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Acquérir un oiseau non sevré peut le conduire à sa perte...

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Acquérir un oiseau non sevré peut le conduire à sa perte





Acquérir un oiseau non sevré peut le conduire à sa perte. C’est une mise en garde que nous lancent Amicale Acoeba et Association Guarouba par l’intermédiaire de ariegenews.
De nos jours, la tendance est à l’exotisme dans l’acquisition de nouveaux animaux de compagnie. Rongeurs, reptiles, oiseaux et plus particulièrement les perroquets se retrouvent aujourd’hui projetés au même rang que les traditionnels chiens et chats. Mais l’on ne peut nier que ces animaux sont victimes de leur popularité. Pour les perroquets qui sont adoptés de plus en plus jeunes, c’est-à-dire non encore sevrés, le nourrissage à la main constitue un véritable danger qui peut être fatal pour les oiseaux alors que l’on sait qu’il y a plusieurs règles à suivre. L’hygiène est par exemple de rigueur. Il faut absolument éviter la prolifération des bactéries lors de la préparation de la nourriture. Il faut aussi tenir compte de la fréquence, de la quantité des aliments à administrer qui doit constituer environ 10 à 12% du poids de l’oiseau en fonction de l’âge toutefois et de l’espèce. Il existe également diverses techniques de nourrissage que l’on doit maîtriser en cas de problème tel qu’une fausse déglutition ou la perforation du jabot. Enfin, il faut savoir déceler le moment du sevrage pour que l’oiseau puisse se nourrir de façon autonome ; la perte de poids est en l’un des signes avant-coureurs de ce grand événement.
Ces maigres indices suffiraient-ils à nous guider dans la prise en charge d’un oiseau non sevré ? On l’ignore. Toujours est-il que le nourrissage et le sevrage sont deux étapes qui doivent se faire progressivement et que seul l’éleveur qui a assisté à la naissance de l’oiseau et qui tient une courbe de croissance de ce dernier est à même d’en prendre bien soin.

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C'est vrai que ce n'est pas évident de les élever à la main. Il ne faut surtout pas se lancer sans s'être bien renseigné auparavant. C'est souvent difficile pour le sevrage. Celà demande beaucoup de temps, de patience et de douceur.

Ma première expérience c'était avec Didim le pigeon, je n'y connaissais rien mais je n'avais pas le choix étant donné les circonstances dans lesquelles je l'ai trouvé... Heureusement tout s'est bien passé car sans le nourrissage à la main, il serait mort... pale

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