Max|mum-leterrarium 0 Posté(e) le 29 août 2010 Les scientifiques de Kélonia au chevet des tortues La découverte du massacre de la tortue verte Minus, la plus observée dans l’île a indigné la communauté scientifique et l’ensemble des défenseurs de l’environnement. Au centre de recherches Kélonia, l’équipe axe sur la sensibilisation et tente de réparer les dégâts dans la mesure du possible. La tête tranchée et la carapace vidée de sa chair : Minus qui était pourtant devenue la mascotte des baigneurs de la côte Ouest n’a pas été épargnée par le braconnage. Comme elle, une dizaine d’autres tortues ont été victimes de la malveillance des hommes récemment, à l’image de Gwendoline, touchée par une arbalette et qui se remet doucement de ses blessures dans l’un des bassins de soin de Kélonia. L’équipe des scientifiques qui observent toute l’année durant les déplacement des tortues,et procèdent à leur recensement par le biais de la photo identification, fournit en parallèle de ces deux missions un travail de taille pour soigner et sauver les tortues victimes de braconnage. A "l’infirmerie" de Kélonia, les scientifiques accueillent des animaux ayant subi les assauts de l’homme mais aussi des tortues blessées par des requins et d’autres espèces gagnées par la maladie. Sur les 7 espèces de tortues marines, 5 fréquentent les eaux de l’Océan Indien. Depuis 1996, le nombre d’individus observés dans les eaux réunionnaises à triplé. Cette progression indique que la Réunion est un habitat pour les tortue marines et qu’en ce sens, tous les efforts doivent être mobilisés pour que ces espèces protégées et peu nombreuses puissent évoluer et se reproduire. Source Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites