apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 INFOS PRATIQUES ---Choisir son chien ---Eduquer son chien ---Partir en Vacances ---Se balader ---Divers j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 --- Choisir son chien --- La cohabitation avec l'enfant --- Attente ou envie? --- Un chien en appartement --- Faire l’acquisition d’un molosse --- Accueillir un chiot --- Chien ou chat ? --- Choisir d'accueillir un chien j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 La cohabitation avec l'enfant -------------------------------------------------------------------------------- SUJET: La cohabitation avec l'enfant De nombreuses études l'ont prouvé : la présence d'un animal dans la famille joue un rôle extrêmement positif dans le développement d'un enfant. Il le rassure, le responsabilise, l'aide parfois à acquérir un peu d'indépendance, voire à vaincre sa timidité. Le chien assume souvent plusieurs rôles : copain de jeu, ami et confident, parfois souffre-douleur. Malheureusement, il peut aussi représenter un certain nombre de dangers pour les enfants. Dangers de tous les jours Il existe des troubles du comportement du chien qui peuvent le conduire à devenir agressif. Pourtant, dans la majorité des cas, le chien n'est pas seul en cause lorsqu'il y a conflit, même si c'est lui qui a mordu ou blessé. N'oublions pas qu'entre chiens, la morsure ne représente pas forcément une agression : cela peut être une sanction qu'un adulte applique à un chiot qui ne respecte pas les codes sociaux de l'espèce. L'enfant n'étant pas familier avec le mode de fonctionnement du chien, il peut mal interpréter une menace : il va penser « il rit » alors que le chien grogne et montre les dents. Parfois les petits ne se rendent pas compte du danger ou de la douleur qu'ils peuvent infliger, même sans le vouloir. Les cas de chutes sont aussi fréquents : si vous avez un bon gros toutou de 35 kilos, et que votre petite fille qui marche à peine se trouve dans son passage alors qu'il poursuit une balle, il est fort probable que la collision soit violente ! Comment les éviter ? Nous, les adultes, les parents, avons une énorme responsabilité : c'est à nous qu'il incombe de transmettre le respect de l'animal, de veiller aux situations dangereuses, afin d'éviter qu'une situation à risques ne se créée et ne dégénère. Ce sont plus les déplacements de l'enfant qu'il faut surveiller que ceux du chien. Lui n'ira jamais spontanément provoquer un danger, par contre, il répondra s'il est agressé, et c'est normal dans son système de chien. Evitez les situations de blocage : les animaux n'apprécient pas de se sentir acculés. Comme nous l'avons expliqué (DNA du 21 octobre), le chien doit avoir une zone personnelle où personne n'a le droit de le déranger, son panier par exemple. De même, lorsqu'il est en train de manger, de dormir, ou de ronger un os, il a le droit d'être tranquille, l'enfant doit le savoir. Il vaut mieux ne pas laisser un chien et un enfant seuls dans la même pièce, car même si votre animal est le plus gentil de tous, un accident est vite arrivé. Imaginez que votre petit lui tombe dessus, ou lui fasse mal involontairement : dans le meilleur des cas, le chien s'enfuira, mais si ce n'est pas possible (configuration des lieux, blocage de la part de l'enfant), il risque de se défendre contre ce qu'il prend, lui, pour une agression ! Enfin, il ne vaut mieux pas croire que telle race de chien est « plus gentille avec les enfants », ou qu'un « labrador se laisse tout faire » : un chien reste un chien, quelle que soit sa race. Inconscience et négligence sont encore trop souvent les causes d'accidents dramatiques, qui se terminent la plupart du temps par la mise à mort ou l'abandon de l'animal. Pour l'enfant, outre le choc qu'il a subi en étant blessé -même accidentellement- par son fidèle ami, il doit ensuite faire face au traumatisme de sa disparition. La présence d'un animal doit être une source de bonheurs pour l'enfant, à nous, adultes, d'y veiller. j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Attente ou envie? -------------------------------------------------------------------------------- Sujet: Attente ou envie? Plusieurs propriétaires de chiens m’ont déjà rapporté leur malaise quant à devoir satisfaire les prédispositions liées à la race de leurs chiens, sous couvert que les en priver serait presque un acte de maltraitance. Ainsi, parmi les idées reçues qui circulent… Un berger allemand doit absolument faire du mordant Un caniche est fait pour les expositions de beauté Un border collie doit garder les moutons Un ratier doit partir à la chasse Un doberman est parfait pour le gardiennage Concrètement, chaque animal possède certaines aptitudes innées issues de sa lignée. Si ses ancêtres ont été accoutumés à la conservation de ces capacités (de chasse, de défense, de garde de troupeaux…), notamment par des éleveurs de chiens de race, elles seront probablement latentes. Ainsi le chien possèdera un bagage génétique « favorable » pour la mise en pratique de ce potentiel. Remettons maintenant les choses dans leur contexte : s’agit-il des attentes des propriétaires ou des réels besoins des chiens ? Il y a malheureusement souvent amalgame. A titre d’exemple, un maître m’appela un jour pour me dire que son molosse n’aimait pas attaquer un homme sur ordre. Il fallait que je répare cette « erreur de la nature ». Sic. A-t-on pris en compte les envies du chien lui-même ? Est-il forcé d’apprécier les activités choisies pour lui par l’homme, et s’il n’est pas de cet avis, cela fait-il de lui un mauvais chien ? Les standards physiques d’une race sont importants pour son homogénéité, en revanche l’appartenance à une race ne peut déterminer la volonté propre du chien, contrairement aux qualificatifs donnés dans les livres. Un chien peut ne pas aimer ce que l’on attend de lui. Modifications de l’apparence A l’autre extrémité, voici une autre dérive anthropomorphique : récemment s’est ouvert à Paris un salon de beauté pour chiens. Les bêtes peuvent bénéficier d’une coupe, d’une teinture de leurs poils, et même de mise en beauté de leurs ongles. Elles peuvent aussi profiter de bains de boue, se faire confectionner un collier de strass et écouter de la musique spécifique pour les chiens. Va-t-on nous faire croire qu’il s’agit d’amour de l’animal, lorsqu’on lui inflige une modification de sa nature au point même de gommer son odeur avec des parfums capiteux ? De la même façon que l’on ne devrait pas imposer, une activité à laquelle le chien ne trouve aucun plaisir, il est indispensable de se rappeler les besoins primaires de l’animal. Idéalisant son ami à quatre pattes, voire projetant une image satisfaisante de lui-même sur lui, l’homme en oublie parfois que l’amour, c’est savoir apprécier les différences de l’autre sans chercher à substituer sur lui ses propres désirs… j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Un chien en appartement ? -------------------------------------------------------------------------------- Certaines personnes pensent qu’il n’est pas raisonnable d’avoir un chien dans un appartement. Une idée reçue qui mérite quelques nuances, selon Laurence Bruder. Les chiens ont tous besoin de promenades quotidiennes, plus ou moins longues et sportives selon les races et les tempéraments. Certains propriétaires d’une maison (pas tous, heureusement) se contentent de laisser leur animal à l’extérieur, estimant qu’il dispose de tout l’espace souhaité pour se dépenser. Or, il est rare de voir un chien courir pendant des heures dans le jardin pour se défouler tout seul. Ceux qui vivent en appartement, par contre, savent bien que leur compagnon doit faire ses besoins plusieurs fois par jour, et le sortent régulièrement et longuement selon leurs emplois du temps. Rencontres entre chiens Les contacts avec des congénères sont extrêmement importants (voir articles précédents). Lorsqu’un propriétaire promène son animal, il rencontre d’autres maîtres et chiens, ce qui n’est pas le cas dans un jardin privatif. Importance des odeurs De plus, lorsque l’on sait que les phéromones laissées par les autres chiens sont porteuses d’informations, on comprend qu’il est indispensable de diversifier et renouveler fréquemment les lieux de promenades. Là encore, un chien vivant dans un jardin, même gigantesque, en connaît par cœur chaque recoin et ne rencontre que peu de nouveauté. Si on considère que les chiens connaissent les notions de bien être, alors on peut penser que ceux qui vivent en appartement sont certainement plus « heureux » que ceux qui vivent en maison et ne sortent jamais : les uns sont promenés 3 à 4 fois par jour au minimum, les autres doivent se contenter du jardin. Il n’en reste pas moins qu’adopter un Saint Bernard dans un studio ne parait pas raisonnable. Pas parce que c’est une race qui a besoin d’exercice (ceux qui choisissent ce type de chiens en ont pleinement conscience et agissent en conséquence), mais parce qu’il prend de la place, qu’il n’appréciera pas forcément la chaleur, le confinement, le manque d’espace de l’appartement. j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Faire l’acquisition d’un molosse = voir les conditions d’élevage du chiot -------------------------------------------------------------------------------- Forte est la pression médiatique qui pointe régulièrement du doigt les conduites agressives de molosses sur les êtres humains, pendant que l’on néglige d’ailleurs, de relater les attaques qui impliquent d’autres races abusivement cataloguées comme « gentilles ». Raison donc, pour partir du bon pied et commencer une bonne relation en choisissant de faire l’acquisition responsable d’un petit molosse inscrit au livre des origines françaises (LOF) pour une meilleure garantie de sa bonne santé et de son bon équilibre psycho-comportemental. Fixer son choix sur une race Si l’on n’a pas encore fixé son choix sur le molosse que l’on envisage d’acquérir, la rencontre avec des éleveurs des différentes races que l’on met en balance, permet de préciser ses propres attentes et préférences, et de mieux les mettre en adéquation avec la race à retenir. Ces professionnels dresseront chacun le portrait de la race qui les passionne, et tout futur acquéreur devra retenir celle qui regroupe les qualités et « défauts » de chien, qui pourront correspondre à sa personnalité et son mode de vie familiale. Sans rester uniquement centré sur l’aspect physique (certes important), tous ces renseignements permettent de « fouiller » dans les caractéristiques raciales, pour pointer ce qui peut orienter le choix final. Attention cependant, que tout ce qui concernera le caractère sera à entendre avec beaucoup de réserve. Certains traits tempéramentaux annoncés comme « distant » « dominant » « pot de colle » etc… dépendront surtout du modèle relationnel que ses propriétaires instaureront avec leur chien. Il vaudra mieux s’attarder sur les prédispositions et aptitudes au travail d’une race (aptitudes qui toutefois ne se révèlent que si les facteurs nécessaires à leur apparition sont réunis, parfois par dressage), éléments qui finalement en disent long sur un profil comportemental et relationnel de chien. Le « bon » élevage Tout au long de ces rencontres avec des éleveurs, et comme il y a toujours du mieux et du moins bien (dans cette activité comme dans d’autres) examinons ce que peuvent être les critères sur lesquels s’appuyer pour trouver le « bon élevage ». Les conditions d'hygiène des lieux et l'état de santé des géniteurs (entre autre, l'absence de tare génétique telle que la dysplasie par exemple) sont évidemment à connaître parfaitement. Tout cela est primordial mais n’est pas tout, car la stabilité émotionnelle du chiot, est un critère de choix dont il faut particulièrement s’informer. Car comment envisager de démarrer une bonne relation et éducation d’un chiot, si celui-ci n’a pas les acquis de base absolument nécessaires à une poursuite harmonieuse de son développement. Pour un chiot équilibré Quelles sont aujourd’hui les attentes d’un acquéreur qui ne souhaite pas se faire remarquer en promenant son molosse ? Il le veut évidemment sociable avec ses congénères et les humains (enfants ou adultes) et que son possible fort tempérament (courant chez les molosses !) ne se traduise pas par de l'agressivité, mais un parfait équilibre pour s'adapter aux situations de la vie de sa famille ou au travail auquel il le destine. Comment obtenir cet équilibre, à partir de quand ce profil se façonne-t-il ? L’inné et les acquis C’est la richesse en stimulations de la vie du très jeune âge, qui prépare un chiot équilibré et apte à poursuivre sans crainte ni surexcitabilité excessives, l’apprentissage de la vie avec ses futurs propriétaires. Tout chiot est d’abord l’expression de son patrimoine génétique, c’est évident. Cependant, cette « promesse » génétique ne se réalisera pour donner un animal prêt à vivre en société, que si toutes les conditions sont réunies pour favoriser son bon développement physiologique, mais aussi psychique et comportemental. La qualité du vécu prénatal influe déjà sur le comportement du chiot qui naîtra, et le bien être ou au contraire le mal être psychique de la génitrice, fera toute la différence. Quand il n’est pas offert une gestation paisible et confortable à une femelle, les chiots « baignent » dans la gamme des émotions négatives des chocs et du stress vécus par leur mère. C’est déjà une certaine sensibilité qui s’acquiert là, in utero. Des conditions de vie paisibles sont donc à privilégier pour la reproductrice, durant sa gestation et pour sa mise-bas. Et après... Liée ensuite au comportement exploratoire, la stabilité émotionnelle du chiot continue de se forger essentiellement entre sa 3è et sa 8è semaine, si sécurisé par la proximité de sa mère et sa fratrie, il peut rencontrer un monde suffisamment diversifié. C’est durant cette période de forte attraction sociale, qu’un univers varié et stimulant lui permet d’abord de découvrir et de se familiariser avec des formes, des matières et des couleurs, des sons et des odeurs. Il peut apprendre à aborder les objets, à exercer sa motricité et devenir de plus en plus confiant et assuré. Enrichit d’expériences multiples, le chiot est préparé à avoir plus tard dans sa vie, des réactions pondérées devant toute nouveauté. Parallèlement, il doit apprendre à interagir avec les êtres vivants (d’abord ses congénères) et doit donc absolument rester avec sa mère et sa fratrie, minimum 2 mois (et jusqu’à 3 mois si l’enrichissement du milieu de vie est maximal) Les interactions avec les siens lui permettent de structurer des comportements sociaux et le préparent à une future vie collective. L’apprentissage de la ritualisation des contacts entre chiens se fait là, et les mécanismes de l’autocontrôle et de l’inhibition de la morsure se mettent en place. Le chiot apprend le contrôle et l’interruption de tout comportement, mouvements, morsures, au cours des jeux de combats. Privé de ces acquisitions précoces, un chiot risque de devenir un animal «tornade» et mordilleur à l’excès que rien ne sait arrêter, avec ses congénères et les humains. Dans le même temps, de quotidiennes manipulations douces et attentives du chiot par les éleveurs, habituent celui-ci à considérer l’humain comme espèce amie. Les différents profils masculins et féminins, adultes et enfants sont à lui faire rencontrer, si possible en admettant un peu la fratrie dans l’habitat. Familiarisé aux bruits et odeurs d’un intérieur d’humains, à leurs gestuelles, voix et contacts, le chiot est mieux armés pour la vie en famille et préparé à aborder tout contexte nouveau sans stress majeur. Une familiarisation également précoce à d’autres espèces animales (ex : les chats et rongeurs présents dans nombre de foyers) garantit la bonne aisance du chiot à vivre plus tard près d’eux. Récapitulatif Une grande partie du devenir du petit molosse se joue donc dans les toutes premières semaines qui suivent sa naissance, car son cerveau est toujours en plein développement. Une majorité de neurones ne se trouveront mis en activité que par les stimulations de son environnement, reçues de ses différents organes sensoriels. Des contacts corporels, de la lumière, des bruits, des odeurs, puis des interactions avec les congénères et autres espèces humaine et animales, vont progressivement sculpter et programmer richement ce cerveau. Sans assez de stimuli extérieurs à lui-même, le chiot n’acquiert pas de capacités motrices, tactiles, visuelles, auditives et olfactives performantes. S’il n’y est pas exercé très tôt, il n’acquiert pas non plus de bonnes capacités à connaître et reconnaître les siens ou d’autres êtres vivants, ni à développer des compétences sociales avec eux. Le chiot faisant l’acquisition de mécanismes adaptatifs à son environnement en général par la richesse et la qualité des expériences très précoces qu’il aura pu faire, on peut mesurer que l’élevage en chenils et boxes isolés ne favorisera pas le plein épanouissement sensoriel et émotionnel des chiots, qu’un type d’élevage plus proximal peut offrir. Le choix des reproducteurs, la qualité de vie et de mise-bas de la reproductrice, ainsi que les conditions d’enrichissement du milieu pour un développement précoce optimal des chiots, sont donc tout un ensemble à prendre en compte par le futur acquéreur, pour orienter son « bon choix » d’élevage et y trouver le « bon chiot ». j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 A L’ARRIVEE DU CHIOT -------------------------------------------------------------------------------- A l'arrivée du chiot La décision est prise, après une réflexion en famille, tout le monde est d’accord pour accueillir un chiot à la maison. Il faut donc se mettre d’accord sur la race ou le profil de chien qui peut convenir à la famille. L’esthétique ne doit pas être le seul critère à retenir. Il faut aussi se méfier de certains commentaires trouvés dans des revues spécialisées qui affirment par exemple que telles ou telles races aiment les enfants. Ce n’est pas la race qui détermine la future entente avec les enfants mais bien les conditions d’élevage et aussi ses expériences chez son propriétaire. Le Comportementaliste peut vous accompagner dans votre projet d’adoption, en vous accompagnant à l’élevage ou au refuge. L’âge légal de départ du chiot de l’élevage est de 8 semaines. A partir de ce moment là, il lui reste de 4 à 6 semaines pour s’adapter au mieux à son environnement tant à l’intérieur de chez lui, qu’à l’extérieur (exemple : la ville), autant dire que le rôle et l’investissement des propriétaires est aussi important que celui de l’éleveur. Il n’est pas conseillé de prendre un chiot avant ses 7 semaines car un sevrage précoce pourrait avoir des conséquences sur son développement et certaines difficultés peuvent survenir quelques semaines plus tard ou à l’adolescence. Tel que de mauvais autocontrôles par exemple. En effet, de 3 à 8 semaines, le chiot apprend à contrôler ses mâchoires. Au cours des bagarres dans la fratrie, si la morsure est trop forte et fait crier le chiot mordu, la mère, si elle est compétente, vient interrompre l’interaction et sanctionner si nécessaire. Il n’est pas non plus conseillé de prendre un chiot de plus de 3 mois dans un élevage en milieu calme et sans enrichissements surtout s’il doit habiter en ville par la suite. L’hypostimulation peut engendrer de grandes difficultés d’adaptation aux stimulis. Quelques achats avant l’arrivée du chiot : son couchage, quelques jouets adaptés à son âge et à sa morphologie ne présentant aucun risque d’ingestion, une gamelle pour l’eau et une autre pour sa ration alimentaire, un container pour y placer les croquettes (à moins d’une alimentation ménagère), une laisse et un collier à sa taille, une médaille avec votre numéro de téléphone ainsi que son tatouage ou une mention indiquant qu’il est pucé. La voiture sera équipée, soit d’une caisse de transport, soit d’une grille de séparation pour le coffre. Toutefois, pour le premier voyage, le chiot prendra place sur les genoux d’un passager à l’arrière afin de le rassurer. Les clôtures du jardin seront vérifiées et les petits espaces par lesquels il pourrait tenter de se faufiler seront sécurisés. En appartement, le balcon sera protégé avec un brise-vue par exemple afin qu’il ne puisse pas passer sa tête et se bloquer. Demandez conseil auprès de votre vétérinaire afin de prévoir la trousse à pharmacie, comme par exemple l’indispensable crochet à tiques. La carte de tatouage sera rapidement renvoyée à la Société centrale canine pour que le fichier enregistre vos coordonnées cela est crucial en cas de perte de l’animal. Renseignez vous auprès de votre compagnie d’assurance afin de vérifier que votre animal est bien inclus dans votre contrat habitation et responsabilité civile. Vous aurez planifié dans la semaine de l’arrivée du chiot un rendez-vous avec le Comportementaliste afin de pouvoir installer un bon relationnel dès le départ avec votre nouvel arrivant. Le Comportementaliste pourra répondre à toutes vos interrogations sur l’apprentissage de la propreté, de la solitude et la liste est loin d’être exhaustive, il vous accompagnera dans l’évolution de votre chiot. Cette démarche vous permettra d’anticiper sur des problèmes éventuels. Vous aurez établi avec votre animal une très bonne communication dés ses premiers jours dans votre famille. Voilà, une merveilleuse aventure qui commence sur des bases saines et cohérentes. j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Chien ou chat, comment choisir ? -------------------------------------------------------------------------------- Vous avez envie d’adopter un animal mais vous ne savez pas quelle espèce choisir ? Notre spécialiste du comportement canin nous donne quelques pistes de réflexion. Tout d’abord, il vous faut définir clairement le type de relation que vous souhaitez entretenir avec lui. Cherchez vous un compagnon indépendant ou proche de vous ? Le chat est un animal assez solitaire, le chien un mammifère social à la recherche de rapports affectifs et de contacts fréquents. Les propriétaires évoquent la différence de relations affectives : un chien est toujours partant pour un moment de complicité ou de jeu, le chat agit à sa guise et peut se cacher des heures durant s’il l’a décidé. Du temps, de l’énergie, de la place… Il faut prévoir le temps à lui consacrer quotidiennement, et pour au moins les dix années à venir. Un chien (et un chiot encore plus) doit être éduqué : patience, persévérance s’imposent pour lui apprendre la propreté et les bases de l’obéissance. Un chien supporte parfois mal la solitude et les longues absences de ses maîtres. Il a besoin d’exercice physique quotidien, de sorties régulières, de contacts avec les humains et les autres chiens quelle que soit la météo, ce qui est moins le cas du chat. Et pour les vacances, il faudra trouver une personne de confiance à qui confier votre compagnon : on trouve plus facilement des volontaires pour un petit animal. La question de l’espace réservé à l’animal est importante : votre lieu de vie vous permet il d’accueillir convenablement un être vivant supplémentaire ? …Des responsabilités ! Enfin, si vous attendez quelque chose de lui, si vous lui assignez une tâche, demandez vous si elle est bien adaptée à ses possibilités. Si vous cherchez un compagnon d’éveil pour un enfant, une compagnie pour une personne âgée, pensez aux conséquences pour les uns et les autres : qui va le nourrir, le sortir, nettoyer sa litière, l’éduquer, s’en occuper, réparer les éventuels dégâts causés ? Il est important de savoir qu’un animal qui ne se sent pas bien, qui ne trouve pas sa place dans la famille où il a été amené, va le manifester. Chacun à sa manière : malpropreté, destructions, troubles du comportement, peu importe que ce soit un chien ou un chat. Tout dépend de votre vision des contraintes et des satisfactions liées à l’un ou l’autre : certaines vous paraîtront insurmontables, d’autres insignifiantes. A vous de faire votre choix en ayant bien conscience de tout ce qu’implique la responsabilité d’un animal. j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Choisir d'accueillir un chien -------------------------------------------------------------------------------- SUJET : CHOISIR D'ACCUEILLIR UN CHIEN Pour des raisons qui vous appartiennent, vous avez décidé d'accueillir un chien dans votre foyer. Tous les membres de la famille se sont concertés et sont tombés d’accord, chacun sait quelles tâches lui seront dévolues, vous allez tenter l’aventure. Ce choix impliquera des changements dans votre vie, et il est important pour vous et votre relation future avec votre animal que vous y soyez préparé. Autant partir du bon pied pour les 10 à 15 ans à venir ! Un chien demande un certain nombre de soins, réguliers, et parfois coûteux. Outre son prix de départ si vous avez décidé de l'acheter, vous devrez le faire examiner régulièrement par un vétérinaire et cela peut représenter un coùt important s’il est malade. Il est utile de prévoir aussi un budget pour sa nourriture, et quelques accessoires (gamelles, laisse, collier, panier, brosse et quelques jouets). Ne négligez pas les alternatives au chien d’élevage, les refuges sont pleins d’animaux à la recherche d’un nouveau foyer Un animal nécessite qu’on lui consacre du temps : il a besoin de nombreuses interactions, comme les promenades, les parties de jeu (avec vous ou un congénère), d’éventuelles leçons de dressage et surtout de votre attention bienveillante. Un minimum d'éducation et de civisme de votre part sont bien sur indispensables : tout le monde n'apprécie pas forcément les chiens autant que vous, et il faut respecter les sensibilités de chacun. Dans les lieux publics par exemple, où un chien (même le plus gentil du monde !) doit être attaché, ou dans la rue, s’il fait ses besoins au milieu du trottoir. Enfin, et c'est très important, vous avez des obligations morales envers votre animal, même si la loi française a tendance à considérer le chien comme une "chose", dont vous disposez à votre guise, hélas parfois sans limite. Ce sera de votre responsabilité de prendre soin de lui, de le nourrir correctement, de le soigner s'il est malade. Vous aurez près de vous un être vivant, sensible, ressentant des émotions. Un chien a besoin de situations claires et nettes, sans ambiguïté. Vous devrez l'éduquer, c'est indispensable, et cela doit être fait sans brutalité. j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Eduquer son chien --- Les règles de vie à la maison --- Les jeux entre le maitre et son chien --- Propreté et éducation dans la maison --- Les idées préconçues sur les races de chiens j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Les règles de vie dans la maison : le chien reste un chien -------------------------------------------------------------------------------- Sujet: Les règles de vie dans la maison: le chien reste un chien. Après avoir pesé les conséquences et pris le temps de choisir le lieu d’achat , vous venez d’acquérir un chien et le ramenez chez vous. Pensez à l’installer confortablement durant le trajet de retour à la maison : il ne connaît pas forcément la voiture, qui inquiète, fait du bruit, se déplace, et.. rend malade ! Les premiers jours… A l’arrivée chez vous, installez-le dans son espace (que vous aurez pris soin de préparer avant son arrivée) qui comprend son lieu de couchage, quelques jouets, une gamelle d’eau. Laissez-le découvrir son nouvel environnement à sa guise. Il n’est pas nécessaire de le porter et lui faire faire le tour du propriétaire : il le fera tranquillement tout seul lorsqu’il le voudra. Il doit se sentir en confiance et non « forcé », ce qui ne ferait que l’angoisser. Les premiers jours peuvent parfois être perturbants pour vous comme pour le chiot. Il a quitté son environnement et ses congénères, arrive dans un nouveau milieu et ne vous connaît pas. Mais il vous observe attentivement. En tant que maître, il faut dès maintenant instaurer les règles de vie dans la maison et s’y tenir. Avec patience et sans brutalité. Quelques règles simples Un chien, qu’il soit jeune ou adulte, a besoin d’un espace qui lui est réservé (son panier par exemple). Il faudra l’expliquer aux enfants si vous en avez : le chien a le droit de se reposer tranquillement, s’y réfugier quand il veut être tranquille, et tout le monde doit respecter sa zone personnelle. Vous éviterez bien des accidents ainsi. En règle générale, le chien mange après vous, et ne reçoit rien de la table pendant que vous mangez. Une fois votre repas terminé, donnez lui le sien, au calme et sans qu’il soit dérangé. Il est inutile de s’amuser à lui donner et reprendre indéfiniment sa gamelle : il a attendu sagement son repas et quand enfin il y a droit, c’est pour qu’on lui reprenne. Il ne peut pas comprendre ce geste qui ne fait pas partie de ses codes de fonctionnement, et cela pourrait l’inquiéter inutilement. j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Les jeux entre le maître et son chien -------------------------------------------------------------------------------- Sujet: Les jeux entre le maître et son chien Les interactions ludiques entre l’humain et son compagnon sont un excellent moyen de créer des liens et l’occasion de poser les règles de vie dans la famille. De la même manière que dans le cas des jeux entre chiens, on ne doit pas s’amuser n’importe comment : il s’agit que l’humain garde le contrôle de la situation, car elle peut rapidement lui échapper si les limites ne sont pas clairement marquées. Certains individus canins se laissent vite dominer par leur excitation et perdent leur calme. S’il s’agit d’un chien de forte corpulence qui saute sur son maître ou sur un enfant, lui attrape le bras ou la main, les conséquences peuvent être dramatiques. C’est pourquoi les interdits doivent être imposés très tôt : dès l’arrivée du chiot à la maison, on cessera immédiatement le jeu en marquant sa désapprobation d’un « NON ! » ferme, si l’animal se met à mordiller, attraper les vêtements ou sauter sur son maître. Cette attitude venant du propriétaire (l’arrêt du jeu) atteindra rapidement son objectif puisqu’un comportement qui n’apporte aucun bénéfice au chien (sauter, mordiller) va s’éteindre de lui-même. Eduquer grâce aux jeux Il est tout à fait possible d’utiliser des techniques amusantes pour dresser son chien : il apprend alors dans le plaisir, et le maître s’initie à la patience et la persévérance. Durant les séances d’éducation, on alternera l’apprentissage des positions (assis, coucher, pas bouger) et du rappel avec les moments de lancers de balle, de poursuite, de cache-cache. Certains individus sont très joueurs, d’autres n’ont que peu d’attrait pour cette activité. Pour les professionnels de la relation homme/chien, l’absence d’interactions sociales interspécifiques peut révéler certains dysfonctionnements. Par exemple, dans le cas d’un chien qui répond peu aux sollicitations de jeu de ses maîtres. Les comportementalistes conseillent alors une réorganisation du système familial pour voir l’animal, enfin clairement positionné dans son groupe, succomber facilement aux jeux initiés par ses maîtres. j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Propreté et éducation du chien dans la maison -------------------------------------------------------------------------------- Sujet: Propreté et éducation du chien dans la maison. Votre chien récemment arrivé à la maison a découvert son nouvel environnement. A vous maintenant de lui apprendre les règles en vigueur chez vous. Patience, douceur, fermeté et cohérence sont de rigueur. La propreté La notion de propreté pour un chien consiste à ne pas salir l’endroit où il couche. Il ne ressent donc pas de culpabilité à uriner hors de ce lieu. Ainsi, lui plaquer le museau dans son urine n’a pas de sens pour lui - et c’est inutilement brutal - il ne comprend pas ce geste. Voici quelques conseils pour lui apprendre à se soulager à l’extérieur : lors des promenades, qui doivent être d’autant plus fréquentes que le chien est jeune, félicitez-le avec exubérance à chaque fois qu’il fait ses besoins. S’il lui arrive de faire à l’intérieur en votre absence, ne lui dites rien, ne le grondez pas, ignorez-le. Si par contre, vous le prenez sur le fait ou alors qu’il s’apprête à se soulager, emmenez-le immédiatement à l’extérieur et félicitez-le. Il va vite mémoriser que lorsqu’il fait dehors, il est félicité, caressé, récompensé, mais qu’à l’intérieur, il n’obtient aucune réaction de votre part. Il apprend ainsi la propreté de façon positive, sans que vous n’ayez à le sanctionner. L’éducation Il est en général déconseillé de laisser monter le chien sur le canapé, ou dans le lit. Il vaut mieux qu’il ne dorme pas dans une zone de passage, comme le couloir ou face à la porte d’entrée. Cela lui permettrait de suivre les allers et venues de chacun, et pourrait lui laisser croire qu’il est le dominant de la famille. Si votre chien fait une bêtise (vous mord, s’attaque à un objet interdit etc.), sanctionnez-le immédiatement. En effet, le chien associe la punition à ce qu’il fait au moment même de la sanction. Donc, s’il est en train de jouer, et que vous le punissez pour sa bêtise d’il y a 3 heures, il prendra la sanction en réponse au fait qu’il joue. Attention, sanction ne signifie pas coup : un simple « NON » exprimé d’une voix ferme est un avertissement. S’il persiste, vous pouvez le prendre par la peau du cou et le secouer légèrement, toujours en lui disant « NON ! ». C’est ainsi que procède la mère avec ses chiots. Il est inutile de doser la réprimande en fonction de la gravité du dégât : essayez de penser comme un chien pour qui le livre ancien très coûteux a la même valeur qu’un bout de papier quelconque ! De même, l’isoler dans une autre pièce et le bouder pendant des heures ne servira à rien puisque quelques secondes seulement après son forfait, le chien l’oublie déjà ! Enfin, apprenez à votre chien à rester calme lorsque vous avez de la visite, vos invités apprécieront. j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Les idées préconçues sur les races de chien ------------------------------------------------------------- Sujet: Les idées préconçues sur les races de chiens Notre spécialiste du comportement canin nous met en garde contre une idée fortement ancrée dans les esprits : ce n’est pas l’origine raciale qui donnera toutes ses qualités à votre chien, mais davantage l’éducation que vous lui inculquerez. Depuis quelques siècles, près de 400 races de chiens se sont développées à l’initiative de l’homme, et les sélections de certains critères propres à certains individus ont permis la naissance de chiens aux oreilles tombantes ou droites, à la queue courte ou longue, au poil clair ou foncé. Certains chiens ont besoin d’un exercice quotidien très intense, d’autres se contentent de trois ou quatre promenades journalières. Certaines races sont très à la mode et d’autres plus rares chez les particuliers. Quelques précisions s’imposent afin de ne pas confondre les caractéristiques propres à une race, et le comportement normal du chien familier. Amalgames entre race et comportement Le labrador a la réputation d’être le chien le plus gentil, notamment avec les enfants. Pourtant c’est une des trois races qui mordent le plus chaque année en France. Pourquoi ? Parce qu’à cause de cette réputation, on ne prend pas assez de précautions. On laisse le chien faire des choses que l’on n’autoriserait jamais à un rottweiler. On permet aux enfants de s’asseoir sur lui, de lui tirer les oreilles, de jouer brutalement avec lui, en oubliant qu’un chien, aussi gentil soit-il, a des dents et s’en servira s’il prend peur ou s’il a mal, même si c’est arrivé accidentellement. Prudence donc, n’oublions pas que le chien est un chien, et que logiquement, il se conduit comme tel. Inutile d’essayer de lui expliquer qu’il doit se laisser malmener sans réagir. De plus, on parle souvent des comportements héréditaires. Or, il ne faut pas négliger la part capitale de l’apprentissage : un comportement agressif ne se transmet pas par les gènes, mais peut avoir été appris par les chiots qui ont observé ce comportement chez l’adulte et le reproduisent. Ou encore parce que son maître le lui a enseigné. Livres spécialisés Il existe quantité d'ouvrages consacrés aux races de chien. Chaque livre décrit ce qu'il croit être le comportement propre à cette race. Si ces répertoires de caractéristiques d'une race évoquaient une description et une explication des comportements du chien et les traitaient comme étant propres à toute l'espèce canine, il n’y aurait pas besoin de comportementalistes. Mais ce n'est pas souvent le cas. Les propriétaires peuvent prendre ces descriptions au pied de la lettre, compter dessus, et donc être très déçus face à la réalité, si leur chien ne colle pas exactement au schéma décrit dans l’ouvrage. Cela peut amener des conséquences plus ou moins dramatiques, des déconvenues, voire des abandons. Ce sont des indications parfois douteuses qui vont prêter à confusion. Un exemple : « le doberman est intrépide, a les nerfs solides et est très protecteur » : ceci peut se dire d'aucun ou de tous les chiens. Sociable, doux, gentil, affectueux, intelligent, gai, vif, courageux, dynamique, toutes ces caractéristiques peuvent être attribuées à tous les chiens quelle que soit leur race. Le comportement de votre chien dépendra avant tout de vous. Les chiens catalogués « chiens dangereux », ne le deviennent qu’à cause de leurs maîtres, qui en ont fait ce qu’ils sont avec une éducation maladroite. Quoi qu’il en soit, tous les chiens sont agréables pour les enfants, tous les chiens peuvent nous apporter énormément, il n’y pas de critères de valeurs à appliquer à l’une ou l’autre race. Saint Bernard, teckel ou corniaud font tous partie de l’espèce canine, et tous ont aussi des limites. A nous de garder cela en mémoire et de prendre les précautions qui s’imposent, pour une relation harmonieuse. j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Partir en vacances --- Profiter de son chien en vacances --- Allons-nous partir avec nos animaux ? --- Fini les Vacances --- Les différents modes de garde --- Emmener son chien en vacances à tout prix j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Profiter de son chien en vacances…. -------------------------------------------------------------------------------- Les vacances pour les humains signifient souvent des promenades plus longues et des parties de jeux plus fréquentes pour nos chiens. N’hésitez pas à saisir l’opportunité d’emmener toute la famille à la campagne, à l’ombre si possible, et toujours près d’un point permettant le rafraîchissement de tous. Certes les plans d’eau ne sont pas accessibles aux animaux et cela est compréhensible, mais l’Alsace est pleine de petites rivières aussi bucoliques que distrayantes. Une promenade bien préparée peut permettre à chacun de se défouler et de se baigner sur un même lieu. Ces instants de détente ne peuvent que satisfaire les humains et les chiens, mais en même temps, ils sont aussi l’occasion pour les propriétaires de découvrir quelques petits « travers » de leurs compagnons canins. Il y a les fugueurs qui ne peuvent pas s’empêcher d’aller inspecter le territoire dès qu’on leur retire leur laisse. Ceux qui vont aller quémander des restes de merguez auprès des amateurs de pique nique ou titiller les autres chiens qui sont, eux, gardés attachés sous bonne surveillance. Ne laissez vagabonder vos chiens que si vous avez un total ascendant sur eux et que vous pouvez les faire revenir au premier appel. Il y a aussi les maîtres qui « oublient » de faire disparaître les excréments… Un peu de civisme sera de bon ton afin que chacun profite de l’ambiance vacancière, en ayant quelques pensées pour vos concitoyens qui ne sont pas aussi amateurs de chiens que vous. Comment jouer avec son chien ? Si vous manquez d’idées en dehors du traditionnel lancer de balle ou de bâton que le chien doit ramener, voici quelques idées supplémentaires : - cacher un peu de nourriture congelée dans un jouet à farcir (du style « Kong »), qu’il cherchera et dégustera comme une glace - jouer à se poursuivre, à condition que vous gardiez le contrôle de la situation (à éviter si le chien ne sait pas gérer son excitation) - passer des obstacles naturels en forêt, comme monter sur des troncs d’arbres couchés ou passer sous un tas de branches que vous aurez préparé avant Faites fonctionner votre imagination mais gardez toujours à l’esprit que l’important est de s’amuser, certes, mais en toute sécurité pour lui, comme pour vous, et vos enfants. j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 ALLONS-NOUS PARTIR AVEC OU SANS NOS ANIMAUX Les vacances prochaines sont-elles déjà programmées ? -------------------------------------------------------------------------------- A ces périodes clés, trop d’animaux sont abandonnés par des maîtres qui sont allés cruellement à la facilité, sans connaître toutes les possibilités offertes. Différentes formes de séjours de détente sont envisageables, mais elles ne sont pas toutes compatibles avec la présence d’un animal. Prendre des congés ne peut pas s’improviser pour les propriétaires d’animaux, car faire le choix délibéré de partir avec Brutus et Minet comme celui de ne pas les emmener, nécessite de bien s’organiser pour le confort de chacun. Tout changement de vie et rupture brutale avec les repères de son quotidien sont toujours un chambardement pour un animal, et ne pas le reconnaître serait nier chez lui toute faculté de ressentir. Alors prévoir ses projets de déplacement avec ou sans lui c’est déjà le respecter. 1. Partir avec son animal • Bien avant le départ : S’assurer que l’hôtel, le camping, le gîte, le village de vacances, etc.… acceptent les animaux et lesquels ? Les chiens de grande taille et de certaines catégories sont-ils tolérés ? Sous quelles conditions ? Si oui, prévenir de la présence de l’animal lors de la réservation et se faire préciser la participation financière que certains campings et hôtels demandent. Si c’est à la mer, la plage est-elle autorisée aux chiens ? A noter que partout où vous allez en France, l’interdiction des chiens dans les lieux publics, plages, parcs et jardins doit être clairement signalée par le maire de la commune (sinon on peut contester l’amende que l’on peut se voir infliger). Pour passer une frontière prévoir de connaître les réglementations en vigueur dans le pays visité, auprès des ambassades ou agences de voyage (pour les ramassage des déjections, port de muselière, vaccination antirabique et certificat de bonne santé (documents obligatoires pour l’Union Européenne). Attention à la mise en quarantaine de l’animal dans certains pays : mieux vaut ne pas l’emmener, il passerait ses vacances en cage ! • Partir en voiture : Pour une moyenne ou grande distance à parcourir, il n’y a pas de problème si le chien ou le chat a été habitué à la voiture, mais dans le cas contraire dès la décision prise, commencez à lui faire effectuer des petits parcours, avec une promenade en récompense (pour le chien). Ne surchargez pas son estomac pour le voyage, vous lui éviterez malaises et vomissements, et si possible n’imposez pas de parcours longue distance à un animal malade. Pratique et sécurisante, la boîte de transport est idéale car l’animal à sa place : combien de petits chats se retrouvent sous la pédale d’accélérateur ! Combien de chiens s’échappent dès qu’on ouvre la portière ou s’agitent et s’énervent avec les enfants ! Muni de son collier ou son harnais (avec une médaille sur laquelle figure vos nom et n° Tél. mobile) ainsi que de sa laisse, le chien est prêt pour sortir se dégourdir les pattes (et se soulager !) toutes les 2 heures lors de vos arrêts détente. Préférez les haltes plus paisibles en retrait de la circulation, et prévoyez la gamelle d’eau. Minet, lui devra plutôt rester dans sa boîte de transport, garnie pour son confort hygiénique. Ne laissez jamais votre compagnon seul dans la voiture même fenêtre entr’ouverte ! le chat pourrait se glisser par cette ouverture, le chien peut l’agrandir et sortir pour vous rejoindre, et bien sûr l’été même à l’ombre, l’habitacle devient une fournaise où chaque année meurent trop d’animaux que l’on y a laissés prisonniers. • En car Seuls sont admis chats et petits chiens dans leur sac de transport. • En train La réglementation est stricte : Chien et chat jusqu’à 6 kg sont acceptés dans un sac près du maître, pour un tarif minime. Dépassé ce poids, avec un billet ½ tarif, les chiens en laisse sont aussi tolérés (sauf opposition d’un voyageur) et muselés pour les 2 catégories répertoriées par la S.C.C. • En bateau Certaines compagnies n’acceptent pas d’animal, d’autres les acceptent près du maître ou bien seulement dans la voiture ou encore dans des cages prévues par la société pour des tarifs peu élevés (renseignez-vous d’avance) (Attention l'été, lors de fortes chaleurs si l'animal doit être maintenu dans le véhicule.... Prendre tous renseignements préalables pour s'assurer du confort possible dans ces conditions • En avion. Là aussi règlement strict : Jusqu’à 5 kg l’animal peut voyager en cabine dans un sac au pied de son maître. Au-dessus de ce poids il ira en soute dans une caisse vendue par la compagnie aérienne (se renseigner des prix du billet et de la caisse). Pour emmener son animal en avion il faut vraiment une obligation impérative car c’est pour eux le mode de transport le moins agréable, et pour vous, le plus onéreux. A noter que les récentes mesures antiterroristes ont rendu les conditions de transport d'un animal en cabine encore plus restrictives... renseignez-vous des nouvelles dispositions auprès des différentes compagnies. 2. Partir sans son animal Ne pas s’interdire de vivre la découverte de lieux où la présence d’un animal familier est gênante, peut s’organiser dans le respect de celui-ci, en trouvant à le faire garder dans les meilleures conditions. Se séparer de son petit compagnon n’est pas sans retentissement ni pour lui, ni pour certains maîtres d’ailleurs, et c’est tout le soin pris dans cette démarche qui garantira le confort de chacun. Quelque soit la formule retenue au moment de la mise en pension du chien ou du chat, on peut l’y préparer pour qu’il n’en soit pas traumatisé. Habitué par exemple à être confié régulièrement quelques heures ou quelques jours à des personnes de confiance de son entourage (parent, ami, voisin), l’animal se trouve préparé à des absences plus ou moins prolongées de ses maîtres (cérémonies, spectacles…). Lors d’un plus long séjour, l’impact de la séparation d’avec ses êtres d’attachement et la rupture brutale de ses repères de vie quotidienne s’en trouveront adoucis. C’est au contraire en le maintenant en hyper attachement que l’on plonge un animal dans le plus grand désarroi, le jour où on souhaite le confier pour s’absenter. Choix possibles : • Le mettre dans une pension (chenil ou chatterie) ou bien en famille d’accueil Dans un cas comme dans l’autre il faut le prévoir longtemps à l’avance (certains retiennent d’une année sur l’autre) Ne placez pas l’animal d’emblée pour un mois dans une pension inconnue. Certains chiens refusent la nourriture pendant plusieurs jours et restent prostrés dans le fond de leur cage, attendant en vain le retour de leurs maîtres. Séparés du reste de leur « meute », ils dépriment. Faites plutôt des essais de courte durée, fiez-vous au comportement de votre animal. Est-il content de revenir ? Freine–t-il des 4 pattes à l’approche de la pension ? Vous aurez d’avance visité et comparé divers établissements et examiné les critères nécessaires à un séjour de qualité (propreté des boxes avec abris, espaces ou les animaux peuvent s’ébattrent, clôtures de sécurité, contacts chaleureux avec les pensionneurs, etc.) C’est la formule la moins chère, mais qui ne peut pas être sans retentissement aucun sur un chat ou un chien qui vit en famille tout au long de l’année. Le choix de le confier alors dans une famille d’accueil, est plus adapté à un animal habitué à une présence permanente. Des organismes spécialisés orientent vers une sélection de familles choisies pour garder (et chouchouter) chien ou chat en appartement, ou en maison avec jardin. En prenant la précaution de familiariser préalablement l’animal à ces personnes et leur lieu d’accueil, on s’assurera d’un vrai confort relationnel pour son animal • Faire appel à un organisme de garde à domicile Dans cette formule, ce sont des personnes (souvent retraitées) qui s’installent chez vous et prennent soin de votre chien ou votre chat (de vos plantes et vos biens aussi !) le temps de vos vacances. Une fois encore, faire se rencontrer précédemment « ses gardiens » et l’animal peut lui éviter de déclencher là encore une « grève de la faim » ou des destructions inhabituelles dus à son inconfort émotionnel. Pour ce « must », s’adresser à des organismes spécialisés et connus pour leurs garanties offertes ! • Confier l’animal à la famille, des amis ou des voisins Sans doute l’idéal pour tout le monde ! bien sûr aux conditions de familiarisation préalable précisées plus haut. Cette solution est souvent un échange de bons procédés ; « je garde ton chien, tu gardes ma chienne ». Mais prévoyez la période de vos congés hors chaleurs de la femelle de l’un ou l’autre si elle n’est pas stérilisée ! Posséder un animal ne s’improvise donc jamais, on le voit. Nous pensons que la question de « à qui le confier » quand vacances ou imprévus surviennent, devrait être étudiée avant même son acquisition. j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 La rentrée se prépare -------------------------------------------------------------------------------- Votre chien a peut-être eu la chance de vous avoir à ses côtés de longs moments durant vos vacances. Promenades plus longues et parties acharnées de jeux dans la nature étaient sans doute votre quotidien, du moins peut-on vous le souhaiter. Mais la reprise du travail ou la rentrée scolaire des enfants approche, et il vaut mieux préparer Médor au changement qui s’annonce si vous ne voulez pas qu’il réagisse mal à la solitude qu’il connaîtra immanquablement. Croyant bien faire, et espérant vous rattraper de votre manque de temps le reste de l’année, vous en avez peut-être fait beaucoup plus pour lui durant votre temps libre, et c’est une très bonne chose, mais n’avez pas forcément envisagé toutes les conséquences. Il est important de prendre du temps pour son chien, certes, mais il faut aussi savoir passer à autre chose au bon moment pour permettre une bonne transition. Si votre chien savait déjà rester seul avant vos vacances, il ne lui faudra probablement que quelques jours pour retrouver ses habitudes. Si par contre, il souffrait de votre absence en faisant des bêtises, il est fort probable qu’il retombe dans le même travers dès que vous le laisserez quelques instants. Consacrer tous ses moments de présence au foyer à s’occuper du chien ne contribue pas du tout à le rendre autonome. Bien au contraire, c’est la dépendance mutuelle qui vous guette: la moindre séparation devient tragédie et chez les chiens domestiques, cette souffrance se transforme fréquemment en destructions, malpropreté ou nuisances sonores. Le maître quant à lui, culpabilise de laisser son animal seul, et s’inquiète des dégâts qu’il retrouvera à son retour. Commencez dès à présent à faire le détachement, c’est-à-dire à lui apprendre à ne pas vous suivre partout dans la maison, à ne pas recevoir sans cesse de caresses ou de jeux, bref à bénéficier de moins d’attention de votre part. Le choc sera alors moins brutal pour lui si vous l’habituez progressivement à ne plus être collé à vos talons (et vice versa !). Rendez-vous service à tous les deux, évitez à votre chien de trop dépendre de vous en le maternant comme s’il était votre enfant… j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 FAIRE GARDER SON ANIMAL PENDANT LES VACANCES -------------------------------------------------------------------------------- Pour que départ en vacances ne rime pas avec l'abandon de votre animal favori, voici quelques conseils pour les faire garder. La SPA, société protectrice des animaux, de Gennevilliers (Hauts-de-Seine) a enregistré depuis le mois de mai le double d'abandons par rapport à l'année passée. Ce ne sont plus vingt chiens abandonnés par week-end mais quarante ! Les solutions existent pourtant, pour éviter de voir leurs rangs grossir, surtout avant les départs en vacances en faisant garder votre animal favori. Elles nécessitent un certain temps de préparation. Quelques conseils. Le gardiennage à domicile. Le principe est simple : les propriétaires de maisons et d'animaux de compagnie s'inscrivent dans une agence pour lui confier la garde de leur appartement ou maison et de leur animal ou leurs animaux pendant une période donnée. Des retraités consultent les annonces, choisissent leur lieu de villégiature et gardent bénévolement le gîte tout en soignant l'animal du foyer. La garde en chenils. la SPA conseille de contacter la direction des services vétérinaires de chaque département d'Ile-de-France qui délivrera une liste exhaustive des pensions disponibles. Elles sont peu nombreuses en région parisienne et très vite surchargées. Il faut compter environ 80 F par jour pour un chien moyen. Là encore, cette solution ne peut pas se faire à la dernière minute. Pour obtenir une garde dans de plus brefs délais, il est préférable, toujours selon la SPA, de s'adresser directement à son vétérinaire, censé fournir une solution de dépannage. Quel que soit le mode de garde choisi, l'animal devra être tatoué et vacciné. -------------------------------------------------------------------------------- j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Emmener son chien en vacances à tout prix -------------------------------------------------------------------------------- SUJET : emmener son chien en vacances à tout prix Les vacances approchent, c’est le moment des projets de voyages et des décisions de dernière minute. Avant la pause estivale de la rubrique « votre chien et vous », faisons le point sur certains détails qui ne doivent pas être négligés, si vous envisagez d’emmener votre chien avec vous. Tout d’abord, pourra t il suivre la famille dans les sites touristiques, les plages, les musées ou les restaurants ? Devra t il attendre quelque part que vous terminiez les visites ? Dans ce cas, où et à qui sera-t-il confié ? Il est bien entendu évident que votre animal ne peut pas rester seul dans la voiture, même à l’ombre. La chaleur peut causer sa mort en quelques minutes seulement. D’autre part, de nombreux pays exigent le port de la muselière et que le chien ne se promène pas sans laisse. Certaines races y sont même interdites de séjour. Il peut être exigé une quarantaine plus ou moins longue, et des vaccins qui ne sont pas forcément obligatoires en France. Un vétérinaire pourra éventuellement établir un certificat international de bonne santé, après examen. Si vous devez prendre l’avion et que le poids de votre animal dépasse la dizaine de kilos, il devra probablement voyager en soute. Mieux vaut se renseigner avant le départ. Si le trajet est long, le chien pourra ressentir comme vous, un stress et une certaine lassitude. Le voyage en bateau ne le rassure pas toujours. Faire des promenades en bord de mer avec son compagnon est bien sûr plaisant, mais ces moments de détente sont parfois accompagnés de nombreux désagréments. Les plages autorisées aux chiens sont malheureusement peu nombreuses. Il ne faudra pas oublier la gamelle d’eau et de quoi ramasser les excréments laissés à des endroits inappropriés. En conclusion, mieux avoir pensé à tout pour des vacances tranquilles et vraiment reposantes. Il est tellement agréable de flâner accompagné de son chien, mais il faut tout de même se demander à qui cela fait le plus plaisir, au vu du nombre de contraintes qui devront être surmontées par les uns et les autres… j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 --- Se balader --- Comment ne plus perdre son animal ? --- Liste des plages en France j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 NE PERDEZ PLUS LES TRACES DE VOTRE ANIMAL avec la médaille intelligente -------------------------------------------------------------------------------- Les périodes de vacances d’été se rapprochent. Beaucoup de personnes prenant soin de leur animal de compagnie partiront avec celui-ci en congé. Grâce à la médaille ANIMALFILE, nos animaux de compagnie pourront toujours être retrouvés en cas de perte. La médaille intelligente comporte un code unique de 12 caractères et est reliée à leur site internet personnel. Le site est accessible en six langues et comporte toutes les données de l’animal et de son maître. Via le site toutes ces données sont consultables pour les intervenants dans la vie de votre animal, tels vétérinaires, pensions, asiles, ... La médaille est une carte d’identité que l’animal porte en permanence. Quel que soit le pays où vous vous trouvez, quelle que soit la langue, votre animal pourra toujours être identifié. Une connexion internet se trouve facilement où que l’on soit. Ce qui n’est pas le cas si il faut identifier l’animal par la puce ou le tatouage qui sont valables uniquement en Belgique et qui ne peuvent être identifiés que par des professionnels. En achetant la médaille au prix de 15 euros, vous protégerez votre animal durant toute sa vie. Contrairement à d’autres systèmes d’identification, aucun abonnement n’est nécessaire. NE PERDEZ JAMAIS SA TRACE . SIMPLE Unique, la médaille et son numéro personnel donnent accès, de façon simple, 24h/24, via internet au dossier spécifique de l’animal. . INDISPENSABLE Complément indispensable au tatouage et à la puce, la médaille intelligente , mémoire infaillible accompagne l’animal en permanence. . COMPLET Le dossier reprend l’identité complète de l’animal, son caractère, ses goûts, ses allergies, ses habitudes, son pédigrée, toutes ces petites choses de la vie qui sont à la base de son bien-être et de sa sauvegarde. . DOCUMENT Fini les innombrables documents que l’on ne retrouve jamais quand on en a besoin. La médaille est destinée à tous les intervenants de la vie de l’animal tels chenils, vétérinaires, refuges, pensions, centres de dressage,.... . SECURITE Seul le propriétaire du chien peut, via un mot de passe, modifier les données de son animal de compagnie. Les autres personnes ne pourront que consulter le dossier en disposant du code de la médaille. . PAS DE COUTS D’ABONNEMENT En comparaison à d’autres systèmes, la médaille ANIMALFILE ne nécessite pas d’abonnement annuel. Les données de l’animal restent accessibles durant toute sa vie. . EXTENSION Vous pouvez faire graver au dos de la médaille ANIMALFILE, une information supplémentaire tel que le nom de votre chien ou votre numéro de téléphone. Pour commander la médaille http://www.frenchtoutou.com/info/transport5.php j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Liste des plages http://www.frenchtoutou.com/info/plage.php j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 --- DIVERS --- Se faciliter la vie au quotidien avec son chien --- L'obéissance vu par Boris Cyrulnik --- Philosophie appliquée aux propriétaires de chien --- Entre chien et loup : Quelles différences ? --- Les animaux et la musique --- La solitude --- Avoir son élevage --- La mort du chien --- On divorce, qui prend le chien ? --- Votre chien est bon pour votre santé --- Mon nouveau conjoint s'installe à la maison --- Quel professionnel pour votre chien? j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 je finirai la catégorie DIVERS demain car vu l'heure je devrais etre au lit. Pour tout les articles que je viens de mettre en ligne j'ai pris les sources sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Manoon1 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Charlotte, peux-tu éviter de poster 15 messages au lieu d'un seul... merci Et puis pour la source, il faut la citer à chaque message. Merci.Je déplace à Education. je lirai plus tard. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
