mary-toutou 0 Posté(e) le 9 janvier 2009 Malgré les températures sibériennes qui caractérisent actuellement nos journées mais surtout nos nuits, diverses initiatives sont prises pour protéger les animaux du froid et de ses conséquences, qu'il s'agisse de nos compagnons à quatre pattes, des oiseaux de nos jardins ou des pensionnaires de zoos et autres parcs d'attractions. Les sans-abri, on le sait, sont souvent accompagnés d'un ou de plusieurs chiens. Lorsqu'ils sont invités à passer la nuit dans l'un des abris de nuit, ils déclinent souvent la proposition car ceux-ci n'acceptent pas les animaux. La Société Royale Protectrice des Animaux (SRPA) leur vient en aide en proposant de s'occuper de leur compagnon d'infortune. "Il n'est pas admissible de laisser un homme dehors parce qu'il ne veut pas se séparer de son animal", estime la SRPA de Liège, qui a contacté les refuges de la région afin de proposer d'héberger les animaux des SDF qui se verraient refuser l'entrée dans un abri. La Ligue Royale Belge pour la Protection des Oiseaux (LRBPO) demande pour sa part à la population d'être attentive et de veiller à nourrir correctement les oiseaux qui se trouveraient dans les jardins. En raison de la couche neigeuse, du gel et du peu d'heures de luminosité, les oiseaux sauvages ont des difficultés à trouver la nourriture dont ils ont besoin. La LRBPO conseille à chacun de placer graisse et graines énergétiques à différents endroits du jardin pour donner un coup de pouce aux mésanges, rouges-gorges et autres verdiers et leur permettre de survivre à ces conditions climatiques extrêmes. La Ligue précise que certaines graisses et graines vendues dans les grandes surfaces sont de mauvaise qualité et demande d'opter principalement pour le tournesol noir et les graines fraîches. Il est aussi indiqué de mettre un peu d'eau à disposition des oiseaux, en plaçant un treillis sur le récipient afin qu'ils ne s'y baignent et ne gèlent. Etant donné les températures négatives, il y a lieu de changer l'eau à intervalles réguliers. Du côté des zoos et des parcs d'attractions, là aussi des dispositions sont prises. A Bellewaerde par exemple, les bêtes reçoivent des soins particuliers et adaptés, les enclos sont chauffés et des jeux sont installés pour éviter l'ennui. Ce sont surtout les animaux tropicaux qui sont privilégiés. Ainsi, les deux frères éléphants Po-Chin et Assam se reposent dans un enclos chauffé à 22°. Ils se dégourdissent les jambes à l'extérieur lors du nettoyage de leur espace de vie. Avant de sortir, la température intérieure est baissée progressivement pour arriver à 10°, et ce pour éviter un choc thermique aux animaux. Les lions et tigres, qui circulent librement dans leur cour intérieure, reçoivent plus de viande en hiver, expliquent les responsables du parc. Quant aux girafes, elles restent bien au chaud. Pour elles, pas question de sortir! Ce qui n'est pas le cas des zèbres et des autruches, qui aiment mettre leur nez dehors dès que le soleil apparaît. Malheureusement, tout le monde n'est pas aussi bienveillant à l'égard des animaux. Les inspecteurs vétérinaires du service public fédéral (SPF) Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement ont en effet reçu, au cours de ces derniers jours, un nombre important de plaintes concernant des animaux qui, malgré les températures très basses, se trouvaient toujours en prairie. Les bovins et les chevaux ont une bonne résistance au froid et souffrent moins de celui-ci lorsque le temps est sec. "Il en va autrement lorsque le froid est accompagné de précipitations et de vent. Dans ce cas, les animaux doivent avoir la possibilité de se protéger contre les mauvaises conditions atmosphériques. Ils doivent en outre disposer d'un endroit sec où ils peuvent éventuellement aller se coucher", indique jeudi le SPF Santé publique dans un communiqué. Les moutons et les chèvres, un peu moins résistants, seront eux maintenus de préférence à l'intérieur. Il est aussi important de veiller à leur alimentation et à l'approvisionnement en eau. Enfin, l'hiver et le froid donnent parfois l'occasion de découvrir des espèces rares, qui d'ordinaire ne sont pas présentes sur le territoire belge. Une grive à ailes rousses venant de Sibérie a ainsi pu être observée à Erezée, selon le journal Vers l'Avenir. Cette espèce avait été aperçue pour la dernière fois chez nous en... 1956! Depuis, c'est la valse des ornithologues qui font le pied de grue avec leurs appareils photo. (belga) Source : http://www.7sur7.be/7s7/fr/150 et http://journalduchien.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
cedafla 0 Posté(e) le 9 janvier 2009 Je me souviens qu'une année, en Russie, ils avaient fait boire de la wodka aux éléphants pour les réchauffer. C'était un reportage que j'avais vu à la télé. Dans le jardin, j'ai en permanence eu moins 10 petits boules de graisses pour les oiseaux et je vous assure que ça descend à vitesse grand V et les messages (même un couple de pic vert) ne sont pas maigres. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
claudie 0 Posté(e) le 9 janvier 2009 Idem dans le jardin il y a bien à manger pour eux, mais c'est vrai que l'autre jour au pied d'un arbre, j'ai retrouvé un rouge gorge mort Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
vinie 0 Posté(e) le 11 janvier 2009 merci mary pour ces infos avant hier sous la voiture j'ai retrouvé ne petite messange pas très vieille morte de froid également . c'est également pour cela que j'ai mondifier le dodo des chats errant au balcon en mettant deux couche imperméale et une planche pour faire deux hauteur afin que l'espace soit plus petit et la chaleur plus réparti sa leur laisse ainsi plusieur place chaude et il y en a beaucoup plus qui passe leur nuit ici, je leur ai évidement mis des couverture polaire ou laine dedans et le matin il ne sont pas geler comme avant il était froid . Je leur donne également un peu plus a manger que d'habitude vu le froid il reviennent souvent dans la journée grignotter. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites