Max|mum-leterrarium 0 Posté(e) le 2 décembre 2005 En 1801, Schneider a découvert le merveilleux boa qu'est l'Erix conicus conicus. Ensuite, en 1951, au tour de Deraniyagala de découvrir la seconde sous-espèce de ce serpent, l'Erix conicus brevis. Mais en 1995, Tokar est venu tout ébranlé le sujet en affirmant que cette espèce, les couleurs n'avaient aucune différence entre les sous-espèces, mais plutôt que des localisation. Il a par le fait même reclassé ceci en une seule espèce qu'il a rebaptisé Gongylophis conicus. Même s'ils sont de petite taille, lesGongylophis conicus peuvent être très lourd. Ils sont assez massif et très musclé. La femelle peut atteindre 90 cm, sensiblement plus grande que le mâle qui dépasse rarement les 60 cm. Ce serpent est comparé un peu au Python curtus curtus dans sa morphologie. Sa coloration sera grise avec une chaîne de tâches irrégulières marrons à noirs sur le dos. La tête de ce boa des sables est recouvertes de plusieurs petites écailles. Ses yeux sont de petite taille placé sur le dessus de la tête avec des pupilles verticales. Son cou ne sera pas défini, caractère typique au boa des sables. Sa queue est très courte et brusquement effilé. Ses écailles seront moins carénés que les autres boa des sables car il est un peu moins fouisseurs que les autres. Le Gongylophis conicus se trouve au Pakistan, en Inde, au Néapl, ainsi qu'au Sri Lanka. Il est assez communs dans les steppes Pakistannaise et Indienne, dans les zones agricoles et même dans certaines des forêts les plus humides qui longent la frontière Sud du Pakistan. C'est le deuxième boa des sables le plus commun qu'on puisse retrouver dans les foyers Nord-Américains. Les adultes sont très dociles et facilement manipulables. Pour ce qui est des juvéniles, ils ont tendance à mordre mais se calme assez bien avec le temps. La garde en captivité se fait aisément bien dans un aquarium 20 gallons. Nous devons lui mettre une bonne couche de substrat pour qu'il puisse s'enfouir mais lui laisser une cachette quand même pour quand il est à la surface. Des températures de 32°C pourrait bien lui convenir avec un taux hygrométrique d'environ 40%. La reproduction se fait très bien en captivité. La maturité sexuelle de l'espèce sera entre 2 et 3 ans. Les femelles gravident auront parfois un peu plus de caractère qu'à l'habitude. Les mâles, quant à eux, cesseront parfois de s'alimenter lors de la saison de reproduction. La gestion dura environ 80 jours au bout du quel, la femelle mettra à bas 3 à 12 petit serpenteau. Dès la première mue des bébés, nous pouvons leur présenter un souriceau en guise de premier repas. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites