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Max|mum-leterrarium

« Taty Martine » se bat pour la reconnaissance des tortues - Plénée-Jugon

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« Taty Martine » se bat pour la reconnaissance des tortues - Plénée-Jugon

L'histoire

Martine Aubrun est chéloniophile, comprenez fan de tortues. À quelques heures de la manifestation qu'elle organise ce samedi à Plénée-Jugon, elle nous parle de sa passion pour cet animal protégé.

Sa première tortue, Martine Aubrun s'en souvient comme si c'était hier. « Je l'ai eu contre une pièce de 5 francs à la poissonnerie de Poissy. Je devais avoir sept ans. » Depuis, les tortues ne se sont jamais éloignées de Martine qui collectionne aussi les objets qui se rapportent au sympathique reptile. Son mari a suivi le mouvement, « sans avoir vraiment le choix », sourit notre passionnée.

« J'ai toujours eu au cours de ma vie une ou deux tortues mais je me suis vraiment lancé à fond depuis 1999. Internet m'a beaucoup aidé à me documenter. Depuis, c'est l'euphorie, de la folie, la magie de la tortue », concède Martine, qui partage son quotidien entre ses chéloniens et les enfants qu'elle accueille en tant qu'assistante familiale.

« Taty Tortue »

Martine Aubrun est venue s'installer rue des Frères-Gauthier, il y a deux ans, « après quelques contraintes administratives » liées au transfert de tous ses reptiles depuis le département de l'Eure où elle résidait.

« La première chose que nous avons faite en arrivant c'était d'aménager des parcs pour les tortues. » Martine et ses pensionnaires à carapace ont tout de suite été adoptés par un voisinage interrogatif. Son surnom de « Taty tortue » a fait le tour de la cité.

« Il n'est pas rare que je retrouve un sac de pissenlits posé à ma porte ! » La centaine de tortues, Hermann Varoises ou Corses, que possède Martine en raffole. « Je n'ai que de la tortue française », revendique Martine Aubrun.

Caroline, Franklin, Adèle, Maurice, etc. tous ces pensionnaires adultes ont un prénom. Mais attention on ne s'improvise pas éleveur de tortues ! Son statut de capacitaire, reconnu par les autorités, lui a permis de créer son établissement en toute légalité. « Toutes mes tortues ont des papiers. La tortue est aujourd'hui un animal légalisé », martèle la Plénéenne, qui préside justement une association, Les Tortues du pays d'Oïl, qui informe les propriétaires de chéloniens sur leurs droits et leurs devoirs.

Première fête de la Tortue, ce samedi 4, de 10 h à 18 h 30, à la salle polyvalente de Plénée-Jugon. Entrée : 2 € pour les plus de 12 ans. Tél. 06 10 95 45 89.


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