mary-toutou 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 merci pour toutes ces infos mais il faut mettre la source de ton sujet Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
FloppyCorse 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Merci pour les infos mais je pense que ça serait plus clair si tu faisais un post par article en n'oubliant pas d'indiquer la source. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
cedafla 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Manoon a écrit:Charlotte, peux-tu éviter de poster 15 messages au lieu d'un seul... merci Et puis pour la source, il faut la citer à chaque message. Merci. Je déplace à Education. je lirai plus tard. Inutile de faire 15 messages et SURTOUT donner la source de tes infos à chaque copier/coller que tu fais. C'est la netiquette. Merci !!!!!!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Balou1111 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Entièrement d'accord avec vous Manon, Mary, Flo, Pascalounette. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
cedafla 0 Posté(e) le 12 janvier 2009 Ce qui n'empèche pas que tes infos sont trés interressantes à lire. Merci Charlotte Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 Je finirai la categorie divers et ajouterai les sources dans chaques articles cette apres midi. Et puis si j'ai fait 15 articles c'est parce que c'est 15 articles differentes mais dans la meme categorie. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 Manoon a écrit:Charlotte, peux-tu éviter de poster 15 messages au lieu d'un seul... merci Et puis pour la source, il faut la citer à chaque message. Merci. Je déplace à Education. je lirai plus tard. Modifications faites Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 Se faciliter la vie au quotidien avec son chien -------------------------------------------------------------------------------- Sujet: Se faciliter la vie au quotidien avec son chien. Les accessoires destinés à faciliter la vie des maîtres sont légion et se perfectionnent régulièrement. Il faut cependant être attentif à ce que le bien-être du chien soit pris en compte. Il tire sur sa laisse Une des méthodes les plus anciennes pour faire marcher un chien au pied consiste à utiliser un collier étrangleur qui lui fait comprendre que tirer sur sa laisse ne lui apporte que de la douleur. Dans le but d’utiliser une technique moins violente, des dresseurs ont imaginé un collier sur la base du licol pour chevaux, partant du principe que là où va la tête, le corps suit. Une lanière s’attache derrière les oreilles du chien et l’autre autour du museau et l’on peut ainsi le diriger en douceur, sans contrainte ni usage de la force. Il ronge tout lorsqu’il est seul Si votre chiot mordille tous les objets qu’il trouve, proposez-lui un jouet solide et conçu spécifiquement à cet effet, dans lequel on place un peu de nourriture. L’animal devant mastiquer le jouet pour atteindre sa récompense, ce petit stratagème l’occupera un bon moment. Il aboie comme un fou Pour nos compagnons ayant la fâcheuse habitude d’aboyer en permanence, il existe des colliers envoyant un courant électrique ou un jet de parfum désagréable dès qu’il vocalise. Faisant la relation entre son attitude et la punition, il apprend vite qu’il n’a pas intérêt à aboyer. L’avantage de cet outil réside dans le fait que le chien est sanctionné même lorsque le maître n’est pas présent, mais il est agressif pour l’animal. Solution miracle ou trompe-l’œil ? Certes ces accessoires peuvent rendre de grands services ponctuellement, mais ils ne doivent pas être considérés comme des remèdes miracles. Lorsqu’ils sont utilisés, ce n’est pas à la cause du comportement que l’on s’attaque, mais à sa manifestation. Pour régler le problème définitivement, il convient de s’interroger sur les raisons de ces attitudes. Pourquoi veut-il passer devant son maître, pourquoi a-t-il besoin de mastiquer n’importe quoi, pourquoi hurle t-il sans cesse ? S’il s’agit d’une (banale) question d’éducation mal effectuée, l’accessoire sera une aide temporaire utile pour atténuer voire éradiquer le comportement gênant. En revanche, dans le cas plus grave d’un problème psychologique, l’outil le plus perfectionné n’est efficace que provisoirement et ne fait que masquer la source du mal sans le solutionner. Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 « Autobiographie d’un épouvantail » et la question de l’obéissance -------------------------------------------------------------------------------- Sujet: « autobiographie d’un épouvantail » et la question de l’obéissance Dans son dernier livre, « autobiographie d’un épouvantail », Boris Cyrulnik nous livre à nouveau des paroles pleines de sagesse, qui peuvent être extrapolées aux relations hommes/chiens. Ainsi, il explique la différence entre l’obéissance et la soumission. Dans le premier cas, un individu accepte de faire ce qu’un autre lui demande, il consent à satisfaire la demande qui lui est faite. Dans la soumission par contre, il est contraint de faire ce que l’autre veut. Pour transposer ce concept sur notre relation au chien, il suffit de prendre un cliché d’une séance de dressage pour méditer sur la question. Quand certains chiens, une fois qu’ils se sont habitués aux règles ritualisées de l’obéissance dans un cadre précis, semblent y prendre du plaisir, d’autres tremblent de peur tout en se soumettant. Mais oui, ils obéissent ! parce que l’obéissance est tranquillisante : « désobéir provoque un stress », c’est encore Boris Cyrulnik qui le précise. « Je t’obéis pour rester près de toi, parce que ton affection me donne confiance en moi ». Nos chiens savent pertinemment ce qui nous fait plaisir, ils identifient clairement notre colère ou notre satisfaction. Surtout que certaines personnes sont très expressives, n’hésitant pas à féliciter de la voix et à l’aide de récompenses. On peut donc se poser la question suivante : dans quelle mesure les chiens se conforment-ils à nos demandes, parce que cela leur plait ou parce que cela leur plait que cela nous plaise ? Nous savons que les chiens développent des compétences supplémentaires (par rapport à celles qu’ils utilisent entre chiens) pour interagir avec nous, notamment en accentuant leurs signaux habituels de communication. Tentent-ils de s’ajuster à nous qui avons tant de mal à les comprendre ? L’obéissance n’a rien à voir avec la dominance (ce n’est pas parce qu’il obéit qu’il nous reconnaît comme son leader), la soumission n’induit pas le respect (il se conforme à la demande parce qu’il a peur des conséquences éventuelles). Si nous savons que la présence d’un cadre est sécurisante pour tout le monde, que la soumission à des règles est rassurante, nous savons aussi que l’autoritarisme génère de l’anxiété et du stress, ce qui est malsain et ne donne pas de résultats probants dans la durée. Nos chiens font preuve d’une adaptabilité exemplaire en cohabitant avec nous. Parfois ils n’y parviennent pas, et c’est à ce moment-là qu’un comportementaliste pourra intervenir, pour réorienter le regard de l’Homme et lui faire prendre la mesure des contraintes qu’il impose à son animal. Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
cedafla 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 Merci Charlotte Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 Philosophie appliquée aux propriétaires de chiens ? -------------------------------------------------------------------------------- Sujet : Philosophie appliquée aux propriétaires de chien La violence est le dernier refuge de l'incompétence Cette citation d'Isaac Asimov illustre parfaitement la manière dont j'envisage les relations avec les chiens. N'acceptez jamais que sous couvert de « s'y connaître », un professionnel quelconque violente votre animal pour lui faire soi-disant comprendre qui est le maître. Ne le faites pas vous-même, vous valez mieux que cela, et votre chien aussi. Ce n'est pas à sa force physique que l'on mesure un leader Logique prolongement de la citation précédente, cette phrase appuie encore la vacuité de la vieille croyance « pour s'assurer que l'autre vous respecte, il faut le soumettre par la force ». Point n'est besoin d'élever la voix quand on a raison Votre détermination, votre calme et votre inflexibilité sont bien plus efficaces que les cris pour se faire respecter, tel que l'énonce ce proverbe chinois. Un instant de colère peut ruiner des années de confiance Il est parfois difficile de rester calme face à certains chiens qui s'y entendent bien pour mettre nos nerfs à rude épreuve. Ils cherchent à provoquer une réaction chez nous, et si c'est la colère qui l'emporte, le soulagement éphémère que l'on ressent à avoir laissé parler son émotion laissera place à la confiance brisée si on en a trop fait. Qui prend conseil, franchit la montagne, qui n'en prend point, fait fausse route même en plaine Il est important de demander conseil lorsque l'on a besoin d'apprendre, dans tous les domaines, et il est utile de s'adresser à la personne la plus compétente pour cela. Malheureusement nous avons tous tendance à aller au plus rapide, par exemple en demandant son avis à notre voisin, alors qu'il ne s'y connaît pas plus en chien qu'en astronomie. Ou au vétérinaire qui maîtrise la santé physique du chien, mais pas sa psychologie. Ou à l'éducateur qui connaît le dressage mais pas la systémique. Ou au toiletteur, vendeur d'accessoires ou fabricant de croquettes qui, tout aussi doués dans la tâche qui est la leur, ne peuvent prendre la place d'un comportementaliste. De la même manière qu'un comportementaliste n'est pas un dresseur, un vétérinaire ou un vendeur d'accessoires. Prendre conseil est nécessaire, et le faire auprès de celui qui est le mieux placé est encore plus important. Demande-toi quelle est la souffrance de celui qui t'agresse J'aime cette formule car elle laisse penser que l'individu qui est agressif a des raisons qui lui sont personnelles, de le faire. En prêtant attention à cette éventualité et en se dégageant de notre agacement, en essayant de comprendre ce qui le motive, on lui accorde notre respect et notre intérêt, et du coup, on prend en compte sa motivation. Si vous vous sentez agressé par le chien, comportez-vous humblement, ne cherchez pas à gagner contre lui, attendez que soit passé le moment d'énervement et montrez-lui par le calme et la patience que vous ne lui en voulez pas mais que vous allez chercher à l'aider à mieux-être. L'échec n'est qu'une étape infructueuse dans l'acte d'apprentissage Si vous êtes confronté à une difficulté avec votre chien, si vous n'arrivez pas aux résultats espérés, ne vous découragez pas trop vite. Dites-vous que le chemin est long, et que même si l'on prend une mauvaise route, on n'est pas perdu définitivement, il est possible de retrouver la bonne direction. La clef ? Persévérance... Ceux qui vivent dans le chaos ne trouvent leur salut que dans la soumission à des règles Il y a des chiens qui ont des tempéraments difficiles. Ils peuvent avoir vécu un traumatisme extrêmement violent, avoir appris l'hyper activité comme unique mode de fonctionnement ou n'avoir pas été socialisés correctement. Ils ont parfois acquis des mauvaises habitudes par manque de structure, se sont forgé un caractère dur en réaction au vide auquel ils sont confrontés. Il est alors bon que leurs maîtres apprennent à poser un cadre structurant et rassurant, pour permettre à l'individu en flottement de se reposer, en laissant faire les autres et en s'accordant un peu de repos. En établissement des règles et en s'y tenant, on parvient dans certaines situations à supprimer l'anxiété, voire l'agressivité. On ne met en avant que ce que l'on n'a pas Comme chez les humains qui éprouvent le besoin de se mettre en avant pour masquer leur manque d'estime d'eux-mêmes, certains chiens ont besoin de jouer aux « gros durs » alors qu'au fond d'eux, ce sont des nounours qui attendent de nous qu'on les protège. Ils cherchent surtout à se convaincre eux-mêmes. Lorsque l'on est sûr que ce que l'on fait est juste, il n'y a pas lieu d'accentuer encore nos actions ou de vouloir absolument les faire reconnaître par tous. L'empire appartient aux flegmatiques Une pointe d'humour dans cette formule de Saint Just à Robespierre qui peut être utile face à certaines excitations d'un vis-à-vis (humain ou chien). Mieux vaut rester calme que perdre sa bonne tenue. Gouverner c'est faire croire Appliqués aux chiens, ces mots de Machiavel me font penser à celui qui fait semblant de contrôler la situation en donnant une image de maîtrise alors qu'en fait, il tremble de peur ou ne maîtrise pas tout à fait la situation. Cela arrive chez les chiens... comme chez les humains ! Voyez nos hommes politiques qui savent bien changer de sujet ou rebondir sur un autre thème lorsqu'ils sont interrogés sur un domaine qu'ils ne maîtrisent que partiellement. L'important c'est que la mascarade fonctionne. Face à votre chien, jouez au Seigneur, donnez une image de confiance en vous, même si c'est du bluff, il y croira mieux si vous êtes convaincant. Gouverne-toi bien pour gouverner les autres Commençons par nous occuper de notre propre cas avant de vouloir régler celui des autres. Gardons le contrôle de nos mots, nos faits et nos gestes avant de vouloir commander. Inutile de vouloir maîtriser un chien si nous ne sommes pas capables de nous gérer correctement. Celui qui pose une question est bête 5 minutes. Celui qui n'en pose pas l'est toute sa vie N'hésitez donc pas à questionner si vous avez un doute, votre chien vous sera reconnaissant de ne pas faire de grave erreur. N'oubliez pas : adressez-vous à quelqu'un de compétent en matière de chiens ! Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 Entre chien et loup : quelles différences? -------------------------------------------------------------------------------- La différence flagrante que l’on observe entre le loup à l’état sauvage (canis lupus) et le chien familier (canis familiaris), résulte de leurs statuts au sein de notre monde d’humains. Alors que leur ancêtre évoluait pour sa survie et celle de son groupe, nos braves toutous sont parfois supposés prendre, rien que ça, la place d’un humain. Quant les premiers doivent assurer leur subsistance en chassant le gibier et en protégeant les leurs au péril de leur vie, les seconds dorment sur les canapés et sont devenus « croquettivores ». Certes la vie de leurs cousins n’est pas paisible, mais la lourde charge émotionnelle qui pèse sur nos chiens de compagnie au point de générer parfois des troubles du comportement, n’est pas non plus de tout repos. Combler les attentes conscientes et inconscientes de leurs maîtres est une tâche quasiment impossible à accomplir. On leur demande de prendre le rôle d’un ami, de combler un vide affectif, de valoriser une image sociale, de protéger la maison, d’écouter d’une oreille attentive les malheurs des propriétaires ou de participer à l’éveil des enfants, pour ne citer que les plus couramment évoquées. Quand les uns profitent du grand air et évoluent librement dans des hectares de forêt, les autres sont privés de liberté et limités, pour certains, à trois promenades de 10 minutes par jour. Les contraintes de la nature imposent l’alliance de tous les membres d’une meute de loups sous l’autorité paisible (la plupart du temps) d’un leader qui fixe les règles, les privilèges et les devoirs de chacun. Cette organisation sociale est indispensable à l’équilibre de tous et ne nécessite aucunement l’usage de la brutalité. Et voilà que les humains, avec la meilleure intention du monde, voulant traiter leurs animaux avec équité et respect, les positionnent dans des places qu’ils ne peuvent ni tenir ni assumer : un égal (bénéficiant des mêmes avantages que son maître) ou un chef (j’entend souvent dire un « dominant »). Il en résulte une confusion et un inconfort chez eux, voire des troubles du comportement. Etant captifs et dépendants comment pourraient ils tenir une autre place que celle de subordonné ? Et si le respect de l’autre était précisément le respect de sa différence d’avec les humains ? Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 LES ANIMAUX ET LA MUSIQUE -------------------------------------------------------------------------------- Votre chien et votre chat, tout comme vous, sont amateurs de musique. L'idée a été inspirée par des recherches menées à l'université de Belfast sur les effets sur 50 chiens de différents types de musique. Il s'avère qu'une musique douce et relaxante est bénéfique pour nos amis animaux, sachant qu'ils sont sensibles à une gamme de fréquences sonores plus variées et plus larges que l'oreille de l'homme. La musique a des effets thérapeutiques reconnus sur nos compagnons à quatre pattes, elle leur procure un environnement sécurisant et apaisant, même en votre absence. Les vétérinaires confirment que presque tous les animaux laissés seuls pendant une longue période préfèrent des mélodies apaisantes plutôt que du silence. D’ailleurs, selon un sondage effectué en 1998 par le American Animal Hospital Association (AAHA), 53 % des propriétaires d’animaux domestiques au Canada et aux États-Unis laissent de la musique à leurs animaux lorsqu’ils quittent la maison pour le travail. Les vétérinaires sont d’accord avec les pros de la musique. Qui plus est, ils expliquent que la musique peut aider à calmer les animaux qui souffrent d’anxiété ou de dépression causée par la séparation. Sources et photo prises sur le site http://www.frenchtoutou.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 LA SOLITUDE -------------------------------------------------------------------------------- Votre absence courte ou prolongée lui pèse énormément. A l’heure de votre départ votre chiot va tenter de vous attendrir par ses gémissements et son regard attristé. Ce peut-être l’enfer (difficulté par rapport au voisinage avec ses hurlements) les quatre cents coups dans la maison. C’est de votre attitude et seulement d’elle que dépendra la suite des événements : --- Ne pas " tourner en rond " avant de quitter la place. --- Pas de grand délire de caresses émues, ni de bisous, re-bisous. --- Vêtements dissimulés pour partir " en douce ". Votre chiot n’est pas dupe. Vous le quittez d’un air détaché un simple " au revoir, son nom, à tout à l’heure ". N’attachez aucune importance à votre départ. Votre chien n’a pas la notion du temps. Pour lui, dix minutes ou trois heures de votre absence ne modifieront rien à son comportement. Vous pouvez faire un faux départ, retour deux ou trois minutes attitude identique. Le grand silence martelant encore plus votre absence, pendant celle-ci, laissez un fond sonore : musique d’ambiance, radio, etc... Si vous devez l’attacher utilisez la fixation en trolley ceci lui permettra beaucoup plus d’exercices. A votre retour final, pas d’effusions exagérées un "ça va" accompagné de son nom suffira. Puis le rythme de votre vie intérieure reprenant son cours, vous aurez loisir d’entamer avec lui une séance " tendresse - promenade - détente et jeux ". Sources et photo prises sur le site http://www.frenchtoutou.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Manoon1 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 Merci pour les sources Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 L'ÉLEVAGE -------------------------------------------------------------------------------- Les pensions sont pleines de chiens indésirables, notamment de croisements, et chaque année il en arrive des dizaines de milliers d’autres. Pour les chiens de race en revanche, plus la demande est grande, plus des entreprises d’élevage peu sérieuses " produisent " des milliers de chiots sans pour autant sélectionner soigneusement les animaux d’élevage. Cela donne fréquemment des chiens ayant des maladies héréditaires ou dont le comportement est perturbé, ce qui n’est normalement pas le cas dans un élevage sérieux Réflexions préalables à un élevage Un élevage sérieux exige beaucoup de l’éleveur, du point de vue du temps, de l’argent, des connaissances spécialisées et de l’espace dont il dispose. Même lorsque ces conditions sont remplies, il n’est pas certain que tous les chiots trouveront une place. N’oubliez pas qu’une portée peut compter jusqu’à dix chiots. C’est pourquoi vous devriez trouver préalablement à votre projet d’élevage des personnes intéressées suffisamment sûres et remplissant les conditions nécessaires. Le chien d’élevage Les chiens d’élevage doivent absolument être en bonne santé et en forme et avoir un caractère équilibré. Un chien d’élevage ne doit en aucun cas manifester des caractéristiques telles que le manque d’assurance, l’anxiété, ou la timidité dans les situations quotidiennes. Les raisons en sont d’une part que ces caractéristiques sont héréditaires, et d’autre part que les chiots évoluent beaucoup en fonction du comportement de la mère et en prennent nettement le relais. Conseil : ce n’est que lorsque qu’on accouple deux animaux sains, sans défauts de caractère, que les perspectives d’obtenir une portée en bonne santé sont les plus grandes. Présentez donc votre chien au vétérinaire avant de l’utiliser pour l’élevage. L’élevage de chien de race Une personne qui souhaite élever une race particulière et sait déjà laquelle avant d’acheter un chien devrait se procurer un chiot auprès d’un élevage reconnu par la FCI et être membre d’une organisation. Des obligations relativement strictes concernant les chiens d’élevage garantissent, dans une certaine limite, que seuls des chiens sains et équilibrés serviront à l’élevage. Si votre chien obtient une autorisation pour l’élevage à l’âge correspondant et que vous souhaitez qu’il y ait une portée, les chiots seront également reconnus par la FCI. L’élevage des chiens croisés Il est rare que les portées de chiots croisés soient attendues. La gestation peut être interrompue par le vétérinaire le plus tôt possible après la saillie, afin d’épargner aux chiots un avenir incertain. Si vous souhaitez faire un élevage de chiots croisés, veillez à bien associer les races. Evitez d’accoupler des races qui ont des caractéristiques telles qu’un instinct batailleur, des sautes d’humeur, ou un instinct marqué de garde et de défense. Dans ce cas, les chiens croisés posent en général plus de problèmes que leurs parents de race pure. Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 La mort de son chien -------------------------------------------------------------------------------- Les personnes qui aiment la compagnie des animaux ont un jour été confrontées à la douleur de leur mort. Même si on ne compare pas un animal avec un humain, il est tout à fait normal d’avoir de la peine à se séparer d’un être qui a accompagné notre vie pendant des années. Malgré les jugements des autres et les injonctions à « prendre sur soi », la perte d’un membre de la famille est très douloureuse, et nécessite un vrai travail de deuil. Chacun fait face comme il peut : certains se précipitent dans la journée pour trouver un autre compagnon, totalement différent ou au contraire, copie conforme du précédent, d’autres jurent qu’ils ne reprendront jamais d’animal, la douleur étant trop insupportable. Remplacer un chien par un autre ? Le risque de prendre un chien de remplacement ne doit pas être négligé. Il consiste à adopter un animal physiquement identique au précédent. Il arrive alors qu’on confonde la ressemblance physique avec une similarité de caractère, ce qui est rarement le cas : chaque chien est différent. Le « nouveau » sera souvent comparé à l’absent, et entamera sa relation avec ses propriétaires avec un handicap, surtout si c’est un chiot à éduquer : on se souvient du vieux chien parfaitement obéissant, mais on oublie le travail d’éducation effectué lorsqu’il était jeune pour en faire ce qu’il est devenu. La déception est parfois au rendez vous, et ce n’est pas toujours le fait de l’animal qui se retrouve dans une situation qu’il ne comprend pas, et dont il n’est pas responsable. On peut aussi vouloir adopter immédiatement un autre chien pour limiter sa peine, comme si cela rendait la perte du défunt moins douloureuse. Malheureusement, on ne remplace pas un être vivant par un autre, la tristesse ne se balaie pas si facilement. Il n’y a pas de conseil à donner quant au temps qu’il faut prendre ou non avant l’achat d’un autre chien, car la peine de chaque personne est différente. Il faut se sentir prêt à entamer sereinement une nouvelle relation. Pour le bien être de l’animal, et du vôtre. Même si cela ne soulage pas, souvenons nous qu’un chien ne meurt jamais : il est toujours là, dans nos mémoires, et ne peut pas être oublié. Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com VOICI QUELQUES OBJETS SOUVENIR POUR NE PAS LES OUBLIER http://www.frenchanimoshop.com/index.html?lang=fr&target=d349.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 On divorce, qui prend le chien ? -------------------------------------------------------------------------------- Sans entrer dans les détails des relations de couple, nous nous intéressons aujourd’hui au devenir de l’animal dans une situation de divorce. Une séparation, même d’un commun accord, est souvent synonyme de souffrance, voire de violence. Un peu à la manière des enfants parfois, il n’est pas rare que le chien se trouve pris en otage par l’un ou l’autre des protagonistes. Il peut alors devenir l’objet idéal de chantage, utilisé pour obtenir quelque chose de l’autre, ou pour provoquer des sentiments supplémentaires de peine et de tristesse. Certains animaux sont même abandonnés, parce que personne ne veut d’eux dans leur nouvelle vie, ou parce que leurs maîtres n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur celui qui les gardera. Mais tout ne se passe pas toujours mal : certaines personnes réfléchissent ensemble à la meilleure alternative, et arrivent à se mettre d’accord. Celui qu’il aime ou celui qui l’aime ? Entre celui qui pense aimer l’animal plus que l’autre, et la personne à laquelle le chien semble, plus attaché, il est parfois difficile d’y voir clair. N’oublions pas que lui aussi, à sa manière, souffre de la situation. Perdre tous ses repères peut être traumatisant : l’un (ou plusieurs) de ses maîtres, son territoire, ses lieux de promenades, ses habitudes quotidiennes. Ces rituels sont primordiaux pour son équilibre émotionnel. Il ne comprend pas les raisons de ces changements et il est impossible de les lui expliquer. Par contre, on peut tenter d’en limiter les retentissements, en le confiant à la personne la plus à même de veiller sur lui. Celle des deux qui pourra lui consacrer le temps pour les sorties, l’éducation, les contacts affectifs, et l’argent pour les soins, la nourriture etc. Lorsqu’il y a des enfants impliqués, il faut redoubler de prudence. On court le risque de leur ajouter une douleur en plus de la souffrance liée à la séparation, en leur retirant un ami solide à qui confier leur peine. Il faudra que le (ou la) propriétaire puisse assumer seul(e) la charge qui était auparavant partagée. Bref, un dilemme de plus à solutionner objectivement et de façon réfléchie, dans une situation déjà très difficile pour tout le monde. Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 Votre chien est bon pour votre santé -------------------------------------------------------------------------------- SUJET : Votre chien est bon pour votre santé Cette chronique régulière sur les relations Homme/Chien ne serait pas complète si l’on ne s’interrogeait pas sur les bienfaits de la présence de notre chien pour notre santé. Tous les propriétaires d’animaux en conviennent : ils nous apportent un bien-être affectif considérable. Médor est utile à notre moral, grâce à l’affection mutuelle qui nous lie et aux interactions sociales qui se produisent quotidiennement. Il n’est plus exceptionnel de citer les nombreuses situations où le chien est l’assistant indispensable d’une personne handicapée, voire tenant le rôle de co-thérapeute, en intervenant en appui d’un psy comme dans les milieux hospitaliers ou carcéraux. Tout le monde a déjà vu un chien guide d’aveugle ou accompagnateur d’une personne en fauteuil roulant. Des études scientifiques attestent qu’en plus de notre confort moral, un chien est aussi bénéfique à notre santé physique. Posséder un animal induit une diminution, de près de 50%, des problèmes de santé mineurs (étude du Dr Serpell de l'université de Cambridge). La raison la plus évidente est qu’un chien doit être baladé régulièrement. Ainsi, malgré le froid, la pluie ou simplement le temps maussade qui incite à rester chez soi, le propriétaire responsable fait l’effort de sortir quand même. Le fait de promener son animal entretient le souffle et le rythme cardiaque, et réduit les risques de fractures de col du fémur. Grâce aux jeux que l’on peut avoir ensemble tous les jours, nous restons en bonne forme physique et psychologique. Selon une enquête menée en Chine, en Allemagne et en Australie, c'est-à-dire sur trois continents différents, les propriétaires d'animaux de compagnie auraient une meilleure santé que les non-propriétaires. En conséquence, ils rendraient en moyenne de 15 à 20 % moins souvent visite à leur médecin. On peut penser aussi aux personnes âgées vivant en établissement spécialisé qui ne peuvent plus bouger en temps normal mais font l’effort de se pencher pour caresser le chien, ou dont les yeux s’éclairent lorsqu’ils voient arriver l’animal près d’eux. Enfin, certains lieux d’accueil de personnes en difficultés mentales ou sociales reçoivent régulièrement des animaux. Il est constaté que même parmi les pensionnaires qui sont parfois violents, un auto contrôle se met en place, le chien thérapeute étant considéré comme « intouchable ». Avec le temps, ce changement de comportement peut se généraliser et permettre une meilleure intégration dans la société humaine. Grâce à l’intervention de l’animal. Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 Mon nouveau conjoint s'installe à la maison -------------------------------------------------------------------------------- Titre : Mon nouveau conjoint s'installe à la maison Les personnes seules qui sont propriétaires d’un chien se trouvent parfois inquiètes de ses éventuelles réactions lors de l’arrivée d’un nouveau conjoint. Certains animaux sont en effet très possessifs, mais ne perdons pas de vue que s’ils le sont, c’est parce qu’on a tout fait pour qu’ils le deviennent. Sachez que lorsque le chien et le nouveau venu sont du même sexe, on peut se retrouver face à quelques problèmes. Un chien mâle qui était habitué à l’exclusivité de sa maîtresse ne tolèrera pas forcément si facilement d’être remplacé. Il peut en aller de même dans le cas d’une femelle qui entend bien garder la possession de son « mâle ». Pour faire en sorte que votre chien accepte le mieux possible votre compagnon, on opèrera des changements le plus tôt possible afin de préparer le titulaire à l’arrivée de son remplaçant. Car c’est parfois de cela qu’il s’agit réellement : un humain prend la place du chien qui comblait le vide affectif de son maître. Habituer progressivement le chien au changement Si ce n’était pas déjà le cas, on interdira l’accès de la chambre à coucher et au lit bien avant l’installation du nouveau venu, et on réduira progressivement le temps où l’on ne s’occupait que du chien. On organisera différentes activités qui permettront à la personne qui arrive de prendre peu à peu une place importante pour le chien. Cette personne pourra jouer avec l’animal, l’emmener se promener, lui donner à manger, s’occuper de le brosser, participer à son dressage. Parallèlement, le propriétaire habituel se détachera peu à peu pour faire une place à son conjoint. Il faudra bien sûr garder des moments durant lesquels son chien et lui se retrouvent seuls à seuls, mais permettre aussi à l’autre humain de s’intégrer. Tout cela n’est pas chose aisée, et certains chiens résistent avec hargne au changement qu’ils voient s’opérer. Il peut alors s’avérer utile de faire appel à un comportementaliste afin de réussir l’intégration d’un ou de plusieurs éléments, à fortiori lorsque des enfants sont aussi concernés. Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 A quel professionnel du chien faire appel? -------------------------------------------------------------------------------- Sujet: A quel professionnel du chien faire appel? Avec l’apparition des nouveaux métiers liés aux animaux, il est parfois difficile de savoir à qui s’adresser lorsque l’on rencontre des problèmes avec son chien. Nous allons essayer d’y voir plus clair avec Laurence Bruder, qui exerce la profession de comportementaliste. Pour les questions de santé, les vaccins ou les opérations, une seule personne est compétente : le vétérinaire. Si vous souhaitez éduquer ou faire dresser votre chien, vous pouvez vous adresser aux clubs de dressage, ou à un professionnel. L’éducateur canin professionnel vous aidera à acquérir les bases de l’éducation, et le dresseur professionnel apprendra à votre chien une action spécifique, comme par exemple la chasse. On vous propose en général deux types de service : soit de vous joindre à des séances collectives, où plusieurs chiens et maîtres travaillent côte à côte, soit un service personnalisé lors de séances individuelles. Dans ce dernier cas, un spécialiste s’occupe exclusivement de vous et votre chien, à votre domicile ou sur un terrain. Enfin, si vous rencontrez un problème relationnel avec votre chien, si vous lui reprochez certains comportements, ou que vous aimeriez en comprendre les causes, c’est un comportementaliste qu’il vaudra mieux contacter. Expert en comportement canin, mais aussi en psychologie et en cognition animale, il vous aidera à améliorer votre relation avec votre chien, à la rendre encore plus harmonieuse et complice. Ce n’est pas en dressant un chien qu’on supprime son angoisse liée à l’absence du maître, ni en le gavant de médicaments. En revanche, certaines pathologies peuvent provoquer des attitudes agressives, à cause de la douleur qu’elles suscitent. Il faut donc en premier lieu faire examiner l’animal, avant de s’occuper des problèmes de comportements, et afin de ne pas passer à côté d’une maladie. Il s’agit de bien distinguer ces différentes compétences, l’idéal étant que les trois professionnels travaillent en étroite collaboration, pour le bien être des propriétaires, et de leurs compagnons. Sources prises sur le site http://www.frenchtoutou.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
apache&nina 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 J'ai enfin mon post sur les informations canines chiens et chiots. Bonne lecture à tous et toutes. Ne faites pas attention à la longueur car c'est vachement interessant. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
FloppyCorse 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 Merci beaucoup Charlotte Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Bumbo 0 Posté(e) le 13 janvier 2009 bon c'est vraiment long mais j'ai lu ce qui m'interessé... c'est super bien expliqué en effet, merci beaucoup Charlotte Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites