Max|mum-leterrarium 0 Posté(e) le 28 juillet 2012 Des écailles et des plumes à la ferme aux crocodilesSchwarzy, Arthur, Bernard… À la ferme aux crocodiles, chacun des pensionnaires a son petit nom… ou presque. Il faut dire que parmi les près de 1 000 spécimens qui vivent sur le site, les animaliers doivent bien distinguer leurs petits préférés.Immersion au cœur d’une jungle tropicale, peuplée d’espèces raresLe doyen des crocos, l’un des premiers arrivés sur le site lors de sa création, en 1994, est surnommé “Schwarzy”. Et “Arthur” est le merle métallique, que seuls les plus chanceux réussiront à apercevoir dans la serre de 4 000 m 2.Car parmi les crocos de toutes espèces, la ferme accueille aussi désormais, plusieurs espèces d’oiseaux exotiques, comme les hérons gardes bœufs et les spréos.De quoi reproduire un vrai coin de paradis pour la faune sauvage, qui évolue dans un habitat le plus proche possible de son milieu naturel.Les 350 crocodiles du Nil se prélassent sur les plages de sable et de rochers, au bord de l’eau. Le couple d’alligators albinos, venu de Louisiane, déambule dans une serre ombragée, spécialement aménagée, pour qu’ils ne souffrent pas de la lumière. Et pour le gavial du Gange, l’une des espèces de crocodile asiatique les plus rares, dont il ne reste que 2 600 spécimens à l’état sauvage, un espace humide et sombre a été aménagé.Une immersion au cœur d’une jungle tropicale, peuplée d’espèces animales et végétales rares, voilà ce que propose la ferme aux crocodiles.Mais le lieu est aussi un espace pédagogique à vocation éducative. Au fil du parcours, une signalisation à l’adresse des visiteurs répond aux questions les plus répandues, comme la traditionnelle : “Pourquoi les crocodiles restent-ils la gueule ouverte ?” Parmi les crocos, plusieurs semblent en effet afficher un grand sourire réjoui. « En fait, il reste la gueule ouverte des heures entières, pour réguler la température de leur corps », expliquent les guides naturalistes.Bientôt, la ferme aux crocos accueillera d’autres pensionnaires. Une seconde serre, de près de 3 000 m 2, devrait voir le jour à l’horizon 2013-2014. Elle accueillera serpents, lézards et autres reptiles.Source Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites