bullette191 0 Posté(e) le 26 novembre 2008 PLAIDOYER D'UNE JEUNE MERE... ( Actualité publiée le 20/10/2008) Je suis prisonnière de cette cage depuis aussi loin que je me souvienne... Pourtant il y a quelques heures, entre bonheur et désolation, j'ai donné naissance à mes huit petits entre la chaudière rouillée qui contient de l'eau gelée, souillée et les excréments que j'ai laissé quelques jours auparavant sur le grillage où mes nouveaux-nés sont tombés lorsque mon ventre les a, malgré lui, libérés de mon amour pour les plonger dans cette nuit, ce froid, cette solitude... Ils sont déjà orphelins de père car j'ai vu son corps rigide et inanimé dans l'enclos de l'autre côté du couloir. Puis il y a eu un peu de chaleur dans la grange... Celle du feu que son corps sans vie a alimenté. Sa mort nous aura permis de rester en vie, hélas, quelques jours de plus... Dans mes rêves, il y a des enfants qui jouent avec des chiens et une balle et qui rient quand un chiot roule maladroitement dans l'herbe. Je me demande si je saurais courir et bondir... Je n'ai pas mangé depuis qu'il a fait nuit dans le couloir à plusieurs reprises. Le jour et la nuit, ce sont des mesures du temps que vous utilisez, vous les humains en qui j'ai déjà eu confiance... Les ténèbres sont toujours suivies de la petite ampoule suspendue au plafond, voilà ma mesure à moi pour le temps qui passe. C'est tout ce que je connais du temps, outre la douleur et la peur qui m'habitent. Si je pouvais m'en approcher de cette petite lueur, j'y réchaufferais mes petits... Je suis affaiblie, si fatiguée et ils ont froid. Dans mes rêves, il y a des gens qui caressent leur animal... Je me demande comment c'est, une caresse... Ils sont blottis contre moi, à tenter de téter quelque lait qui assurera leur survie. Mais compte tenu de mon état, je suis malade, affaiblie, amaigrie, j'en ai bien peu à leur offrir. Si seulement on m'apportait un peu d'eau fraîche, quelques grains de moulée, je pourrais être une bonne mère.... Ils ont ce joli pelage tout doux, tout soyeux que j'avais aussi à leur âge... Leur beauté me fait oublier ma décrépitude, ma peur, mon épuisement. Dans mes rêves, quelqu'un me donne un bain et je joue dans la mousse qui virevolte tout autour de nous... J'ai entendu dire que de l'autre côté de la porte, il y a des oiseaux qui chantent... Ici, tout n'est que symphonie de douleur, de peur, de résignation, de misère... Je n'ai jamais entendu de musique autre que celle-ci... Dans mes rêves, j'entends votre voix réconfortante et bienveillante qui m'appelle alors que je cours vers vous... Deux de mes tout petits n'arrivent pas à téter suffisamment et je les vois agoniser sans bruit, sans résister... Je les lèche affectueusement pour qu'ils sachent que je les aime, pour qu'ils connaissent la tendresse et l'affection avant de mourir. Je leur offre ce que je voudrais tant recevoir... J'ai entendu parler d'un endroit qu'on appelle une maison... Il semble que mes petits pourraient y dormir sur un petit coussin, boire de l'eau fraîche, se cacher sous vos couvertures dans votre grand lit... Dans mes rêves, nous jouons et cabriolons sur le parquet tout propre et lustré... Un autre de mes nouveau-nés a une patte coincée dans le grillage trop grand pour nous soutenir convenablement et je n'arrive pas à l'en extirper. Il pleure. C'est si difficile pour mon coeur de mère d'être là, impuissante, hurlant pour qu'on vienne à son secours. Seul l'écho de la nuit glaciale répond à ma supplication. Il s'affaiblit et je n'y peux rien... J'ai entendu dire que de l'autre côté de la porte, il y a des saisons, des papillons, des fleurs... Dans mes rêves, j'arrive presque à ressentir l'odeur du printemps, de l'herbe fraîche... Tandis que les autres se sont définitivement tus, deux d'entre eux sont plus forts et pour ces survivants, j'ai le choix... Les laisser vivre pour qu'ils aillent dans cette cage à peine plus grande que celle-ci dans une quelconque animalerie de quartier. Vous pourriez peut-être l'adopter... J'ai entendu dire que des gens offrent des choses agréables et multicolores à leur chien qu'ils peuvent mâchouiller ou grignoter... Dans mes rêves, tandis que vous me portez dans vos bras, je m'agite doucement pour vous montrer celui que je préfère... ... Ou alors, je peux choisir, tandis que je tourne sans cesse dans mon petit espace insalubre et lugubre, de leur broyer la colonne pour les entendre hurler quelque temps avant que l'on vienne le détruire... Ainsi, ils vivraient éternellement et confortablement dans mes rêves... Si vous étiez ici, maintenant, que choisiriez-vous pour votre enfant, dites-moi... Il est trop tard, ils viennent et j'entends leurs pas. Non, par pitié, non, ne les emmenez pas! Ils sont trop jeunes et je n'ai pas eu le temps de leur apprendre tout ce qu'ils doivent... Ils sont malades et ils ont froid, ils ont besoin de moi... Non, non... Trop tard, ils les ont pris. Si au moins l'un de ces inhumains, celui-là même qui m'a battue il y a quelques mois alors que je refusais le viol qui aura fait de moi une mère, leur avait au moins adressé un mot gentil, une caresse... Ils les placent brusquement dans une autre cage où déjà deux autres petits sont entassés. Les cages disparaissent derrière la porte. Il y a eu une grande lumière lorsqu'elle s'est ouverte... Est-ce donc cela la vie? Dehors? La lumière... On m'a dit que, s'ils survivent au long trajet, ils seront emmenés dans une animalerie et qu'une fois toilettés et parfumés, ils seront mis dans une cage, une autre... Plus rien n'y paraîtra, personne ne saura qui est leur père dont la carcasse fumante achève de se consumer et de leur mère qui agonise... Si vous les aimez vraiment, ne les adoptez pas parce que cela ne nous donnera pas davantage de nourriture, d'eau, de chaleur... Et si vous ne les achetez pas, alors peut-être ce vous appelez la mort viendra me délivrer... Sinon, je survivrai encore et cela, je ne peux plus le subir. Je me demande comment elle est cette dame, la mort... Tiens, je la vois juste là devant moi... Comme elle a l'air gentille et douce, bienveillante et confortable... Comme dans mes rêves... Si vous étiez ici, maintenant, que choisiriez-vous, dites-moi... La délivrance ou la souffrance??? Je n'ai pas de nom, j'ai vécu quelques mois, à peine vingt-trois selon votre calcul mais je leur ai rapporté douze chiots vivants... Et voilà, tout s'arrête ici, maintenant, car je choisis d'aller vers la délivrance... Prenez bien soin de mes petits... Je vous pardonne, adieu... 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Parigo bull 0 Posté(e) le 26 novembre 2008 Oh oui je l'avais déjà lu, je n'ai pas su le relire tant ce texte est réelle ,triste et cruel, je déteste cette triste réalité ,je sents rage, colère et larmes m'envahir, je fuis............ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
bullette191 0 Posté(e) le 26 novembre 2008 J'avoue que je n'arrive pas à le lire d'un trait....c'est impossible Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Jessy05 0 Posté(e) le 26 novembre 2008 Ca me retourne les tripes.. Je n'ai meme plus de mots pour décrire ce que je ressens. C'est tellement triste. ............ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Arome1 0 Posté(e) le 26 novembre 2008 J'ai du le lire en plusieurs fois ... comme s'il me fallait du temps pour digérer les choses les unes après les autres. C'est CRUEL ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
isakarl 0 Posté(e) le 27 novembre 2008 Quel malheur Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
cecile641 0 Posté(e) le 27 novembre 2008 Quelle cruauté !!!!!!!!!!!!!! Pour ma part je n'achete jamais rien dans les animaleries (ou il vendent des chiens et chat, car je ne veux pas cautionner celà !!!! Ca me fou la rage !!!!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Aurélie43 0 Posté(e) le 27 novembre 2008 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
di lauro 0 Posté(e) le 27 novembre 2008 JE N'AI PAS PU RETENIR MES LARMES EN LISANT CE TEXTE....ET DIRE QUE TOUT CELA EST VRAI DANS LES PAYS DE L'EST Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
vanessadu811 0 Posté(e) le 27 novembre 2008 Tellement dur, tellement inhumain, tellement inimaginable, mais pourtant la réalité. Perso je bannis toute animalerie. Quand on lis de tels textes cela fait reflechir. On craque devant les bébés mais bien des personnes ne se doutent pas des souffrances qu'endurent les parents. Mais les animaleries le savent bien. Sur combien de sites consacrés aux animaux n'ai je pas lu "Mais j'ai eu tellement de peine en le voyant que je l'ai acheté". Tous devrait prendre conscience que les animaleries sont a proscrire. Ce jour là alors ces souffrances seront évitées. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Jess081 0 Posté(e) le 29 novembre 2008 J'en ai des frissons de lire ce texte.... Et dire que ç'est réel... Je suis dégoutée devant tant d'inhumanité... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
bully11 0 Posté(e) le 16 décembre 2008 ATTENTION CERTAINE PHOTOS SONT CHOQUANTE MAIS CA ILLUSTRE BIEN LE TEXTE "Plaidoyer d'une mère" http://sos-rottoto.forumactif.com/la-protection-animale-f26/usine-a-chiots-au-canada-attention-photos-pouvant-choquer-t4076.htm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Arome1 0 Posté(e) le 17 décembre 2008 Je pensais pas que le Canada était un pays où ce type d'agissement existait aussi. Vous me direz pourquoi pas là ? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
isakarl 0 Posté(e) le 17 décembre 2008 Punaise quel scandale Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Jess081 0 Posté(e) le 17 décembre 2008 Pauvres bêtes... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
nanath80 0 Posté(e) le 18 décembre 2008 j ai lu et c est horrible j ai le coeur qui s est serrer et les larmes qui sont venu c est inhumain et chocant Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 8 janvier 2009 J'ai retrouvé (je me souviens jamais ou je range les docs..) un autre recis dans le même style... Dans le même genre ... Comment est-ce possible ? Quand j'étais un chiot, je vous ai amusés avec mes cabrioles et vous ai fait rire. Vous m'avez appelé votre enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu votre meilleur ami. Toutes les fois que j'étais méchant, tu agitais ton doigt vers moi et me demandais Comment peux-tu ?, mais après on s'amusait ensemble. Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que vous étiez terriblement occupés, mais nous y avons travaillé ensemble. Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite. Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades en voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que la glace est mauvaise pour les chiens, comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison. Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et à te concentrer sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain. Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirement de coeur et déceptions, t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer, et puis tu es tombé amoureux. Elle, maintenant ta femme, n'est pas une personne-chien mais je l'ai accueillie dans notre maison, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux. Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation. J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi. Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce ou dans une niche. Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un prisonnier de l'amour. Comme ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami. Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussés leurs doigts dans mes yeux, fouillés mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez. J'aimais tout d'eux et leurs caresses (parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes) et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était. J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée. Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien et qui te demandaient une photo de moi dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos. Ces dernières années tu répondais juste oui et changeais de sujet. Je suis passé du statut de ton chien à seulement un chien, et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi. Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers. Tu as fait le bon choix pour ta famille mais il y eut un temps où j'étais ta seule la famille. J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux. Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir. Tu as rempli la paperasserie et as dit je sais que vous trouverez une bonne maison pour elle. Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé. Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec des papiers. Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il criait Non, Papa! S'il vous plaît ne les laissez pas prendre mon chien ! Et je me suis inquiété pour lui, quelles leçons lui aviez-vous apprises à l'instant au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie. Tu m'as donné un au revoir-caresse sur la tête, as évité mes yeux, et as refusé de prendre mon collier avec vous. Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois et rien fait pour me trouver une autre bonne maison. Elles ont secoué leurs têtes et ont dit Comment est-ce possible ? Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés ne les leurs permettent. Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours. Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi, que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve... ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver. Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu. J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et je piétinais le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée. Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiéter. Mon coeur battait d'anticipation à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement. Le prisonnier de l'amour avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plus inquiété d'elle. Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connais votre humeur chaque jour. Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue. J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années. Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine. Quand j'ai senti le dard et le liquide se répandre à travers mon corps, je me suis assoupi, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré Comment as-tu pu ? Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit je suis si désolée. Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que je suis allé à une meilleure place où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné, ou aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d'amour et de lumière très différent de cet endroit. Et avec mes dernières énergies, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon Comment as-tu pu ? n'était pas dirigé contre elle. C'était à toi, Mon Maître Bien-aimé, que je pensais. Je penserai à toi et t'attendrai à jamais. Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté. Jim Willis http://www.crean.com/jimwillis/ Note de l'auteur: Si "Comment est-ce possible ?" a mis des larmes dans vos yeux en le lisant comme cela me l'a fait alors que je l'écrivais, c'est parce que c'est l'histoire de millions d'animaux familiers qui meurent chaque année dans des chenils français, américains et canadiens. Tout le monde est bienvenu à distribuer cet essai dans un but non commercial, aussi longtemps qu'il est distribué correctement avec l'avis du copyright. S'il vous plaît utilisez-le pour aider à l'éducation, sur vos websites, dans des bulletins d'informations, dans les refuges pour animaux et tableaux d'affichage du bureau du vétérinaire. Dites au public que la décision d'ajouter un animal familier à la famille est une importante décision pour la vie, que les animaux méritent notre amour et nos soins, que la recherche d'une autre maison appropriée pour votre animal est votre responsabilité et que toute vie est précieuse. S'il vous plaît, faites votre part pour arrêter le meurtre d'animaux, et encouragez les campagnes pour prévenir que des animaux soient non désirés. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 10 janvier 2009 C'est horrible !!!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
corailfr 0 Posté(e) le 10 janvier 2009 Quelle tristesse.... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
ronin 0 Posté(e) le 3 avril 2009 pasdemots Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
oOLillyOo 0 Posté(e) le 27 octobre 2012 je viens de tomber sur ce post... les frissons et les larmes aux yeux... c'est trop horrible mais comme vous dite malheureusement cela arrive... quand je regarde mon bébé je me demande comment on peut leur faire autant de mal... avec tout l'amour qu'il nous apportent... les hommes peuvent etre d'une cruautée... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
chacha83 0 Posté(e) le 27 octobre 2012 Il y a une phrase qui dit: "S'il est vrai que les animaux ne pourront jamais s'élever aussi haut que l'homme, ils n'arriveront pas à descendre aussi bas" Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
oOLillyOo 0 Posté(e) le 27 octobre 2012 alors ça c'est sur chacha...je suis d'accord... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
chouboup 0 Posté(e) le 29 octobre 2012 J'en ai une un peu plus marrante, mais dans le style de l'abandon...ANNONCE: Donne 2 enfants de 5 et 2 ans. La raison est l'adoption d'un animal. Manque de place pour les enfants mais surtout mon animal est très allergique à leurs cris. Il ne peut dormir tranquillement dans son panier sans être déranger. C'est sur les conseils de mon vétérinaire que je me débarrasse d'eux. Je recherche néanmoins une famille sérieuse (parce que je veux avoir bonne conscience) qui saura s'occuper d'eux et parfaire leur éducation au moment de l'adolescence.Quoi ? Ca vous choque ? C'est grave ? Pourtant, chaque jour, des dizaines d'annonces sont publiées dans le sens inverses et ça ne choque pas grand monde... Pour continuer à lutter contre l'abandon, poste ça sur ton mur !!!!!!!!!!!UN CHIEN EST UN ETRE VIVANT AVEC UN COEUR IL NE FAUT PAS L'OUBLIER!!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Jess081 0 Posté(e) le 29 octobre 2012 Ca c'est bien vrai ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Aurélie43 0 Posté(e) le 29 octobre 2012 Tout à fait d'accord ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites