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Max|mum-leterrarium

Une nouvelle bactérie est identifiée pour la dermatite

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Une nouvelle bactérie est identifiée pour la dermatite dans des lézards d'animal familier


La dermatite est fortement répandue dans des lézards d'animal
familier, et si ces infections ne sont pas traitées tôt puis elle peut
créer la maladie et la septicémie mortelles d'organe.
Il y a
toujours une portée pour écarter cette infection dans le sauvage par
les lézards infectés qui sont multipliés en captivité et déchargés
après dans le sauvage. L'établissement des populations captives en
bonne santé est un outil important pour la conservation des espèces
menacées. D'une part, le réapprovisionnement des populations sauvages
avec les animaux multipliés par captif portant des microbes pathogènes
pourrait compromettre la survie de ces populations sauvages. Les
maladies de peau sont fortement répandues dans les lézards captifs, dit
professeur An Martel d'université de Gand, Belgique.
Un exemple du programme captif d'élevage du lézard rare de tape de
l'Oman (thomasi d'Uromastyx) un projet commun entre l'Allemagne et
l'Oman, auxquels les microbes pathogènes comme ceci peuvent constituer
une vraie menace.
Jusqu'ici la cause de ces maladies a été peu claire mais selon la
recherche éditée dans l'édition de septembre du journal international
de la microbiologie systématique et évolutionnaire, les chercheurs en
Belgique ont découvert une nouvelle bactérie responsable de la
dermatite dans des lézards de désert.
Les chercheurs ont regardé l'ordre génétique de la bactérie et
découvert lui représente un nouveau taxon et des espèces. Ils ont
appelé la bactérie « agamarum de Devriesea » (Devriesea se rapportant
au microbiologiste vétérinaire L.A. Devriese et à l'agamarum après
agame, un reptile de Vieux Monde).
Professeur Martel dit, cela ils ont démontré un rapport causal entre
ces bactérie et lésions de peau dans des lézards de désert-logement, et
ce microbe est également lié aux bactéries qui causent des infections
de peau chez l'homme.
Les chercheurs espèrent l'identification de ce nouvel agamarum de
Devriesea de bactérie, contribueront à leur arrangement de la maladie
de peau de lézard et aideraient à développer des mesures de contrôle. À
l'avenir ils voudraient étudier des interactions de centre-microbe
pathogène, concevoir des traitements et étudier l'utilisation d'une
vaccination d'empêcher le développement de la maladie provoqué par
agamarum de Devriesea,

Source : La Science quotidienne

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