par accident un chat égyptien et en dépit des ordres du pharaon Ptolémée XII, un soldat égyptien tua le conducteur.

Les milliers de momies de chat retrouvées dans des cimetières pour chats peuvent nous faire penser qu'il était l'animal le plus populaire de l'Égypte antique. Cependant, le grand nombre de momies de chats retrouvées peut aussi s'expliquer par sa petite taille (on enterre plus facilement un chat qu'un taureau). Dans les palais, le chat était l'animal domestique par excellence, élevé dans l'abondance. La tradition voulait que leurs maîtres se rasent les sourcils en signe de respect quand le chat venait à disparaître et un deuil de soixante-dix jours avait lieu le temps de sa momification. Le chat accompagne parfois son maître dans l'au-delà sous forme de statuette (ou sculpté sur les sépultures). On trouve également le chat représenté sur de nombreux vases, bijoux et vaisselle, ainsi que dans les peintures (notamment sous le siège de la femme, comme symbole protecteur).
Les chats dans la mythologie égyptienne[modifier]
Le chat, divinité égyptienne, statue de Bastet.

L'Égypte, tant politiquement que culturellement, n'a pas toujours formé un bloc uniforme. À l'origine, il y avait de nombreux royaumes, dirigés par des tribus, pour la plupart totémistiques, axant leur culte sur des animaux.

On attribuait alors tel ou tel animal à tel ou tel membre, en fonction de ses qualités, de ses services rendus, de son courage, etc. Quand une tribu ou un membre remportait une victoire, il était en droit d'exiger de la part du perdant qu'il adore son totem. Un Empire fut formé sous Ménès, vers le XXXIe siècle av. J.‑C., adoptant une religion plus éclectique : des ibis, des aigles, des scarabées étaient adorés et, sûrement, des chats.

Les Égyptiens voyaient les dieux non pas comme de simples esprits, mais comme des entités intelligentes, capables de s'incarner dans tout être ou objet. Une coupe de cristal, décorée de l'image de la déesse à tête de lion Mafdet, date d'environ -3100 : c'est la plus ancienne forme de déité représentée en Égypte. Bastet, la déesse à tête de chat, était à l'origine peinte comme un lion protecteur et belliqueux. Son image, au cours du temps, a été modifiée pour l'associer aux chats domestiques, bienveillants mais sauvages.

Les chats, en tant qu'incarnation de Bastet, étaient momifiés. Le respect qu'ils recevaient après la mort reflète celui qu'ils inspiraient chaque jour de leur vie. L'historien grec Hérodote écrivait que les Égyptiens se postaient autour des incendies pour s'assurer qu'aucun chat n'irait se brûler. À la mort d'un chat, écrivait également Hérodote, la famille était en deuil et se rasait les sourcils, en signe de tristesse2.
Bubastis et le culte du chat[modifier]
Un chat tuant le serpent Apopis.

Bien que le culte du chat soit déjà un mouvement religieux important à l'avènement du Nouvel Empire, il prit de l'ampleur quand Sheshonq Ier développa la ville de Bubastis (arabe : Tell Basta), chef-lieu de la déesse Bastet, située à l'est du delta du Nil. Bastet devint très populaire et importante au sein de la population, représentant alors la fertilité, la maternité, la protection et l'aspect bénévole (dans le sens étymologique, de bon vouloir) du soleil - de même que Sekhmet, elle était appelée l'Œil de Rê. Réunissant des milliers de croyants et autant de pèlerins, le culte du chat était responsable de l'arrivée annuelle d'une population immense dans les rues de Bubastis. Bubastis devint un autre nom de Bastet.
Les chats étaient embaumés puis momifiés.

Près du centre de la cité, on pouvait voir le temple de Bastet. Ce temple était rabaissé par rapport au reste de la cité, pour éviter l'érosion de l'eau, mais a été surélevé par la suite pour éviter les inondations. Hérodote, qui visita Bubastis en -450, disait de ce temple que, s'il n'était pas aussi grand ou n'avait pas coûté autant que ceux des cités alentours, nul n'offrait plus de plaisir aux yeux. Hérodote décrit en détail le temple. Un canal, qui entoure le temple, donne à ce dernier une allure d'île déserte. Dans la cour se trouvait une allée d'arbres, menant vers l'entrée intérieure, qui exposait une statue massive de Bastet, ainsi qu'un nombre important de chats sacrés dont les prêtres s'occupaient grâce aux dons des pèlerins. Ces chats, très respectés, n'en restaient pas moins extrêmement nombreux, et un sacrifice périodique était organisé. Les chats sacrifiés, souvent des chatons, étaient ensuite bénis et momifiés, puis vendus comme reliques sacrées. Bubastis devint un centre de commerce, que ce soit dans la vente du bronze, des sculptures ou des amulettes à l'effigie du chat. Hérodote écrivit que le festival annuel en l'honneur de Bastet qui se tenait dans la cité était l'un des plus populaires, faisant se déplacer des croyants de toute l'Égypte.

Le mercantilisme et l'influence de Bubastis inspirèrent les auteurs de la mythologie judéo-chrétienne. Au VIe siècle av. J.‑C., Ezéchiel écrivait :

« Les jeunes hommes d'Aven et de Pibeseth [Bubastis] tomberont par l'épée, et ces cités seront captives3. »

— Ezekiel 30:17

Ezéchiel percevait par l'importance de Bubastis, à l'instar de la ville de Ninive, un paganisme et un péché qui vaudrait aux deux villes une punition.

Vers -525, l'Égypte était le principal Empire que la Perse n'avait pas encore conquise. Cambyse II, fils de Cyrus II, se fixa donc l'objectif de changer cet état de fait. Avec son armée, il parcourut 56 km à dos de chameau à travers le désert jusqu'à l'avant-poste égyptien de Pelesium. Ils attaquèrent l'armée égyptienne, qui n'osa pas riposter à la vue des boucliers perses, sur lesquels on pouvait voir un chat de bronze. Cependant, la cité fut défendue plus efficacement grâce aux renforts de l'armée égyptienne, qui mit en déroute les combattants perses.
Traditions funéraires[modifier]
Les chats étaient vénérés et momifiés.

Hérodote écrivit que les chats qui mouraient, où que ce soit en Égypte, étaient amenés à Bubastis pour être momifiés et enterrés dans le grand cimetière4. Cependant, il semble que ce ne fut que très exceptionnel.

L'égyptologue suisse Henri Edouard Naville a trouvé près de 20 m³ de cadavres de chats, et des traces de crémation, des os dans des vases, des puits, de l'argile. À côté de chaque puits, un autel et un foyer, noirci par le feu. La momification est censée permettre au ka (l'esprit) du défunt de retrouver son hôte et y renaître dans l'autre monde. Pour cela, le corps doit rester intact - la crémation interfère avec ce processus. Néanmoins, brûlés ou non, les chats recevaient les rites funéraires et l'embaumement, au même titre que leurs propriétaires.

En 1888, la découverte du temple de Bastet, en dehors de Beni Hassan, amena à l'excavation de près de dix-neuf tonnes de momies et de restes animaux - dont relativement peu de chats. Récemment, Roger Tabor découvrit un autre cimetière félin au temple de Bastet, soulevant une couche épaisse de vingt centimètres de momies compressées par les débris du temple, étalées sur une largeur de six mètres.
Le déclin du culte du chat[modifier]

Le culte de Bastet a été officiellement interdit par décret impérial, vers 390. Le chat en Égypte a donc vu un déclin progressif de son intérêt, bien que resté en tant qu'animal de compagnie, il n'était plus adoré dans les temples. À cause notamment du recul des maladies, et notamment de la peste dont il freinait la transmission, le chat n'a plus, aujourd'hui, l'importance qu'il a eue en Égypte.

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nos minous sont toujours adorés comme des Dieux .... par contre, ne m'en veuillez pas, je ne vais pas me raser les sourcils. mais mon mimi Flip aura une place privilégiée dans le séjour sur le meuble, en compagnie de l'image de Titou.
je voue une admiration pour le peuple Egyptien et pour les rois qui ont fait des merveilles dans ce pays.
Dommage que toutes leurs richesses aient été dilapidées !

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en effet je trouve ca genial de respecter les chat on devrait en faire de meme ici(je parle des energumene maltaitant!) Smile

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T'as vu l'emission sur france4 ou 5, c'est ça ? ^^'.
"Chacun son chat"

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Très beau post! Aaaah Bastet, déesse sage et protectrice... J'en ais plusieurs représentations chez moi! Dont une qui ressemble beaucoup à la statuette de droite dans tes photos!

Merci pour l'article!! J'adore toujours autant!

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