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L’ORGANOTHERAPIE



L'organothérapie consiste en l'administration au patient d'extraits d'organes tissulaires ou glandulaire d'animaux sains. Ces substances sont diluées et dynamisées, comme les autres remèdes homéopathiques. On considère qu'un organe utilisé en dilution interagit sur l'organe homologue pour en réguler le fonctionnement. On donnera par exemple Myocarde 4 CH pour stimuler le muscle cardiaque. On peut assimiler à cette méthode l'opothérapie qui consiste en l'administration de dilutions d'hormones pour réguler les fonctions d'une glande déficiente. Il s’agit de tissus d’organes prélevés par des vétérinaires spécialisés sur des animaux sains. Il existe 229 souches d’organothérapie délivrées à partir de 3 CH et prescrites par analogie avec l’organe malade. Bien entendu ces remèdes sont prélevés sur des sujets décédés et exempts de toute pathologie. Ils sont sains et ne souffrent pas pour servir la science. D’ailleurs de nombreux remèdes d’organothérapie sont prélevés sur les humains, qui l’ont autorisé après leur décès.
C’est donc une méthode thérapeutique qui vise à traiter un organe ou un tissu déficient par l'administration d'organes ou de tissus homologues. Les remèdes sont préparés à partir d'organes frais, de glandes, de tissus ou d'hormones et ils font l'objet d'un contrôle et d'une méthode de fabrication parfaitement définis.
L'intérêt d'utiliser des formes diluées et dynamisées réside également dans le fait que nous disposons non seulement d'extraits d'organes, mais aussi de dilutions d'hormones et, particulièrement dans le cas qui nous intéresse, de dilutions de stimulines hypophysaires que l'on ne peut envisager d'utiliser aisément en pratique courante et à un moindre coût.
L'organothérapie diluée et dynamisée en matière cardio-vasculaire est essentiellement une thérapeutique de fond. Elle aura un rôle préventif considérable. Dans le cas où un accident aigu se produirait, son emploi conjoint à celui d'autres médicaments classiques permettra une meilleure évolution, une cicatrisation plus rapide après un infarctus. Enfin, elle peut, à elle seule, prendre en charge le problème chronique, par exemple une hypertension artérielle et apporter ainsi une solution non agressive, bien supportée par le patient.


Immunothérapie à dose infinitésimale (IDI)


C’est au Dr Maurice Jenaer de Bruxelles qu’on doit en 1967 les premières prescriptions d’ADN et d’ARN « dynamisées », c’est-à-dire diluées et agitées, qui manifestèrent des propriétés immunostimulantes imprévues. Au cours des années 1980 le Dr Jenaer leur associa les interférons et les interleukines, molécules actives du système immunitaire. En 1990, le Dr Bernard Marichal y adjoignit, des « acides nucléiques spécifiques » dotés de propriétés antivirales. L’éventail des pathologies concernées est important : hépatites, quand l’origine virale est confirmée, condylomes, herpès, affections à chlamydiae, nombreux types de cancers et de leucémies, maladies auto-immunes, poussées aiguës inflammatoires…


Isothérapie


Les isothérapiques sont fabriqués à partir de souches fournies par le malade lui-même. On distingue les auto-isothérapiques préparés à partir d’un prélèvement sur le malade : sécrétion nasale ou auriculaire, pus, sang, urine, selles, crachat… Et les hétéro-isothérapiques provenant de souches fournies par l’environnement du malade et correspondant à des allergènes : poil de chat domestique, acarien du lit, lessive, produit de beauté. Les isothérapiques sont donnés sous forme de médicaments unitaires (granules, globules) et réalisés spécifiquement pour chaque malade. Cependant, l’isothérapie a un champ d’applications plus vaste = elle est particulièrement utilisée dans le cadre des désensibilisations allergiques. En effet il existe de nombreuses souches disponibles d’isothérapiques de produits ou substances allergéniques courantes = médicaments (cortisone, antibiotiques), produits ménagers, pollens d’arbres etc…
L’isothérapie est également une méthode efficace dans son rôle prophylactique = absorber une dose d’isothérapique avant une chimiothérapie, avant un vaccin, avant l’ exposition aux rayons solaires, avant le retour des insectes piqueurs, etc.… se prémunir étant un principe de santé majeur dans la façon de penser médecine naturelle.
Ces trois branches de l’homéopathie donnent des résultats extraordinaires dans les traitements naturels pour nos animaux. En effet, à une facilité d’administration même chez le chat s’ajoute un bénéfice considérable et une réponse efficace dans des pathologies parfois lourdes telles que la lipidose hépatique, le pemphigus foliacé, le lupus érythémateux, la teigne, les dermatites allergiques, et la plupart des pathologies, quels que soient les organes ou les fonctions perturbés .


Source : Carole B-MORIN
Phyto-Aromatologue Spécialisée Canins et Félins
http://www.naturopattes.eu/
Contact : [email]desanimauxdesplantes@yahoo.fr[/email]



Source : chien.com

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