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Max|mum-leterrarium

Le Programme RACE (2009 - 2013)

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Le Programme RACE (2009 - 2013)

Face au manque de connaissances concernant l’origine, la répartition, et l’évolution future de la Chytridiomycose, le programme européen RACE a pour but d’évaluer le risque que représente le pathogène Batrachochytridium dendrobatidis pour les espèces européennes d’amphibiens.

ce titre, le programme RACE représente le premier programme européen de recherche concernant la dissémination de ce pathogène.

Regroupant plusieurs laboratoires de pointe en matière d’étude de la batrachofaune et des maladies qui lui sont associées, le programme RACE se propose de mettre au point des outils technologiques permettant de suivre la propagation de la maladie, les dégâts imputables à celle-ci en terme d’infection et de mortalité, ainsi que d’établir des mesures de prévention et de gestion de la maladie.


  • Les laboratoires partenaires du programme RACE :

Imperial College of London (Royaume-Uni)
Zoological Society of London (Royaume-Uni)
Laboratoire d’Ecologie Alpine (Université de Savoie)
Station d’Ecologie Expérimentale CNRS de Moulis
Museo Nacional de Ciencias Naturales (Espagne)
Helmholtz Center for Environmental Research (Allemagne)
University of Zurich (Suisse)

Coordinateur du projet :
Docteur Matthew FISHER, Imperial College of London,


  • Objectifs du projet RACE :


L’objectif principal de RACE peut être subdivisé selon cinq grands axes de travail :

I. Identifier les facteurs naturels et anthropiques à l’origine de la dissémination de la maladie.
II. Développer des outils informatiques d’acquisition de données de terrain, reposant sur des technologies modernes de communication.
III. Déterminer les espèces les plus sensibles à la contamination, et les facteurs favorisant la dissémination de la maladie à différentes échelles (globale, régionale, locale).
IV. Evaluer la faisabilité et l’efficacité des instruments politiques en terme de lutte contre les infections émergentes et la perte de biodiversité en lien avec les maladies.
V. Communiquer les résultats ainsi que le Plan d’Eradication de la Menace (ETAP) à un grand nombre d’instances politiques, de gestionnaires de l’environnement, de scientifiques ainsi qu’au grand public.


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