Les 10 excuses les plus ridicules pour abandonner son chien

[domodi 0]

no comment......

Quelles sont les excuses invoquées par les maîtres pour abandonner sur la route ou dans les chenils Médor et autre Princesse…


La principale association de défense des chiens en Grande-Bretagne a décidé de dresser une liste des raisons les plus futiles ou les plus "scandaleuses" pour délaisser toutou…

Attention, certaines excuses sont particulièrement ridicules. En tête de classement figure un propriétaire qui n'a pas hésité à expliquer que son chien "n'est pas assorti au canapé".

Dans le même registre, un maître a souhaité échanger son chien noir contre un blanc, pour être assorti à sa nouvelle moquette. Certains possesseurs de compagnons à 4 pattes ont expliqué que leur animal était trop vieux et qu'ils aimeraient l'échanger contre un plus jeune ou contre une poupée. Un autre a estimé que son chien avait l'air méchant et que ses yeux de couleur différente le faisaient ressembler au chanteur David Bowie.

Faire peur au cochon d'Inde, avoir ouvert tous les cadeaux de Noël ou mangé la dinde qui refroidissait sur le plan de travail, sont d'autres motifs d'abandon invoqués pour abandonner un chien, selon le Dogs Trust.

La directrice de l'association, Clarissa Baldwin, a fustigé des justifications d'abandon "scandaleuses" et "attristantes". A la veille de Noël, elle a aussi annoncé que l'association n'accepterait plus d'héberger les chiens abandonnés pendant les fêtes de fin d'année.

http://www.rtlinfo.be/rtl/

[claudie 0]

Je l'ai entendu à la radio ce matin, c'est vrai que les gens racontent parfois n'importe quoi et ils n'ont même pas honte

[Orka 0]

sans commentaires, connerie humaine quand tu nous tiens....

[mary-toutou 0]

aucune excuse n'est valable à mes yeux sauf un décès et maladie grave

[claudie 0]

mary a écrit:

aucune excuse n'est valable à mes yeux sauf un décès et maladie grave

d'accord avec toi, et c'est bien pour ça qu'il faut bien réfléchir avant de prendre un animal

[Umbra 0]

il n'y a pas d'excuse !

Citation :

mary Mar 16 Déc 2008 - 17:52

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aucune excuse n'est valable à mes yeux sauf un décès et maladie grave

je suis complètement d'accord , mais faut-il le prouver ,
car c'est facile d'évoquer la maladie ou un décès !! non ?
il suffit d'envoyer une personne avec le chien et dire que le maitre est décédé ou très malade
allé le prouver

[Manoon1 0]

Effectivement les raisons citées sont vraiment ridicules !!

mary a écrit:

aucune excuse n'est valable à mes yeux sauf un décès et maladie grave

Mary je suis beaucoup moins catégorique que toi, je comprends beaucoup d'abandons même si je ne les cautionne bien sûr pas.

Par exemple les gens qui abandonnent leur chien parce qu'il est agressif ou qu'il a mordu, en général ce sont des personnes qui ont peur de leur chien, et c'est vraiment dur de les faire changer d'avis. Ce n'est pas qu'elles soient connes, c'est juste qu'elles ne comprennent pas leur chien, ou qu'elles sont persuadées qu'elles ne peuvent pas le récupérer...

Bon par contre quand il s'agit d'assortir le chien à la moquette ou même de l'arrivée d'un bébé ou autres excuses ridicules...

[cedafla 0]

Je suis de l'avis de Manoon, certaines personnes abandonnent leur chien car n'arrivent plus à les gérer et ne cherchent pas d'autres solutions que l'abandon.
Mais les exemples donnés par domodi sont plus que ridicules et les personnes méritent des baffent

[aikho64 0]

J esuis d'accord avec Manoon et Cedafla mes parents ont du malheureusement abandonné mon Doberman ils ont cherché une association qui n'allait pas euthanasier le chien, ils ont étaient obligeaient de le faire car quand ils l'ont eu ils vivaient dans une maison avec plus de 3000m² de terrain mon père a dut être mutée et ils n'ont pas eu le choix que de prendre un appartement, mon chien était seul et ne pouvait pas sortir il faisait beaucoup de dégât et était malheureux en appartement, il ne sortait que 2 fois par jour donc ils ont pris la décision de le donner et 1 mois après il était adopté .

Mais par contre je suis contre les excuses minables comme cités ci dessus ...

[mary-toutou 0]

je reste sur ma position, on prend pas un chien si on en a peur ou alors on y travail pour ne plus en avoir peur. les excuses de déménagement ou autre alors sa encore moins. pour moi c'est comme mes enfants inimaginable de les donner a quelqu'un d'autre

[Balou1111 0]

mary a écrit:

je reste sur ma position, on prend pas un chien si on en a peur ou alors on y travail pour ne plus en avoir peur. les excuses de déménagement ou autre alors sa encore moins. pour moi c'est comme mes enfants inimaginable de les donner a quelqu'un d'autre

Pareil mes animaux c'est mes bébés, mes "enfants de coeur" jamais je les abandonnerai, uniquement la mort nous séparera.

[aikho64 0]

Chacun à son opinion moi je n'ai pas compris mes parents au début puis maintenant je les comprend et je pense que chez ces nouveaux maîtres il était + heureux avec du terrain il pouvait courrir quand il voulait enfin chacun ses opinions ....

:animaux 3:

[aikho64 0]

et je pense que je prefererait que mon chien soit heureux chez un autre que malheureux chez moi !!

[ugotina 0]

je suis contre l'abandon d'un animal quelque soit la race ,

mais la faute est en grande partie aux animalerie
qui vendent m'importe quel chien a n'importe quel maitre

j'aime les grands chiens ,mais par manque de place j'ai pris des pinschers

un chiot deviendra grand et suivant la race aura tel ou tel besoin et c'est avant tout cela qu'il faudrait faire comprendre aux futurs maitres

[domodi 0]

oui..... vous avez toutes et tous raison. Un animal est parfois une contrainte... et il faut faire un choix.

Comme dans la majorité des cas, un animal est tout bonheur....

Je n'ai jamais fait de différence entre mes chiens et ma famille.... J'espère que je ne vous choque pas.
je vais tenter de vous expliquer ma façon de voir..... (j'ai eu mon premier chien a 15 ans.... il n'etais pas vraiment a moi...)

allez, je ne suis pas comme ça. je vous mets un passage de mon second bouquin..... vous comprendrez plus facilement.

"Resilience" sera le titre de mon second bouquin.

extrait.

..... J’entre sans faire de bruits dans l’étable. A pas lents, je me dirige vers le boxe ou est enfermé le chiot. J’ose un regard par-dessus le muret. Je découvre une petite boule de poils noirs recroquevillée dans un coin. Je reste immobile et silencieux pour ne pas le réveiller.
Dans son sommeil, le chiot semble rêver. Il pousse de minuscules cris plaintifs. On dirait qu’il. . . . . . non ce n’est pas possible. C’est un animal. Les animaux ne peuvent pas. . . . . . ne savent pas pleurer ! Ce n’est pas normal. Seuls les humains ont le privilège de la souffrance ou de la joie. Pas les animaux.
Et pourtant, je dois me rendre à l’évidence. Cet animal pleure en dormant. Après tout, qu’est ce que je connais des animaux ? Est-ce que je sais seulement ce que c’est un chien ? De surcroît un chiot ?
J’ouvre doucement la porte du boxe et m’assoie dans la paille a coté de cette bestiole, qui malgré sa petite taille, m’oblige à réfléchir au lieu d’aller dormir.

Soudain, l’incroyable, l’impensable, l’inimaginable se produit. Sans aucune autre forme que ce soit, le chiot se réveille, me regarde quelques secondes, se lève et sans plus attendre s’installe confortablement sur mes jambes. Tout de suite il se rendort. Je suis tétanisé. Je n’ose plus faire un seul mouvement Qu’est ce qu’il lui prend a cette bête ? Elle n’est pas normale ! Sans réfléchir plus loin, je saisis le chiot pour le déposer dans son coin. Aussitôt il se relève et se remet de façon autoritaire sur mes jambes. Il me regarde comme pour me dire qu’il restera là et chose incroyable, il me lèche la main.
Ensuite il se roule en boule et se rendort du sommeil du juste non sans avoir poussé un long soupir qui semblait dire « qu’est ce que je me sens bien ». Je connais trop bien cette réaction. C’est la même que j’avais quand « l’autre » après m’avoir cogné, m’abandonnait dans un coin. Oui, a ces moments là, je poussais le même long soupir de soulagement que ce chiot.


Sans vraiment me rendre compte, j’ai posé ma main sur cet animal qui me ressemble dans sa douleur, dans sa solitude. Je commence a le caresser tout doucement. Un frisson me parcourt. Je viens de saisir l’importance de ce moment sans pouvoir vraiment me l’expliquer. Cet animal a réveillé en moi des sentiments enfouis au plus profond de mon cerveau. Des sentiments dont je ne connais pas la signification. Je me sens bizarre, mais en même temps je me sens bien. Alors pour ne pas casser ce moment magique, je ferme les yeux tout en m’allongeant dans la paille. Le chiot se blotti contre moi, au plus prés de ma figure. On dirait qu’il recherche le souffle chaud de ma respiration, son museau est tout contre ma bouche. Mon réflexe est de reculer ma tête, mais tout de suite il avance au plus près de ma figure, pose sa patte sur ma joue, pousse a nouveau un long soupir suivi d’une courte plainte et. . . . . . . . et je me mets a chialer. . . . . . . . Pourquoi ?

Ce petit cabot misérable, dans sa douleur et sa solitude, m’a choisi comme protecteur et ami. Il n’a pas cherché à savoir qui je suis. Il est tout simplement venu vers moi, c’est blotti contre moi, et. . . . . . . . J’ai mal a la tête, comme a chaque fois ou je ne comprends pas, comme. . . . . .
Je ferme les yeux et, respirant a pleins poumons le souffle chaud de ce petit animal, je m’endors pour calmer le désordre et la douleur qui rempli mon cerveau de toutes sortes de pensées troubles et hors logiques.

Le carillon de l’église du village annonce quatre heures trente. Assis dans la paille, je ne sais plus quoi faire pour calmer le chiot qui veux jouer. Du moins c’est ce que je pense ! Comme c’est la première fois que je m’intéresse a un animal sans y être obligé, je ne sais trop que penser. Pourtant je dois reconnaître que ce n’est pas désagréable de pouvoir jouer avec une bestiole. . . . . . . un chiot.

Les mois passent. Le chiot est devenu un magnifique berger allemand qui, pour ne pas arranger ma fierté, ne me quitte pas un seul instant. Jour et nuit, il n’est jamais a plus de cinq mètres de moi. Je suis occupé a des travaux dans les champs, il est là. Il observe mon travail comme s’il y comprenait quelque chose. La nuit, il dort sur le palier de ma porte de chambre, poussant de temps a autre de petites plaintes qui, je le sais, veulent dire

"Laisse moi entrer dans ta chambre".

Seulement voilà, mon patron me l’a interdit. Il me l’a fait comprendre en des termes bien précis.

"Les bestioles avec les bestioles, a moins que tu te prennes pour un des leurs !"

Ce que je ne suis pas loin de croire. Pauvre patron jaloux. Cela vous ennuie que la « bestiole » soit si proche de moi. Votre haine envers cette « bestiole » est visible depuis la fois ou vous lui avez donné un ordre. Comme elle n’a pas réagi a votre autorité, vous avez voulu la frapper. Si je n’avais pas été là, la « bestiole » comme vous vous plaisez a l’appeler depuis, vous aurait sûrement égorgé. Oui mon bon patron, c’est cela la vie.

Dans la hiérarchie de la dominance de cette "bestiole" vous vous trouvez en troisième position. Je suis le numéro un, la "bestiole" est numéro deux , vous êtes numéro trois.
Cela ne vous plait pas. C ‘est normal. J’arrive presque a vous comprendre. Incroyable, non !.........

..............

voila un petit passage du second bouquin que je suis entrain d'écrire. Ce bouquin retrace ma vie de môme dans une famille d'acueil..... qui n'etais pas tres accueillante......

C'est avec ce chien que j'ai appris a connaitre la gente canine et surtout les berger allemand.

[cedafla 0]

Ton texte est vraiment émouvant, domodi J'ai beaucoup aimé. Merci à toi de nous l'avoir mis sur le forum.

[mary-toutou 0]

tu écrit c'est vraiment super sa j'adore la lecture merci pour se passage