Max|mum-leterrarium 0 Posté(e) le 30 novembre 2009 Deux tortues radiata, des coqs et des plants de zamal saisis Un Sainte-Marien de 47 ans a été interpellé hier matin chez lui par les gendarmes de la brigade de Saint-Benoît. À son domicile, une tortue volée la veille à Sainte-Anne a été retrouvée. Les militaires de Sainte-Marie ont également fait une saisie de cinquante pieds de zamal. Il a expliqué utiliser la plante pour nourrir ses coqs de combat… Les gendarmes n’ont pas joué les tortues pour résoudre une affaire de vol de… tortues radiata. Mardi, un homme, vivant à Sainte-Anne, se rend à la brigade territoriale de Saint-Benoît pour déposer plainte pour le vol de deux tortues radiata, âgées toutes les deux de trente ans. Autant dire que la victime du vol y tient. Une valeur sentimentale. Mais également une valeur pécuniaire puisque les deux tortues sont estimées à 6 000 euros. La victime livre un renseignement aux militaires qui leur permet de se mettre sur la trace d’un Sainte-Marien. Hier matin, les gendarmes de Saint-Benoît, assistés du Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie, accompagnés de militaires de Sainte-Marie se rendent au domicile du suspect. Dans la case, les gendarmes bénédictins découvrent une des deux tortues. L’homme explique qu’il a déjà vendu la deuxième. Les militaires remontent jusqu’à l’acheteur qui rend finalement la bête aux enquêteurs. Les deux tortues sont restituées à leur propriétaire. L’homme possède de nombreux animaux à son domicile et souhaite rester discret selon les gendarmes. Le voleur hérite d’une convocation pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité. Mais les ennuis pour ce voleur ne s’arrêtent pas aux tortues. DES PLANTS DE ZAMAL DESTINÉS AUX COQS Car pendant la perquisition, les gendarmes font une saisie incidente en découvrant cinquante pieds de zamal. Pour sa consommation personnelle ? L’homme qui possède également des coqs de combat explique aux gendarmes de Sainte-Marie qui récupèrent pour eux cette procédure que ces plans servent à nourrir ses coqs de combat. Pour la plante interdite, le parquet de Saint-Denis a décidé de l’orienter vers un stage de sensibilisation. Les pieds de zamal ont été détruits. Les coqs de combat devront trouver autre chose à picorer Source Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites